Mais...pourquoi ?Colqhoun a écrit :Elephant White || Prachya Pinkaew
Un machin super nullard qui hésite entre drame à 2 francs et film d'action anémique, avec un Djimon Hounsou qui se moque éperdument de son rôle et un Kevin Bacon qui voulait probablement venir faire des vacances en Asie. Ça parle d'un type (Hounsou) super révolté par le trafic de prostituée et qui s'équipe d'un gros sniper pour flinguer les méchants proxénètes. Et voilà. Alors il tue plein de gens, sauve 2-3 filles et à la fin on a droit à des cartons super glauques qui nous disent qu'il y a des millions de filles à la solde de sales types qui vendent leur corps contre leur volonté. Et voilà. C'est tout pourri. C'est réalisé avec le cul, la musique est indigeste au possible et ça semble durer des plombes. Ah et y a aussi un fantôme d'une ancienne prostituée, mais on comprend pas pourquoi.
Notez les films Juin 2011
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Re: Notez les films Juin 2011
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Re: Notez les films Juin 2011
Kevin Bacon + Djimon Hounsou + le réal de Ong Bak, je me suis dit que ça pouvait bien péter.
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Re: Notez les films Juin 2011
An Invisible Sign deuxième production du duo de scénariste et de la réalisatrice de the Wedding Planner, avec une Jessica Alba parfaite, des scènes avec beaucoup d'enfants pourtant parfaitement maîtrisées (j'ai surtout apprécié la petite Sophie Nyweide, mais aussi Baillee Madison, douze ans et qu'on ne presente presque déja plus...le film a reçu un acceuil critique peu engageant et un acceuil public desastreux (4,8/10 IMDB), peut être est ce surtout du aux fans de la nouvelle de l'écrivain Aimée Bender!? c'et souvent comme ça, les adaptations dites "decevantes" dans l'attente des lecteurs. Moi, j'ai trouvé ça très réussi, et j'ai découvert l'acteur Chris Messina à l'occasion enfin je l'ai vu dansGreenberg, mais je me souviens plus de ce film, pourtant pas trop mal il me semble vaguement me souvenir...8/10
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Re: Notez les films Juin 2011
Easy A (ou Easy Girl chez nous)
Une comédie romantique fraiche, bien écrite et servit par des comédiens plus que concernés.
D'ailleurs, Easy A ressemble plus à une comédie de moeurs qu'à une romance à l'eau de rose. Puisque l'amour naissant entre les deux individus tarde vraiment à pointer le bout de son nez. Ce qui participe au côté imprévisible de l'oeuvre.
Effectivement, durant la première demi-heure, et à plusieurs reprises j'ai pensé avoir anticipé les évènements et autres situations qui se produisent durant ce laps de temps, alors qu'en fait l'histoire prend une toute autre tournure. Ca peut paraitre gentiment bordélique voire hésitant aux premiers abords, mais cela m'a plu car le scénario n'est pas trop linéaire.
Un peu à l'image du personnage principal et des relations qui gravitent autour d'elle. Chaque rencontre qu'elle fait, c'est comme un nouveau départ, d'où l'aspect assemblage de vignettes.
J'ai beaucoup apprécié l'univers et le ton du film. Le cinéaste a su trouver un juste équilibre, dans la mesure où il ne verse pas dans les extrêmes (trash ou mielleux), pour dépeindre les vicissitudes d'Olive et de ses camarades.
Pour ce qui est du casting, il est quasiment parfait, mais la véritable star, celle qui sort du lot, c'est Emma Stone. Jusque là, l'actrice jouait des seconds rôles plus ou moins marquants. Ici, c'est complètement diffèrent, elle tient le long métrage sur ses frêles épaules.
Et pour ne rien gâcher, la réalisation tient la route (pas mal le plan séquence lors de l'intro). Et ils ont eu l'excellente idée de finir le film comme dans Breakfast Club. C'est-à-dire le point levé avec en fond sonore Don't You (Forget About Me) de Simple Minds. L'ultime réfèrence qui fait bien plaisir.
A ce propos, je trouve l'emploi des clins d'oeils justifié car le personnage principal s'adresse directement à son auditoire. Autant les clins d'oeils gratuits m'agace, autant là je les trouve bien ancrés au sein de l'histoire.
En conclusion, Easy A est une très bonne surprise, sortie de nulle part, qui a le chic de mettre la patate !
Une comédie romantique fraiche, bien écrite et servit par des comédiens plus que concernés.
D'ailleurs, Easy A ressemble plus à une comédie de moeurs qu'à une romance à l'eau de rose. Puisque l'amour naissant entre les deux individus tarde vraiment à pointer le bout de son nez. Ce qui participe au côté imprévisible de l'oeuvre.
Effectivement, durant la première demi-heure, et à plusieurs reprises j'ai pensé avoir anticipé les évènements et autres situations qui se produisent durant ce laps de temps, alors qu'en fait l'histoire prend une toute autre tournure. Ca peut paraitre gentiment bordélique voire hésitant aux premiers abords, mais cela m'a plu car le scénario n'est pas trop linéaire.
Un peu à l'image du personnage principal et des relations qui gravitent autour d'elle. Chaque rencontre qu'elle fait, c'est comme un nouveau départ, d'où l'aspect assemblage de vignettes.
J'ai beaucoup apprécié l'univers et le ton du film. Le cinéaste a su trouver un juste équilibre, dans la mesure où il ne verse pas dans les extrêmes (trash ou mielleux), pour dépeindre les vicissitudes d'Olive et de ses camarades.
Pour ce qui est du casting, il est quasiment parfait, mais la véritable star, celle qui sort du lot, c'est Emma Stone. Jusque là, l'actrice jouait des seconds rôles plus ou moins marquants. Ici, c'est complètement diffèrent, elle tient le long métrage sur ses frêles épaules.
Et pour ne rien gâcher, la réalisation tient la route (pas mal le plan séquence lors de l'intro). Et ils ont eu l'excellente idée de finir le film comme dans Breakfast Club. C'est-à-dire le point levé avec en fond sonore Don't You (Forget About Me) de Simple Minds. L'ultime réfèrence qui fait bien plaisir.
A ce propos, je trouve l'emploi des clins d'oeils justifié car le personnage principal s'adresse directement à son auditoire. Autant les clins d'oeils gratuits m'agace, autant là je les trouve bien ancrés au sein de l'histoire.
En conclusion, Easy A est une très bonne surprise, sortie de nulle part, qui a le chic de mettre la patate !
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Re: Notez les films Juin 2011
Je l'ai vu il y a trop longtemps pour bien me souvenir, mais la mise en scène est un peu trop centrée sur le personnage principal, (bien que l'actrice est parfaite) il me semble, et l'ensemble de la réalisation n'est pas trop excitante ou inventive; effectivement les acteurs sont bons - c'est devenu la norme dans le genre un peu indie de la production américaine, et c'est aussi bien ainsi- mais tous les personnages ne sont pas tous très bien exploités . Le métrage se suit sans ennuie aucun ,mais cela manque un peu d'ampleur (ou d'amplitude, je ne sais trop comment le dire), non?!
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Re: Notez les films Juin 2011
Brain Code -2011,Randy Daudlin (?) 2,5/10 tout est juste assez pourrie comme il faut pour éviter de passer au vénérable statut de Nanar, c'est juste mauvais, même pas drôle.
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Re: Notez les films Juin 2011
Mean Creek un film sur un jeu de dupe qui finit mal, entre adolescents, rien d'explosif dans les situations, et parfois une "paresse" stylistique de la part du réalisateur qui met ici en scène son propre scénario sans faire preuve d'une réelle envie d'explorer toutes les possibilités inhérentes de l'histoire et des personnages, mais c'est pas mal quand même, 7/10
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Re: Notez les films Juin 2011
Away we go (Sam Mendes, 2009). Très gentil film, sur un gentil couple qui cherche où se poser pour élever son enfant à naître. C'est tellement gentil que ça en devient désarmant , mais en même temps , ces quelques grammes de douceur dans un monde de brutes font du bien.
D'autant plus que la balade ne manque pas de charme : les images sont belles, les acteurs excellents (mention au numéro de Maggie Gyllenhaal) et, si l'ensemble peut paraître un peu naïf, il ne nous assène pas non plus une leçon façon prêchi-prêcha. Et il y a quand même une ébauche de réflexion sur le couple, la famille, la transmission.
D'autant plus que la balade ne manque pas de charme : les images sont belles, les acteurs excellents (mention au numéro de Maggie Gyllenhaal) et, si l'ensemble peut paraître un peu naïf, il ne nous assène pas non plus une leçon façon prêchi-prêcha. Et il y a quand même une ébauche de réflexion sur le couple, la famille, la transmission.
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Re: Notez les films Juin 2011
Cette gentillesse est d'autant plus importante qu'elle fait corps avec la cruauté et le désespoir de son "film jumeau" Les noces rebelles.
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Re: Notez les films Juin 2011
Timecrimes de Nacho Vigalondo
Un homme fait accidentellement un voyage dans le temps et se retrouve confronté à lui-même une heure auparavant. En cherchant à tout prix à réparer cette erreur et à revenir au présent, il va déclencher sans le vouloir une série de désastres irréparables...
Le voyage dans le temps, un thème toujours plein de possibilités mais restant périlleux dans l'équilibre entre scénario inventif et égarement quant aux divers principes de paradoxes temporels. Nacho Vigalondo s'en sort plutôt bien avec ce Timecrimes qui fait de sa modestie un atout et propose une oeuvre fort ludique. Quatre personnages, un cadre relativement restreint et surtout une bonne dose d'idées narrative ludique rendent donc l'ensemble très plaisant à suivre. Fraîchement installé dans une nouvelle demeure en campagne, Hector (Karra Elejalde) se retrouve bien malgré lui témoin de l'agression d'une jeune femme à proximité. Dans sa tentative de la sauver, un mystérieux homme masqué d'un bandage s'en prend à lui le contraignant à fuir dans bâtiment voisin. Tout est donc en place pour un thriller haletant mais divers indices et évènements flous intriguent quant au déroulement attendu : l'attitude étrange de la jeune femme, un mystérieux appel reçu avant le drame par Hector...
Le basculement dans le pur fantastique n'en est que plus surprenant lorsque Hector fait un saut dans le temps supposé lui faire réparer son erreur mais le pire est à venir. Paradoxes temporels, confrontations au double, fatalité inéluctable, rien de bien nouveau mais tout est dans l'agencement effectué par Nacho Vigalondo nous emmène de surprises en surprises. La boucle du temps n'a donc jamais été aussi cruelle et implacable avec ce drôle de héros qui commet toutes les erreurs possibles et qui pour les réparer s'avère plus ambigu encore comme le montre une excellente fin ouverte. Quelques soucis cependant concernant l'interprétation bancale, un certain manque de rythme et surtout un côté exercice de style sans émotion qui du coup force un peu les choses dans son déroulement pour retomber sur ses pieds. Si la conclusion est une merveille de cruelle ironie, les évènements l'amenant son parfois laborieux surtout quant au manque de recul de son héros. c'est parfois le problème des récits de voyage dans le temps qui peuvent parfois tourner à la virtuosité scénaristique. Reste néanmoins une petite série B astucieuse et rondement menée qui apporte un bol d'air frais à un cinéma fantastique espagnol se répétant un peu ces dernières années. Un remake US est prévu et fut un temps attribué à Cronenberg si c'est toujours le cas on peut espérer quelque chose de plus profond et vertigineux vu le potentiel. 4/6
Un homme fait accidentellement un voyage dans le temps et se retrouve confronté à lui-même une heure auparavant. En cherchant à tout prix à réparer cette erreur et à revenir au présent, il va déclencher sans le vouloir une série de désastres irréparables...
Le voyage dans le temps, un thème toujours plein de possibilités mais restant périlleux dans l'équilibre entre scénario inventif et égarement quant aux divers principes de paradoxes temporels. Nacho Vigalondo s'en sort plutôt bien avec ce Timecrimes qui fait de sa modestie un atout et propose une oeuvre fort ludique. Quatre personnages, un cadre relativement restreint et surtout une bonne dose d'idées narrative ludique rendent donc l'ensemble très plaisant à suivre. Fraîchement installé dans une nouvelle demeure en campagne, Hector (Karra Elejalde) se retrouve bien malgré lui témoin de l'agression d'une jeune femme à proximité. Dans sa tentative de la sauver, un mystérieux homme masqué d'un bandage s'en prend à lui le contraignant à fuir dans bâtiment voisin. Tout est donc en place pour un thriller haletant mais divers indices et évènements flous intriguent quant au déroulement attendu : l'attitude étrange de la jeune femme, un mystérieux appel reçu avant le drame par Hector...
Le basculement dans le pur fantastique n'en est que plus surprenant lorsque Hector fait un saut dans le temps supposé lui faire réparer son erreur mais le pire est à venir. Paradoxes temporels, confrontations au double, fatalité inéluctable, rien de bien nouveau mais tout est dans l'agencement effectué par Nacho Vigalondo nous emmène de surprises en surprises. La boucle du temps n'a donc jamais été aussi cruelle et implacable avec ce drôle de héros qui commet toutes les erreurs possibles et qui pour les réparer s'avère plus ambigu encore comme le montre une excellente fin ouverte. Quelques soucis cependant concernant l'interprétation bancale, un certain manque de rythme et surtout un côté exercice de style sans émotion qui du coup force un peu les choses dans son déroulement pour retomber sur ses pieds. Si la conclusion est une merveille de cruelle ironie, les évènements l'amenant son parfois laborieux surtout quant au manque de recul de son héros. c'est parfois le problème des récits de voyage dans le temps qui peuvent parfois tourner à la virtuosité scénaristique. Reste néanmoins une petite série B astucieuse et rondement menée qui apporte un bol d'air frais à un cinéma fantastique espagnol se répétant un peu ces dernières années. Un remake US est prévu et fut un temps attribué à Cronenberg si c'est toujours le cas on peut espérer quelque chose de plus profond et vertigineux vu le potentiel. 4/6
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Re: Notez les films Juin 2011
Judge Dredd | Danny Cannon
Pas revu depuis des annnées. C'est purement et simplement minable. Voilà c'est tout.
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Re: Notez les films Juin 2011
Insidious
Un salutaire retour aux sources des films de maisons hantées des années 80 réalisé curieusement par l'auteur du premier Saw. On pense beaucoup à Poltergeist notamment dans la seconde partie et la présence de Barbara Hershey n'est certainement pas fortuite. Wan parvient même à introduire quelques séquences d'humour jusqu'à un final assez prévisible quand même mais qui fout la trouille
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Re: Notez les films Juin 2011
Il faut dire que Kevin Bacon a été une des victimes de l'escroquerie Madoff, d'où certains de ses choix depuis 2 ans, comme ce film qu'il a certainement du faire que pour le pognon.Colqhoun a écrit :Kevin Bacon + Djimon Hounsou + le réal de Ong Bak, je me suis dit que ça pouvait bien péter.
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Re: Notez les films Juin 2011
[bL'Eclair noir[/b] Un film russe récent (2010) proposé en ce moment par CanalPlus Cinéma. Je n'en n'attendais rien de spécial . Ca a donc été une bobnne petite surprise. Il s'agit d'un film d'aventures avec un peu de fantastique ou SF, puisqu'il y a une voiture qui vole . C'est manifestement destin aux ados, et , si ce n'est pas un grand film, c'est sympa et distrayant. Si l'histoire n'est pas particulièrement originale, le fait que ça se passe en Russie renouvelle un peu le cadre. Moscou , ça change un peu des petites villes américaines (pour ce type de films).
Un fim qui vaut bien des productions qui sortent chez nous.
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Re: Notez les films Juin 2011
Pitch Black De la S.F.B; après quarante minutes de surexposition et de philtre bleu, et à partir d'une histoire sans but précis, on commence à prendre goût à l'abnégation du réalisateur -qui passe au philtre rouge et au teinte bronze-, pour garder la conduite de l'histoire qui suit son court sans déroger à sa règle de base qui est de donner une certaine qualité en terme de suspens et d'ambiance jusqu'au bout, c'est assez divertissant dans l'ensemble. 6,5/10
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