Major Tom a écrit :Je n'en garde pas beaucoup de souvenir, à part, effectivement, que c'était parfois un peu "chaud", mais surtout très érotico-touche-pipi. Style: on voit des images à travers un téléviseur de vidéosurveillance chez Baldwin, retransmettant les images de Sharon dans son bain en train de se masturber, sauf que ça ne ressemble à rien parce qu'il y a plein de mousse, ou parce que la caméra zoome en gros plan sur le visage de Sharon (avec les pixels dégueulasses du téléviseur qui grossissent).
Pas loin (j'ai une bonne mémoire): pas de mousse mais de la vapeur et effectivement des gros plans ridicules (à 13:30).
Si vous êtes au boulot, cliquez de suite:
Sliver c'est la plus grande escroquerie de Joe Eszterhas
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Il s'autocopiera aussi avec Jade, scenario proche, par bien des aspects , de celui de Basic instinct
Ses meilleurs scénarios sont pour des films pas du tout dans ce genre, et (tiens...) axés sur des personnages hongrois ou d'origine hongroise : F.I.S.T. et Music Box. Auquel on peut rajouter celui (co-écrit) de Children of (the) revolution, un film hongrois (avec une coproduction américaine) sur la révolte de Budapest en 1956, inédit en salles et qui fut diffusé (avec très peu de passages) sur CanalPlus (sauf erreur, seulement sur CanalPlus Cinéma et Sport, et à des horaires par forcément pratiques).
Dernière modification par riqueuniee le 31 juil. 12, 19:27, modifié 1 fois.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky