Top 150 DvdClassik 2011 (Résultats page 15)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

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origan42
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par origan42 »

Vu hier pour la première fois, le formidable Rayon vert d'Eric Rohmer, souvent dans vos listes. Tellement formidable, qu'il entre dans mon top 150, provoquant de petits changements.
makaveli
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par makaveli »

top 20 :

1) il était une fois en Amérique ( sergio leone)
2) les 7 samouraïs (akira kurosawa)
3) raging bull (martin scorsese)

4) le parrain partie 2 ( francis ford coppola)
5) le parrain (francis ford coppola)
6) voyage au bout de l'enfer (michael cimino )
7) il était une fois dans l'ouest (sergio leone)
8 ) ran (akira kurosawa)
9) il était une fois la révolution(sergio leone)
10) taxi driver (martin scorsese)
11) la prisonniére du désert (john ford)
12) rio bravo (howard hawks)
13) casino (martin scorsese)
14) apocalypse now (francis ford coppola)
15) le bon la brute et le truand (sergio leone)
16) le guépard (luchino visconti)
17)impitoyable (clint eastwood)
18) les affranchis (martin scorsese)
19/heat (michael mann)
20) la horde sauvage (sam peckinpah)



top 120 :

affranchis, les (scorsese)
apocalypse now (coppola)

alamo(wayne)
aventuriers de l'arche perdue, les (spielberg)
alien (scott)
année du dragon, l' (cimino)
armée des ombres, l' (melville)
a bout de souffle (godard)

blade runner (scott)
barberousse (kurosawa)
bon,la brute,le truand, le (leone)
bullitt (yates)
butch cassidy et le kid (hill)
brazil (gilliam)
boulevard du crépuscule(wilder)

chinatown (polanski)
casino (scorsese)
clan des siciliens, le (verneuil)
cercle rouge, le (melville)
captive aux yeux clairs,la (hawks)
château de l'araignée, le (kurosawa)
coup de feu dans la sierra (peckinpah)
contes de la lune vague après la pluie(mizoguchi)

danse avec les loups (costner)
douze salopards, les (aldrich)
douze hommes en colère (lumet)
dictateur,le (chaplin)
diaboliques,les (clouzot)
dersou ouzala (kurosawa)

entre le ciel et l'enfer (kurosawa)
et pour quelques dollars de plus (leone)

fargo (coen)
fight club (fincher)
full metal jacket (kubrick)
fraises sauvages,les (bergman)
feux de la rampe,les (chaplin)

grande évasion, la (sturges)
grande illusion,la(renoir)
ghost dog (jarmush)
grand sommeil ,le (hawks)
garde du corps, le (kurosawa)
garde à vue (c.miller)
guépard,le (visconti)

heat (m.mann )
homme des hautes plaines, l' (eastwood)
horde sauvage, la (peckinpah)
homme qui tua liberty valance, l' (ford)
homme qui voulut être roi,l' (huston)

il était une fois en Amérique (leone)
il était une fois dans l'ouest (leone)
il était une fois la révolution (leone)
il était une fois le bronx (de niro)
impitoyable (eastwood)
incorruptibles, les (de palma)
impasse, l' (de palma)
inspecteur harry, l' (siegel)
intendant sansho,l'(mizoguchi)

josey wales (eastwood)
jfk (stone)

killer,the (woo)

liste de schindler, la (spielberg)
ligne rouge, la (malick)
L.A confidentiel (hanson)
lumières de la ville,les (chaplin)

mean streets (scorsese)
mission (joffe)
mystic river (eastwood)
mort aux trousses,la (hitchcock)
madame de (ophuls)
mépris,le (godard)
mulholland drive(lynch)
mort à Venise(visconti)

nom de la rose, le (annaud)
nuit du chasseur, la (laughton)

parrain, le (coppola)
parrain 2, le (coppola)

parrain 3,le (coppola)
pulp fiction (tarantino)
platoon (stone)
patt garret et billy le kid (peckinpah)
prisonniere du desert, la (ford)
poursuite infernale, la (ford)
pont de la rivière kwai, le (lean)
pierrot le fou (godard)
pépé le moko (duvivier)
porte du paradis,la (cimino)
psychose (hitchcock)

quai des brumes (carné)

ran (kurosawa)
rashomon (kurosawa)
raging bull (scorsese)
rio bravo (hawks)
reservoir dog (tarantino)
robin des bois (curtiz)
rivière rouge, la (hawks)
rocco et ses frères(visconti)

scarface (de palma)
serpico (lumet)
samouraï, le (melville)
sept samouraïs, les (kurosawa)
shining (kubrick)
silence des agneaux, le (demme)
sueurs froides (hitchcock)
sur la route de madison (eastwood)
spartacus (kubrick)
salaire de la peur ,le (clouzot)
sur les quais (kazan)
soif du mal ,la (welles)

taxi driver (scorsese)
terminator 2 (cameron)
temps modernes,les(chaplin)
temps de l'innocence,le (scorsese)
tontons flingueurs,les (lautner)
the thing(carpenter)

un après-midi de chien (lumet)
usual suspects (singer)
une femme sous influence (cassavetes)

vingt quatre heures avant la nuit (lee)
voyage au bout de l'enfer (cimino)
vol au dessus d'un nid de coucou(forman)


30 supplémentaires :
huit et demi (fellini)

armée des 12 singes,l'(gilliam)
angel heart(parker)

blow out(de palma)
borsalino(deray)
bête humaine,la(renoir)
blue velvet(lynch)
barry lyndon(kubrick)

chien enragé(kurosawa)
collision(haggis)

dans la chaleur de la nuit(jewison)
dodesukeden(kurosawa)
delivrance(boorman)
dolce vita,la (fellini)

forteresse caché,la(kurosawa)
french connection(friedkin)


jackie brown(tarantino)

king of new york(ferrara)

lawrence d'arabie(lean)


midnight run(brest)

no contry for old men (coen)

opération dragon(clouse)

piège de cristal (mc tiernan)
professionnel, le(lautner)
pour une poignée de dollars(leone)
papillon(schaffner)

rosemary baby(polanski)

salauds dorment en paix,les(kurosawa)
shutter island (scorsese)


tigre et dragon(ang lee)


50 supplémentaires :

american history x(kaye)
a history of violence(cronenberg)
arnaque,l'(hill)
after hours (scorsese)

batman(burton)
batman le défi(burton)
basic instinct(verhoeven)
bonnie and clyde(penn)

commando(lester)
casablanca(curtiz)
cité de dieu,la(meirelles)
croix de fer (peckinpah)
canardeur,le(cimino)

dents de la mer,les(spielberg)
doulos,le(melville)

évadés,les(darabont)
eyes wide shut(kubrick)
easy rider(hopper)

fenêtres sur cour(hitchcock)
flic ou voyou(lautner)

grand torino (eastwood)
guerre des étoiles,la (lucas)
gladiator(scott)
ghost writer(polanski)
grande vadrouille, la(oury)

infiltrés,les (scorsese)
il faut sauver le soldat ryan(spielberg)

kid,le(chaplin)

lola montes(ophuls)

million dollar baby (eastwood)
matrix(wachowski)
mad max(miller)
meurtre d'un bookmaker chinois(cassavates)
mélodie en sous sol(verneuil)

new york new york(scorsese)
nerfs à vif,les(scorsese)

orange mecanique(kubrick)
oiseaux,les(hitchcock)

proies,les(siegel)
planète des singes,la(schaffner)

seven(fincher)
snatch(ritchie)
sleepy hollow(burton)
senso(visconti)
sixième sens,le(shyamalan)

terminator(cameron)
there will be blood(p.t. anderson)
the yards(gray)

vivre(kurosawa)
valse des pantins, la(scorsese)
Dernière modification par makaveli le 8 déc. 11, 20:50, modifié 6 fois.
makaveli
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par makaveli »

Je viens à peine de faire mon top 200 que j'édite déjà, j'avais oublié 'the yards' de gray. :lol:
C'est vraiment dur de ne pas oublier de film.
8140david
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par 8140david »

Voici ma liste :

01-20
Andreï Roublev - Tarkovski Andreï , 1966
Aventure de Mme Muir, L' - Mankievicz Joseph , 1947
Chant de la Fidèle Chun Hyang, Le - Im KwonTaek , 1999
Chunking Express - Wong KarWai , 1994
Cité des Douleurs, La - Hou HsiaoHsien , 1989
Lettre d'une Inconnue, La - Ophüls Max , 1948
Ligne Rouge, La - Malick Terrence , 1998
Laputa, le Château dans le Ciel - Miyazaki Hayao , 1987
Fraises Sauvages, Les - Bergman Ingmar , 1957
Opening Night - Cassavetes John , 1977
Rendez-Vous - Lubitsch Ernst , 1940
Rivers and tides : Andy Goldworthy et l'oeuvre du temps - Riedelsheimer Thomas , 2001
Scene at the Sea, A - Kitano Takeshi , 1991
Sur la Route de Madison - Eastwood Clint , 1995
Tombeau des Lucioles, Le - Takahata Isao , 1988
Village, Le - Yamada Yoji , 1975
Vivre - Kurosawa Akira , 1952
Voyage à Tokyo, Le - Ozu Yasujiro , 1953
When a Woman Ascends the Stairs - Naruse Mikio , 1960
Yi Yi - Yang Edward , 1999

21-120
A Bout de Souffle - Godard JeanLuc, 1959
Adieu ma Concubine - Chen Kaige, 1993
Ailes du Désir, Les - Wenders Wim, 1987
Anguille, L' - Imamura Shohei, 1997
Annie Hall - Allen Woody, 1977
Apocalypse Now - Coppola Francis, 1979
Au Travers des Oliviers - Kiarostami Abbas, 1994
Ballade de Narayama, La - Imamura Shohei, 1981
Ballon Rouge, Le - Lamorisse Albert, 1956
Barberousse - Kurosawa Akira, 1965
Blow-Up- Antonioni Michelangelo, 1966
Casablanca - Curtiz Michael, 1942
Chanteuse de Pansori, La - Im KwonTaek, 1993
Charisma - Kurosawa Kiyoshi, 1999
Charulata - Ray Satyajit, 1964
Condition de l'Homme 1, La - Kobayashi Masaki, 1959
Crépuscule à Tokyo - Ozu Yasujiro, 1957
Cure - Kurosawa Kiyoshi, 1997
Dead Man - Jarmush Jim, 1995
Distant Cry From Spring, A - Yamada Yoji, 1980
Docteur Jivago - Lean David, 1965
Enfants du Paradis, Les - Carné Marcel, 1945
Eté Précoce - Ozu Yasujiro, 1951
Famille Tenenbaum, La - Anderson Wes, 2001
Fin d'Automne - Ozu Yasujiro, 1960
Fleurs de Shanghai, Les - Hou HsiaoHsien, 1998
Forêt de Mogari, La - Kawase Naomi, 2007
Forêt Oubliée, La - Oguri Kohei, 2005
Garçons de Fengkuei, Les - Hou HsiaoHsien, 1983
Goût de la Cerise, Le - Kiarostami Abbas, 1997
Goût du Riz au Thé Vert, Le- Ozu Yasujiro, 1952
Goût du Thé, Le - Ishii Katsuhito, 2004
Grondement de la Montagne, Le - Naruse Mikio, 1954
Hana Bi - Kitano Takeshi, 1997
Harakiri - Kobayashi Masaki, 1962
Harpe de Birmanie, La - Ichikawa Kon, 1956
Homme qui Dort, L' - Oguri Kohei, 1996
Homme sans Passé, L' - Kaurismaki Aki, 2002
Honkytonk Man - Eastwood Clint, 1982
Huit et Demi- Fellini Federico, 1963
In the Mood for Love - Wong Kar Wai, 2002
Ivre de Femmes et de Peinture - Im KwonTaek, 2001
Jetée, La - Marker Chris, 1962
Joueurs d'Echecs, Les - Ray Satjiajit, 1977
Jour de Fête - Tati Jacques, 1949
Juha - Kaurismaki Aki, 1998
Jules et Jim - Truffaud François, 1962
Kabei, Our Mother - Yamada Yoji, 2008
Kes - Loach Ken, 1969
Kid, Le - Chaplin Charlie, 1921
Kokoro - Ichikawa Kon, 1955
Love - Makk Karoly, 1971
Madame de - Ophüls Max, 1953
Manhattan - Allen Woody, 1979
Mécano de la Général, Le - Keaton Buster, 1922
Mother - Naruse Mikio, 1952
Mes Voisins les Yamada - Takahata Isao, 1999
Meurtre d’un Bookmaker Chinois - Cassavetes John, 1976
Millenium Mambo - Hou HsiaoHsien, 2001
Miroir, Le - Tarkovski Andreï, 1974
Miss Oyu - Mizoguchi Kenji, 1951
Mon Diner avec André - Malle Louis, 1981
Monsieur Verdoux - Chaplin Charlie, 1947
Nostalghia - Tarkovski Andreï, 1983
Nouveau Monde, Le - Malick Terrence, 2005
Orfeu Negro - Camus Albert, 1959
Parle avec Elle - Almodovar Pedro, 2001
Partition Inachevée pour Piano Mécanique - Mikhalkov Nikita, 1977
Peppermint Candy - Lee ChangDong, 1999
Pickpocket - Bresson Robert, 1959
Poetry - Lee ChangDong, 2010
Princesse Mononoké - Miyazaki Hayao, 1997
Procès, Le - Welles Orson, 1962
Promenade avec l'Amour et la Mort - Huston John, 1969
Quatre Cent Coups, Les - Truffaut François, 1959
Rashomon - Kurosawa Akira, 1950
Règle du Jeu, La - Renoir Jean, 1939
Repas, Le - Naruse Mikio, 1951
Rhapsodie en Août - Kurosawa Akira, 1990
Ronde, La - Ophüls Max, 1950
Sacrifice, Le - Tarkovski Andreï, 1986
Salé Sucré - Lee Ang, 1994
Salon de Musique, Le - Ray Satyajit, 1958
Samourai du Crépuscule, Le - Yamada Yoji, 2002
Secret Sunshine - Lee ChangDong, 2007
Sept Samuourai, Les - Kurosawa Akira, 1954
Septième Sceau, Le - Bergman Ingmar, 1957
Shara - Kawase Naomi, 2003
Si Tu Tends l'Oreille - Kondo Yoshifumi, 1995
Solaris - Tarkovski Andreï, 1972
Stalker - Tarkovski Andreï, 1979
Still Walking - KoreEda Hirokazu, 2008
Surviving Desire - Hartley Hal, 1991
Trust Me - Hartley Hal, 1991
Unforgiven - Eastwood Clint, 1992
Vacances de M. Hulot, Les - Tati Jacques, 1953
Vent Nous Emportera, Le - Kiarostami Abbas, 1999
Vingt-quatre Prunelles - Kinoshita Keisuke, 1955
Vivre ! - Zhang Yimou, 1994
Voleur de Bicyclette, Le - De Sica Vittorio, 1948
Voyage au Bout de l'Enfer - Cimino Michael, 1978

121-150
Breaking the Waves - von Trier Lars, 1996
Carmen Revient au Pays - Kinoshita Keisuke, 1951
Down by Law - Jarmush Jim, 1986
Epouses et Concubines - Zhang Yimou, 1991
Eureka - Shinji Aoyama, 2000
Homme Qui Plantait Des Arbres, L' - Back Frederic, 1987
Histoire Vraie, Une - Lynch David, 1999
Humanity & Paper Ballons - Yamanaka Sadao, 1937
Into the Wild - Penn Sean, 2008
Jin Roh - Okiura Hiroyuki, 1999
Jour Sans Fin, Un - Ramis Harold, 1993
Juno - Reitman Jason, 2007
Mother - Bong JoonHo, 2009
Mr Thank You - Shimizu Hiroshi, 1936
New York, New York - Scorcese Martin, 1977
Quelques Jours dans la Vie d'Oblomov - Mikhalkov Nikita, 1979
Ragtime - Forman Milos, 1981
Ratatouille - Bird Brad, 2007
Robinson Crusoe sur Mars - Haskin Byron, 1964
Sword of the Stranger - Ando Masahiro, 2007
Tabaek Mountains, The - Im KwonTaek, 1994
Temps d'Aimer et le Temps de Mourir, Le - Sirk Douglas, 1958
Tora-San's Dream of Spring - Yamada Yoji, 1979
Touch of Zen, A - Hu Jinquan, 1971
Traversée du Temps, La - Hosoda Mamoru, 2006
Two-Lane Blacktop - Hellman Monte, 1972
Valse avec Bachir - Folman Ari, 2008
Vers sa Destinée - Ford John, 1939
Walkabout - Roeg Nicolas, 1971
Who's Camus Anyway? - Yanagimachi Mitsuo, 2005
Dernière modification par 8140david le 28 sept. 11, 22:37, modifié 7 fois.
fargo
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par fargo »

8140david a écrit :Voici ma liste :
(A) = Animation, (D) = Documentaire

01 - 20
Bergman Ingmar - 1957 - Les Fraises Sauvages
Cassavetes John - 1977 - Opening Night
Eastwood Clint - 1995 - The Bridges of Madison County
Hou Xiaoxian - 1989 - A City of Sadness
Im Kwon-Taek - 1999 - Le Chant de la Fidèle Chun Hyang
Kitano Takeshi - 1991 - A Scene at the Sea
Kurosawa Akira - 1952 - To Live
Lubitsch Ernst - 1940 - The Shop Around the Corner
Mallick Terrence - 1998 - The Thin Red Line
Mankievicz Joseph - 1947 - L'Aventure de Mme Muir
Miyazaki Hayao - 1987 - Laputa, le Château dans le Ciel (A)
Naruse Mikio - 1960 - When a Woman Ascends the Stairs
Ophüls Max - 1948 - La Lettre d'une Inconnue
Ozu Yasujiro - 1953 - Tokyo Story
Riedelsheimer Thomas - 2001 - Andy Goldsworthy, Rivers and Tides (D)
Takahata Isao - 1988 - The Grave of the Fireflies (A)
Tarkovski Andreï - 1966 - Andreï Roublev
Wong Kar-Wai - 1994 - Chunking Express
Yamada Yoji - 1975 - The Village
Yang Edward - 1999 - Yi Yi

21 - 120
Allen Woody - 1977 - Annie Hall
Allen Woody - 1979 - Manhattan
Almodovar Pedro - 2001 - Parle avec elle
Anderson Wes - 2001 - The Royal Tenenbaums
Antonioni Michelangelo - 1966 - Blow-Up
Bergman Ingmar - 1957 - The Seventh Seal
Bresson Robert - 1959 - Pickpocket
Camus Albert - 1959 - Orfeu Negro
Carné Marcel - 1945 - Les Enfants du Paradis
Cassavetes John - 1976 - The Killing of a Chinese Bookie
Chaplin Charlie - 1921 - The Kid
Chaplin Charlie - 1947 - Monsieur Verdoux
Chen Kaige - 1993 - Adieu ma Concubine
Cimino Michael - 1978 - The Deer Hunter
Coppola Francis - 1979 - Apocalypse Now
Curtiz Michael - 1942 - Casablanca
De Sica Vittorio - 1948 - Bicycle Thieves
Eastwood Clint - 1982 - Honkytonk Man
Eastwood Clint - 1992 - Unforgiven
Fellini Federico - 1963 - 8 1/2
Godard Jean-Luc - 1959 - A Bout de Souffle
Hartley Hal - 1991 - Surviving Desire
Hartley Hal - 1991 - Trust Me
Hou Xiaoxian - 1983 - The Boys from Fengkuei
Hou Xiaoxian - 1998 - Les Fleurs de Shanghai
Hou Xiaoxian - 2001 - Millenium Mambo
Huston John - 1969 - Promenade avec l'Amour et la Mort
Ichikawa Kon - 1956 - The Burmese Harp
Ichikawa Kon - 1955 - Kokoro
Im Kwon-Taek - 2001 - Ivre de Femmes et de Peinture
Im Kwon-Taek - 1993 - Seopyonje, la Chanteuse de Pansori
Imamura Shohei - 1997 - L'Anguille
Imamura Shohei - 1981 - La Ballade de Narayama
Ishii Katsuhito - 2004 - The Taste of Tea
Jarmush Jim - 1995 - Dead Man
Kaurismaki Aki - 1998 - Juha
Kaurismaki Aki - 2002 - L'Homme sans Passé
Kawase Naomi - 2003 - Shara
Kawase Naomi - 2007 - La Forêt de Mogari
Keaton Buster - 1922 - The General
Kiarostami Abbas - 1997 - Le Goût de la Cerise
Kiarostami Abbas - 1994 - Au travers des oliviers
Kiarostami Abbas - 1999 - Le Vent Nous Emportera
Kinoshita Keisuke - 1955 - Les 24 Prunelles
Kitano Takeshi - 1997 - Hana Bi
Kobayashi Masaki - 1959 - Le Condition de l'Homme 1
Kobayashi Masaki - 1962 - Harakiri
Kondo Yoshifumi - 1995 - Whisper of the Heart (A)
Kore-Eda Hirokazu - 2008 - Still Walking
Kurosawa Akira - 1950 - Rashomon
Kurosawa Akira - 1954 - The Seven Samurai
Kurosawa Akira - 1965 - Red Beard
Kurosawa Akira - 1990 - Rhapsodie en Août
Kurosawa Kiyoshi - 1997 - Cure
Kurosawa Kiyoshi - 1999 - Charisma
Lamorisse Albert - 1956 - Le Ballon Rouge
Lean David - 1965 - Doctor Zhivago
Lee Chang-Dong - 1999 - Peppermint Candy
Lee Chang-Dong - 2007 - Secret Sunshine
Lee Chang-Dong - 2010 - Poetry
Li An - 1994 - Eat Drink Man Woman
Loach Ken - 1969 - Kes
Makk Karoly - 1971 - Love
Malle Louis - 1981 - My Dinner with André
Mallick Terrence - 2005 - The New World
Marker Chris - 1962 - La Jetée
Mikhalkov Nikita - 1979 - Unfinished Piece For Mechanical Piano
Miyazaki Hayao - 1997 - Princesse Mononoké (A)
Mizoguchi Kenji - 1951 - Miss Oyu
Naruse Mikio - 1952 - Mother
Naruse Mikio - 1954 - The Sound of the Mountain
Naruse Mikio - 1951 - Repast
Oguri Kohei - 1996 - L’homme qui dort
Oguri Kohei - 2005 - La Forêt Oubliée
Ophüls Max - 1950 - La Ronde
Ophüls Max - 1953 - Madame de
Ozu Yasujiro - 1951 - Early Summer
Ozu Yasujiro - 1957 - Tokyo Twilight
Ozu Yasujiro - 1951 - Early Summer
Ozu Yasujiro - 1952 - Flavor of Green Tea Over Rice
Ozu Yasujiro - 1960 - Late Autumn
Ray Satyajit - 1958 - Le Salon de Musique
Ray Satyajit - 1964 - Charulata
Ray Satjiajit - 1977 - Les Joueurs d'Echecs
Renoir Jean - 1939 - La Règle du Jeu
Takahata Isao - 1999 - Mes Voisins les Yamada (A)
Tarkovski Andreï - 1972 - Solaris
Tarkovski Andreï - 1974 - Le Miroir
Tarkovski Andreï - 1979 - Stalker
Tarkovski Andreï - 1983 - Nostalghia
Tarkovski Andreï - 1986 - Le Sacrifice
Tati Jacques - 1949 - Jour de Fête
Tati Jacques - 1953 - Les Vacances de M. Hulot
Truffaud François - 1962 - Jules et Jim
Truffaut François - 1959 - Les 400 Coups
Welles Orson - 1962 - The Trial
Wenders Wim - 1987 - Wings of Desire
Wong Kar Wai - 2002 - In the Mood for Love
Yamada Yoji - 1980 - A Distant Cry From Spring
Yamada Yoji - 2002 - The Twighlight Samurai
Yamada Yoji - 2008 - Kabei, Our Mother
Zhang Yimou - 1994 - Vivre !

121-150
Ando Masahiro - 2007 - Sword of the Stranger (A)
Back Frederic - 1987 - L'homme Qui Plantait Des Arbres (A)
Bird Brad - 2007 - Ratatouille (A)
Bong Joon-Ho - 2009 - Mother
Folman Ari - 2008 - Valse avec Bachir (A)
Ford John - 1939 - Vers sa Destinée
Forman Milos - 1981 - Ragtime
Haskin Byron - 1964 - Robinson Crusoe on Mars
Hellman Monte - 1972 - Two-Lane Blacktop
Hosoda Mamoru - 2006 - The Girl Who Leapt Through Time (A)
Hu Jinquan - 1971 - A Touch of Zen
Im Kwon-Taek - 1994 - The Tabaek Mountains
Jarmush Jim - 1986 - Down by Law
Kinoshita Keisuke - 1951 - Carmen revient au Pays
Lynch David - 1999 - The Straight Story
Mikhalkov Nikita - 1979 - Quelques Jours dans la Vie d'Oblomov
Penn Sean - 2008 - Into the Wild
Okiura Hiroyuki - 1999 - Jin Roh (A)
Ramis Harold - 1993 - Un Jour Sans Fin
Reitman Jason - 2007 - Juno
Roeg Nicolas - 1971 - Walkabout
Scorcese Martin - 1977 - New York, New York
Shimizu Hiroshi - 1936 - Mr Thank You
Shinji Aoyama - 2000 - Eureka
Sirk Douglas - 1958 - A Time to Live a Time to Die
von Trier Lars - 1996 - Breaking the Waves
Yamada Yoji - 1979 - Tora-San's Dream of Spring
Yamanaka Sadao - 1937 - Humanity & Paper Ballons
Yanagimachi Mitsuo - 2005 - Who's Camus Anyway
Zhang Yimou - 1991 - Epouses et concubines
Merci bien pour les titres en anglais :evil:
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Jeremy Fox
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par Jeremy Fox »

c'est clair que Origan42 ne va certainement pas s'amuser à aller trouver la traduction titre par titre et qu'il ne pourra non plus rien faire si le classement n'est pas rétabli par ordre alphabétique du titre concernant le top 120 comme indiqué dans son post initial.
Best
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par Best »

Top 20

1 - Porco Rosso (Hayao Miyazaki)
2 - Postmen in the mountains (Huo Jianqi)
3 - Incorruptibles, Les (Brian De Palma)
4 - Château ambulant, Le (Hayao Miyazaki)
5 - Guerre des étoiles, La (George Lucas)
6 - On murmure dans la ville (Joseph L.Mankiewicz)
7 - Okasan (Mikio Naruse)
8 - Si tu tends l’oreille (Yoshifumi Kondo)
9 - Temps modernes, Les (Charles Chaplin)
10 - Rio Bravo (Howard Hawks)
11 - Casablanca (Michael Curtiz)
12 - Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol)
13 - Drunken master 2 (Jackie Chan)
14 - Heat (Michael Mann)
15 - Ghost in the shell (Mamoru Oshii)
16 - Nuit de l’iguane, La (John Huston)
17 - Contrebandiers de Moonfleet, Les (Fritz Lang)
18 - Chat noir, chat blanc (Emir Kusturica)
19 - Temps d'aimer et le temps de mourir, Le (Douglas Sirk)
20 - Charulata (Satyajit Ray)


TOP 100 (en rouge le Top 20)

36ème chambre de Shaolin, La (Liu Chia Liang)

Abyss - version longue (James Cameron)
Affameurs, Les (Anthony Mann)
A.I (Steven Spielberg)
Aigle des mers, L’ (Michael Curtiz)
Akira (Katsuhiro Otomo)
Aladdin (John Musker, Ron Clements)
Anges aux figures sales, Les (Michael Curtiz)
Assoiffé, L' (Guru Dutt)
Aurore, L’ (Murnau)
Aventure de Mme Muir, L' (Joseph L.Mankiewicz)

Barry Lyndon (Stanley Kubrick)
Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol)
Big Lebowsky, The (Joel Coen)

Capitaine Blood (Michael Curtiz)
Capitaine de Castille (Henry King)
Capitaine sans peur (Raoul Walsh)
Casablanca (Michael Curtiz)
Chantons sous la pluie (Stanley Donnen)
Charge héroïque, La (John Ford)
Charulata (Satyajit Ray)
Chat noir, chat blanc (Emir Kusturica)
Château dans le ciel, Le (Hayao Miyazaki)
Château ambulant, Le (Hayao Miyazaki)
Contrebandiers de Moonfleet, Les (Fritz Lang)
Coups de feu dans la Sierra (Sam Pekinpah)

Dernière croisade, La (Steven Spielberg)
Désaxés, Les (John Huston)
Dragons forever (Sammo Hung)
Drunken master 2 (Jackie Chan)

Elle et lui (Leo McCarey - Version 1957)

Fille du puisatier, La (Marcel Pagnol)
Fist of legend (Gordon Chan)
Flèche brisée, La (Delmer Daves)
Freaks, la monstrueuse parade (Tod Browning)

Gentleman Jim (Raoul Walsh)
Ghost in the shell (Mamoru Oshii)
Guerre des étoiles, La (George Lucas)

Harpe de Birmanie, La (Kon Ichikawa)
Heat (Michael Mann)
Homme tranquille, L’ (John Ford)

I vitelloni (Federico Fellini)
Il faut marier papa (Vincente Minnelli)
Il ferroviere (Pietro Germi)
Incompris, L' (Luigi Comencini)
Incorruptibles, Les (Brian De Palma)
Itinéraire d’un enfant gâté (Claude Lelouch)

Journée en enfer, Une (John McTiernan)
Jour sans fin, Un (Harold Ramis)

Kamikaze taxi (Masato Harada)
Killer, The (John Woo)
Kingdom of heaven - Director's cut (Ridley Scott)
Kitchen (Yim Ho)

Lawrence d'Arabie (David Lean)
Ligne rouge, La (Terrence Malick)
Liste de Schindler, La (Steven Spielberg)
Love letter (Shunji Iwai)

Manon des sources / Ugolin (Marcel Pagnol)
Marin des mers de chine, Le (Jackie Chan)
Millenium Actress (Satoshi Kon)
Mind Game (Masaaki Yuasa)
Mort aux trousses, La (Alfred Hitchcok)

Nausicaa de la vallée du vent (Hayao Miyazaki)
Nouveau monde, Le - Director's cut (Terrence Malick)
Nuit de l’iguane, La (John Huston)

On murmure dans la ville (Joseph L.Mankiewicz)
Okasan (Mikio Naruse)

Porco Rosso (Hayao Miyazaki)
Postmen in the mountains (Huo Jianqi)
Princesse Mononoké (Hayao Miyazaki)
Printemps tardif (Yasujiro Ozu)

Quand passent les cigognes (Mikhail Kalatozov)

Ran (Akira Kurosawa)
Rébellion (Masaki Kobayashi)
Rio Bravo (Howard Hawks)
Rose pourpre du caire, La (Woody Allen)
Ruée vers l’or, La (Charles Chaplin)

Sazen Tange And The Pot Worth A Million Ryo (Sadao Yamanaka)
Scaramouche (Georges Sidney)
Seigneur des anneaux, Le (trilogie) (Peter Jackson)
Sept samouraïs, Les (Akira Kurosawa)
Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks)
Shop around the corner, The (Ernst Lubitsh)
Si tu tends l’oreille (Yoshifumi Kondo)
Spring Subway (Zhang Yi Bai)
Sugata Sanshiro (Seichiro Uchikawa)
Sur les quais (Elia Kazan)

Taste of tea, The (Ishii Katsuhito)
Taxi driver (Martin Scorcese)
Tempête à Washington (Otto Preminger)
Temps d'aimer et le temps de mourir, Le (Douglas Sirk)
Temps modernes, Les (Charles Chaplin)
The mortal storm (Frank Borzage)
Tontons flingueurs, Les (Georges Lautner)
Trois camarades (Frank Borzage)

Vera cruz (Robert Aldrich)
Vie est belle, La (Franck Capra)
Voyage de Chihiro, Le (Hayao Miyazaki)
Voyage sans retour (Tay Garnett)

Winchester 73 (Anthony Mann)

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Top 101 à 150

12 hommes en colère (Sidney Lumet)

A bout de course (Sidney Lumet)

Barberousse (Akira Kurosawa)
Blade Runner - Final cut (Ridley Scott)
Bon, la brute et le truand, Le (Sergio Leone)
Boule de feu (Howard Hawks)
Box of moonlight (Tom DiCillo)
Brigadoon (Vincente Minnelli)

Carnets de voyage (Walter Salles)
Cave se rebiffe, Le (Gilles Grangier)
Cendrillon (Wilfred Jackson, Hamilton Luske)
Chevauchée de la vengeance, La (Budd Boetticher)
Chungking Express (Wong Kar Wai)
Cowboy Bebop : Knockin On Heaven’s Door (Shinichirô Watanabe)

Dame du vendredi, La (Howard Hawks)
Dernière caravane, La (Delmer Daves)

Etang tragique, L’ (Jean Renoir)

Fanfaron, Le (Dino Risi)
Femme du boulanger, La (Marcel Pagnol)
Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock)
Fille de Ryan, La (David Lean)

Grand sommeil, Le (Howard Hawks)

Hana-bi (Takeshi Kitano)
Heure suprême, L' (Frank Borzage)
Homme aux cents visages, L' (Dino Risi)

Il était une fois en chine 1 et 2 (Tsui Hark)
Indestructibles, Les (Brad Bird)
Iron Monkey (Yuen Woo Ping)

Kiki, la petite sorcière (Hayao Miyazaki)
Kill, la forteresse des Samourai (Kihachi Okamoto)

Lettre d’une inconnue (Max Ophuls)

Made in Hong Kong (Fruit Chan)
Miracles (Jackie Chan)
Mirage (Tsiu siu Ming)
Mon voisin Totoro (Hayao Miyazaki)
Mon oncle (Jacques Tati)
Monstres & Cie (Peter Docter, David Silverman)

Omohide Poro Poro (Isao Takahata)

Piège de cristal (John McTiernan)
Pigeon, Le (Mario Monicelli)
Prodigal son (Sammo Hung)

Singe en hiver, Un (Henri Verneuil)
Soleil brille pour tout le monde, Le (John Ford)
Soul of the sword (Hua Shan)

Temps de la colère, Le (Richard Fleisher)

Vacances romaines (William Wyler)
Vampire hunter D - Bloodlust (Yoshiaki Kawajiri)
Vivre ! (Zhang Yimou)

Wall-E (Andrew Stanton)

Zatoichi : Le masseur aveugle (Kenji Misumi)

Top 151 à 200

Affaire Cicéron, L’ (Joseph L.Mankiewicz)
Alabama Monroe (Felix Van Groeningen)
Amants du capricorne, Les (Alfred Hitchock)
Avalon (Mamoru Oshii)

Blonde framboise, La (Raoul Walsh)
Braveheart (Mel Gibson)
Breezy (Clint Eastwood)

Ces messieurs dames (Pietro Germi)
Charge de la 8ème brigade, La (Raoul Walsh)
Choses de la vie, Les (Claude Sautet)
Complainte du sentier, La (Satyajit Ray)

Dieu seul le sait (John Huston)
Dragon Inn (King Hu)

El abuelo (José Luis Garci)

Fourmiz (Eric Darnell, Tim Johnson)
French Cancan (Jean Renoir)

Gandhi (Richard Attenborough)
Good will hunting (Gus Van Sant)
Goût du saké, Le (Yasujirô Ozu)
Goyokin : L'or du Shogun (Hideo Gosha)

Jeu risqué, Un / Wichita (Jacques Tourneur)
Johnny Guitar (Nicholas Ray)
Johnny s'en va-t-en guerre (Dalton Trumbo)
Josey Wales, hors-la-loi (Clint Eastwood)

Kenshin le vagabond : Tsuioku Hen - Le chapitre du souvenir (Furuhashi Kazuhiro)

Lost in translation (Sofia Coppola)
Lover's tear (Jacob Cheung)
Lys de Brooklyn, Le (Elia Kazan)

Ma nuit chez Maud (Eric Rohmer)
Mariage est pour demain, Le (Allan Dwan)
Mariage incognito (George Stevens)
Massacre de fort apache, Le (John Ford)
Mélodie du bonheur, La (Robert Wise)
Minority report (Steven Spielberg)

Night Life Hero (Yuen Chun-Man)

Ouvre les yeux (Alejandro Amenábar)

Pedicab Driver (Sammo Hung)
Pension d'artistes (Gregory La Cava)
Premier jour du reste de ta vie, Le (Rémi Bezançon)

Rebecca (Alfred Hitchock)

Salé sucré (Ang Lee)
Sentimental swordsman, The / Return of the sentimental swordsman (Chu Yuan)
Shanghai Blues (Tsui Hark)
Solitude (Paul Fejos)
Song of the exil (Ann Hui)
Souris City (David Bowers, Sam Fell)
Stars in my crown (Jacques Tourneur)
Swallowtail Butterfly (Shunji Iwai)
Sword of the stranger (Masahîro Ando)

Victor Victoria (Blake Edwards)

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Top 100 Hong-Kong / Chine / Taïwan - Commenté


8 diagrammes de Wu Lang, Les (Liu Chia-Liang)

Gordon Liu dégage une force peu commune et prouve qu’il n’est jamais aussi charismatique que sous la direction du génial Liu Chia Liang, lequel n’a pas son pareil pour allier philosophie des arts martiaux et combats millimétrés. Le tout nous est présenté sur fond d’une histoire simple mais efficace, dont le charme se dévoile sous une forme tragique. En effet, la rage patente que l’on ressent dès les premières minutes est présente tout au long du film, et portée à son paroxysme dans un final devenu culte.

36ème chambre de Shaolin, La (Liu Chia- Liang)

Mon 1er Shaw Brothers, et un énorme coup de cœur. Le film respire quelque chose qui me le rend attachant à plus d’un titre, et une aura légendaire y plane encore aujourd’hui. Comme à l’habitude, les chorégraphies sont remarquables, aussi bien lors des entraînements que durant les combats, et donnent une dimension supplémentaire à l’histoire.

A brighter summer day (Edward Yang)

Une chronique sociale qui a la folie des grandeurs et en même temps ce côté intimiste et proche de ses personnages qui, associé à son approche historique, le place au rang de chez d’œuvre.

A touch of zen (King Hu)

Toute la grâce de King Hu, son univers et la beauté de son cinéma sont concentrés dans ce petit bijou de poésie. A ne pas manquer !

A toute épreuve (John Woo)

Des personnages charismatiques et intéressants à suivre, des gunfights sublimes à n’en plus finir, une réalisation au Top et un final d’anthologie. Que du bonheur !

Anges déchus, Les (Wong Kar-Wai)

Une photographie magnifique au service d’un réalisateur de génie qui sait mieux que quiconque saisir les émotions et nous les transmettre en plein cœur. Et cette folie douce qui plane sans arrêt sur ces anges déchus au caractère hors norme.

Balle dans la tête, Une (John Woo)

Une pléiade d’acteurs remarquables au service d’un scénario en béton. Voilà qui en général n’augure que du bon, surtout quand la réalisation est à la hauteur. Le film regorge de moments d’anthologie et autres passages touchés par des émotions toujours plus intenses. L’amitié, la folie, la colère, le rire, ...

Beyond hypothermia (Patrick Leung)

Grosse côte de sympathie pour ce film au charme indéniable. Lau Ching Wan y est parfait dans son rôle d’ex membre d’un gang qui tombe sous le charme d’une tueuse à gage tourmentée. Se laisse suivre avec un grand plaisir.

Big deal, The (Wong Chun-Yeung)

Un film complètement ouf d'une efficacité redoutable sur le neurone unique laissé en éveil pour l'occasion. Amateurs de comédie déjantée et de fights bien balèzes, précipitez-vous, The big deal, c'est que du bonheur !

Big heat, The (Johnnie To)

Johnnie To a du talent, c’est une certitude. Alors quand il le place au service d’un polar nerveux et violent d’une forte densité, et qu’il nous plonge dans une atmosphère d’une grande noirceur, que dire si ce n’est que le résultat est impressionnant. D’autant plus qu’il le fait sans occulter ses personnages, qu’il arrive à rendre proche de nous, ce qui donne pour résultat que l’on se sent d’autant plus concerné par leur avenir immédiat.

Blade, The (Tsui Hark)

Virevoltant et explosif, The blade est un film atypique doté d’une réalisation totalement barrée et d’une rare maîtrise formelle. Sa frénésie le porte d’un bout à l’autre et emporte tout sur son passage.

Chungking Express (Wong Kar Wai)

Nostalgie quand tu nous tiens. Une beauté intemporelle, teintée de mélancolie et qui nous transporte littéralement. Pas besoin de long discours, le gage de réussite tient de son authenticité.

Comrades, Almost a Love Story (Peter Chan)

Une belle romance qui fait de cette tranche de vie un moment très agréable à vivre, et surtout à partager. Maggie Cheung est épatante !

Crazy safari (Billy Chan)

Les dieux sont tombés sur la tête, Liam Chin Ying aussi. Une comédie totalement barrée qui possède ce charme lié à son environnement, le dépaysement étant totale, et à son humour grand-guignolesque. A mourir de rire !

Dragonn Gate Inn (King Hu)

L'histoire est aussi simple qu'intense et bien menée, la faute à une mise en scène remarquable et une interprétation tout aussi forte. Les personnages ont une classe inégalable et si les scènes d'actions n'ont rien d'extraordinaire, cela ne gâche en aucun cas le plaisir, car l'intérêt est tout autre. Il faut chercher du côté de l'atmosphère prenante à souhait et de la destinée de ceux qui donnent vie au récit. Toujours marqué par la poésie et saupoudré de violence, un film au charme certain et mon King Hu préféré.

Démons à ma porte, Les (Jiang Wen)

Une belle histoire, des personnages atypiques, et un humour noir des grands jours font de ce film un grand moment de cinéma, surtout que la mise en scène est un petit régal et que le contexte historique est des plus intéressant.

Dragons forever (Sammo Hung)

Jackie Chan, Sammo Hung et Yuen Biao. Les 3 frères réunis pour le meilleurs avec cette Kung Fu Comedy urbaine qui nous régale par son humour léger mais efficace et nous en met plein la vue grâce à de nombreuses scènes d’action mirobolantes. Et les cascades, dantesques ! Mais avec tous les acteurs concernés (Dick Wei, Billy Chow, Yuen Wah, Benny Urquidiez, ...) il ne pouvait en être autrement.Un must !

Dreaming the reality (Wong Chun-Yeung)

Le haut du panier du Girls With Guns. Une histoire toute simple qui tourne rapidement à la vengeance, cette dernière s’exprimant au travers de scènes sauvages où se mêlent combats à main nu ahurissants et fusillades tout aussi réussies.

Drunken master 2 (Jackie Chan)

Ce film se regarde avec un plaisir de tous les instants jusqu’à un final de folie se terminant en apothéose par le célèbre combat entre Jackie Chan et son garde du corps Ken Lo. Un des plus beaux final qu’il m’ait été donné de voir ! Alors certes le scénario est des plus basique, une simple histoire de trafique d’œuvres d’art, mais l’essentiel n’est pas là. Drunken Master II fait parti de ces films qui vous font adorer le cinéma. Un grand BRAVO !

Duel to the death (Tony Ching Siu-Tung)

Des ninjas en pagaille dans cette petite bombe ultra-speedée signée Tony Ching Siu-Tung. Les nombreux combats sont variés et tout à fait lisibles, aidées en cela par des chorégraphies réalisées de main de maître, alors que leur dynamisme exacerbé aurait pu avoir un tout autre résultat avec un réalisateur d’une autre facture. Ca part dans tous les sens, mais avec un vrai savoir faire qui rend l’ensemble très digeste.

Eagle shooting heroes, The (Jeff Lau) - 1993

Si votre plus grand souhait est de passer un bon moment de détente, sans prises de tête aucune, alors The eagle shooting heroes est fait pour vous. Oubliées les réflexions ou les messages profonds, tout ici a pour but de vous donner le sourire. Et ça marche ! Jeff Lau n'a pas son pareil pour nous offrir des comédies non sensiques idéales pour dérider notre faciès et faire s'activer les zygomatiques. En bref, un rythme de fou, des dialogues crétins à souhait, des situations à mourir de rire et un comique visuel tordant, le tout porté par par un casting 5 étoiles (Tony Leung Ka Fai et Tony Leung Chiu Wai, Leslie Cheung, Brigitte Lin, Maggie Cheung). Personne ne se prend au sérieux et tout le monde s'en donne à cœur joie, ce qui apporte une bonne humeur permanente. Les combats speedés et cablés sont bien évidement de la partie tout en bénéficiant d'un bon travail pour les chorégraphies. J'ai rarement autant rigolé devant une comédie HK, alors ne manquez surtout pas cet ovni, c'est du très haut niveau !

Eastern condors (Sammo Hung)

Eastern condors fait office de rareté dans le paysage cinématographique Hong Kongais. Cette version sous amphétamines des 12 salopards reste une incursion inhabituelle dans un genre souvent délaissé. Mais l’exception a fier allure. Une galerie de « gueules » du ciné HK livre un spectacle étourdissant au beau milieu d’une jungle hostile. Attachants ou au contraire antipathiques, barrés à souhait (Yuen Wah), tantôt fraternels et blagueurs, tantôt nerveux voir à cran, ils nous livrent un panel de sentiments extrêmes. En bref, ils ne laissent jamais indifférents. L’action est présente tout du long et s’exprime aussi bien par l’intermédiaire d’une distribution assidue de coups de pieds/poings ravageurs et chorégraphiés au millimètre, que par des fusillades grandeur nature ponctuées d’explosions spectaculaires. La photographie est léchée et le final reste un moment d’anthologie, où se brassent toutes les vertus du ciné Hong Kongais en matière d’action. Enooooooorme !

Eight taels of gold (Mabel Cheung)

Parmi la filmographie de Sammo Hung, en grande partie dédiée à l’action au vu de ses impressionnants talents martiaux, on retrouve un bijou classé dans une toute autre catégorie, celle des drames. L’interprétation de Sammo Hung et Sylvia Chang est d’une grande justesse, à la fois humaine et sensible, et les acteurs qui les entourent se montrent tous à la hauteur. Le travail esthétique est une grande réussite. La photo est magnifique et chaque plan est d’une rare beauté. Le scénario n’est pas non plus avare en qualités. On retrouve pèle-mêle un amour impossible, la dure réalité du quotidien inhérente à la situation politique du pays, une approche intelligente de la crise d’identité, et d’autres sujets abordés de manière plus succincte mais tout aussi juste. Le tout est emprunt d’une poignante nostalgie et fini de nous embarquer au plus profond de nous même. Que dire de la musique si ce n’est qu’elle berce les oreilles et apporte un plus indiscutable pour finir de nous plonger dans cette histoire aussi triste que joyeuse. Un subtil mélange de Wong Kar Wai et de Ann Hui.

Exorciste chinois 2, L’ (Sammo Hung)

Beaucoup d’entrain et de bonne humeur dans cette Ghost Kung Fu Comedy aussi barrée qu’attachante. Une ambiance inimitable propre à ce genre si particulier, quelques combats biens sentis et des affrontements à coups de sortilèges toujours aussi tripants. Quand à Lam ching ying, il est décidément le Sifu idéal alors que le duo Sammo/Meng Hoi fonctionne à merveille. J’adore !

Fist of legend (Gordon Chan)

L’histoire, tout le monde la connaît. Un remake où le charisme de Jet Li paraît au grand jour et des combats phénoménaux, avec toutes sortes de combinaisons possibles, du un contre un au un contre dix, en passant par la bataille rangée d’une lisibilité rare. Un de mes plus gros coup de cœur.

Full alert (Ringo Lam)

Un polar désespéré et mélancolique qui alterne accès de violence et passage plus posés sur lesquels planent toujours une menace qui nous prend aux tripes. Une opposition entre flics et gangsters qui aura marqué l’histoire du polar, chacun ayant à sa tête un personnage au charisme imposant.

Fureur de vaincre, La (Lo Wei)

Bruce Lee dans ses œuvres. Et on adore ça !

Gang Master (Tsui Siu Ming)

Que les amateurs de la Shaw Brothers et de Tsui siu Ming se rassurent d’office, Gang master vaut clairement le détour. Il nous propose une intrigue bien ficelée digne des meilleurs Chu Yuan, avec tout ce que cela implique. L’histoire part pourtant sur un grand classique, avec la mort du vieux maître, lequel choisi son fils comme successeur pour mener à bien le futur du clan. Une tâche d’autant plus compliquée en ces temps instables où l’opposition contre les mongols fait rage. Mais voilà, certains êtres malveillants saisiront l’opportunité de mener à bien leurs sombres desseins, lançant le départ des hostilités. Eh oui, comme à l’habitude, les fausses accusations et autres trahisons ne pouvaient être absentes des débats.
Pour ne pas faire durer le suspens plus longtemps sur un des sujets prépondérants, les combats sont de très bonne facture. Techniques, fluides et dynamiques, ils sont mis en valeur par une réalisation et un montage au diapason. La caméra se déplace habilement, les plans alternent avec efficacité, du tout bon pour apprécier au mieux les magnifiques chorégraphies. La variété et la quantité sont eux-aussi de mise, et puis, petite parenthèse, quel plaisir de voir se multiplier les kicks bien ajustés ! Vous l’aurez compris, l’action m’a en tout point enthousiasmée.
Cette application se ressent dans tous les compartiments du film, performance d’acteur comprise, et en fait une très belle réussite de notre chère studio. A ne pas manquer.

Green Snake (Tsui Hark)

La poésie qui habite cette petite perle de Tsui Hark est à l’image de sa beauté, fascinante, limite hypnotique, et tellement plaisante. On en prend plein les mirettes et en plus, l’histoire est magnifique ! Du grand Tsui Hark !

Histoires de fantômes chinois (Tony Ching Siu-Tung)

C’est beau, on est pris dans l’atmosphère sans avoir le temps de s’en apercevoir, et on se laisse embarquer dans cette histoire où fantômes et esprits côtoient un grand Leslie Cheung.

Hong kong godfather – 1985 (Johnny Wang)

Une chronique mafieuse d’une noirceur abyssale, ultra violence et sans espoir de rédemption pour ses personnages, embarqués dans une quête vengeresse impitoyable. Le tout servi par un casting d’habitué, idéal pour donner une véritable dimension à la trame dramatique déroulée sous nos yeux. L’ambiance crépusculaire hors norme se retrouve jusque dans des scènes d’actions pétrifiantes car très spectaculaires et en même temps tout à fait lisibles. Coups de machettes à foison oblige, les affrontement sont particulièrement sanglants. Le final, point culminant du film, est hallucinant par sa fureur et le bain de sang qui en résulte.
LA référence ultime du film de triades, qui se paye le luxe d’enterrer le pourtant très bon The club du maître Kirk Wong, dans lequel l'approche nihiliste est plus habillement distillée, mais où j’aurais été moins sensible comparé au jusqu'au-boutisme visuel de ce Hong Kong godfather.

Il était une fois en chine 1 et 2 (Tsui Hark)

Le scénario est excellent et la réalisation au top, ce qui constitue déjà un très bon point. Ensuite, la galerie de personnages plein de charmes et de charisme sur lesquels l’histoire prend le soin de s’attarder nous fait nous passionner définitivement pour le destin de chacun. L’aspect dramatique est omniprésent mais Tsui Hark n’en oublie pas pour autant l’humour et donne beaucoup de piment à toutes les situations. Une bien belle oeuvre !

In the heat of the sun (Jiang Wen)

Entre chronique sociale adolescente et tranche de vie, on suit le parcours d’un jeune garçon et de sa bande d’amis, le sourire aux lèvres et le cœur porté par l’enthousiasme et la nostalgie qui se dégage de l’ensemble.

In the line of duty 4 (Yuen Woo Ping)

Des fights à la pelle, des chorégraphies au millimètre, dynamiques et montées avec un grand sens du rythme. Chacun s’en donne à cœur joie, le tout dans la bonne humeur, alors qu’importe la faiblesse du scénario, on prend son pied, et c’est bien là l’essentiel !

Iron Monkey (Yuen Woo-Ping)

Un rythme effréné auxquels participent les combats, sublimes et d’une grande variété. A main nus ou avec des armes en tout genre, on en prend plein la vue. Et quel bonheur de voir évoluer Donnie Yen et Yu Rong Guang !

Justicier de Shanghaï, Le (Chang Cheh)

Du 100% Chang Cheh, avec tout ce que cela implique en morceaux de bravoure et en litres de sang déversés. En plus de cela, j’adore l’histoire avec cette quête permanente de reconnaissance et de respect. Du tout bon !

Killer, The (John Woo)

Chef d’œuvre.

King of comedy (Stephen Chow)

Sûrement un des films les plus aboutis de Stephen Chow. L’humour est bel et bien là, toujours aussi efficace mais la différence se fait dans le traitement de ses personnages et cette façon qu’il a de nous attendrir en créant chez eux des relations sincères et authentiques. Et pour ne rien gâcher, le scénario est peut être ce qu’il nous a offert de mieux. A ne pas manquer !

Kitchen (Yim Ho)

Une pépite où chaque éclat apporte son lot de sensations. On passe du rire aux larmes avec une facilité déconcertante et la légèreté teintée d'insouciance vient se mêler à la dureté des thèmes abordés. C'est beau à en pleurer, aussi bien visuellement qu'en ce qui concerne l'histoire et le destin de personnages attachants et atypiques. Ils évoluent le plus naturellement du monde, sans essayer de jouer les faux semblants ni chercher à masquer leurs défauts. Ainsi, leurs qualités se révèlent avec d’autant plus de sincérité, et l’acceptation de l’autre tel qu’il est donne une impulsion à la fois au récit et aux relations des protagonistes. La justesse de Yim Ho dans son regard sur les épreuves de la vie et son approche pour les surmonter apporte quand à elle un vrai plus, et permet à Kitchen de se différencier de beaucoup d’autres films du même style. Certaines scènes touchent au génie, par exemple celle où la force des sentiments se mêle à l’imaginaire et nous propulse dans une danse durant laquelle les âmes des deux héros semblent ne faire qu’un. Quand en plus la réalisation est effectuée avec beaucoup de sensibilité et de grâce, comme dans la séquence pré-citée où son apport est indiscutable, on ne peut qu'applaudir. En effet, elle permet de s’immerger plus profondément, pour que l’on se sente nous aussi couvés dans ce nid d’émotions. Comme vous avez pu le deviner, Kitchen tient une place toute particulière dans mon panthéon personnel. Chaudement recommandé.

Knockabout (Sammo Hung)

Waouh ! Quels combats mes aïeux ! Une multitude de fights impressionnantes où le talent de Yuen Biao et Sammo Hung s’étalent sous nos yeux dans des affrontement de haut vol. C’est puissant, précis, découpé à la perfection. En plus de ça l’humour est pas trop lourd et même souvent drôle, ce qui n’est pas habituel dans ce type de production. Miam, j’en redemande !

Légende de Fong Say Yuk, La (Corey Yuen)

La relation Mère/Fils est excellente avec un Jet Li très à l’aise dans son rôle. Les liens entre les personnages et l’humour tiennent une place prépondérante, et la romance phare est aussi légère que plaisante à suivre. Pour les combats, c’est Corey Yuen aux commandes, donc autant dire qu’on en a pour notre argent. Virevoltantes et dévastatrices, les scènes d’action valent le détour !

Long arm of the law * (Johnny Mak Tong-Hung) et Long arm of the law 3 ** (Michael Mak Dong-Git)

* Un polar clé du cinéma HK, qui voit la pression monter petit à petit et être tout proche de céder, sans pourtant jamais éclater ... jusqu’à un final CULTE !

** Grosse côte de sympathie pour ce film où Andy Lau sur-joue pas mal sans que cela ne pose le moindre problème. De l’action en masse avec quelques coups à mains nus bien distribués, les machettes de sortie, et des fusillades monstrueuses. Le tout assez violent et où tous les codes du genre se mélangent allègrement.

Longest nite, The (Patrick Yau)

Noir, c’est noir. L’atmosphère poisseuse et immersive colle bien à la descente aux enfers de Tony Leung chiu wai dans ce polar d’une grande intensité où tout le monde est pourri jusqu’à la moelle.

Lovers, The (Tsui Hark)

Une des plus belles histoires d’amour jamais portée à l’écran. Une poésie de tous les instants pour une oeuvre aussi triste qu’enthousiaste. Un grand bravo aux deux acteurs principaux, Charlie Young et Nicky Wu !

Lover's tear (Jacob Cheung)

Un film noir, violent et dramatique qui nous offre une magnifique histoire d’amour dont les envolées lyriques apportent le petit quelque chose qui lui donne toute sa dimension et en font un grand film, tout simplement.

Made in Hong Kong (Fruit Chan)

Un des films qui m’aura le plus retourné et pris aux tripes. Tant de beauté et d’émotion au service d’un drame à la fois cruel et attachant, ça ne peut pas laisser indifférent. Une grosse claque !

Maître chinois, Le (Yuen Woo-Ping)

Le super kicker Hwang Jang Lee apporte toute sa classe et incarne à merveille un méchant des plus réussis. La partie comédie est pas mal du tout, les acrobaties et les combats, impressionnants de fluidité et de technicité, sont fabuleux. Les entraînements de Jackie en mettent plein les mirettes et le final ... quel final ! Le tout dans une bonne humeur communicative. J’adore !

Marin des mers de chine 1 * et 2 ** (Jackie Chan)

* Une fois de plus, notre trio favoris est au sommet de son art dans ce must de la Kung Fu Comedy. Celle-ci se déroule dans un cadre dépaysant à souhait qui apporte une petite touche fort agréable et rafraîchissante. Les innombrables combats qui parsèment le film sont à chaque fois une occasion de s’extasier devant la perfection du rendu final. Quel punch mes amis ! Sus aux pirates !

** Cette suite sans temps morts se classe parmi les bonnes productions de l’époque. Les combats sont certes d’un niveau inférieur au 1er opus (référence en la matière), mais restent plus qu’honorables et dans la veine de son prédécesseur. Principaux vecteurs de bonheur, les innombrables cascades où Jackie s’en donne à cœur joie, et le dépaysement total, toujours aussi agréable pour s’évader.

Metade Fumaca (Riley Yip Kam-Hung)

Eric Tsang et Nicholas Tsé nous offrent une performance fort séduisante, tout en retenue et fortement imprégnée de nostalgie. Un duo atypique qui sait se rendre attachant au détour de nombreuses scènes émouvantes à souhait.

Millennium Mambo (Hou Hsiao Hsien)

Shu Qi est d’une beauté renversante, je dirais même par moments qu’elle a été touchée par la grâce. Hou Hsiao Hsien a parfaitement saisi les troubles et les douleurs de l’âme humaine, de même que ces petits bonheurs simples desquels la souffrance ne semble jamais loin. Superbe !

Miracle fighters (Yuen Woo Ping)

Que ce film est drôle ! L’univers teinté de Ghost Kung Fu comedy sied à merveille à cette histoire basée en grande partie sur le jeu d’opposition plein d’humour des deux maîtres et de leur compagnon d’infortune. Les chorégraphies sont quand à elles inventives et surprenantes, en total accord avec le côté légèrement décalé du film

Miracles / Big Brother (Jackie Chan)

Enorme coup de cœur et côte de sympathie à son somment pour une des plus belles réussites de Jackie Chan acteur et réalisateur. L’ambiance générale du film, immersive et en tout point enthousiasmante est un vrai bonheur. Tout le monde apporte sa touche dans ce petit bijou où il n’y a pas de vrai méchant, juste des personnages qui s’en donnent à cœur joie, aussi bien dans la partie humoristique euphorisante, sans oublier les quelques touches dramatiques et bien entendu les remarquables scènes de combats dans la plus pure veine de Jackie, entre acrobaties et coups millimétrés distribués à foison.

Mirage (Tsiu siu Ming)

Mirage, oh Mirage, dits moi qui est le plus impressionnant, le plus fou, le plus euphorisant ! Voilà le genre de séquelles que peuvent laisser la vision de cette pépite du film d’action dirigé par Tsui Siu Ming (Bury me high). Les scènes d’action mélangent allégrement, et avec une réussite totale, cascades, fusillades, combats à main nu, au sabre, j’en passe et des meilleures. Si vous avez un jour l’occasion de voir ce film, dans quelles conditions que ce soit, ne loupez pas cette opportunité de vous en prendre plein la vue !

Mission, The (Johnnie To)

Le johnnie To nouveau est arrivé, et la réussite le poursuit. Les gunfights posés où la maîtrise de l’espace réinvente le genre, un style nonchalant et des personnages un peu paumés mais auxquels ont s’attache aisément. Entre scènes d’action et passages plus intimistes « entre amis », un film comme je les aimes.

Mr Vampire 3 (Ricky Lau)

Pour moi LA meilleure Gjost Kung Fu Comedy. Richard Ng n’a jamais été aussi drôle que dans ce film inventif et barré qui laisse place à l’imagination débridée de Ricky Lau. Beaucoup d’humour donc, mais aussi de l’action impressionnante et un sens du rythme qui fait la différence. L’occasion de lancer un genre pas très fourni au final mais peu avare en réussites.

My heart is that eternal rose (Patrick Tam)

Patrick Tam livre un film à la réalisation magnifique, tout comme cette photographie qui embellit une histoire où l’amitié et la vengeance tiennent une place prépondérante. On vibre pour les personnages, impliqués que l’on est par les évènements qui rythment le récit. L’action est à la hauteur de l’interprétation, c’est à dire excellente. Un petit chef d’œuvre.

My young auntie (Liu Chia-Liang)

Liu Chia Liang n'a pas son pareil pour chorégraphier et filmer les combats Old School en y associant un humour certes pas très subtil mais terriblement efficace et ainsi nous faire passer un très bon moment. Un plaisir de tous les instants pour une vraie réussite !

Night Life Hero (Yuen Chun-Man)

Autant être direct, ce film est tout simplement une des meilleures Kung Fu comedy qu'il m'ai été donné de voir. Au niveau plaisir, il se place directement aux côté de films tels que Pedicab driver, dragons forever, Project A … Il dispose d’un humour ravageur qui m’a constamment plié en deux, l’ambiance est légère et enlevée, alors que les scènes d’action sont tout bonnement MONUMENTALES. Elles sont superbement chorégraphiées, filmées à la perfection, rythmées, puissantes et magnifiées par un montage impeccable. Pour ma part, le pied intégrale et le bonheur absolu !

Ninja in the dragon’s den (Corey Yuen)

Pour sa première réalisation, Corey Yuen frappe fort. Kung fu comedy à la sauce ninja, Ninja in the dragon’s den fait partie des indéniables réussites du genre. Un sourire constant, aucun temps morts et une performance d’acteurs plutôt correcte, pour peu que l’on ne se soit pas trop exigeant côté intrigue, je ne vois ici que des raisons de me réjouir. A ce titres, il est dommage que Conan Lee n’ai pas eut une carrière à la hauteur des capacités entrevues avec bonheur sous l’égide de Corey Yuen. Accompagné de son clan, ce dernier est toujours aussi à l’aise pour concocter de superbes scènes d’actions, impressionnantes d’un point de vue martial et réalisées avec leur habituelle précision. Nombreuses et variées, techniques ninja oblige, elles se savourent comme du petit lait ! Réjouissant.

Nos années sauvages (Wong Kar Wai)

Un des films qui m’a fait découvrir Wong Kar Wai et son univers si dense et emprunt de nostalgie, de tristesse et d’espoirs. L’interprétation est remarquable et la photographie toujours aussi belle. Le tout au service, comme toujours, d’une simple et divine histoire.

Nuan (Huo Jianqi)

Que dire si ce n’est que les paysages, déjà sublimes, sont magnifiés par une réalisation et un sens du cadre étonnant. Comment ne pas être touché par cette histoire d’une simplicité et d’une beauté sans faille. Que faire si ce n’est souligner l’admirable performance des acteurs. Il suffit de se laisser aller, emporté par un tourbillon de sentiments tous plus humains les uns que les autres.

Odd one dies, The (Patrick Yau)

Entre comédie et polar, cet étonnant mélange des genres apporte une touche nouvelle au goût très savoureux. Entre éclats de violence et humour nonchalant, un film qui fait plaisir à voir. Takeshi Kaneshiro incarne à merveille ce petit gangster lunatique et est beaucoup dans le succès final.

Opération Condor (Jackie Chan)

Ce mélange détonnant d’humour et d’action où l’on reste ébahi à de nombreuses reprises est un des fleurons de l’action / comédie qui ont fait le succès des films du génialissime Jackie Chan.

Pedicab driver (Sammo Hung)

Pedicab Driver est sans aucun doute l'un des tous meilleurs films de Samo Hung. L'action est absolument incroyable. Les chorégraphies sont remarquables et notamment lors des combats opposants Samo à Liu Chia Liang et Samo à Billy Chow qui sont parmi les plus beaux que le cinéma Hong Kong nous ait offert, ce qui n'est pas rien ! A souligner également la présence de Dick Wei, Lam Ching Ying et Corey Yuen et la belle performance de Max Mok. UN MUST !

Pekin opera blues (Tsui Hark)

Une histoire où la comédie laisse place au drame dans un simple claquement de doigts, où les multiples rebondissements font monter l’intensité et se mêlent au charme désuet des personnages et de leur environnement. Pour donner naissance à un chef d’œuvre.

Phantom lover (Ronny Yu)

Une de mes performances préférées de Leslie Cheung, émouvant au possible dans ce rôle au service d’une histoire d’amour lyrique et passionnante. Le tout visuellement soigné et d’une authentique beauté plastique. Magnifique !

Police story (Jackie Chan)

Kung Fu Comedy urbaine avec un humour potache qui remplit son rôle, des têtes connues que l’on prend plaisir à voir évoluer, et de l’action où les affrontements sont de petites merveilles. Sans oublier un final devenu culte.

Postmen in the mountains (Huo Jianqi)

Je suis encore tout retourné par tant de sensibilité, de simplicité et d'émotions. Un pur chef d'œuvre. Apaisant, reposant, et tellement humain, ce film brille par sa réalisation sans faille, sa mise en scène impeccable, mais surtout par la beauté de ses images. Visuellement, c'est une parfaite réussite. Un de mes films cultes.

Poussière dans le vent (Hou Hsiao Hsien)

Le quotidien trouve ici un écho tout particulier et ceux qui le font vivre lui donnent un sens un sens, de même qu’une saveur singulière au gré des rencontres et de ces petits riens qui font la vie. Des détails qui peuvent influer de manière inattendue sur l’avenir. Le temps qui passe, encore et toujours, bercé par des rebondissements en tout genre. Authentique et filmé avec tant d’amour, on ne peut qu’être apaisé.

Prodigal son (Sammo Hung)

Le Wing Chun à son apogée dans ce qui constitue une des plus belles réalisations de Sammo Hung. Tout le monde apporte quelque chose à cette histoire bien ficelée, et Yuen Biao, ainsi que Lam Chin Ying, crèvent l’écran. Prodigal Son est un mélange typique de Sammo, qui passe du drame féroce à la comédie potache en un rien de temps. Superbe combat final Yuen Biao Vs Frankie Chan

Raining in the mountains (King Hu)

Décors magnifiques auxquels beaucoup de soin a été apporté, une histoire passionnante, et que dire sur cette mise en scène d’une grande élégance ! Les thèmes récurrents sont idéalement exploités et s’ajoutent à l’intelligence du propos, de même qu’à cette inévitable poésie. Un rythme calme pour une histoire trépidante en son fort intérieur.

Rebellious reign, The (Fong Cheung)

Action ! Tel est le mot d’ordre qu’il revient de rappeler dès maintenant. Car il ne faut pas se le cacher, ce n’est pas au niveau de l’intrigue que l’on va trouver des raisons de s’emballer. Cette dernière, bien que correctement ficelée, sent le déjà vu mille lieues à la ronde. Elle a au moins le mérite de permettre aux combats de faire leur apparition à de nombreuses reprises. Rythmés, chorégraphiés avec rigueur et précision, ils sont le principal atout du film. Les combinaisons sont variées, et lorsque les affrontements mettent en scène de nombreux protagonistes, comme lors d’un final ahurissant, la caméra ne se perd pas et jongle entre les différents échanges. Si elle suit en priorité les acteurs majeurs pour que l’on puisse profiter au mieux de leurs capacités martiales, chacun a son mot à dire et peu démonter ses aptitudes. Il en ressort une effervescence non dissimulée conclue de la plus belle des manières qui soit. Belle surprise.

Rock'n roll cop (Kirk Wong)

Un grand polar désespéré filmé de main de maître et interprété avec force par des acteurs que l’on sent impliqués, et par conséquent un film à découvrir sans hésiter.

Roi singe, Le (Stephen Chow)

Un bijou de comédie non sensique comme Stephen Chow sait si bien faire. Une aventure hors norme au service d’un humour déjanté d’une efficacité jamais démentie. On se marre constamment et on en redemande tant cette comédie respire la sincérité et le bien-être. Extra !

Romance of book & sword / Princess Fragrance (Ann Hui)

On se passionne pour ce récit politico-historique où se joue la destinée d’un pays, avec pour trame de fond la traque perpétuelle des rebelles, qui se battent pour un avenir meilleur. Une histoire entre complots, trahisons, honneur et amitiés. Ajouté au scénario passionnant et à la profondeur psychologique d’ensemble, la mise en scène au cordeau, les plans de toute beauté ainsi que la réalisation de qualité font de ce diptyque un chef d’œuvre.

Sabre infernal, Le (Chu Yuan)

Comme toujours chez Chu Yuan, la forme est magnifique. Cet écrin donne du relief à une histoire bien travaillée dans laquelle se démènent des êtres tourmentés et charismatiques.

Sentimental swordsman, The / Return of the sentimental swordsman (Chu Yuan)

Ti Lung livre une des performances que je lui préfère. Difficile de différencier ces deux films qui compilent tout ce qui me fait aimer le cinéma de Chu Yuan. Le coup de cœur en plus.

Seul bras les tua tous, Un (Chang Cheh)

Jimmy Wang Yu en impose dans ce Chang Cheh qui reste mon préféré de la célèbre trilogie du sabreur manchot. Le plus maîtrisé et celui qui m’impressionne le plus. Enoooorme !

School on fire (Ringo Lam)

Une descente aux enfers qui montre les ravages du milieux mafieux sur les collégiens. Une influence néfaste que Ringo Lam représente dans cette oeuvre crue et violente qui ne passe pas par quatre chemins pour transmettre son message.

Shanghai Blues (Tsui Hark)

Une comédie enjouée à laquelle vient se greffer une romance, elle même teintée de tristesse et qui se voit donner une dimension dramatique fort bien mise en exergue. J’aime voir tout ce beau monde se démener dans ce contexte mouvementé. Un régal !

Shanghai express (Sammo Hung)

Le ciné HK dans ce qu’il a de plus réjouissant. Un casting aux petits oignons, de la bonne humeur à revendre, un humour efficace et un charme fou que l’on doit à ce que le scénario emprunte aux westerns. Ces quelques points comptent parmi les principales raisons du plaisir que l’on prend à voir ce Shanghai Express. D’autant que l’action n’est pas en reste et offre quelques très bon moments où le talent martial de chacun exprime sa pleine mesure, notamment dans un final culte et jouissif à souhait. Alors malgré quelques longueurs passagères, ne boudons pas notre plaisir !

Shaolin Intruders* (Tang Chia) et Shaolin prince** (Tang Chia)

* Violent et cruel par moment mais non dénué d’humour, l’équilibre semble s’opérer très facilement. Et pour apporter la touche finale que tout le monde attend, sachez que le film se finit sur un très beau final qui me fait dire que ce Shaolin Intruders est un vrai grand film de la période Shaw Brothers.

** Ti Lung, encore lui, avec Tang Chia aux manettes. Toujours aussi beau et bien réalisé, doté d’une foule de combats aux chorégraphies enlevées dont le dynamisme n’a d’égale que la précision des enchaînements. Un must !

Shaolin Soccer (Stephen Chow)

Un hybride de Olive et Tom passé à la moulinette Stephen Chow, ça donne pêle-mêle de grands moments de tendresse, une réelle empathie envers ces loosers attachants, une sincère émotion. Mais surtout beaucoup d’humour à l’impact immédiat sur nos zygomatiques et des scènes de foot hallucinantes !

Shaolin Vs Ninja (Liu Chia-Liang)

Kung Fu Comedy made in Liu Chia Liang par excellence. Respect des valeurs liées aux arts martiaux, à la culture propre à chaque pays, mais aussi à ses pratiquants. Une partie comédie légère et agréable qui fait mouche en de nombreuses occasions, une approche ludique des arts martiaux et des combats à la variété impressionnante, chorégraphiés avec la maestria habituelle du Sifu. Du bonheur en barre !

Song of the exil (Ann Hui)

Maggie Cheung n'a jamais été aussi belle et sensible que dans cette tranche de vie marquée par une profonde nostalgie. Mélancolique et envoûtant, Song of the exil est autant une quête de soi qu'une découverte des autres, aussi bien dans le présent que dans le passé méconnu de chacun. Le tout étant magnifié par une interprétation de haute volée. Pour ne rien gâcher, le récit est très bien mené, les flash back intelligement integrés, la réalisation à la hauteur, bref, un chef d'oeuvre !

Sorgho rouge, Le (Zhang Yimou)

Beauté de tous les instants pour la rétine, histoire à la thématique douloureuse et peu approfondie en apparence mais très intéressante à suivre, tout cela avec sur le devant de la scène la magnifique Gong Li. Sa réussite réside aussi dans les personnages qui transmettent leurs émotions sans avoir à s’épancher en paroles. Tout se fait le plus naturellement du monde. On appelle ça le talent.

Soul of the sword (Hua Shan)

Dans Soul of the sword, ce sont les personnages qui constituent l’âme du film. Parmi eux, Ku Feng, Norman Chu, Lin Chen-chi et Ti Lung tiennent le haut de l’affiche avec une belle présence. Les affrontements impressionnent par leur fluidité et leur précision. Percutants et suffisamment variés, entre armes blanches et coups portés à mains nues, ils donnent à l’action du film un véritable crédit et équilibrent l’ensemble de manière impeccable. L’aspect technique est lui aussi une franche réussite. Porté par un rythme soutenu et d’un lyrisme tranchant, Soul of the sword est une oeuvre d’une force sans faille à découvrir sans plus tarder !

Spring Subway (Zhang Yi Bai)

Un film que je vous encourage à découvrir sans plus tarder, pour que vous puissiez vous aussi partager l'espace d'un instant privilégié la souffrance et la joie de ces quelques êtres si peu connus et pourtant tellement proches. Sublime !

Sunflower (Zhang Yang)

Une chronique familiale axée sur la relation père-fils émouvante et sensible, très bien réalisée et superbement mise en scène. A ne pas manquer !

Suzhou River (Lou Ye)

Filmé caméra à l'épaule dans un style accrocheur, inventif et plein de liberté, Suzhou river est un nouvel exemple d'une réalisation s'inspirant fortement de Wong Kar Wai, qui nous envoûte au détour d'un plan, d'un regard lancinant ou d'un mouvement de caméra. Il bénéficie également d'une belle photo en totale adéquation avec l'atmosphère enivrante du film.

Sword, The (Patrick Tam)

Un des films les plus bluffant visuellement que j’ai eu l’occasion de voir. Le soin apporté à cet égare, marque de fabrique de Patrick Tam, ne peut qu’être saluée. Ensuite, les personnages fouillés et ambigus font le reste, profitant d’un scénario basique mais qui a fait ses preuves.

Swordsman 2 (Tony Ching Siu-Tung)

Rébellion, chasse à l’homme et complots sont quelques unes des clés de ce scénario suffisamment solide pour qu’on le suive avec attention. Côté action, c’est la folie furieuse ! Combats aériens et sous acide. Ca explose, voltige, éclate, tranche, dans un florilège d’étincelles et de fureur. Extra !

Syndicat du crime, Le (John Woo)

Un des plus grands classiques du genre. Leslie Cheung habite son personnage et lui transmet toute sa complexité, de même que cette force latente qui ne demande qu’à s’exprimer. Ti Lung est impeccable. Bonne histoire, intensité omniprésente et ... gunfights de dingue à foison !

Tai-Chi Master (Yuen Woo Ping)

La démesure dans les combats, toujours plus survoltés, du un contre un au un contre cent. Une amitié qui se dérobe et une autre qui se crée dans cette affrontement entre le bien et le mal. Autre point qui m’a bien plu, cette tristesse animée de violence qui vient faire le contrepoids avec un humour correct mais pas transcendant. Humour, drame et action au Top sont à mettre au crédit de ce Tai-Chi Master.

Tiger cage 1 * et 2 ** (Yuen Woo-Ping)

* Polar noir matinée de violence sèche, Tiger cage se veut d’une élégante sobriété. Il profite d’être mené avec une intensité jamais démentie, pour finir d’emporter l’adhésion grâce à l’atmosphère sombre soumise à nos sens. Efficace !

** Donnie Yen s’en donne à cœur joie. Il incarne un mec sympathique comme tout avec son traditionnel look de fashion victime, distribue des kicks à n’en plus finir dans de remarquables combats de style urbains comme Yuen Woo Ping sait si bien les faire. On ne s’ennuie pas une seule seconde. Le tout dans une bonne humeur communicative où viennent se greffer quelques éclats de violences bienvenus. Un must !

Un temps pour vivre et un temps pour mourir (Hou Hsiao Hsien)

Comment rendre le simple quotidien plaisant à suivre ? Demandez à Hou Hsiao Hsien. Une tranche de vie lumineuse, faite de petits rien, qui avance tel l’eau dans un ruisseau, semant joies et pleurs sur son passage, encore et toujours.

Vivre ! (Zhang Yimou)

Une grande fresque humaniste et attachante, doublée d’un scénario intelligent, de personnages approfondie qui nous paraissent de suite comme très attendrissants, et que l’on retrouve dans des situations poignantes amenées par l’histoire. La réalisation est elle aussi à la hauteur et la beauté est omniprésente sous nos yeux. Du grand et beau cinéma.

Warriors two (Sammo Hung)

Autre grande réussite du films d’arts martiaux faisant honneur au Wing Chun. Tout le monde est à l’unisson pour livre une belle performance d’acteur qui donne encore plus de relief à l’histoire et à ses fabuleux combats. Impressionnant !

Wild wild rose (Wong Tin-Lam)

Un drame dure et poignant mais aussi magnifiquement interprété. L’histoire et très belle et la destinée des quelques personnages qui donnent vie à cette histoire d’amour ne laisse pas indifférent. On est immergé tout du long dans une atmosphère d’où se dégage un étrange sentiment ... Envoûtant.

Yi yi (Edward Yang)

La vie est belle, dure, alternant les joies et les peines comme autant d’expériences sans cesse renouvelées. Un film bouleversant.

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TOP 100 JAPON


3 Samouraïs Hors-la-loi (Hideo Gosha)
7 Samouraïs, Les (Akira Kurosawa)
13 assassins (Takashi Miike)

A long walk (Okuda Eiji)
A stranger of mine (Kenji Uchida)
Adrift in Tokyo (Satoshi Miki)
Akira (Katsuhiro Otomo)
All about Lily chou-chou (Shunji Iwai)
Amakusa shiro tokisada (Nagisa Oshima)
Ange ivre, L’ (Akira Kurosawa)
Ange rouge, L’ (Yasuzo Masumura)
Anguille, L' (Shohei Imamura)
Avalon (Mamoru Oshii)

Baby Cart I : Le sabre de la vengeance (Kenji Misumi)
Barberousse (Akira Kurosawa)
Beyond the Clouds, The Promised Place (Makoto Shinkai)
Bird people in China (Miike Takashi)
Blues harp (Miike Takashi)

Cérémonie, La (Nagisa Oshima)
Château ambulant, Le (Hayao Miyazaki)
Château dans le ciel, Le (Hayao Miyazaki)
Chien enragé (Akira Kurosawa)
Cimetière de la morale, Le (Kinji Fukasaku)
Combat sans code d'honneur (Kinji Fukasaku)
Condition de l’homme, La (Masaki Kobayashi)
Contes de la lune vague après la pluie, Les (Kenji Mizoguchi)
Cowboy Bebop : Knockin On Heaven’s Door (Shinichirô Watanabe)
Crépuscule à Tokyo (Yasujiro Ozu)

Departures (Takita Yojiro)
Détroit de la faim, Le (Tomu Uchida)

Entre le ciel et l’enfer (Akira Kurosawa)
Eté précoce (Yasujiro Ozu)
Eureka (Shinji Aoyama)

Femme de Seisaku, La (Yasuzo Masumura)
Femme des sables, La (Teshigahara Hiroshi)
Fleur pâle (Masahiro Shinoda)
Forêt oubliée, La (Oguri Kôhei)

Ghost in the shell (Mamoru Oshii)
Goût du saké, Le (Yasujirô Ozu)
Goyokin : L'or du Shogun (Hideo Gosha)
Grains de sable (Hashiguchi Ryosuke)
Guerre des gangs à Okinawa (Kinji Fukasaku)

Hana-bi (Takeshi Kitano)
Harpe de Birmanie, La (Kon Ichikawa)

Ile nue, L’ (Kaneto Shindo)
Insecte nuisible (Akihiko Shiota)
Intendant Sansho, L' (Kenji Mizoguchi)

Kabei : Our Mother (Yamada Yoji)
Kamikaze taxi (Masato Harada)
Kenshin le vagabond : Tsuioku Hen - Le chapitre du souvenir (Furuhashi Kazuhiro)
Kids return (Takeshi Kitano)
Kiki, la petite sorcière (Hayao Miyazaki)
Kill, la forteresse des samouraïs (Kihachi Okamoto)

Laundry (Mori Junichi)
Loups, Les (Hideo Gosha)
Love exposure (Sono Sion)
Love letter (Shunji Iwai)

Millenium Actress (Satoshi Kon)
Mind Game (Masaaki Yuasa)
Mon voisin Totoro (Hayao Miyazaki)
Mont Fuji et la lance ensanglantée, Le (Uchida Tomu)
M/other (Nobuhiro Suwa)
Mushishi (Katsuhiro Otomo)

Nausicaa (Hayao Miyazaki)
Nobody Knows (Kore-Eda Hirokazu)

Okasan (Mikio Naruse)
Omohide poro poro (Isao Takahata)
One Million Yen and the Nigamushi Woman (Tanada Yuki)
Out of the wind (Okuda Eiji)

Page folle, Une (Kinugasa Teinosuke)
Pompoko (Isao Takahata)
Poppoya (Furuhata Yasuo)
Porco Rosso (Hayao Miyazaki)
Princesse Mononoké (Hayao Miyazaki)
Printemps tardif (Yasujiro Ozu)
Puni par le ciel (Hideo Gosha)

Ran (Akira Kurosawa)
Rashomon (Akira Kurosawa)
Rébellion (Masaki Kobayashi)
Rivière de boue, La (Oguri Kôhei)

Sang du damné, Le (Hideo Gosha)
Sazen tange and the pot worth a million ryo (Sadao Yamanaka)
Shura (Toshio Matsumoto)
Si tu tends l’oreille (Yoshifumi Kondo)
Sonatine (Takeshi Kitano)
Sugata Sanshiro (Seichiro Uchikawa)
Swallowtail Butterfly (Shunji Iwai)
Sword of the stranger (Masahîro Ando)

Tampopo (Itami Juzo)
Taste of tea, The (Ishii Katsuhito)
Tokyo sonata (Kiyoshi Kurosawa)
Treize tueurs, Les (Eiichi Kudo)
Tuer (Kenji Misumi)

University of laughs (Hosi Mamoru)

Vampire hunter D Bloodlust (Kawajiri Yoshiaki)
Vie d’un tatoué, La (Seijun Suzuki)
Visage d’un autre, Le (Teshigahara Hiroshi)
Voyage de Chihiro, Le (Hayao Miyazaki)

Zatoichi : Le masseur aveugle (Kenji Misumi)
Zatoichi : Route sanglante (Kenji Misumi)
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Jeremy Fox
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par Jeremy Fox »

A vue de nez, nous avons au moins 100 films en commun :o
8140david
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par 8140david »

Jeremy Fox a écrit :c'est clair que Origan42 ne va certainement pas s'amuser à aller trouver la traduction titre par titre et qu'il ne pourra non plus rien faire si le classement n'est pas rétabli par ordre alphabétique du titre concernant le top 120 comme indiqué dans son post initial.
Mais ma liste est établie par ordre alphabétique ! :D
Le post initial n'indiquait pas clairement de quel ordre alphabétique il s'agissait...
Bon, enfin, si j'ai le temps, je corrigerai ça.
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hellrick
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par hellrick »

Jeremy Fox a écrit :A vue de nez, nous avons au moins 100 films en commun :o
Je crois que j'en ai pas mal aussi avec vous deux (et quand je vois tous ces bons films asiat' que j'ai oublié comme Drunken Master 2, Fist of Legend ou Soul of the Sword ça me désole :D )
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par Best »

hellrick a écrit :
Jeremy Fox a écrit :A vue de nez, nous avons au moins 100 films en commun :o
Je crois que j'en ai pas mal aussi avec vous deux (et quand je vois tous ces bons films asiat' que j'ai oublié comme Drunken Master 2, Fist of Legend ou Soul of the Sword ça me désole :D )
Plus on peut en mettre, plus on a envie d'en rajouter. C'est terrible :mrgreen:
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Message par origan42 »

8140david a écrit : Bon, enfin, si j'ai le temps, je corrigerai ça.
Merci d'avance! :wink:
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origan42
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par origan42 »

Best a écrit :Plus on peut en mettre, plus on a envie d'en rajouter. C'est terrible :mrgreen:
En effet, moi qui croyais qu'avec 200 titres je serais tranquille...
Vivement l'année prochaine pour le top 250 que même l'imdb nous enviera! :x :mrgreen:
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magobei
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par magobei »

Top 20
Au-delà de la gloire (Samuel Fuller)
Avalon (Mamoru Oshii)
Blade Runner (Ridley Scott)
Château de l'araignée, Le (Akira Kurosawa)
Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger)
Croix de fer, La (Sam Peckinpah)
Ghost in the Shell 2: Innocence (Mamoru Oshii)
Hana-bi (Takeshi Kitano)
Harakiri (Masaki Kobayashi)
Il était une fois dans l'ouest (Sergio Leone)
Kairo (Kiyoshi Kurosawa)
Memories of Murder (Bong Joon-ho)
Mort aux trousses, La (Alfred Hitchcock)
Princesse Mononoke (Hayao Miyazaki)
Prophète, Un (Jacques Audiard)
Sept samouraïs, Les (Akira Kurosawa)
Serious Man, A (Joel & Ethan Coen)
Source thermale d'Akitsu, La (Kiju Yoshida)
Temps d'aimer et le temps de mourir, Le (Douglas Sirk)
Les yeux sans visage (George Franju)

Top 120 (en gras le top 20)
36ème chambre de Shaolin, La (Liu Chia-Liang)

Affaire Cicéron (Joseph L. Mankiewicz)
A la verticale de l'été (Tran Anh Hung)
Alien (Ridley Scott)
Anguille, L’ (Shohei Imamura)
Armée des ombres, L’ (Jean-Pierre Melville)
Attack (Robert Aldrich)
Au-delà de la gloire (Samuel Fuller)
Avalon (Mamoru Oshii)
Aventure de Madame Muir, L' (Joseph L. Mankiewicz)

Barberousse (Akira Kurosawa)
Barry Lyndon (Stanley Kubrick)
Black Book (Paul Verhoeven)
Black Christmas (Bob Clark)
Blade Runner (Ridley Scott)
Bonnie and Clyde (Arthur Penn)

Caged! (John Cromwell)
Charge héroïque, La (John Ford)
Château dans le ciel, Le (Hayao Miyazaki)
Château de l'araignée, Le (Akira Kurosawa)
Chevauchée des bannis, La (André de Toth)
Chungking Express (Wong Kar-wai)
Cloverfield (Matt Reeves)
Collateral (Michael Mann)
Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger)
Condition de l'homme, La (Masaki Kobayashi)
Conte de noël, Un (Arnaud Depleschin)
Convoi sauvage, Le (Richard Sarafian)
Croix de fer, La (Sam Peckinpah)

Dead or Alive 2 (Takashi Miike)
Délivrance (John Boorman)
Deux soeurs (Kim Jee-woon)
Dolls (Takeshi Kitano)
Dr. Folamour (Stanley Kubrick)

Ecrit sur du vent (Douglas Sirk)

Fargo (Joel Coen)
Féline, La (Jacques Tourneur)
Female Convict Scorpion: Beast Stable (Shunya Ito)
Fils de l'homme, Les (Alfonso Cuaron)

Ghost in the Shell 2: Innocence (Mamoru Oshii)
Goût du riz au thé vert, Le (Yasujiro Ozu)
Goyokin (Hideo Gosha)
Grand silence, Le (Sergio Corbucci)
Guépard, Le (Luchino Visconti)

Halloween (John Carpenter)
Hana-bi (Takeshi Kitano)
Hanging Garden (Toshiaki Toyoda)
Harakiri (Masaki Kobayashi)
Harpe de Birmanie, La (Kon Ichikawa)
Hellboy (Guillermo del Toro)
Homme qui tua Liberty Valance, L' (John Ford)
History of Violence (David Cronenberg)

Il était une fois dans l'ouest (Sergio Leone)
Impératrice Yang Kwei Fei, L’ (Kenji Mizoguchi)
Inglourious Basterds (Quentin Tarantino)
Intimate Confessions of a Chinese Courtesan (Chu Yan)

Kagemusha (Akira Kurosawa)
Kairo (Kiyoshi Kurosawa)
Kill Bill vol. 1 (Quentin Tarantino)
Killer, The (John Woo)

Locataires (Kim Ki-duk)
Lovers, The (Tsui Hark)

Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper)
Memories of Murder (Bong Joon-ho)
Meurtre à Yoshiwara (Tomu Uchida)
Millenium Mambo (Hou Hsiao-hsien)
M le maudit (Fritz Lang)
Mort aux trousses, La (Alfred Hitchcock)
Mother (Bong Joon-ho)
Musiciens de Gion, Les (Kenji Mizoguchi)
Mysterious Skin (Gregg Araki)

Nobody Knows (Hirokazu Kore-eda)
No Country for Old Men (Joel & Ethan Coen)

Oiseaux, Les (Hitchcock)

Paprika (Satoshi Kon)
Parrain 2, Le (Francis Ford Coppola)
Pat Garrett & Billy the Kid (Sam Peckinpah)
Patton (Franklin Schaffner)
Péril jeune, Le (Cédric Klapisch)
Poison, La (Sacha Guitry)
Poursuite infernale, La (John Ford)
President's Last Bang, The (Im Sang-soo)
Princesse Mononoke (Hayao Miyazaki)
Profound Desires of the Gods (Shohei Imamura)
Promesses de l'ombre, Les (David Cronenberg)
Prophète, Un (Jacques Audiard)
PTU (Johnnie To)

Raining in the mountain (King Hu)
Rebecca (Alfred Hitchcock)
Requiem pour un massacre (Elem Klimov)
Ringu (Hideo Nakata)
Rue de la honte (Kenji Mizoguchi)

Sabre du mal, Le (Kihachi Okamoto)
Salauds dorment en paix, Les (Akira Kurosawa)
Sang du damné, Le (Hideo Gosha)
Sept samouraïs, Les (Akira Kurosawa)
Serious Man, A (Joel & Ethan Coen)

The Set-up (Robert Wise)
Shanghai Blues (Tsui Hark)
Shooting, The (Monte Hellman)
Sonatine (Takeshi Kitano)
Source thermale d'Akitsu, La (Kiju Yoshida)
Starship Troopers (Paul Verhoeven)
Summer of Sam (Spike Lee)
Suzhou River (Lou Ye)

Tatouage (Yasuzo Masumura)
Taxi Driver (Martin Scorsese)
Temps d'aimer et le temps de mourir, Le (Douglas Sirk)
Tokyo Sonata (Kiyoshi Kurosawa)
Tombeau des lucioles, Le (Isao Takahata)
Tueurs, Les (Robert Siodmak)
Tuez Charley Varick (Don Siegel)
Two Lovers (James Gray)

Under the Flag of the Rising Sun (Kinji Fukasaku)

Vie d'un tatoué, La (Seijun Suzuki)
Voyage de Chihiro, Le (Hayao Miyazaki)

Wrestler, The (Darren Aronofsky)

Yards, The (James Gray)
Les yeux sans visage (George Franju)
Yojimbo (Akira Kurosawa)

121-150
Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia (Sam Peckinpah)

Baby cart: L'enfant-massacre (Kenji Misumi)
Blade II (Guillermo del Toro)
Bons baisers de Bruges (Martin McDonagh)

Cité sans voiles, La (Jules Dassin)
Clerks II (Kevin Smith)
Coups de feu dans la sierra (Sam Peckinpah)

Dernier jour de la colère (Tonino Valeri)
Duel to the Death (Ching Siu-tung)

Fous d'Irène (Bobby & Peter Farrelly)
Frankenstein et le monstre de l'enfer (Terence Fisher)

Ghost in the Shell (Mamoru Oshii)

Histoire de fantômes chinois (Tsui Hark)
Hitokiri (Hideo Gosha)
Horde sauvage, La (Sam Peckinpah)

In the Mood for Love (Wong Kar-wai)

Jeunesse chinoise, Une (Lou Ye)

Kiss Kiss Bang Bang (Shane Black)
Ladykillers, The (Alexander Mackendrick)

Marebito (Takashi Shimizu)
Memento mori (Kim Tae-yong & Min Kyu-dong)
Mon voisin Totoro (Hayao Miyazaki)

Point limite zéro (Richard Sarafian)
Presque célèbre (Cameron Crowe)

Sans Sarah, rien ne va (Nicholas Stoller)
Scarface (Howard Hawks)

Vie d'O-Haru, femme galante, La (Kenji Mizoguchi)
Vivre (Akira Kurosawa)

Zatoichi 12: Voyage en enfer (Kenji Misumi)
Zombie (George A. Romero)
Dernière modification par magobei le 2 oct. 11, 11:40, modifié 3 fois.
"In a sense, making movies is itself a quest. A quest for an alternative world, a world that is more satisfactory than the one we live in. That's what first appealed to me about making films. It seemed to me a wonderful idea that you could remake the world, hopefully a bit better, braver, and more beautiful than it was presented to us." John Boorman
8140david
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Re: Top 150 DvdClassik 2011

Message par 8140david »

origan42 a écrit :
8140david a écrit : Bon, enfin, si j'ai le temps, je corrigerai ça.
Merci d'avance! :wink:
Done!

Mais je trouve l'ordre que j'utilisais beaucoup plus facile à lire et organiser conceptuellement :
Nom Prénom du réalisateur - Date - Titre du film

PS: Je n'ai pas traduit le titre quand le film a été diffusé en France avec un titre anglais, ou quand il n'a pas été diffusé et il n'existe que des dvd étrangers avec un titre anglais.
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