hellrick a écrit :
Bah c'est la saga actuelle la plus spectaculaire qui soit... ça rappelle les plus grosses productions explosives du tournant 80's / 90's (les classiques comme Speed, Con Air, Rock, etc.) avec l'exostisme des Bond en encore plus explosif. Perso je ne m'en lasse pas
J'en ai pas vu un seul .
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
hellrick a écrit :
Bah c'est la saga actuelle la plus spectaculaire qui soit... ça rappelle les plus grosses productions explosives du tournant 80's / 90's (les classiques comme Speed, Con Air, Rock, etc.) avec l'exostisme des Bond en encore plus explosif. Perso je ne m'en lasse pas
Watkinssien a écrit :
Oh, ce n'est pas très grave, hein!
chuuut! moi qui me la jouait no préjugés!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Watkinssien a écrit :
Oh, ce n'est pas très grave, hein!
chuuut! moi qui me la jouait no préjugés!
J’ai voulu essayer l’année dernière et j’ai abandonné au bout d’une demi-heure. Je n’arrive pas à m'intéresser aux personnages, ce n’est même pas une question d’overdose d’action.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
hellrick a écrit :
Bah c'est la saga actuelle la plus spectaculaire qui soit... ça rappelle les plus grosses productions explosives du tournant 80's / 90's (les classiques comme Speed, Con Air, Rock, etc.) avec l'exostisme des Bond en encore plus explosif. Perso je ne m'en lasse pas
J'en ai pas vu un seul .
En fait les 3 premiers sont des one shots qui vont dans tous les sens. Le 4eme, et puis le 5eme, commencent à installer un casting qui va perdurer tout en changeant la thematique du street car vers du portnawak avec des explosions.
Remarque que jusqu'au 4 inclus, les critiques sont catastrophiques.
Pour moi, le 6 est le passage au niveau superieur du mongol-film avec sa sequence de décollage sur la piste d'aeroport qu'on a évalué à 42km de long
la_vie_en_blueray a écrit :
Remarque que jusqu'au 4 inclus, les critiques sont catastrophiques.
Ça s'améliore après?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
la_vie_en_blueray a écrit :
Remarque que jusqu'au 4 inclus, les critiques sont catastrophiques.
Ça s'améliore après?
j'aime pas les 3 premiers, c'est mou, c'est des courses de voitures chiantes.
Le 4 fait la transition, c'est sympa
A partir du 5 on a du Mission Impossible sous acide, ça explose de partout j'adore et ça grimpe en intensité jusqu'au 7 où absolument TOUT ce qui peut exploser EXPLOSE. Le 8 est un cran en dessous mais reste très cool.
Il y a beaucoup de plans dans le 8 (vus de dessus ou de loin), avec la "famille" à l'arrêt, entourée par les voitures (notamment dans la dernière partie), qui m'ont fait penser au dessin animé que je préférais quand j'étais gosse : M.A.S.K.
Pour moi, plus ça va et plus la franchise devient une sorte d’adaptation live officieuse de ce dessin animé.
Rien que pour ça, ça m'émeut
Torrente a écrit :Il y a beaucoup de plans dans le 8 (vus de dessus ou de loin), avec la "famille" à l'arrêt, entourée par les voitures (notamment dans la dernière partie), qui m'ont fait penser au dessin animé que je préférais quand j'étais gosse : M.A.S.K.
Pour moi, plus ça va et plus la franchise devient une sorte d’adaptation live officieuse de ce dessin animé.
Rien que pour ça, ça m'émeut
Les gosses de 7-10 ans regardaient ça à la télé à une époque ou les films étaient encore pour « les grands ». 35 ans après ils regardent ça en live au cinéma.
Infantilisation de la société et des spectateurs ?
Torrente a écrit :Il y a beaucoup de plans dans le 8 (vus de dessus ou de loin), avec la "famille" à l'arrêt, entourée par les voitures (notamment dans la dernière partie), qui m'ont fait penser au dessin animé que je préférais quand j'étais gosse : M.A.S.K.
Moi aussi j'adorais Mask (alors que je regardais très peu la tv et donc très peu les dessins animés j'ai zappé les Goldorak, cité d'or, zodiaque, ken etc que tous les quadras adorent...tant pis) j'ai encore 6 véhicules jouets d'ailleurs.
Une adaptation de MASK sur grands écrans j'achète mon billet direct
On a eu GI Joe (le premier est un des mes block' préférés) donc pourquoi pas Mask merde
hellrick a écrit :
j'aime pas les 3 premiers, c'est mou, c'est des courses de voitures chiantes.
Le 4 fait la transition, c'est sympa
A partir du 5 on a du Mission Impossible sous acide, ça explose de partout j'adore et ça grimpe en intensité jusqu'au 7 où absolument TOUT ce qui peut exploser EXPLOSE. Le 8 est un cran en dessous mais reste très cool.
J'aime pas du tout les derniers, ni le 3 qui est une merde, le 2 j'ai pas vu, mais le 1 était un concept sympa.
J'imagine que les derniers plaisent bien a ceux qui pensent que le cinema doit s'inspirer des jeux videos.
Perso je trouve que les 3 premiers sont des merdes qui vont de pire en pire, quand c'est devenu la foire à la saucisse grand wtf ça m'a fait marrer (4/5/6) , après les deux derniers c'est total n'imp avec les états d'ames liés à la "famille" totalement ridicules
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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