Godzilla (Gareth Edwards - 2014)

[odelay]

Je le dis et le redis, j'aime beaucoup ce film qui est superbe visuellement, formidablement découpé et qui sait alterner la rage avec les silences. Une très belle réussite que je revois avec un énorme plaisir.

[Anorya]

Je le dis et le redis, j'aime beaucoup ce film qui est superbe visuellement, formidablement découpé et qui sait alterner la rage avec les silences. Une très belle réussite que je revois avec un énorme plaisir.

La même chose pour moi après déjà 4 visionnages.

[Flol]

Je le dis et le redis, j'aime beaucoup ce film qui est superbe visuellement, formidablement découpé et qui sait alterner la rage avec les silences. Une très belle réussite que je revois avec un énorme plaisir.

Merci. Pour l'avoir revu récemment, je l'adore toujours autant.

[O'Malley]

J'ai trouvé ça très mauvais.
Scénario oublié en cours de route, personnages sans aucune épaisseur, implication zero, enjeux zero, un personnage principal qui ne sert à rien et de plus interprété par un acteur au physique passe-partout et un peu bovin dont le Hollywood contemporain a le secret, destruction porn, CGI à tout crins, un Ken Watanabe hébété, une Juliette Binoche qui ne fait que passer, un Bryan Cranston en pilotage automatique...
Gareth Edwards tente de faire de la belle image avec tout ça... mais çela en vaut-il vraiment la peine?

[Watkinssien]

Décidé de redonner une chance à ce Godzilla qui m'avait pas mal déçu et dont certains avis positifs sur ce forum commençait à me titiller pour probablement mieux apprécié le film d'Edwards.

Eh bien non, j'ai trouvé cela encore plus mauvais que dans mon souvenir. Damned, je n'ai quasiment rien trouvé de bon à me remettre sous les crocs. Même la mise en scène (dotée de temps en temps de quelques beaux plans) m'ait de nouveau apparu comme complètement à côté de la plaque sur certains endroits. Edwards filme bien, mais cela ne sert à rien. Aucune émotion, des personnages transparents voire ridicules (coucou Binoche et Cranston, coucou la femme éplorée qui laisse son portable à distance alors qu'elle cherche désespérément des nouvelles de son mari, coucou le scientifique japonais de service avec le pauvre Watanabe qui ne fait qu'ouvrir la bouche et écarquiller les yeux tout le long du film, coucou l'assistante du scientifique qui répète au moins cinq fois que les bestioles s'alimentent des radiations), des séquences spectaculaires amputées volontairement par des coupes amenant ni plus ni moins que de la frustration narrative, des confusions scénaristiques et un Aaron Taylor-Johnson plus mauvais tu meurs, emmenant avec lui un fil conducteur sur la paternité qui se veut subtil mais qui n'est que mal amené et pas très passionnant.

Ratage presque complet (on sauve trois-quatre plans).

[Jeremy Fox]

Tu viens d'exprimer l'avis que j'avais eu sur ce film ; encore moins envie de lui redonner une chance du coup.

[harry]

Je le dis et le redis, j'aime beaucoup ce film qui est superbe visuellement, formidablement découpé et qui sait alterner la rage avec les silences. Une très belle réussite que je revois avec un énorme plaisir.

Merci. Pour l'avoir revu récemment, je l'adore toujours autant.

Pareil ici, Edwards a un sens du "gigantisme" assez incroyable, que l'on trouvait déjà dans Monster et toujours la dans son Star Wars. Les nombreuses séquences où il associe le spectaculaire de la situation (des monstres géants), les idées pour les mettre en scène (l'arrivée de Godzilla a Hawaii, les MUTOs, etc...) et le sentiment qui s'en dégage: à chaque scènes "massive" on est partagé entre l'ebahissement total, la crainte et l'insignifiance face à des créatures à la puissance quasi divine (il ne manquerait plus que Cthulhu...)
On est bien loin (et au dessus) du catch entre robots et gloumoutes fluorescents ou bien des affrontements incompréhensibles et incohérents de robots transformables.

[la_vie_en_blueray]

Pour moi, Godzilla, c'est des scenes dans l'obscurité qui suivent des scenes dans la pénombre. Je pense ne pas avoir capté 75% du film.

[Watkinssien]

On est bien loin (et au dessus) du catch entre robots et gloumoutes fluorescents

Le film de Del Toro a des défauts, mais je le trouve nettement supérieur.

[harry]

On est bien loin (et au dessus) du catch entre robots et gloumoutes fluorescents

Le film de Del Toro a des défauts, mais je le trouve nettement supérieur.

Des persos "caricatures de clichés", un scenar avec plus de trous qu'une punkette au salon du piercing, une direction artistique qui brûle la rétine...

Franchement, non.

[Watkinssien]

Le film de Del Toro a des défauts, mais je le trouve nettement supérieur.

Des persos "caricatures de clichés", un scenar avec plus de trous qu'une punkette au salon du piercing, une direction artistique qui brûle la rétine...

Franchement, non.

Franchement...oui. Au moins, je me suis beaucoup plus diverti, toutes les séquences d'actions sont lisibles et "visibles", les couleurs sont parfois utilisées de façon symbolique, le sens du gigantisme est également utilisé à bon escient. Après, le film a des défauts d'écriture effectivement, parfois c'est trop bourrin, les caractérisations parfois très naïves, mais en terme de narration le film est beaucoup plus maîtrisé à mon sens. Je trouve qu'il y a plus d'amour qui transpire pour le genre Kaiju Ega dans Pacific Rim que dans ce Godzilla. Après, et c'est subjectif, j'avais plus de frisson sur les enjeux "fin de monde potentielle" que dans le film d'Edwards.

[Rockatansky]

Pour moi les films ont à peu près les mêmes défauts, personnages humains anecdotiques, filmer dans la nuit ou sous la pluie c'est bien joli mais on voit rien, enjeux globalement sans intéret, ça se regarde mais on se fait un peu chier.

[Pomponazzo]

Plus douze Rockatansky.
Dans mon souvenir (pas revus ni l'un ni l'autre) l'ennui le dispute à la consternation dans les deux cas.

[la_vie_en_blueray]

Le Del Toro, je l'ai trouvé sympa, y a un vrai coté "japanophile".
Le godzilla, ok, je voulais vraiment l'apprécier vu que je l'ai acheté après voir vu Rogue one, mais non.