Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
C'est un faux procès absurde. Le ministère de la culture suit pour ainsi dire toujours les recommandations de la commission de censure, et n'intervient qu'en cas de classement X, ce qui n'est pas le cas ici.
Ségolène Royale, faire des effets de manche inutiles ?cinephage a écrit : Ségolène Royal se fait de la pub à peu de frais.
L’article est orienté dès le début avec « Cette histoire ultra-violente de vengeance sanglante », idée que l’on véhicule également abondement sur ce forum.
-12 ans quand même c'est limite je trouve.Ratatouille a écrit :Et puis je ne l'ai pas trouvé si violent que ça, ce film. Il baigne dans une atmosphère cauchemardesque et anxiogène, ce qui peut donner l'impression d'une violence exacerbée...mais hormis 2-3 plans plutôt graphiques, ça reste assez suggéré je trouve.
C'est par exemple beaucoup moins gore et violent que le remake de Evil Dead.
Tu mets ton texte entre deux balises spoiler.ballantrae a écrit :Sorry Gnome...ne l'as-tu donc pas encore vu?
Expliquez-moi comment mettre les petits panneaux spoiler car je suis une buse, que dis-je, un handicapé informatique!!!
Joli. J'abonde complètement.phylute a écrit :Tout de même estomaqué que l'on dise de ce Only God Forgives qu'il repose sur un scénario squelettique. Pour moi, c'est un film d'une grande richesse qui travaille brillamment sur plusieurs niveaux de récits qui s'entremêlent, sans que l'ensemble ne devienne totalement illisible et abscons. Un modèle de scénario pour ma part, donc...
L'ombre de Lynch plane bien sûr sur le film, comme elle le faisait sur déjà sur Inside Job. Mais Refn a toujours fonctionné à la manière d'un de Palma, en se coltinant sans se cacher à ses maîtres de cinéma, ça ne me gêne donc pas plus ici que dans ses autres films. J'éprouve même un énorme plaisir à retrouver ces sensations lynchiennes qui me terrassaient autrefois et que Lynch lui même n'arrivait plus à me procurer.
Je crois que c'est mon film préféré de Refn avec la trilogie Pusher. Bien au-dessus en tout cas de Drive, exercice de style parfait mais sans grande ampleur, ce qui n'est pas le cas de ce nouvel essai. Un film qui me reste dans la tête, qui continue à me travailler longtemps après sa vision et dans lequel j'ai hâte de replonger.
