Flol a écrit :Et sur l'échelle Parking, Huster est à combien ici ?
Moins flashy mais tout aussi out this world ("cheese burger").
Pour vendre la chose, j'ai rarement eu autant de crampes aux ventres au ciné (qui plus est à la Cinémathèque). Culte.
Tu as omis de préciser que, pour l'occasion, Francis se pare de son plus bel accent: "chize bourgueure"
Un des films les plus nuls que j'ai jamais vu, complètement culte.
J'ai été faible. Et j'ai regardé.
Bon, il faut vite qu'on soit au 24 janvier là, il me tarde trop de faire cette soirée combo magique Parking/Le Faucon.
Question très sérieuse : Le Faucon est-il plus nul que Les Pyramides Bleues, d'Arielle Dombasle (certes dans un autre genre)?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
C'est pas vraiment parce que Le Faucon est nul qu'il intéresse tant de personnes, mais c'est surtout qu'il est improbable. Comment certaines idées ont pu atterrir sur un scénar, puis dans les mains de l'acteur, puis joué devant une équipe de tournage, puis apparaître sur une table de montage, puis être présenté en salle... C'est pour ça qu'une belle édition Bluray (donc avec de l'éditorial, par définition, une ou deux interviews) ça pourrait le faire, parce que le film est fascinant.
odelay a écrit :Le problème du Dombasle c'est que pratiquement personne ne l'a vu.
Film fascinant aussi. A un moment, Arielle Dombasle dit : "J'aime qu'on me brosse les cheveux."
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Flol a écrit :J'ai été faible. Et j'ai regardé.
Bon, il faut vite qu'on soit au 24 janvier là, il me tarde trop de faire cette soirée combo magique Parking/Le Faucon.
Je viens (presque) de le faire mais dans l'autre sens, enchaîner Le Faucon grâce à odelay (mille mercis, je tiens déjà mon film du mois) et des extraits de Parking à l'instant, c'est du brutal.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain