Profondo Rosso a écrit :Non mais tout est sorti en zone 1 Warner donc multizone et avec vostf ça se trouve pas trop cher, le 1er est même sorti en bluray récemment je crois.
Ok merci. J'avais trouvé le premier à 1 euro et je fus agréablement surpris devant cette comédie familiale (certes) mais à l'humour vachard et avec un Chevy Chase des grands soirs.
Clair le premier est énorme et le 2e très bon et apparemment d'après Hellrick la suite vaut le coup. Ben tiens je tombe sur ça le coffret pas trop cher avec tout les épisodes intéressant... http://www.amazon.fr/National-Collectio ... 539&sr=1-3
someone1600 a écrit :Et accesoirement, le seul film ou j'arrive a supporter Will Ferrell. Dans tous les autres, j'en fais une crise d'urticaire...
Tu es dur là, il y a aussi Stranger than Fiction ou il est (presque) sobre (par rapport à ses autres rôles bien sûr!)
C'est parce que je ne cherche pas a voir tous ses films... le seul film autre ou il n'a pas réussi a me gacher le film, c'est Wedding Crasher, mais c'est tout juste, heureusement il n'apparait qu'a la fin.
Effectivement Le sapin a des boules est tellement le meilleur de la série, hilarant ce filml.
Arthur autant le dire tout de suite c'est juste la moyenne sur IMDB, j'ose pas allez voir sur Rotten Tomatoes Russel Brand avez fait une apparition remarquée dans "forgetting Sarah Marshall" puis avez enchainé moins brillament avec "American Trip", Là cette comédie est parfaite, car elle rassemble nombre de talent, le réalisateur les writer, les acteurs tout est parfait...à mon sens mais je crains qu'un jour tout un pan da la comédie américaine disparaisse, les gens ne semblent plus suivre...l'une des grosses comédie de l'année 8,5/10
The Town -Ben Affleck, je respecte beaucoup le désir de bien faire de cet acteur, réalisateur et scénariste, on sent qu'il est cinéphile, et qu'il veut faire le mieux possible, mais je suis pas en admiration, c'est de "l'imagerie" souvent, ici c'est flagrant, même Scorsese n'ose pas tout faire sur un film, mais Ben Affleck ose! bravo, il en faut j'ai bien aimé même si cela à les default des qualités que Ben Affleck semble se porter. Respect quand même on passe un bon moment, sympa. 7/10
North Country L'excellente Niki Caro, met en scène l'histoire du harcemmant moral et sexuel des annés 80 aux states, ici l'histoire se passe dans une mine du Minnesota, un bon film politique. Fort bien mis en scène et interprété (Charlize Theron, Woody Harrelson, Frances M Dorman...)
Ce sont les scénaristes aussi,, sur ce film de 2006, à moins de un million $,..qui peut se résumer ainsi, "de l'inconvénient d'être né qand on va devenir un super-héros" Michael Rapaport porte le film de manière magistrale et tout le budget doit être passé dans son cachet, donc je previens c'est un premier film fauché, mais prometteur...les deux compères travaillent en ce moment sur des projets je vais les suivre je pense...
Unthikable - Là c'est Samuel l Jakson qui est maître du jeu, car sauf peut être Michael Seen, les autre acteurs sont moins convaincants, même si cela reste un budget assez honnête pour s'offrir quand même de la qualité; l'histoire d'un américain qui se fait torturé aux étas unis dans un lieu secret, pour lui faire avouer où il a planqué les bombes...thriller psychologique qui fonctionne assez bien, même si la réalisation fait un peu TV.
Ratatouille a écrit :Mais pourquoi je ne connais qu'à peine la moitié des films dont tu parles ?...
Je pense que: je ne regarde rarement les films qui sortent sans attendre quelques temps avant de les voir, de plus je n'exprime que peu sur les thème du film, pas trop le temps et/ou pas trop les compétences, je ne sais pas moi même souvent ce que je vais voir deux ou trois jours à l'avance, de plus je donne les titres en pas français avec tous ça je crois qu'il est possible que tu en ais entendu parler, même peut-être vu certains sans que mes commentaires ne te donne la puce à l'oreille en gros c'est de ma faute sûrement dernière chose je ne parle pas des films que j'ai revus, en général, à quoi bon dire que j'ai revu ce moi ci, "Godfellas", Donnie Darko" ou "LA Confidential", je pense que c'est ça, et aussi que je sais pas si ces films sont distribués et sous quelle forme en France et en Europe...souvent pas très bien apparemment
Storm Warning Premier quart d'heure sans aucun interêt. puis deux amoureux qui se retrouvent bloqués sur une île la nuit venue , sous l'orage, puis ils arrivent dans une maison abandonnée, croient-ils, mais arrivent trois psychopates de père en fils qui vont les sequestrés jusqu'au retour de baton vengeresque des victimes, les acteurs sont bons, enfin surtout les trois dingues qui foutent les jetons; et les quatres scènes gores de la dernières parties sont très bonnes, et l'ensemble de la prestation des tortionnaires plutôt bien mis en scène, est efficace, mais je ne connais aucun de tous ces acteurs je crois. Le réalisateur étant lui celui de "Urban Legend" Allez soyons pas chien c'est australien... 6/10
Smocking Ace's Joe Carnahan (2006) Le deuxième opus c'était n'importe quoi, mais les scènes d'action étaient efficaces, là c'est pareil, et en mieux réalisé même, mais c'est aussi n'importe quoi 6,5/10
Triangle -les passagers d'un voilier chavirent et rejoignent un mystérieux navire abandonné.
Passés les trente premières minutes on s'amuse assez bien avec ce scénario à tiroir, 6,5/10
Insanitarium -L'histoire d'un jeune gars qui veut entrer en psychiatrie pour sauver sa soeur internée, c'est pas trop mal dans l'intention, mais ça perd assez rapidement en crédibilité, car c'est juste un DTV, c'est encore pire niveau crédibilité dans la deuxième moitié du film, là c'est carrement hémoglobine et gore à tous les étages. 6,5/10
Voilà un scénario intéressant (inspiré d'une histoire vraie), aussi original que pertinent par les comportements qu’il décrit comme dans les questions qu’il soulève. Une partie de ces réflexions concerne l’Art et l’infime subtilité de sa perception. A quel moment ces photos d’enfant sortent-elles du cadre artistique ? Jusqu’où peut-on aller pour l’Art ? L’Art prime-t-il sur la vie ? etc. En même temps cet art ne s’exerce pas dans des conditions normales puisque Hanna, la mère, est aveuglée par son devoir d’artiste. Elle a déjà un comportement décalé, c’est une originale, et vit dans une autonomie fragile (l’argent peut se faire rare) et autocentrée (elle est foncièrement individualiste et ne s’ouvre aux autres qu’en cas de besoin). Elle vit dans une bulle créatrice qu'elle utilisecomme excuse à son tempérament presque asocial. Mais c’est aussi le seul espace qui, dans cette histoire, lui permet d’accueillir la présence familiale. Hanna réagit en artiste chronique, suit son inspiration sans réaliser la portée de ses actes : il lui manque la dimension humaine et relationnelle qui la replacerait dans la réalité. Inconsciente de ses obligations familiales, elle aggrave sa situation de mauvaise mère (qui semble être le malheureux épisode supplémentaire dans une tragédie familiale). Elle se pense incomprise et réplique sans arrêt à ces accusations des notions artistiques intéressantes mais déplacée : car dorénavant c’est la vie qui entre en jeu et plus seulement l’illusion de l’Art.
Le film pose également des questionnements sur l’éducation et la responsabilité des adultes dans le devenir des enfants. Les évènements montrés dans le film, pourtant sans aucune provocation visuelle, sont choquants : on assiste au déséquilibre d’une innocence à qui on n’a pas transmis les bons repères.
C’est le manque d’un père inconnu et l’absence d’une mère. C’est une présence qui revient, une complicité qui semble naître, un vide parental comblé par des jeux photographiques. Mais c’est surtout une illusion prise pour la réalité, un mensonge amoral d'adulte et une réaction d'enfant: l’envie de plaire à cette mère en faisant tout comme elle, adopter son exubérance, aller jusqu’à l’imitation (des poses, des vêtements). C’est la perte des repères, loin, jusqu’à se comporter comme un adulte alors qu’on n’a pas douze ans et qu’on reste impressionnable. C’est être entouré d’adultes qui jouent un jeu dangereux, conciliants avec cet esprit mais abusifs par ce rapport de force déloyal. Le film montre une enfant à la maturité illusoire et trop précoce, une personnalité en train de se construire à qui l’on impose un univers pour lequel elle ne peut être prête. C’est ce choc qui donne à l’histoire tout son intérêt et qui crée en même temps un malaise (comment a-t-on pu également laisser cette enfant s’habiller ainsi à l’école ???).
Pourtant je n’ai pas accroché au film. Peut-être trop elliptique, le réveil tardif de l’enfant ne m’a pas convaincu, trop instantané, trop exagéré (à coup de « salope ! »). Le personnage de la gamine est montré mais pas assez décrit, l’empathie reste distante. Huppert est de nouveau dans un rôle de mère, de nouveau dans un rapport difficile et contrarié avec sa progéniture. Son jeu presque atone et sans émotion fonctionne bien dans cette perspective.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
See You in September La première réalisation de l'actrice TV Tamara Tunie. la rencontre en thérapie de groupe de quelques New Yorkais délaissés par leur psy personnel pendant la longue période de vacances d'Aout de leur praticien . Comédie romantique écrite par quatre scénaristes, qui ne décolle jamais et qui n'innove pas spécialement, et une réalisation très molassone dans des scènes pas dirigées à la perfection c'est le moins que l'on puisse dire. Les acteurs sauvent un peu l'ensemble, mais pas trop.
Take Me Home Tonight (Michael Dowsne) entre "Hot Tub Time Machine" et un "Superbad", mais sans le talent de Steve Pink et de Greg Motolla (Apatow) pour la réalisation, mais c'est une comédie assez marrante, à remarquer la prestation d'un acteur, réalisateur, et director, très prometteur, Dan Fogler, qui avait été remarqué pour avoir réalisé et writer "Hysterical Psycho".
Ralisateur et director, ce n'est pas la même chose ? (et "writer, je suppose qu'il faut comprendre écrit le scenario...)
A part Greg Mottola et Appatow, je n'ai jamais entendu parler de tous ces gens-là.
Dans tous les autres, j'en fais une crise d'urticaire... 
Russel Brand avez fait une apparition remarquée dans "forgetting Sarah Marshall" puis avez enchainé moins brillament avec "American Trip", Là cette comédie est parfaite, car elle rassemble nombre de talent, le réalisateur les writer, les acteurs tout est parfait...à mon sens 
Michael Rapaport porte le film de manière magistrale et tout le budget doit être passé dans son cachet, donc je previens c'est un premier film fauché, mais prometteur...les deux compères travaillent en ce moment sur des projets je vais les suivre je pense...
Allez soyons pas chien c'est australien... 6/10