Votre film du mois de Novembre 2013

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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AtCloseRange
Mémé Lenchon
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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(Re-)Découvertes:

La Maman et la Putain (Eustache) 8/10

Le Jardin des Finzi-Contini (de Sica) 7,5/10

Before Midnight (Linklater) 6,5/10

Prisoners (Villeneuve) 6/10
Les Millers, une Famille en Herbe (Thurber) 6/10

Byzantium (Jordan) 5/10

The World's End (Wright) 4/10

Elysium (Blomkamp) 2/10

Révisions:

The Incredibles (Bird) 7,5/10
L'Invasion des Profanateurs de Sépultures (Siegel) 7,5/10

Votez McKay (Ritchie) 7/10

L'Illusionniste (Burger) 6/10

Le Justicier dans la Ville (Winner) 5,5/10
Love Actually (Curtis) 5,5/10

Lady in the Water (Shyamalan) 5/10

Copycat (Amiel) 4,5/10
Dernière modification par AtCloseRange le 1 déc. 13, 12:32, modifié 17 fois.
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G.T.O
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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Snowpiercer ( Bong Joon-ho, 2013 ) : ★★
Ghost in the shell ( Mamoru Oshii, 1995) : ★★1/2
Promised land ( Gus Van Sant, 2013) : ★★1/2
Martha marcy may marlene ( Sean Durkin, 2011) : ★★★★
The Wolverine ( James Mangold, 2013) : ★
Duel ( S.Spielberg, 1971) : ★★★
Prince Avalanche ( David Gordon Green, 2013) : ★★★
Elysium ( Neil Blomkamp, 2013) : ★★ 1/2
Les aventures d'un homme invisible ( John Carpenter, 1993) : ★★★
Dernière modification par G.T.O le 20 nov. 13, 16:37, modifié 10 fois.
Blue
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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Tous Les Autres S'appellent Ali (R.W. Fassbinder) : 8,5/10
Le Lauréat (Mike Nichols) [analyse filmique] : 8,5/10
La Vénus A La Fourrure (Roman Polanski) : 8,5/10
Johnny S'en va-t-en Guerre (Dalton Trumbo) [analyse filmique] : 8,5/10
Metropolis (Fritz Lang) [analyse filmique] : 8,5/10
La Jetée (Chris Marker) : 8,5/10
Lola Montès (Max Ophüls) : 8/10
Antoine Et Antoinette (Jacques Becker) : 8/10
L'Ami De Mon Amie (Eric Rohmer) : 8/10
Les Amours d'Astrée Et De Céladon (Eric Rohmer) : 7,5/10
L'Amour L'Après-Midi (Eric Rohmer) : 7,5/10
Les Nuits De La Pleine Lune (Eric Rohmer) : 7,5/10
4 Aventures De Reinette Et Mirabelle (Eric Rohmer) : 7,5/10
L'Arbre, Le Maire Et La Médiathèque (Eric Rohmer) : 7,5/10
Le Beau Mariage (Eric Rohmer) : 7,5/10
Le Signe Du Lion (Eric Rohmer) : 7,5/10
La Marquise d'O... (Eric Rohmer) : 7/10
Snowpiercer (Bong Joon-Ho) : 7/10
Le Genou De Claire (Eric Rohmer) : 7/10
Les Rendez-vous De Paris (Eric Rohmer) : 7/10
Zoo (Peter Greenaway) : 7/10
Coup De Coeur (Francis Ford Coppola) : 6,5/10
Triple Agent (Eric Rohmer) : 6/10
The Immigrant (James Gray) : 6/10
Inside Llewyn Davis (Coen Bros) 6/10
Un Prophète (Jacques Audiard) [analyse filmique] : 6/10
Le Ventre De L'Architecte (Peter Greenaway) : 6/10
Adaptation. (Spike Jonze) : 5,5/10
L'Anglaise Et Le Duc (Eric Rohmer) : 5,5/10
4:44 Dernier Jour Sur Terre (Abel Ferrara) : 5/10
Prince Of Texas (David Gordon Green) : 5/10
Perceval Le Gallois (Eric Rohmer) : 5/10
Looper (Ryan Johnson) [analyse filmique] : 4/10
Marie Antoinette (Sofia Coppola) : 3,5/10
Dernière modification par Blue le 30 nov. 13, 23:33, modifié 12 fois.
Mon top éditeurs : 1/Carlotta 2/Gaumont 3/Studiocanal 4/Le Chat 5/Potemkine 6/Pathé 7/L'Atelier 8/Esc 9/Elephant 10/Rimini 11/Coin De Mire 12/Spectrum 13/Wildside 14/La Rabbia-Jokers 15/Sidonis 16/Artus 17/BQHL 18/Bach
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Frances
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

Message par Frances »

Film du mois de novembre :
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Films (re)découverts :

:arrow: Neuf mois ferme : Dupontel 1.5/10
:arrow: Mirage d’Edward Dmytrik avec Gregory Peck, Diane Baker, Walter Matthau. 6.5/10
:arrow: Atlantic city (1980) de Louis Malle avec Burt Lancaster, Susan Sarandon, Kate Reid, Robert Joy, Michel Piccoli, Hollis McLaren. 8/10
:arrow: Cécile est morte de Maurice Tourneur (1944) scénario : Jean-Paul Le Chanois avec Albert Préjean (Maigret) 5.5/10
:arrow: L’homme du sud de Jean Renoir (assistant Robert Aldrich) Zachary Scott (Sam Tucker), Betty Field (Nona Tucker). 6/10
:arrow: The descendants d’Alexander Payne avec George Clooney, Shailene Woodley (sa fille), Beau Bridges, Matthew Lillard (Brian Speer). 7.5/10
:arrow: Inside Llewyn Davis des frères Coen (2013) avec Oscar Isaac, Cary Mulligan, John Goodman. 7.5/10
:arrow: Minnie et Moskowitz de John Cassavetes avec Gena Rowlands, Seymour Cassel 8/10
:arrow: Sugarland express (1974) de Stephan Spielberg avec Goldie Hawn, William Atherton. 7/10
:arrow: Les bêtes du sud sauvage de Benh Zeitlin. 1/10
:arrow: Desperate (1947) d’Anthony Mann avec Steve Brody 5Steve Randall), Raymond Burr, Douglas Fowley. 6/10
:arrow: L’enfer d’Henri Georges Clouzot (2009) de Ruxandra Medrea, Serge Bromberg avec Romy Schneider, Serge Reggiani, Bérénice Bejot, Jacques Gamblin. 6,5/10
:arrow: La loi de la prairie de Robert Wise –Tribute to a bad man - (1957) avec James Cagney, Irene Papas, Don Dubbins. 6.5/10
:arrow: Quai d’Orsay de Bertrand Tavernier (2013) avec Thierry Lhermitte, Raphaël Personnaz, Niels Arestrup 6.5/10
:arrow: La venus à la fourrure de Roman Polanski 7.5/10
:arrow: Shampoo d’Hal Ashby 5/10
:arrow: Umberto D de Vittorio de Sica 9/10

Films revus :

:arrow: Un singe en hiver – Henry Verneuil – Jean Gabin, Susanne Flon, Jean Paul Belmondo. 8/10
:arrow: L’équipée sauvage de László Benedek avec Marlon Brando, Mary Murphy, Lee Marvin. (1953) 6/10
:arrow: Remorque de Jean Grémillon avec Jean Gabin, Michèle Morgan, Madeleine Renaud, Fernand Ledoux. 8/10
:arrow: Crésus de Jean Giono (1960) avec Fernandel, Reyllis, Marcelle RANSON-HERVE 6.5/10
:arrow: Tess de Roman Polanski (1979) avec Nastassja Kinski, Peter Firth, Leigh Lawson. 9/10
:arrow: L’assassin habite au 21 de Henry Georges Cluzot avec Pierre Fresnay, Susy Delair, Jean Tissier, Noël Roquevert, Pierre Larquay. 7.5/10
:arrow: Crossing guard de Sean Penn 8/10
:arrow: La banquière de Francis Giroux. 5.5/10
:arrow: Le rouge est mis de Gilles Grangier 7.5/10
:arrow: Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat 10/10
:arrow: Touchez pas au grisbi de Jacques Becker 6.5/10
:arrow: Do the right thing de Spike Lee 7/10
Dernière modification par Frances le 30 nov. 13, 13:29, modifié 4 fois.
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.

Mes films du mois :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Jan 21 : Cousin Jules
Fev 21 : Midnight special
Mar 21 : Nanouk l'esquimau
Avr 21 : Garden of stones
Mai 21 : Fellini Roma
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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Film du mois de NOVEMBRE
The Immigrant,James Gray

Film découverts:
Snowpiercer,Bong Joon Ho(Ciné) 7,5/10
Dune,David Lynch(DVD) 7,5/10
Quai d'Orsay,Bertrand Tavernier(Ciné) 6,5/10
The Mummy,Karl Freund(Blu Ray) 6,5/10
Inside Llewyn Davis, Joel et Ethan Coen(Ciné) 7/10
Cartel,Ridley Scott(Ciné) 7/10
The Immigrant,James Gray(Ciné) 8/10
La Vénus à la fourrure,Roman Polanski(Ciné) 6,5/10
Thor 2,Alan Taylor(Ciné) 3/10

Films revus:
Shadow of a Doubt,Alfred Hitchcock(Blu Ray) 7,5/10
The Elephant Man,David Lynch(Blu Ray) 8,5/10
Les tontons flingueurs,Georges Lautner(TV) 7/10

Séries TV:
Les Sopranos,saison 1 8/10

Documentaires:


Films des mois précédents:
Spoiler (cliquez pour afficher)
Octobre/Bad Timing,Nicolas Roeg/Prix Spécial: Prisoners,Denis Villeneuve
Septembre/Michael Kohlhaas,Arnaud des Pallières/Le président,Henri Verneuil
Aout/Les Salauds,Claire Denis/Prix spécial:Nowhere,Gregg Araki
Juillet/French Connection,William Friedkin/ Prix spécial: Nosferatu,fantôme de la nuit,Werner Herzog
Juin/Boogie Nights,Paul Thomas Anderson
Mai/Le septième continent,Michael Haneke/Prix spécial:Despues de Lucia,Michel Franco
Avril/The Boston Strangler,Richard Fleischer
Mars/Camille Claudel 1915,Bruno Dumont / To the Wonder,Terrence Malick
Fevrier/ At close range,James Foley
Janvier/The Master,Paul Thomas Anderson /Prix Spécial : Zero Dark Thirty,Kathryn Bigelow
Année 2012:
Décembre/Tabou,Miguel Gomes
Novembre/The Killers, Robert Siodmak
Octobre/La toile blanche d'edward hopper, Jean Pierre Devillers
Septembre/Little Odessa, James Gray/ Prix spécial : Obsession,Brian de Palma
Aout/Le cercle rouge, Jean Pierre Melville/Casablanca, Michael Curtiz
Juillet/Faust, Alexandre Sokourov FILM DE L'ANNEE 2012
Juin/De rouille et d'os,Jacques Audiard/ Prix spécial: Paris Céline de Patrick Buisson
Mai/Eternal Sunshine of the spotless mind,Michel Gondry
Avril/Titanic,James Cameron
Mars/Dead Ringers,David Cronenberg-Hunger,Steve McQueen
Fevrier/Rango,Gore verbinski-La Taupe,Thomas Alfredson
Janvier/Millenium,the girl with the dragoon tatoo,David fincher
Année 2011
Décembre/Le cheval de Turin,Bela Tarr FILM DE L'ANNEE 2011
Novembre/Hors Satan,Bruno Dumont
Octobre/Cure,Kiyoshi Kurosawa
Septembre/Hana Bi,Takeshi Kitano/L'Appolonide,souvenirs de maison close,Bertrand Bonnelo
Aout/Melancholia,Lars Von Trier
Juillet/Deep End,Jerzy Skolimowski/The Passenger,Michelangelo Antonioni (Prix spécial:The Texas Chainsaw Massacre,Tobe Hooper)
Juin/Badlands,Terrence Malick
Mai/The Tree of life,Terrence malick
Avril/The lady from Shanghai,Orson Welles/Enquete sur un citoyen au dessus de tout soupcon,Elio Petri
Mars/The duellists,Ridley Scott/To live and die in LA,William Friedklin
Février/Phantom of the Paradise,Brian de Palma
Janvier/Suspiria,Dario Argento/Irreversible,Gaspar Noé
Année 2010
Decembre/Profondo Rosso,Dario Argento
Novembre/Le silence,Ingmar Bergman FILM DE L'ANNEE 2010
Octobre/The Fly,David Cronenberg
Septembre/Des hommes et des dieux,Xavier Beauvois/Oncle Boonmee,Apichatpong Weerasethakul
Aout/Days of Heaven,Terrence Malick
Juillet/Crash,David Cronenberg/A bout de souffle,Jean Luc Godard
Juin/Il Divo,Paolo Sorrentino
Mai/Catch me if you can,Steven Spielberg
Avril/Wall Street,Oliver Stone/Redacted,Brian de Palma
Mars/Blue Velvet,David Lynch
Février/Raging Bull,Martin Scorsese
Janvier/Zodiac,David Fincher/Macbeth,Roman Polanski
Année 2009:
Décembre/Vidéodrome,David Cronenberg
Novembre/Cris et chuchotements,Ingmar Bergman FILM DE L'ANNEE 2009
Octobre/Le ruban blanc,Michael Haneke
Septembre/Un prophète,Jacques Audiard
Aout/There will be blood,Paul Thomas Anderson
Juillet/Manhunter,Michael Mann
Juin/Antichrist,Lars Von Trier
Mai/Le temps de l'innocence,Martin Scorsese
Avril/Last Days,Gus Van Sant
Mars/Blow out,Brian de Palma
Février/Révélations,Michael Mann
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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Hanzo the Razor: Sword of Justice (Kenji Misumi, 1972) 8/10
Hanzo the Razor:The Snare (Yasuzo Masumura, 1973) 8/10
Ebirah, Horror of the Deep (Jun Fukuda, 1966) 6/10
Four Weddings and a Funeral (Mike Newell, 1994) 8.5/10
Hanzo the Razor: Who's Got the Gold? (Yoshio Inoue, 1974) 7.5/10
Mad Detective (Johnnie To & Wai Ka-Fai, 2007) 8.5/10
Tetsuo (Shinya Tsukamoto, 1989) 9/10
Godzilla vs Hedora (Yoshimitsu Banno, 1971) 7.5/10
Tetsuo II: Body Hammer (Shinya Tsukamoto, 1992) 7/10
Matango (Ishiro Honda, 1963) 8/10
The Dead and the Deadly (Wu Ma, 1982) 7.5/10
Peace Hotel (Wai Ka-Fai, 1995) 3/10
Privilege (Peter Watkins, 1967) 8/10
Lonely Boy (Roman Kroitor & Wolf Koenig, 1962) 8/10
Charlie's Angels (McG, 2000) 8/10
Near Dark (Kathryn Bigelow, 1987) 8.5/10
Slightly Scarlet (Allan Dwan, 1956) 6/10
Ther Host (Bong Joon-ho, 2006) 8.5/10
Fail-safe (Sidney Lumet, 1964) 8.5/10
Gates of Heaven (Errol Morris, 1978) 8.5/10
City of gold (Wolf Koenig & Colin Low, 1957) 7/10
The Party (Blake Edwards, 1968) 8.5/10
La Cage aux folles (Édouard Molinaro, 1978) 3/10
Atragon (Ishiro Honda, 1963) 5/10
Frankenstein vs. Baragon (Ishiro Honda, 1965) 7/10
La Guerre des monstres (Ishiro Honda, 1966) 7.5/10
Incident on and off a mountain road (Don Coscarelli, 2005) 7.5/10
Charlie is my darling (Peter Whitehead & Mick Gochanour, 1966/2012) 7.5/10
La Revanche de King Kong (Ishiro Honda, 1967) 7/10
The Mariage Circle (Ernst Lubitsch, 1924) 8/10
The Big Hit (Kirk Wong, 1998) 6.5/10
Shatter (Michael Carreras, 1975) 7/10
The Beast of Hollow Mountain (Edward Nassour & Ismael Rodriguez, 1956) 6/10
Snowpiercer (Bong Joon Ho, 2013) 7.5/10
Electra Glide in Blue (James William Guercio, 1973) 8/10
Le Fils de Godzilla (Jun Fukuda, 1967) 5.5/10
Drug War (Johnnie To, 2012) 8.5/10
La Flute enchantée (Ingmar Bergman, 1975) 7/10
Midnight Mary (William Wellman, 1933) 6/10
Men from the gutter (Nam Nai Choi, 1983) 6/10
The Conversation (Francis Ford Coppola, 1974) 8/10
Hellzapoppin' (H C Potter, 1941) 8/10
Topsy-turvy (Mike Leigh, 1999) 7.5/10
Charlie's Angels: Full Throttle (McG, 2003) 4/10
Flying Dagger (Chu Yin-ping, 1993) 7.5/10
In the line of duty 4 (Yuen Woo-ping, 1989) 8/10
Taking Manhattan (Kirk Wong, 1992) 8.5/10
Police Story 2 (Jackie Chan, 1988) 7.5/10
King Dinosaur (Bert I Gordon, 1955) 6/10
The Ghost of Slumber Mountain (Willis O'Brien, 1918) 5/10
Beyond the forest (King Vidor, 1949) 7/10
Les envahisseurs attaquent (Ishiro Honda, 1968) 6/10
Godzilla's Revenge (Ishiro Honda, 1969) 6/10
The Man with the Iron Fists (RZA, 2012) 2/10
Maximum Risk (Ringo Lam, 1996) 8/10
Flash Gordon conquers the universe (Ford Beebe & Ray Taylor, 1940) 5.5/10
Knock off (Tsui Hark, 1998) 7/10
Latitude Zero (Ishiro Honda, 1969) 6.5/10
Godzilla vs Gigan (Jun Kukuda, 1972) 4/10
SPL (Wilson Yip, 2005) 6.5/10
Capturing Reality: The Art of Documentary (Pepita Ferrari, 2008) 6/10
John Carter (Andrew Stanton, 2012) 7.5/10
Jack the Giant Slayer (Bryan Singer, 2013) 7/10
Police Story 3: Super Cop (Stanley Tong, 1992) 7/10
Loving You (Johnnie To, 1995) 7/10
Zero Charisma (Andrew Matthews & Katie Graham, 2013) 5.5/10
Godzilla vs Megalon (Jun Fukuda, 1973) 4/10
Godzilla contre Mekanic Monster (Jun Fukuda, 1974) 3/10
MechaGodzilla contre-attaque (Ishiro Honda, 1975) 5/10
Dernière modification par vic le 1 déc. 13, 02:57, modifié 19 fois.
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Gounou
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

Message par Gounou »

Novembre 2013

Film du mois

Films découverts
WORKING GIRL (Mike Nichols) 6/10
SHALLOW HAL (Farrelly bros.) 6/10
SNOWPIERCER (Bong Joon Ho) 7,5/10
DOG POUND (Kim Chapiron) 6,5/10
PAULINE À LA PLAGE (Eric Rohmer) 7/10
PRINCE AVALANCHE (David Gordon Green) 7,5/10
INSIDE LLEWYN DAVIS (Coen bros.) 7,5/10
THE OUTSIDERS (Francis F. Coppola) 7,5/10
LA VENUS A LA FOURRURE (Roman Polanski) 6/110
LES NUITS DE LA PLEINE LUNE (Eric Rohmer) 7,5/10
ONE FROM THE HEART (Francis F. Coppola) 7/10
UNE FEMME DOUCE (Robert Bresson) 7/10
MOTORWAY (Soi Cheang) 5,5/10
THE IMMIGRANT (James Gray) 8/10
CAPTAIN PHILLIPS (Paul Greengrass) 7,5/10
LES GARÇONS ET GUILLAUME, A TABLE ! (Guillaume Gallienne) 5/10

Films revus
DIE HARD WITH A VENGEANCE (John Mc Tiernan) 7,5/10
THE HEARTBREAK KID (Farrelly Bros.) 6,5/10
GROUNDHOG DAY (Harold Ramis) 8,5/10
UNITED 93 (Paul Greengrass) 7,5/10
CARLITO'S WAY (Brian De Palma) 8,5/10
SUMMER OF SAM (Spike Lee) 6,5/10
TWO LOVERS (James Gray) 8,5/10
RETURN TO OZ (Walter Murch) 8,5/10
THE CONVERSATION (Francis Coppola) 9/10

Séries

CINEMA - DVD - BLURAY - TELEVISION
Dernière modification par Gounou le 1 déc. 13, 00:24, modifié 22 fois.
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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Novembre 2013

Films découverts
Savages (Oliver Stone) : 4.5/10
Télé Gaucho (Michel Leclerc) : 7/10
Snowpiercer (Bong Joon-ho) : 7.5/10
Blood Ties (Guillaume Canet) : 3/10
Someone to Watch Over Me (Ridley Scott) : 5/10
Prince Avalanche (David Gordon Green) : 8/10
Comme la lune (Joël Seria) : 6/10
Week-end à Zuydcoote (Henri Verneuil) : 7/10
Les Géants (Bouli Lanners) : 6.5/10
Ernest et Célestine (Stéphane Aubier, Vincent Patar et Benjamin Renner) : 7/10
The Narrow Margin (Richard Fleischer) : 7/10
Légitime Violence (Serge Leroy) : 4/10
WarGames (John Badham) : 7/10
Thor : The Dark World (Alan Taylor) : 5/10
Quai d'Orsay (Bertrand Tavernier) : 6/10
Inside Llewyn Davis (Coen Bros) : 8.5/10
Mais qui a re-tué Pamela Rose ? (Kad Merad & Olivier Baroux) : 4/10
Twilight's Last Gleaming (Robert Aldrich) : 6.5/10
Carlos (Olivier Assayas) : 5.5/10
Dans la maison (François Ozon) : 7.5/10
Insensibles (Juan Carlos Medina) : 5/10
La Vénus à la Fourrure (Roman Polanski) : 7.5/10
Le Président (Henri Verneuil) : 6.5/10
The Miracle Worker (Arthur Penn) : 5.5/10
Le jour se lève (Marcel Carné) : 8/10
Voici le temps des assassins (Julien Duvivier) : 7/10
Drôle de drame (Marcel Carné) : 5/10
Hôtel du Nord (Marcel Carné) : 7/10
Les garçons et Guillaume, à table ! (Guillaume Gallienne) : 7.5/10
Les Enfants du Paradis (Marcel Carné) : 5/10
Ordinary People (Robert Redford) : 6.5/10
The Rum Diary (Bruce Robinson) : 4/10
Les héros n'ont pas froid aux oreilles (Charles Nemès) : 6/10
Pinot simple flic (Gérard Jugnot) : 6.5/10
Le journal d'une femme de chambre ( Luis Buñuel) : 7/10
Captain Phillips (Paul Greengrass) : 7.5/10
Executive Action (David Miller) : 7/10
Quoi ? (Roman Polanski) : 4/10
Star Trek : First Contact (Jonathan Frakes) : 6.5/10

Films revus
Dark Shadows (Tim Burton) : 5/10 (-)

Mes films du mois de Janvier 2005 à Octobre 2013
Spoiler (cliquez pour afficher)
Janvier 2005 : Turkish Delights (Paul Verhoeven)
Février 2005 : Bloody Sunday (Paul Greengrass)
Mars 2005 : The Life Aquatic with Steve Zissou (Wes Anderson)
Avril 2005 : Sweet Sixteen (Ken Loach)
Mai 2005 : Sleuth (Joseph L. Mankiewicz)
Juin 2005 : Man in the Moon (Robert Mulligan)
Juillet 2005 : Flesh + Blood (Paul Verhoeven)
Août 2005 : Bottle Rocket (Wes Anderson)
Septembre 2005 : The Getaway (Sam Peckinpah)
Octobre 2005 : Greed (Erich Von Stroheim)
Novembre 2005 : A History of Violence (David Cronenberg)
Décembre 2005 : The Man Who Would Be King (John Huston)
Janvier 2006 : Der Vierde Man (Paul Verhoeven)
Février 2006 : The New World (Terrence Malick)
Mars 2006 : Bring Me the Head of Alfredo Garcia (Sam Peckinpah)
Avril 2006 : Sorcerer (William Friedkin)
Mai 2006 : Testament (Lynn Littman)
Juin 2006 : The Last Boy Scout (Tony Scott)
Juillet 2006 : The Devil's Rejects (Rob Zombie)
Août 2006 : Breezy (Clint Eastwood)
Septembre 2006 : Tarnation (Jonathan Caouette)
Octobre 2006 : Children of Men (Alfonso Cuaron)
Novembre 2006 : Black Book (Paul Verhoeven)
Décembre 2006 : My Darling Clementine (John Ford)
Janvier 2007 : Casablanca (Michael Curtiz)
Février 2007 : Keane (Lodge Kerrigan)
Mars 2007 : Lonely are the Brave (David Miller)
Avril 2007 : The Prisoner of Shark Island (John Ford)
Mai 2007 : Babe : Pig in the City (George Miller)
Juin 2007 : The Brown Bunny (Vincent Gallo)
Juillet 2007 : Two For The Road (Stanley Donen)
Août 2007 : Ratatouille (Brad Bird)
Septembre 2007 : The Bourne Supremacy (Paul Greengrass)
Octobre 2007 : Requiem pour un Massacre (Elem Klimov)
Novembre 2007 : 24 Hour Party People (Michael Winterbottom)
Décembre 2007 : We Own The Night (James Gray)
Janvier 2008 : Sweeney Todd (Tim Burton)
Février 2008 : La Nuit Américaine (François Truffaut)
Mars 2008 : The Man Who Shot Liberty Valance (John Ford)
Avril 2008 : F...comme Fairbanks (Maurice Dugowson)
Mai 2008 : Mr Smith Goes to Washington (Frank Capra)
Juin 2008 : Block Party (Michel Gondry)
Juillet 2008 : Bridge to Terabithia (Gabor Csupo)
Août 2008 : The Pursuit of Happyness (Gabriele Muccino)
Septembre 2008 : The Mist (Frank Darabont)
Octobre 2008 : Entre les murs (Laurent Cantet)
Novembre 2008 : At Close Range (James Foley)
Décembre 2008 : Faits Divers (Raymond Depardon)
Janvier 2009 : Urgences (Raymond Depardon)
Février 2009 : The Wrestler (Darren Aronofsky)
Mars 2009 : You can't take it with you (Frank Capra)
Avril 2009 : Le Trou (Jacques Becker)
Mai 2009 : Family Life (Ken Loach)
Juin 2009 : La Ronde (Max Ophüls)
Juillet 2009 : Bukowski - Born Into This (John Dullaghan)
Août 2009 : Inglourious Basterds (Quentin Tarantino)
Septembre 2009 : District 9 (Neil Blomkamp)
Octobre 2009 : (500) Days of Summer (Marc Webb)
Novembre 2009 : Once (John Carney)
Décembre 2009 : Avatar (James Cameron)
Janvier 2010 : Mr. Nobody (Jaco Van Dormael)
Février 2010 : Valkyrie (Bryan Singer)
Mars 2010 : Boy A (John Crowley)
Avril 2010 : The Red Shoes (Michael Powell & Emeric Pressburger)
Mai 2010 : Grey Gardens (Albert Maysles, David Maysles, Ellen Hovde & Muffie Meyer)
Juin 2010 : Sixteen Candles (John Hughes)
Juillet 2010 : The Fall (Tarsem Singh)
Août 2010 : This Is It (Kenny Ortega)
Septembre 2010 : Des Hommes et des Dieux (Xavier Beauvois)
Octobre 2010 : The Social Network (David Fincher)
Novembre 2010 : The Dead (John Huston)
Décembre 2010 : Death Wish III (Michael Winner)
Janvier 2011 : Miracle Mile (Steve De Jarnatt)
Février 2011 : On Her Majesty's Secret Service (Peter Hunt)
Mars 2011 : Brief Encounter (David Lean)
Avril 2011 : Punishment Park (Peter Watkins)
Mai 2011 : The Tree of Life (Terrence Malick)
Juin 2011 : Running on Empty (Sidney Lumet)
Juillet 2011 : Music Box (Costa-Gavras)
Août 2011 : The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford (Andrew Dominik)
Septembre 2011 : 7th Heaven (Frank Borzage)
Octobre 2011 : The Plague Dogs (Martin Rosen)
Novembre 2011 : Super (James Gunn)
Décembre 2011 : City of Hope (John Sayles)
Janvier 2012 : Take Shelter (Jeff Nichols)
Février 2012 : Incendies (Denis Villeneuve)
Mars 2012 : Modern Times (Charlie Chaplin)
Avril 2012 : A propos d'Elly (Asghar Farhadi)
Mai 2012 : The Conversation (Francis Ford Coppola)
Juin 2012 : The Myth of the American Sleepover (David Robert Mitchell)
Juillet 2012 : L'Assassin habite au 21 (Henri-Georges Clouzot)
Août 2012 : Scaramouche (George Sidney)
Septembre 2012 : The Tall T (Budd Boetticher)
Octobre 2012 : Anatomy of a Murder (Otto Preminger)
Novembre 2012 : Frankenweenie (Tim Burton)
Décembre 2012 : Le Havre (Aki Kaurismäki)
Janvier 2013 : The White Diamond (Werner Herzog)
Février 2013 : Oslo, 31 Août (Joachim Trier)
Mars 2013 : The Swimmer (Frank Perry)
Avril 2013 : Les Naufragés de l'Île de la Tortue (Jacques Rozier)
Mai 2013 : The Thin Blue Line (Errol Morris)
Juin 2013 : Hôtel Terminus (Marcel Ophuls)
Juillet 2013 : Tous les matins du monde (Alain Corneau)
Août 2013 : Gummo (Harmony Korine)
Septembre 2013 : Calmos (Bertrand Blier)
Octobre 2013 : Le Quai des Brumes (Marcel Carné)
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Sybille
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

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FILMS DE NOVEMBRE 2013

FILM DU MOIS

Rain - Lewis Milestone

Image

DECOUVERTES
Gravity (Cuarón - 2013) : 7,5/10
Reckless (Fleming - 1935) : 7/10
Butterfield 8 (Mann - 1960) : 7,5/10
Rain (Milestone - 1932) : 7,5/10

FILMS REVUS
The grass is greener (Donen - 1960) : 7/10
La scandaleuse de Berlin (Wilder - 1948) : 8/10
Un tramway nommé désir (Kazan - 1951) : 8,5/10
The searchers (Ford - 1956) : 8,5/10
Il bidone (Fellini - 1955) : 8,5/10
The Broadway Melody (Beaumont - 1929) : 6,5/10

MOIS PRECEDENTS
Spoiler (cliquez pour afficher)
Octobre 2006 : Les contrebandiers de Moonfleet / Fritz Lang (1955)
Novembre 2006 : Heaven knows Mr Allison / John Huston (1957)
Décembre 2006 : La fille de Ryan / David Lean (1970)

Janvier 2007 : Le narcisse noir / Powell & Pressburger (1947)
Février 2007 : Le convoi des braves / John Ford (1950)
Mars 2007 : Cluny Brown / Ernst Lubitsch (1948)
Avril 2007 : Les fraises sauvages / Ingmar Bergman (1957)
Mai 2007 : La comtesse aux pieds nus / Joseph Mankiewicz (1954)
Juin 2007 : Umberto D / Vittorio de Sica (1951)
Juillet 2007 : Le tour du monde en 80 jours / Michael Anderson (1956)
Août 2007 : Night and the city / Jules Dassin (1950)
Septembre 2007 : Le jardin du diable / Henry Hathaway (1954)
Octobre 2007 : Miller's crossing / Joel & Ethan Coen (1990)
Novembre 2007 : The wind / Victor Sjöström (1928)
Décembre 2007 : Amarcord / Federico Fellini (1973)

Janvier 2008 : L'homme qui tua Liberty Valance / John Ford (1962)
Février 2008 : The lady Eve / Preston Sturges (1941)
Mars 2008 : Apocalypse now / Francis Ford Coppola (1979)
Avril 2008 : Manhattan / Woody Allen (1979)
Mai 2008 : La route des Indes / David Lean (1984)
Juin 2008 : Avanti ! / Billy Wilder (1972)
Juillet 2008 : The man from Laramie / Anthony Mann (1955)
Août 2008 : The clock / Vincente Minnelli (1945)
Septembre 2008 : A letter to three wives / Joseph Mankiewicz (1949)
Octobre 2008 : Ordet / Carl Theodor Dreyer (1954)
Novembre 2008 : Une partie de campagne / Jean Renoir (1936)
Décembre 2008 : Oliver ! / Carol Reed (1968)

Janvier 2009 : Le deuxième souffle / Jean-Pierre Melville (1966)
Février 2009 : Miss Pettigrew / Bharat Nalluri (2009)
Mars 2009 : Le fleuve sauvage / Elia Kazan (1960)
Avril 2009 : The servant / Joseph Losey (1964)
Mai 2009 : Un tramway nommé désir / Elia Kazan (1951)
Juin 2009 : Sur les quais / Elia Kazan (1954)
Juillet 2009 : Whatever works / Woody Allen (2009)
Août 2009 : White heat / Raoul Walsh (1949)
Septembre 2009 : Neverland / Marc Forster (2005)
Octobre 2009 : Under Capricorn / Alfred Hitchcock (1949)
Novembre 2009 : Westward the women / William Wellman (1951)
Décembre 2009 : Je suis un évadé / Mervyn LeRoy (1932)

Janvier 2010 : Bright Star /Jane Campion (2010)
Février 2010 : Sherlock Holmes / Guy Ritchie (2010)
Mars 2010 : L'Atalante / Jean Vigo (1934)
Avril 2010 : They drive by night / Raoul Walsh (1940)
Mai 2010 : Slightly Scarlet / Allan Dwan (1956)
Juin 2010 : Permission jusqu'à l'aube / John Ford & Mervyn LeRoy (1955)
Juillet 2010 : Monika / Ingmar Bergman (1953)
Août 2010 : Maris et femmes / Woody Allen (1992)
Septembre 2010 : 3.10 pour Yuma / Delmer Daves (1956)
Octobre 2010 : L'homme à la caméra / Dziga Vertov (1929)
Novembre 2010 : La règle du jeu / Jean Renoir (1939)
Décembre 2010 : L'ange de la rue / Frank Borzage (1928)

Janvier 2011 : Opening night / John Cassavetes (1977)
Février 2011 : Darling / John Schlesinger (1965)
Mars 2011 : The young Victoria / Jean-Marc Vallée (2009)
Avril 2011 : A matter of life and death / Michael Powell & Emeric Pressburger (1946)
Mai 2011 : Objective, Burma ! / Raoul Walsh (1945)
Juin 2011 : L'armée des ombres / Jean-Pierre Melville (1969)
Juillet 2011 : L'idiot / Akira Kurosawa (1951)
Août 2011 : Melancholia / Lars von Trier (2011)
Septembre 2011 : The tarnished angels / Douglas Sirk (1958)
Octobre 2011 : Scarface / Howard Hawks (1932)
Novembre 2011 : Bungalow pour femmes / Raoul Walsh (1956)
Décembre 2011 : Madame Bovary / Vincente Minnelli (1949)

Janvier 2012 : Sadie McKee / Clarence Brown (1934)
Février 2012 : La rue de la honte / Kenji Mizoguchi (1956)
Mars 2012 : La forteresse cachée / Akira Kurosawa (1958)
Avril 2012 : Bunny Lake is missing / Otto Preminger (1965)
Mai 2012 : Le visage / Ingmar Bergman (1958)
Juin 2012 : Le quai des brumes / Marcel Carné (1938)
Juillet 2012 : Charles mort ou vif / Alain Tanner (1969)
Août 2012 : Lettre d'une inconnue / Max Ophuls (1948)
Septembre 2012 : The world ten times over / Wolf Rilla (1963)
Octobre 2012 : Le juge et l'assassin / Bertrand Tavernier (1976)
Novembre 2012 : La flèche brisée / Delmer Daves (1950)
Décembre 2012 : All this and heaven too / Anatole Litvak (1940)

Janvier 2013 : The loneliness of the long distance runner / Tony Richardson (1962)
Février 2013 : Citizen Kane / Orson Welles (1941)
Mars 2013 : The innocents / Jack Clayton (1961)
Avril 2013 : Nuages flottants / Mikio Naruse (1955)
Mai 2013 : Day of the outlaw / André De Toth (1959)
Juin 2013 : City for conquest / Anatole Litvak (1940)
Juillet 2013 : Thé et sympathie / Vincente Minnelli (1956)
Août 2013 : Underworld U.S.A. / Samuel Fuller (1960)
Septembre 2013 : The man I love / Raoul Walsh (1947)
Octobre 2013 : The temptress / Fred Niblo (1926)
Novembre 2013 : Rain / Lewis Milestone (1932)
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Thaddeus
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

Message par Thaddeus »

L’amour fou (Jacques Rivette, 1968)
Quatre heures. C’est le temps que s’octroie Rivette pour tenter de capter, en une sorte de cinéma-vérité-reportage à la construction libre, la réalité intime d’un couple en désunion. Il pousse à l’extrême ses recherches sur l’expression et l’enregistrement du réel, l’entremêlement du document brut et de la fiction, en faisant durer jusqu’à l’épuisement les séquences d’improvisation, de répétition, de jeu. Le rapport de la vie au théâtre, le dialogue complexe entre création scénique et crise amoureuse, la recherche de l’écoulement du temps et de l’intensité des passions valent autant de tunnels d’ennui que de moments de grâce, autant de dialogues plombants que de fulgurances magiques. L’expérience est assez abrupte mais illuminée par la présence de Bulle Ogier en petite chose lunaire, fragile et dépressive. 4/6

Inside Llewyn Davis (Joel & Ethan Coen, 2013)
Pour ceux qui en doutaient, cette superbe tragi-comédie musicale vient rappeler que les Coen sont imperméables au mépris, au cynisme et la misanthropie. Jamais sans doute ils ne s’étaient ouverts à une telle douceur et à une telle mansuétude dans l’évocation des infortunes, dans la peinture mélancolique de l’hostilité du monde, dans les manifestations obstinées d’une malchance dessinant comme un résumé désabusé de nos existences. Étrange parcours immobile que celui de Llewyn Davis, ce looser magnifique qui ne pose jamais ses valises, et dont les tribulations kafkaïennes rejoignent celles d’un alter ego à poil roux, témoin muet de ses blessures. Son errance gelée se nourrit aux images pathétiques d’une splendide photo hivernale, et son refus du compromis offre à sa défaite la dignité d’une irréductible grandeur. 5/6

Bob le flambeur (Jean-Pierre Melville, 1956)
Le premier polar de Melville s’inscrit dans la tradition du film noir à la française mais s’en démarque par une fascination du décor et de la mythologie américaines en même temps qu’un regard presque ethnologique sur le milieu. On y perçoit d’emblée une ligne personnelle, une forme de moralisme désenchanté exaltant une image qui serait désuète si elle ne composait une poétique de la virilité et des sociétés d’hommes. Captivant mais d’une sécheresse peu amène, un tantinet raidi par ses composantes théoriques (la voix off commentant avec neutralité le déroulement de l’action), le film secrète l’ironie tragique d’un parcours condamné d’avance. 4/6

Les désemparés (Max Ophüls, 1949)
La petite surprise de voir Ophüls s’emparer d’une intrigue de film noir ne dure qu’un temps : l’intérêt du cinéaste pour le mélodrame reprend le dessus et recouvre vite les enjeux du suspense criminel. C’est dans la description précise d’une petite ville de province américaine et la portrait nuancé d’une femme en détresse, écartelée entre plusieurs influences, que le cinéaste, à la manière d’un Douglas Sirk, fait tomber les masques et cherche à capter la vérité intérieure d’êtres pris dans les rets de la fatalité. La mise en scène, d’une virtuosité invisible, et les prestations très justes de Joan Bennett et James Mason offrent un surcroît d’intensité et d’élégance à ce beau film sur le sacrifice. 4/6

Je sais où je vais (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1945)
Powell et Pressburger poursuivent leur exaltation sereine des trésors de la province avec cette romantique comédie de mœurs battue par les vents de la lande écossaise, sur laquelle rôdent des légendes millénaires et veillent de pittoresques et sympathiques figures. Une fois de plus, leur art mêle évidence et raffinement et consiste à faire évoluer les certitudes d’un personnage en le confrontant à une réalité ignorée – ce secret résidant autant dans son cœur que dans les manifestations envoûtantes des merveilles du monde. C’est tout le périple intérieur effectué par l’héroïne, qui pensait que la clé du bonheur se trouvait dans un bon mariage et la découvre finalement dans l’altruisme généreux et le bonheur simple des petites choses. 4/6

Un nommé Cable Hogue (Sam Peckinpah, 1970)
Rarement Peckinpah aura porté une telle tendresse à ses personnages. Ce film injustement méconnu se lit comme le contre-pied salutaire à la fureur nihiliste et désespérée de son inspiration habituelle. Brave et sympathique prospecteur ayant trouvé tardivement sa fortune, Cable Hogue sirote son bonheur au milieu du désert, recevant les visites de la ville comme autant de spectres du passé, partageant l’amour d’une jolie prostituée, se liant avec un prêtre porté sur la jeune chair mais pas mauvais bougre, fraternisant enfin avec un ennemi en qui il se reconnaît. Le western naturaliste, gorgé de truculence et d’ironie, revêt ainsi les couleurs d’un lamento d’opéra humoristique dont la grandeur se nourrit d’humilité et de sensibilité. 5/6

Nos plus belles années (Sydney Pollack, 1973)
Il est mince, il est beau, il sent bon le sable chaud : Robert Redford, alter ego privilégié du cinéaste, est ici l’un de ces déserteurs de l’Histoire sommés de prendre position et apprenant sur le tard qu’on ne fuit pas impunément la réalité de son temps. Face à lui, Barbra Streisand bâtit un personnage complexe et chaleureux, volontariste mais vulnérable affectivement, dont elle rend avec un naturel pathétique les contradictions et les hésitations. Ces deux acteurs formidables éclairent une belle chronique romanesque à la Fitzgerald, qui dissout l’illusion lyrique à la faveur d’une analyse précise des ambigüités de l’Amérique, et recouvre d’une sourde mélancolie la relation intense mais manquée entre deux êtres profondément différents. 4/6

Femmes entre elles (Michelangelo Antonioni, 1955)
Héritière pour une part du néoréalisme dans ses constats d’échecs sociaux et de l’interrogation intime sur la solitude et la difficulté à nouer des liens affectifs stables, cette subtile étude psychologique témoigne très tôt de l’intérêt d’Antonioni pour le portrait féminin. Les amies du titre original sont des femmes modernes et énergiques, moins indolentes et irresponsables que les hommes, dont le cinéaste analyse la camaraderie comme un tissu complexe de rivalités, de jalousies, de médisances, terreau de moult inquiétudes et turbulences. D’une belle fluidité chorale, la mise en scène les observe vivre, aimer, se chercher, en privilégiant un sens de la litote qui invite le spectateur à remplir les vides avec ses propres conjectures. 4/6

L’homme qui venait d’ailleurs (Nicolas Roeg, 1973)
Lorsque Nicolas Roeg investit le champ de la SF allégorique, celle du Jour où la Terre s’arrêta, il en offre une désinence singulière. Extraterrestre à la silhouette étique et à la chevelure de feu, David Bowie s’efforce de s’adapter à la vie terrestre mais se heurte à l’incompréhension d’une société de consommation hostile aux marginaux. Influencé par le psychédélisme et la libération sexuelle de son époque, toujours prompt à fuir les conventions pour privilégier les climats étranges, composer des images équivoque et mystérieuses, bousculer la logique traditionnelle du récit, le cinéaste trouve une tonalité bien particulière, conforme à la personnalité déphasée de son héros peu à peu réduit à l’impuissance et à l’anonymat. Mais son film intrigue bien plus qu’il ne touche. 4/6

Inferno (Dario Argento, 1980)
On peut considérer ce nouvel avatar de l’orrore all’italiana comme un remake de Suspiria précédent tant Argento y redécline ses marottes et ses recherches sur l’image en n’essayant même plus de cacher les faiblesses d’une intrigue inexistante. Résultat : une succession répétitive de variations sur la couleur, l’éclairage et le décor (oh le beau violet, ah le joli vert), qui pousse à fond les curseurs du grand-guignol barbouillé et du kitsch impavide. Morts sanguinolentes à gogo (il ne fait pas bon être une fille chez Argento), festival d’effets grandiloquents à la lisière du ridicule et chœurs électro-rock bien ringards produisent un cocktail dont l’incontestable originalité flirte constamment avec le nanar. 3/6

Dracula (Todd Browning, 1931)
Si la redoutable épreuve du temps qui passe lui a infligé quelques dommages (les chauves-souris en carton animées par des fils, ça le fait plus trop aujourd’hui), le maître-étalon du film de vampires à l’américaine est loin d’avoir perdu toutes ses couleurs (métaphoriquement parlant). Car Browning possède un sens impeccable de la rétention, voire de l’épure, et qu’il sait raconter en images sobres mais expressives la célébrissime histoire du compte transylvanien. Sans jamais verser dans le guignol, en misant davantage sur l’immobilité et la suspension que sur l’action, il invente un climat de fantastique et d’angoisse qui, sans égaler le Nosferatu de Murnau, captive d’un bout à l’autre. 4/6

Printemps précoce (Yasujirō Ozu, 1956)
Chez Ozu, depuis toujours, le milieu du travail est le bureau, situé au cœur du complexe urbain, et le travailleur un employé soumis à un rythme, des codes, des impératifs qui régulent sa vie familiale. Cette condition offre le sujet central d’une étude de mœurs qui fouille les interférences de la vie professionnelle et de la vie affective, les petits mensonges et les menus compromis que s’autorisent des personnages sans héroïsme mais sans médiocrité, dont le caractère ordinaire se révèle par un gommage de toute dramatisation. L’aventure adultérine, le remords et la déception, la réconciliation conjugale forment les étapes banales d’un segment d’existence vide d’accomplissement, et dont le pathos nous est rendu sans analyse psychologique. 4/6

Evil dead 2 (Sam Raimi, 1987)
Au bout de cinq minutes, la copine du héros est déjà passée par les cases possession, lévitation, démembrement et confiture. Le pauvre Ash commence tout juste à dérouiller et encaissera jusqu’à la fin plus de turpitudes physiques que John McClane n'en a jamais enduré pendant toute sa carrière. La fureur formelle de Sam Raimi est à la hauteur, faisant de son gourbi macabre un oasis grouillant de maléfices, de visions horrifiques, de créatures pustuleuses et de gags sanguinolents, affirmant une créativité dans l’escalade du chaos qui force le respect. La peur y est toujours stimulée avec l’humour et la malice, le déferlement des images tient autant du burlesque que de la poésie plastique, et l’on sort de cette foire baroque aussi repu que ravi. 5/6

La vénus à la fourrure (Roman Polanski, 2013)
Polanski et le huis-clos c’est une grande histoire d’amour, et c’est une fois de plus en s’en remettant à sa gestion impeccable du champ et à son sens consommé du tempo qu’il évite de s’enliser dans la raideur du théâtre filmé. Un homme, une femme, un rapport d’interdépendance biaisé dès le départ et tout le corpus thématique de l’auteur qui, autour du travestissement, de l’ambiguïté du rapport de domination et du vacillement des apparences, converge en une forme de substrat polanskien élémentaire. Mais à 80 ans le cinéaste est plus enclin à s’amuser qu’à disserter, et c’est sur le ton de la farce narquoise, dans un grand bouillon de pulsions, qu’il égratigne certains codes et comportements régis par la misogynie et l’hypocrisie. 4/6

Quai d’Orsay (Bertrand Tavernier, 2013)
Pas né de la dernière pluie, Tavernier a su éviter les pièges les plus dangereux de la satire en ne versant ni dans le cynisme de mauvais aloi, ni dans la caricature au pilon. L’énergie qu’il injecte à sa plongée grinçante au milieu du bocal ministériel se nourrit à la vitalité d’un milieu explosif où s’agitent une flopée de cols blanc tous plus ou moins proches de l’incident de surchauffe. La nervosité bouillonnante du récit s’accorde à la vigueur de l’interprétation (grand numéro de Nils Arestrup), et l’on sait gré au cinéaste de rendre, au-delà d’un vaudeville frisant parfois le burlesque, un hommage railleur mais sincère à l’action politique et à la volonté qu’il faut affirmer pour faire passer ses idées et tenter de rendre le monde meilleur. 4/6

Guerre et paix (King Vidor, 1956)
Personne ne pouvait mieux que King Vidor porter à l’écran le monument littéraire de Tolstoï. Surprise et déception : son goût de la démesure se voit ici curieusement domestiqué, aplani, appauvri, peut-être incompatible avec les impératifs de la superproduction. L’adaptation porte la marque d’un travail bien fait mais sans véritable souffle épique ni envergure idéologique, assez platement illustratif dans son intrigue et ses enjeux relationnels. Les trois heures et demie passent telles un fastueux livre d’images, et si le statisme de la mise en scène se voit parfois contredit par quelques séquences fougueuses et très inspirées, il vaut mieux ne pas comparer ce film avec la version grandiose et très audacieuse qu’en livrera Sergueï Bondartchouk dix ans plus tard. 3/6

Elle et lui (Leo McCarey, 1957)
Ce film se découvre comme un sanctuaire fondateur canonisé par les hommages et adulé par ses héritiers. Il marque à la fois l’année zéro et l’apogée du drame romantique, qu’il magnifie avec une forme de qualité provocatrice, réaffirmant à contre-courant des modes et des idées reçues la beauté anachronique d’un cinéma tour à tour tendre, grave et comique. Inutile de résister devant tant de pudeur et de justesse, on se fait avoir sur toute la ligne : en souriant à l’apprivoisement mutuel de Cary Grant et Deborah Kerr (couple de légende), en respirant le doux parfum du temps qui s’en va lors d’une escale édenique dans la baie de Villefranche, en goûtant à la noblesse de ces personnages, à leur amour fauché par le destin, à leurs élans utopiques dont la pureté harmonieuse tient autant de l’épiphanie que de l’assomption. 5/6

Capitaine Phillips (Paul Greengrass, 2013)
La prise d’otage que Greengrass reconstitue ici aurait pu fournir l’argument d’une interrogation sur la mauvaise conscience occidentale et les ravages du capitalisme mondialisé. Hélas, l’excès de confiance et la vue un peu courte du réalisateur la réduisent à une simple démonstration de savoir-faire. Plus problématique, ce qui affleure derrière ce thriller maritime et stratégique, au-delà de la tension entretenue par une incurable shaky cam, c’est le reflux des automatismes hollywoodiens : pirates somaliens réduits à une typologie simpliste, star héroïsée dans sa faillible humanité, efficacité logistique d’une Marine américaine invincible, exposée avec une complice fascination. 3/6

Hôtel du nord (Marcel Carné, 1938)
Œuvre jumelle de Quai des brumes, dont elle exporte le réel reconstitué aux quais populaires de Paris. L’univers de Carné se déploie à la faveur de deux artifices caractéristiques : celui expressionniste de la mise en scène, celui poétique du scénario. Mais cette fois tous les horizons ne sont pas barrés, trouvant une lumière pâle à laquelle se nourrir, quand bien même les illusions des prolétaires et des déclassés se noieront dans la joie amère d’un bal du 14 juillet. Le meilleur de ce cinéma pittoresque mais dépassé est évidemment à trouver dans ses personnages-emblèmes, bons ou mauvais diables, meurtris par l’amour : plus que la pourtant centrale Annabella, on retient le cynisme désabusé de Jouvet et l’atmosphérique Arletty en tapineuse à grande gueule. 4/6

Shanghai express (Josef von Sternberg, 1932)
Direction la Chine révolutionnaire et un train roulant vers Pékin au travers du chaos : l’inspiration de Sternberg se déploie à nouveau à la faveur d’un cadre radicalement étranger dont l’altérité et la plénitude sont les gages de l’authenticité artistique. C’est un espace de rêve et de convention qui favorise l’évolution de plus en plus fétichiste de ses motifs et de sa thématique : ici, chacun joue un double rôle et cherche à cacher la nature de ses motivations et de ses sentiments. Jeu dangereux où la séduction et la trahison entament un peu de deux avec la mort, où la sincérité se drape dans des voiles de venin, et dont l’irréalité est magnifiée par la maîtrise impériale de la lumière : ici deux mains jointes au milieu de l’obscurité, là le visage tremblant de l’héroïne, incliné vers le haut, dans un îlot de blancheur. 4/6

Trois camarades (Frank Borzage, 1938)
F. Scott Fitzgerald et Joseph L. Mankiewicz ont conflictuellement collaboré à cette œuvre pleinement borzagienne, portée par une très sensible interprétation, où la mort et son idéalisation fournissent l’échappatoire à d’insolubles problèmes sociaux. Car s’il est un document sur la République de Weimar et sa génération perdue, en proie au chômage et la montée du fascisme, le film célèbre surtout la force d’un amour couvé par une amitié inébranlable, dont l’image finale des héros flottants entre le ciel et la terre, le présent et l’éternité, synthétise toute la poésie. L’adieu de Margaret Sullavan sur le balcon neigeux du sanatorium, la chaleur folkloriste de la brasserie, le mariage improvisé participent d’une même flamme poignante et rêveuse, d’un même prosaïsme quotidien habillé d’accents célestes. 5/6

L’intrus (Claire Denis, 2004)
Comme toujours Claire Denis opère par sensation tactile et imagerie instinctive. Plus qu’aucun autre de ses films, cette fugue au cœur d’une nature qui frémit, vibre, se glace ou s’échauffe porte le credo d’un art délesté des contingences dramatiques. Tout ici est indéfinissable, incertain, amovible, tout oscille de la chair à la psyché, du temps présent au ravivement de la mémoire, dans une logique d’éparpillement spatial et temporel qui irrite constamment la compréhension rationnelle. Des montages du Jura au soleil de Pusan, de la ville-banque genevoise au charme mortifère de Tahiti, on suit un voyage intérieur marqué par la quête de rachat et de la transmission, mais dont l’obscurité me laisse perplexe et très peu concerné. 3/6

Un thé au Sahara (Bernardo Bertolucci, 1990)
Peu de lieux sont aussi photogéniques que le désert, ses dunes lisses et blondes ou sa nuit étoilée. Bertolucci n’élude pas le chromo mais l’exagère pour mieux s’en dépoisser. Il raconte l’histoire d’un couple à la dérive qui cherche à se retrouver entre les escales et les chambres de torchis : pour cela, chacun devra aller jusqu’au bout de lui-même, se noyer puis finalement peut-être se trouver dans le sable, la chaleur, le froid, la poussière, l’architecture barbare d’Agadès ou les bas-fonds de Tanger. L’amour est un mirage, l’homme et sa mort un grain de sable dans le néant, mais le film distille, à travers sa dimension initiatique et le mystère cruel de ses images, une philosophie amère que la toujours émouvante Debra Winger parvient joliment à incarner. 4/6

The immigrant (James Gray, 2013)
Ne pas se fier à sa facture mate, étouffée, presque déceptive : le premier film d’époque de James Gray est un nouveau joyau noir qui s’applique à plonger son héroïne dans la déréliction pour mieux la grandir moralement et spirituellement. Constamment bordé par un espoir et une lumière gardant tout misérabilisme à distance, son chemin de croix se vit comme un cauchemar alangui dont l’expressivité archaïque puise aux sources vives du cinéma muet. C’est toute la puissance sourde et enténébrée d’un mélodrame qui conjugue les désillusions du rêve américain à la circulation complexe des rapports de pouvoir et de dépendance, des tourments de l’amour et du sacrifice, vécus comme autant d’enjeux mouvants, troubles et réversibles. 5/6

Des gens comme les autres (Robert Redford, 1980)
Le premier essai de Redford réalisateur a-t-il volé ses Oscars ? Certainement au regard de ses immenses concurrents ; nullement si l’on juge de la maturité et de l’acuité psychologique avec laquelle il explore les blessures secrètes d’une famille apparemment sans histoire. Par petites touches, il dresse le portrait subtil de cette bourgeoisie WASP qui n’a jamais cessé d’empreindre le système de valeurs américain : être performant, rester maître de soi, parvenir à sauver les apparences lorsque tout s’effrite derrière les façades aseptisées. Miné par la culpabilité et l'engourdissement affectif, l'adolescent trouvera dans la bienveillance du psy et l’amour désemparé du père le moyen de vaincre son mal de vivre, qu’entretiennent la distance glaciale et le ressentiment inconscient de sa mère. Un très beau film. 5/6

Boudu sauvé des eaux (Jean Renoir, 1932)
L’altruisme libéraliste peut vite révéler ses limites. Il suffit de le confronter à l’anarchisme de Boudu le clochard, pique-assiette sans gêne, invité ingrat, fornicateur invétéré qui roule sur les tables, met la maison sens dessus dessous, lutine la bonne et couche avec la bourgeoise. Si la subversion et la cocasserie bouffonne de la comédie demeurent truculentes, c’est par son discours en creux : le libraire reconnaît chez le vagabond son double désinhibé, le satyre de ses propres fantasmes de liberté. Renoir ne cache pas sa sympathie pour le bon sauvage, cet électron libre qui scandalise ou décoince les gens respectables, ce goujat malicieux et insouciant qui préfèrera bien sûr, au terme d’un faux mariage en guinguette, se laisser porter par les eaux. 4/6


Et aussi :

Loulou (Georg Wilhelm Pabst, 1929) - 4/6
La couleur de la grenade (Sergueï Paradjanov, 1969) - 2/6
Prince of Texas (David Gordon Green, 2013) - 3/6
The swimmer (Frank Perry, 1968) - 5/6
Guillaume et les garçons, à table ! (Guillaume Gallienne, 2013) - 3/6
Dernière modification par Thaddeus le 1 déc. 13, 02:20, modifié 9 fois.
joe-ernst
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

Message par joe-ernst »

NOVEMBRE 2013


Film du mois :

AUCUN


Films découverts :


Les garçons et Guillaume, à table !, de Guillaume Gallienne : 7/10
Le monte-charge, de Marcel Bluwal : 6,5/10
Quand tu liras cette lettre, de Jean-Pierre Melville : 7/10
Quai d'Orsay, de Bertrand Tavernier : 6/10
Shirley Valentine, de Lewis Gilbert : 6,5/10
Un château en Italie, de Valeria Bruni Tedeschi : 3/10
Violette, de Martin Provost : 6,5/10
Zorba le Grec, de Michael Cacoyannis : 7/10



Films revus ou redécouverts :





Film du mois, le récapitulatif :
Spoiler (cliquez pour afficher)
West Side Story, de Robert Wise et Jerome Robbins (janvier 2008)
La harpe de Birmanie, de Kon Ichikawa (février 2008)
Iphigénie, de Michael Cacoyannis (mars 2008)
Douce, de Claude Autant-Lara (avril 2008)
Rocco et ses frères, de Luchino Visconti (mai 2008)
La fille de l'amiral, de Roy Rowland (juin 2008)
Bellissima, de Luchino Visconti (juillet 2008)
Sciuscià, de Vittorio De Sica (août 2008)
Scarface, de Howard Hawks (septembre 2008)
La fureur de vivre, de Nicholas Ray (octobre 2008)
Un goût de miel, de Tony Richardson et Le narcisse noir, de Michael Powell et Emeric Pressburger (novembre 2008, ex-aequo)
Lettre d'une inconnue, de Max Ophuls (décembre 2008)
Colonel Blimp, de Michael Powell et Emeric Pressburger (janvier 2009)
Milk, de Gus Van Sant et Séraphine, de Martin Provost (février 2009, ex-aequo)
L'homme des vallées perdues, de George Stevens (mars 2009)
Justice est faite, d'André Cayatte (avril 2009)
Pour toi j'ai tué, de Robert Siodmak (mai 2009)
Les contes de la lune vague après la pluie, de Kenji Mizoguchi (juin 2009)
L'aurore, de Friedrich Wilhelm Murnau (juillet 2009)
Winchester 73, d'Anthony Mann (août 2009)
Le plus sauvage d'entre tous, de Martin Ritt (septembre 2009)
Le ruban blanc, de Michael Haneke (octobre 2009)
La captive aux yeux clairs, de Howard Hawks (novembre 2009)
Peau d'âne, de Jacques Demy (décembre 2009)
Pépé le Moko, de Julien Duvivier (janvier 2010)
Miss Oyu, de Kenji Mizoguchi (février 2010)
Nos meilleures années, de Marco Tullio Giordana (mars 2010)
Ces messieurs dames, de Pietro Germi (avril 2010)
Sueurs froides, d'Alfred Hitchcock (mai 2010)
AUCUN (juin 2010)
Chevaux de bois, de Rupert Julian et Erich von Stroheim (juillet 2010)
Le diable boiteux, de Sacha Guitry (août 2010)
AUCUN (septembre 2010)
Love, de Ken Russell (octobre 2010)
Topsy-Turvy, de Mike Leigh (novembre 2010)
Le marquis de Saint-Evremond, de Jack Conway (décembre 2010)
Incendies, de Denis Villeneuve (janvier 2011)
Une étoile est née, de George Cukor (février 2011)
Une si jolie petite plage, d'Yves Allégret (mars 2011)
Rabbit Hole, de John Cameron Mitchell (avril 2011)
Shakespeare Wallah, de James Ivory (mai 2011)
Le guépard, de Luchino Visconti (juin 2011)
The Beloved Rogue, d'Alan Crosland (juillet 2011)
America, America, d'Elia Kazan (août 2011)
Et maintenant, on va où ?, de Nadine Labaki (septembre 2011)
AUCUN (octobre 2011)
AUCUN (novembre 2011)
Le goût du saké, de Yasujirô Ozu (décembre 2011)
Le mécano de la General, de Buster Keaton (janvier 2012)
AUCUN (février 2012)
AUCUN (mars 2012)
AUCUN (avril 2012)
AUCUN (mai 2012)
Her Night of Romance, de Sidney Franklin (juin 2012)
AUCUN (juillet 2012)
AUCUN (août 2012)
Nouveau souffle, de Karl Markovics (septembre 2012)
Un singe en hiver, d'Henri Verneuil (octobre 2012)
Week-end, d'Andrew Haigh (novembre 2012)
Brighton Rock, de John Boulting (décembre 2012)
Yossi, d'Eytan Fox (janvier 2013)
Blancanieves, de Pablo Berger (février 2013)
AUCUN (mars 2013)
AUCUN (avril 2013)
Mulholland Drive, de David Lynch (mai 2013)
La grande bellezza, de Paolo Sorrentino (juin 2013)
L'inconnu du lac, d'Alain Guiraudie (juillet 2013)
AUCUN (août 2013)
AUCUN (septembre 2013)
La solitude du coureur de fond, de Tony Richardson (octobre 2013)
Dernière modification par joe-ernst le 1 déc. 13, 14:33, modifié 6 fois.
L'hyperréalisme à la Kechiche, ce n'est pas du tout mon truc. Alain Guiraudie
Joe Wilson
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013.

Message par Joe Wilson »

Film du mois

The Immigrant, de James Gray


Films découverts

The Immigrant, de James Gray 8/10

Inside Llewyn Davis, de Joel & Ethan Coen 7/10

Snowpiercer, de Bong Joon-Ho 6,5/10
The East, de Zal Batmanglij 6,5/10

Before Midnight, de Richard Linklater 6/10
Un château en Italie, de Valeria Bruni Tedeschi 6/10
Les garçons et Guillaume, à table !, de Guillaume Gallienne 6/10

Cartel, de Ridley Scott 5/10

Quai d'Orsay, de Bertrand Tavernier 4,5/10







Films revus





Films des mois précédents

Spoiler (cliquez pour afficher)
Novembre 2005 : La flibustière des Antilles (Jacques Tourneur)
Décembre 2005 : Le port de la drogue (Samuel Fuller)

Janvier 2006 : Le narcisse noir (Michael Powell/Emeric Pressburger)
Février 2006 : Le nouveau monde (Terrence Malick)
Mars 2006 : Le fleuve (Jean Renoir)
Avril 2006 : Colonel Blimp (Michael Powell/Emeric Pressburger)
Mai 2006 : De beaux lendemains (Atom Egoyan)
Juin 2006 : Ordet (Carl Theodor Dreyer)
Juillet 2006 : La prisonnière du désert (John Ford)
Août 2006 : Trois camarades (Frank Borzage)
Septembre 2006 : L'idiot (Akira Kurosawa)
Octobre 2006 : Raging bull (Martin Scorsese)
Novembre 2006 : Raining in the mountain (King Hu)
Décembre 2006 : La condition de l'homme (Masaki Kobayashi)

Janvier 2007 : Au service secret de sa Majesté (Peter Hunt)
Février 2007 : Lettres d'Iwo Jima (Clint Eastwood)
Mars 2007 : Les 13 tueurs (Eiichi Kudo)
Avril 2007 : Les tueurs (Robert Siodmak)
Mai 2007 : Il était une fois en Amérique (Sergio Leone)
Juin 2007 : L'impasse (Brian De Palma)
Juillet 2007 : Le jardin des Finzi Contini (Vittorio De Sica)
Août 2007 : Goyokin (Hideo Gosha)
Septembre 2007 : La dernière séance (Peter Bogdanovich)
Octobre 2007 : Requiem pour un massacre (Elem Klimov)
Novembre 2007 : Faux semblants (David Cronenberg)
Décembre 2007 : Mirage de la vie (Douglas Sirk)

Janvier 2008 : Le temps de l'innocence (Martin Scorsese)
Février 2008 : Assurance sur la mort (Billy Wilder)
Mars 2008 : Comme un torrent (Vicente Minnelli)
Avril 2008 : Stalker (Andrei Tarkovski)
Mai 2008 : Husbands (John Cassavetes)
Juin 2008 : La fille du désert (Raoul Walsh)
Juillet 2008 : La harpe de Birmanie (Kon Ichikawa)
Août 2008 : Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks)
Septembre 2008 : Entre le ciel et l'enfer (Akira Kurosawa)
Octobre 2008 : The Swimmer (Frank Perry)
Novembre 2008 : Two lovers (James Gray)
Décembre 2008 : Demain est un autre jour (Douglas Sirk)

Janvier 2009 : Opening night (John Cassavetes)
Février 2009 : Casino (Martin Scorsese)
Mars 2009 : Distant voices, still lives (Terence Davies)
Avril 2009 : A bout de course (Sidney Lumet)
Mai 2009 : Monika (Ingmar Bergman)
Juin 2009 : Les deux anglaises et le continent (François Truffaut)
Juillet 2009 : Le plaisir (Max Ophüls)
Août 2009 : Le conformiste (Bernardo Bertolucci)
Septembre 2009 : Le monde d'Apu (Satyajit Ray)
Octobre 2009 : Il était une fois la révolution (Sergio Leone)
Novembre 2009 : Vincere (Marco Bellochio)
Décembre 2009 : Tetro (Francis Ford Coppola)

Janvier 2010 : L'adieu aux armes (Frank Borzage)
Février 2010 : Mademoiselle Oyû (Kenji Mizoguchi)
Mars 2010 : The house of mirth (Terence Davies)
Avril 2010 : Henry V (Kenneth Branagh)
Mai 2010 : Le mépris (Jean-Luc Godard)
Juin 2010 : La peau douce (François Truffaut)
Juillet 2010 : Tous les autres s'appellent Ali (Rainer Werner Fassbinder)
Août 2010 : Le visage d'un autre (Hiroshi Teshigahara)
Septembre 2010 : Le rebelle (King Vidor)
Octobre 2010 : Mystères de Lisbonne (Raoul Ruiz)
Novembre 2010 : Nostalgie de la lumière (Patricio Guzman)
Décembre 2010 : L'ange de la rue (Frank Borzage)

Janvier 2011 : Les affameurs (Anthony Mann)
Février 2011 : Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman)
Mars 2011 : Les contes de la lune vague après la pluie (Kenji Mizoguchi)
Avril 2011 : Le roi Lear (Grigori Kozintsev)
Mai 2011 : The tree of life (Terrence Malick)
Juin 2011 : Pandora (Albert Lewin)
Juillet 2011 : Le guépard (Luchino Visconti)
Août 2011 : Melancholia (Lars Von Trier)
Septembre 2011 : L'Apollonide, souvenirs de la maison close (Bertrand Bonello)
Octobre 2011 : Portrait de femme (Jane Campion)
Novembre 2011 : Shame (Steve McQueen)
Décembre 2011 : The bitter tea of General Yen (Frank Capra)

Janvier 2012 : Wichita (Jacques Tourneur)
Février 2012 : La vengeance d'un acteur (Kon Ichikawa)
Mars 2012 : Martha Marcy May Marlene (Sean Durkin)
Avril 2012 : Stars in my crown (Jacques Tourneur)
Mai 2012 : Coups de feu dans la Sierra (Sam Peckinpah)
Juin 2012 : The Deep Blue Sea (Terence Davies)
Juillet 2012 : L'Emploi (Ermanno Olmi)
Août 2012 : A propos d'Elly (Asghar Farhadi)
Septembre 2012 : Les Enfants Loups, Ame § Yuki (Mamoru Hosoda)
Octobre 2012 : La maman et la putain (Jean Eustache)
Novembre 2012 : The Adjuster (Atom Egoyan)
Décembre 2012 : Tabou (Miguel Gomes)

Janvier 2013 : Le maître, la maîtresse et l'esclave (Abrar Alvi)
Février 2013 : Printemps tardif (Yasujiro Ozu)
Mars 2013 : Calle mayor (Juan Antonio Bardem)
Avril 2013 : A la merveille (Terrence Malick)
Mai 2013 : Mud (Jeff Nichols)
Juin 2013 : Sayat Nova (Sergei Paradjanov)
Juillet 2013 : Fin d'automne (Yasujiro Ozu)
Août 2013 : La Fugue (Arthur Penn)
Septembre 2013 : Jimmy P. (Arnaud Desplechin)
Octobre 2013 : La Vie d'Adèle (Abdellatif Kechiche)
Dernière modification par Joe Wilson le 1 déc. 13, 16:17, modifié 2 fois.
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gnome
Iiiiiiil est des nôôôôtres
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013

Message par gnome »

Films du mois : novembre 2013

Film du mois
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Les films vus (par ordre décroissant de préférence) - Les redécouvertes - Les films revus


Image Chef d'oeuvre !!!
Image On est vraiment pas loin de la masterpiece!
- L'albanais (Johannes Naber) 9/10
Arben de retour de quelques mois de travail en Grèce avec son père pour un salaire de misère met enceinte son amie Etieva. Pour pouvoir l'épouser, la famille de celle-ci demande 10000€. Arben part pour Berlin illégalement dans l'espoir de d'y faire l'argent pour la dot et s'y trouve mêlé à un trafic d'êtres humains. Alternant légèreté et noirceur sans jamais sombrer dans le misérabilisme ou le mélo pompier. Un film superbe sur un sujet sensible.

- Gravity (Alfonso Cuarón) 9/10
Malgré quelques invraisemblances, Gravity propose exactement ce que j'attends du cinéma : des émotions. Cuarón alterne tour à tour, moments réellement impressionnants avec d'autres intimistes, convoque la fragilité du personnage de Sandra Bullock et l'impressionnante beauté et poésie des paysages terrestres vus du ciel. Un film qui prend son temps et qui touche. Et on lui pardonnera certaines facilités.

Image Excellent !
- Ladyhawk (Richard Donner) 8/10
Nouvelle révision en famille avec toujours le même plaisir, même si certaines scènes "comiques" paraissent bien lourdes.

- A serious man (Joel et Ethan Coen) 8/10
Excellent, mais un peu redondant. Dommage parce que le début s'annonçait jouissif. L'interprétation est magistrale.

- Unstoppable (Tony Scott) 8/10
Efficace, rien à redire.

- La plage (Danny Boyle) 7.5/10
J'avais souvenir de critiques peu élogieuses, je l'ai donc regardé par curiosité et je dois bien avouer avoir été conquis et ce même si la partie sur l'île n'arrive pas tout à fait au genou du prologue avec Robert Carlyle.

- Agora (Alejandro Amenábar) 8/10

Image Tout à fait honorable
- Ensemble, c'est tout (Claude Berry) 7/10
Une belle petite histoire qui a cependant peiné à me toucher, mais qui est rattrapée par une superbe dernière partie et des interprètes (Canet et Tautou) tout en émotion et justesse.

Image Pourquoi pas, mais peut mieux
Image A oublier
Image Le dessin est clair, non?


Films du mois précédents :
Spoiler (cliquez pour afficher)
2006

Juin Image Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2007

Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai Image Juin Image
Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2008

Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai ? Juin Image Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2009

Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai Image Juin Image Juillet Image Août Image Septembre (Rien vu) Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2010

Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai Image Juin Image Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2011

Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai Image Juin Image Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2012
Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai Image Juin Image Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image Novembre Image Décembre Image
2013

Janvier Image Février Image Mars Image Avril Image Mai Image Juin Image Juillet Image Août Image Septembre Image Octobre Image
Dernière modification par gnome le 28 déc. 13, 17:36, modifié 7 fois.
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Federico
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013

Message par Federico »

FILM DU MOIS

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Films découverts

La dame et le toréador (Bullfighter and the Lady, 1951, Budd Boetticher) 9/10 Film-coup de grâce. Je me rends à mon tour. Les oreilles et la queue pour Boetticher ! Olé !! :D :oops: :D

Histoire de détective (Detective story, 1951, William Wyler) 8/10 Un huis-clos d'école, puissant, velu, incarné avec des premiers et seconds rôles épatants. Tout est parfait... sauf l'écueil final grandiloquent. :?

Chasse au gang (Crime wave, 1954, André de Toth) 8/10 Petit Noir bien serré et très novateur dans sa forme. Belle distribution dont l'incroyable Tim Carey qui vole la vedette à tout le monde en quelques secondes et sans être crédité au générique ! :D

No country for old men (2007, Coen Bros) 8/10 Un Coen presque tarantinien. Brolin, Harrelson et Kelly Macdonald ne déméritent pas non plus mais le numéro de Bardem en psycho-killer à piston fera date ! :shock:

Dans la brume électrique (In the electric mist), 2009, Bertrand Tavernier) 7,5/10 Un TL Jones assez fantastique dans un polar poisseux et lumineux à la fois. Pas toujours évident d'y reconnaître la patte de Tatav' sauf par sa direction d'acteurs et la superbe b.o.

Le talentueux Mr Ripley (The talented Mr. Ripley, 1999, Anthony Minghella) 7/10 Beaucoup plus franc du collier que le Clément car je crois plus fidèle au roman (que je n'ai pas lu). Mise en scène élégante et plaisir de voir ensemble les plus que charmantes Gwyneth et Cate.

A serious man (2010, Coen Bros) 7/10 Scénario, dialogues, mise en scène et interprétation remarquables mais comme souvent avec les Coen, je suis resté en partie au pied de la porte. Ceci dit, un de leurs meilleurs films.

Black book (Zwartboek, 2006, Paul Verhoeven) 7/10 L'admirable et adorable Carice van Houten, véritable super-héroïne au milieu de la fange créée et remuée par l'horreur nazie.

Les femmes de Stepford (The Stepford wives, 1975, Bryan Forbes) 6,5/10 Le scénario flippant de cette version Terre-à-Terre de L'invasion des profanateurs aurait mérité un meilleur réalisateur mais Katharine Ross et surtout Paula Prentiss sont formidables.

L'ultimatum des trois mercenaires (Twilight's last gleaming, 1977, Robert Aldrich) 6,5/10 Nucléo-drame irréaliste mais, malgré quelques boursouflures, rendu passionnant par le trublion Aldrich qui place ses banderilles tout en menant un film d'action goutu.

Carnage (Prime cut, 1972, Michael Ritchie) 6,5/10 Lee Marvin plus minéral que jamais taille dans le lard au pays des rednecks de la bidoche. Un peu gras et lourd mais bien saignant. 1er grand rôle de Sissy Spacek, toute mimi. :oops:

Échec à l'organisation (The outfit, 1973, John Flynn) 6,5/10 Duvall parfait en vengeur froid, mise en scène sèche et efficace, distribution de connoisseur... C'est sympa mais pas le diamant noir 70's espéré.

L'Agence (The Adjustment Bureau, 2011, George Nolfi) 6/10 Bien fait, bien joué mais un peu trop "déja vu" (une pincée de Matrix, une autre de Dark City etc.) Je parie que la nouvelle de K. Dick est plus complexe et moins sage.

Complot à Dallas (Executive Action, 1973, David Miller) 6/10 L'assassinat de JFK sous l'angle du complot conservateur avec snipers multiples et Oswald en bouc émissaire. Scénarisé par Dalton Trumbo et avec re-formation du duo Lancaster-Ryan. Un peu trop téléfilm mais assez troublant.

La mélodie du bonheur (The sound of music, 1965, Robert Wise) 6/10 Techniquement irréprochable (Wise oblige), avec quelques beaux passages musicaux et Andrews, Plummer et Parker ont la classe. Mais un peu plombé par l'ambiance bonbonnière de luxe.

Une fille de la province (The country girl, 1954, George Seaton) 5,5/10 Mélo sur fond de drame familial et d'alcoolisme qui serait pénible sans les interprétations touchantes de Bing Crosby et Grace Kelly (qui était décidément aussi une excellente actrice).

The Green Hornet (2011, Michel Gondry) 5,5/10 Ce grand gamin de Gondry s'est fait plaisir, glisse quelques trouvailles visuelles sympas et a compris que le héros était Kato... mais c'est aussi très léger.

Sang pour sang (Blood simple, 1984, Coen Bros) 5,5/10 Bien déçu par ce premier film au tempo super lent tout en reconnaissant qu'il porte déjà la marque de fabrique des frangins.

Légitime violence (Rolling Thunder, 1977, John Flynn) 5,5/10 Viet-Vet et revenge movie à la fois. A voir surtout pour l'impressionnant William Devane et un jeune Tommy Lee Jones. Mais la violence et le fond assez dérangeant font passer Death Wish pour les Teletubbies. :?

Le petit arpent du bon dieu (God's Little Acre, 1958, Anthony Mann) 5/10 Des personnages pénibles à force d'être lourdauds. Seules la belle séquence nocturne entre Aldo Ray et Tina Louise et celle de la foule des ouvriers font retrouver le grand Mann.

Ikarie XB-1 (1963, Jindřich Polák) 5/10 S-F tchécoslovaque avec expédition galactique, musique électroacoustique, beaux décors et scope N&B. D'après Stanisław Lem mais loin de Solaris. Un peu trop bavard et statique. Curieux mais un peu chiant sur les bords. :|

Un amour infini (Bounce, 2000, Don Roos) 5/10 Eh oui, c'est un feel-good/girlie truc sponsorisé par Kleenex mais c'est plus fort que moi : y avait Gwynnie... :oops:

Les copains (1965, Yves Robert) 4,5/10 Robert fit bien mieux que cette gentillette satire épicurienne qui devait même paraître datée à sa sortie. Et à part son réjouissant sermon invitant les ouailles à la luxure, Noiret tonitrue à en être fatigant.

La main qui venge (Dark city, 1950, William Dieterle) 4,5/10 Le débutant Charlton Heston dans un film noir au scénario pas inintéressant mais à la mise en scène vraiment trop plate.

L'antre de la folie (In the mouth of madness, 1994, John Carpenter) 4/10 Grand-Guignol ni effrayant ni drôle. Big John avait perdu sa gnaque. :cry:

Liza (La cagna, 1972, Marco Ferreri) 3/10 Où la (très) blonde Deneuve remplace le (très) beau chien de l'ermite Mastroianni. Un Ferreri (très) chiant. :cry:

La Marquise d'O... (Die Marquise von O..., 1976, Eric Rohmer) ../10 Je n'avais jamais tenu plus de 10mn. J'ai tenté le film entier... et manqué me noyer dans ce verre d'eau d'ennui. Je ne note pas, par respect pour l'immense Rohmer. :cry:


Films revus

Les misérables 1ère partie : Une tempête sous un crâne (1934, Raymond Bernard) 8/10 Performance(s) hors-concours de l'immense Harry Baur et magnifique restauration permettant d'admirer le travail minutieux de Bernard sous forte influence expressionniste. La meilleure adaptation d'un récit qui reste quand même très édifiant.

La femme à abattre (The enforcer, 1951, Bretaigne Windust & Raoul Walsh) 7,5/10 Toujours un régal même si le style a bien vieilli (notamment les flashes-back en tiroir). Et puis Ted de Corsia, quoi... :D

Ligne rouge 7000 (Red line 7000, 1965, Howard Hawks) 5,5/10 Un Hawks très mineur, limite téléfilm fleurtant avec le soap mais pourtant identifiable et revu avec plaisir pour sa pépite : Gail Hire, étoile filante très Paula Prentiss-ienne.

Black Sunday (1976, John Frankenheimer) 5,5/10 Frankenheimer a fait infiniment mieux que cette grosse machinerie, par moment efficace mais trop longue. A voir surtout pour les interprétations de Marthe Keller et Robert Shaw.

Le dingue du palace (The bellboy, 1960, Jerry Lewis) 3,5/10 La 1ère réalisation de Lewis est un patchwork/alignement de dizaines de gags dont seule une maigre poignée est à sauver. Techniquement très soignée et ne durant que 72' mais que c'est loooooooong... :roll:

La neige en deuil (The mountain, 1956, Edward Dmytryk) 3/10 Conforme à mon souvenir : pompeux et ennuyeux, surtout pour un amoureux des montagnes (bonjour les transparences de studio aux nuages fixes ! :roll: ). Une des rares fois où j'ai vu Tracy mauvais et il est bien trop âgé pour être le frère de Wagner (encore plus médiocre mais là, c'est normal).


Séries TV

The Hour saison 2 (2012, BBC) 7,5/10 La sensation de circuit fermé est (trop ?) accentuée et la conclusion un peu idéaliste vu les "intérêts supérieurs" en jeu mais l'interprétation reste au top.

Au-delà du réel (The outer limits) :
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s2 e13 Le double (The duplicate man, 1964, Gerd Oswald) 6,5/10 Un peu confus et le Chewbacca à bec d'aigle est miteux mais l'atmosphère de film noir psychanalytique est vraiment prenante. Une des rares adaptations à l'écran du grand Clifford D. Simak.

s2 e14 Contrepoids (Counterweight, 1964, Paul Stanley) 3/10 Sept personnages en quête d'hauteurs dans un huis-clos qui vole bien bas. A noter l'incrustation subliminale du sigle... TV ! :shock:

s2 e15 Le cerveau du colonel (The brain of Colonel Barham, 1965, Charles Haas) 4,5/10 Énième idée originale gâchée mais les histoires de cerveaux manipulateurs ont rarement donné des chefs-d’œuvre.

s2 e17 Enquête sur un mystère (The probe, 1965, Felix Feist) 2/10 La série s'achève sur un de ses plus piteux épisodes. Un huis-clos statique avec un alien à forme d'étron géant ! :shock: Du coup les acteurs jouent comme des fesses. :uhuh:
...et regardé le 1er épisode de Top of the lake de Jane Campion que j'ai trouvé trop déprimo-glauque pour avoir envie de découvrir la suite. Par contre, l'office du tourisme néo-zélandais doit se frotter les mains : les paysages sont à tomber.

Documentaires

John F. Kennedy, un destin politique (The American Experience s25 ep2&3 : JFK, 2013, Susan Bellows) 7/10 Énième retour sur la vie de JFK mais intéressant car s'attachant essentiellement à son parcours politique, vocation née (et poussée) très tôt. Peu de dirigeants (surtout aussi jeunes) ont eu autant de défis et de problèmes gigantesques à affronter en un si cours laps de temps et dès les premiers mois de leur entrée en fonction (1961 fut une année hautement critique à l'échelle mondiale).

Lyndon B. Johnson : Un président méconnu (2013, Claire Walding) 7/10 Le parcours aussi particulier que sous-estimé du successeur accidentel de JFK dont il était l'antithèse, hérita des patates chaudes (Vietnam) mais aussi réalisa les projets inaboutis (Droits civiques). Il y aurait certainement encore plus à découvrir de ce président qui eut la malchance mémorielle de diriger les USA entre JFK et Nixon.

Rock behind the Wall (2013, Carsten Fiebeler) 6,5/10 Retour sur la guerre froide des méga-concerts des deux côtés du Mur de Berlin en 1988. Avec de chaque un fort esprit de récupération mais la même jeunesse qui veut simplement s'éclater. Le docu s'attarde surtout sur les concerts à l'Est, d'un impact naturellement plus fort.

Dallas, une journée particulière (2013, Patrick Jeudy) 6/10 Les dernières heures de JFK décortiquées (parfois un peu lourdement). Bonne utilisation de détails de planches de BD et des points de vue des différents témoins du défilé tragique.


Courts-métrages

Planètes après planètes (2013, Titouan Bordeau) Animation 7,5/10 Un cosmonaute sur une planète peuplée de canards bleus et curieux. Très joli film de fin d'études de La Poudrière dans un style à la Frederik Peeters.

Dimanches (2011, Valery Rosier) 7/10 Le (pas si sur-) réalisme belge dans toute sa splendeur et en micro-scénettes. Entre Pérec et Strip-tease. Ou l'art de faire rire et d'émouvoir de la mornitude des choses.

Le cri de Viola (2013, Claire Maugendre) 7/10 Poétique rencontre de deux jeunes un peu à part : il est bègue et elle pousse des cris d'oiseau.

La bête (2013, Vladimir Mavounia-Kouka) Animation 6,5/10 Borowczyk avait déjà bien débroussaillé le sujet (les fantasmes sexuels féminins) avec le même titre mais c'est bien animé et sonorisé.

Douce menace (2011, Ludovic Habas, Yoan Sender, Margaux Vaxelaire, Mickaël Krebs & Florent Rousseau) Animation 6/10 Les monuments de Paris atomisés par un Objet Volant Identifiable : un pigeon géant ! Amusant (surtout la plume happening sur Beaubourg). :mrgreen:

Bamako-Saint Afrique (2013, Frédéric Jolfre) 6/10 Un Paris-Dakar en négatif où des pilotes d'Afrique de l'Ouest traverseraient à toute blinde la campagne française profonde. Point de vue inversé rigolo. A montrer à Gérard Holtz ! :mrgreen:


Expérimental

L'écran transparent (1973, Bernard Parmegiani & José Montés-Baquer) 8/10 Il y a 40 ans, nous étions déjà submergés par un bruit de fond d'informations, propice à cet essai vidéo de Parmegiani, électroacousticien et pionnier de la synthèse d'images récemment disparu. Hypnotisant.

FILMS D'EMOI
Spoiler (cliquez pour afficher)
Avril 2012 : La cible (Targets - 1968 - Peter Bogdanovich)
Mai 2012 : Point Limite (Fail Safe - 1964 - Sidney Lumet)
Juin 2012 : Stolen Holiday (1937 - Michael Curtiz)
Juillet 2012 : Un homme de coeur (The Good Heart - 2009 - Dagur Kári)
Août 2012 : Melancholia (2011 - Lars von Trier)
Septembre 2012 : Les flics ne dorment pas la nuit (The New Centurions - 1972 - Richard Fleischer)
Octobre 2012 : Still walking (2008 - Kore-eda Hirokazu)
Novembre 2012 : Convoi de femmes (Westward the women - 1951 - William A. Wellman)
Décembre 2012 : Quand la ville dort (The asphalt jungle - 1950 - John Huston)
Janvier 2013 : ex aequo Scaramouche (1952 - George Sidney) / Videodrome (1983 - David Cronenberg) / Providence (1977 - Alain Resnais) / La mort aux trousses (North by Northwest - 1959 - Alfred Hitchcock)
Février 2013 : Les sentiments (2003 - Noémie Lvovsky)
Mars 2013 : Une exécution ordinaire (2009 - Marc Dugain)
Avril 2013 : Juno (2007 - Jason Reitman)
Mai 2013 : Martha Marcy May Marlene (2011 - Sean Durkin) & Des hommes et des dieux (2010 - Xavier Beauvois)
Juin 2013 : Appel d'urgence (Miracle Mile - 1988 - Steve De Jarnatt) / Coraline (2009 - Henry Selick) & La Dame de Windsor (1998 - John Madden)
Juillet 2013 : Les bas-fonds new-yorkais (Underworld U.S.A. - 1961 - Samuel Fuller)
Août 2013 : Le dernier nabab (The last tycoon - 1976 - Elia Kazan)
Septembre 2013 : L'enfer de la corruption (Force of evil - 1948 - Abraham Polonsky)
Octobre 2013 : Mind game (Maindo gēmu - 2004 - Masaaki Yuasa) / L'amour l'après-midi (1972 - Éric Rohmer)
Dernière modification par Federico le 30 nov. 13, 18:49, modifié 63 fois.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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reuno
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Re: Votre film du mois de Novembre 2013

Message par reuno »

Novembre 2013

Film du mois

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Snowpiercer (Bong Joon Ho)

Films découverts

Snowpiercer (Bong Joon Ho) 5/6
Samsara (Ron Fricke) 5/6
Happy Accidents (Brad Anderson) 5/6
Prisoners (Denis Villeneuve) 5/6
Byzantium (Neil Jordan) 4/6
The World's End (Edgar Wright) 4/6
We are what we are (Jim Mickle) 4/6
Alps (Yorgos Lanthimos) 4/6
The Wolverine (James Mangold) 3/6
The Last Days on Mars (Ruairi Robinson) 3/6
Excision (Richard Bates Jr.) 3/6
Moebius (Kim Ki Duk) 1/6


Films revus

ParaNorman (Sam Fell & Chris Butler) 5/6
Dredd (Pete Travis) 5/6
The Hobbit: An Unexpected Journey (Peter Jackson) 4/6
The Thing (Matthijs van Heijningen Jr.) 4/6

Films des mois précédents
Spoiler (cliquez pour afficher)
Octobre 2013 : Dark Touch (Marina de Van)
Septembre 2013 : Riddick (David Twohy)
Août 2013 : Noroi (Kôji Shiraish)
Juillet 2013 : A Field in England (Ben Wheatley)
Juin 2013 : Dans ma peau (Marina De Van)
Mai 2013 : The Grandmaster (Wong Kar Wai)
Avril 2013 : Sightseers (Ben Wheatley)
Mars 2013 : To the Wonder (Terrence Malick)
Février 2013 : Toad Road (Jason Banker)
Janvier 2013 : Cloud Atlas (Tom Tykwer, Andy Wachowski & Lana Wachowski)
Décembre 2012 : Symbol (Hitoshi Matsumoto)
November 2012 : Beasts of The Southern Wild (Benh Zeitlin)
Octobre 2012 : Kotoko (Shinya Tsukamoto)
Septembre 2012 : Himizu (Sono Sion)
Août 2012 : ParaNorman (Chris Butler)
Juillet 2012 : The Incident (Alexandre Courtès)
Juin 2012 : Les Raisins de la colère (John Ford)
Mai 2012 : Moonrise Kingdom (Wes Anderson)
Avril 2012 : The Plague Dogs (Martin Rosen)
Mars 2012 : Bellflower (Evan Glodell)
Février 2012 : Il était une fois en Anatolie (Nuri Bilge Ceylan)
Janvier 2012 : Love (William Eubank)
Décembre 2011 : Versailles (Pierre Schoeller)
Novembre 2011 : Safe (Todd Haynes)
Octobre 2011 : Polisse (Maïwenn)
Septembre 2011 : Redline (Takeshi Koike)
Août 2011 : Cold Fish (Sono Sion)
Juillet 2011 : Memory Lane (Mikhaël Hers)
Juin 2011 : Biutiful (Alejandro González Inárritu)
Mai 2011 : The Tree of Life (Terrence Malick)
Avril 2011 : Animal Kingdom (David Michôd)
Mars 2011 : Tetsuo The Bullet Man (Shinya Tsukamoto)
Février 2011 : Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone)
Janvier 2011 : Ondine (Neil Jordan)
Décembre 2010 : Mishima: A Life in Four Chapters (Paul Schrader)
Novembre 2010 : L'Enigme de Kaspar Hauser (Werner Herzog)
Octobre 2010 : Monsters (Gareth Edwards)
Septembre 2010 : Nord (Xavier Beauvois)
Août 2010 : Big Wednesday (John Millius)
Juillet 2010 : The Reflecting Skin (Philip Ridley)
Juin 2010 : Code 46 (Michael Winterbottom)
Mai 2010 : Enter the Void (Gaspard Noé)
Avril 2010 : The Andromeda Strain de Robert Wise
Mars 2010 : Onibaba de Kaneto Shindô
Février 2010 : Faust - Eine deutsche Volkssage de F.W. Murnau
Janvier 2010 : Le Décalogue de Krzysztof Kieslowski
Décembre 2009 : Avatar de James Cameron
Novembre 2009 : The Box de Richard Kelly
Octobre 2009 : Pat Garrett & Billy the Kid de Sam Peckinpah
Septembre 2009 : The Offence de Sidney Lumet
Août 2009 : La Femme des Sables de Hiroshi Teshigahara
Juillet 2009 : La Graine et le mulet Abdellatif Kechiche
Juin 2009 : The Sky Crawlers de Mamoru Oshii
Mai 2009 : Possession de Andrezj Zulawski
Avril 2009 : Le Trou de Jacques Becker
Mars 2009 : Shotgun Stories de Jeff Nichols
Février 2009 : The Wrestler de Darren Aronofsky
Janvier 2009 : The Curious Case of Benjamin Button de David Fincher
Décembre 2008 : Clean, shaven de Lodge Kerrigan
Novembre 2008 : Låt den rätte komma in de Tomas Alfredson
Octobre 2008 : Bled Number One de Rabah Ameur-Zaimeche
Septembre 2008 : Omohide Poro Poro de Isao Takahata
Août 2008 : Hellboy II : The Golden Army de Guillermo Del Toro
Juillet 2008 : La Condition de L'Homme de Masaki Kobayashi
Juin 2008 : Angst de Gerald Kargl
Mai 2008 : The Proposition de John Hillcoat
Avril 2008 : Love and Honor de Yoji Yamada
Mars 2008 : The Mist de Frank Darabont
Février 2008 : Twin Peaks - Fire Walk With Me de David Lynch
Janvier 2008 : [REC] de Jaume Balaguero et Paco Plaza
Décembre 2007 : Requiem Pour Un Massacre de Elem Klimov
Dernière modification par reuno le 1 déc. 13, 10:45, modifié 7 fois.
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