My man!!!!!!!!!!hellrick a écrit :1° Halloween la nuit des masques = 9/10
2° Rob Zombie - Halloween II director's cut = 8,5/10
La saga Halloween (1978-2022)
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Celui-là sera projeté au cinéma Max Linder de Paris début Décembre.Spongebob a écrit :
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Pas dans le cadre d'une nuit spéciale j'espère ? Parce que moi passé minuit je m'endors systématiquement devant un film
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
http://www.pifff.fr/2018/planning-frSpongebob a écrit :Pas dans le cadre d'une nuit spéciale j'espère ? Parce que moi passé minuit je m'endors systématiquement devant un film
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Sait-on si la sortie de H40 va permettre chez nous une édition BD des épisodes inédits dans ce support ? Quelque chose est-il annoncé pour un futur proche ? (enfin pour moi c'est surtout pour le 3ème… Les autres, en dehors du 1er -qui, je crois existe déjà chez nous en BD- je m'en fous un peu…).
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Je viens dacheter le 2 pour remplacer mon dvd pourri...en plus il y a le très sympa doc "Terreur dans la salle" en bonus donc...Spongebob a écrit :Après pas mal de recherches ces derniers jours je peux déjà te dire que les épisodes 2 et 3 édition US Universal de 2011 sont Zone All et avec STF. Maleheureusement elles sont pas faciles à trouver à un prix décent.Flol a écrit :Il y a un moyen facile (et légal) de se refaire l'intégrale des films (jusqu'aux 2 de Zombie, s'entend) ?
Je continue à investiguer pour les épisodes suivants mais c'est laborieux.
https://fr.shopping.rakuten.com/offer/b ... f259468a68
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Il est quand même un peu vieillot ce doc si je me souviens bien. Sinon si ma mémoire ne me trahit pas le BR fait le job.
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Disons que c'est plus un best of de scènes d'angoisse parfois assez gore qu'un vrai regard sur le cinéma d'horreur et forcément il s'arrête au début des années 80. Je l'avais vu en vhs à l'époque sous le titre le Spectre de la peur et ça m'avait quand même donné envie de voir pas mal de films dont on voit les extraitsodelay a écrit :Il est quand même un peu vieillot ce doc si je me souviens bien.
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
C’est amusant de découvrir, à quelques semaines d’intervalles, Halloween II de Rob Zombie et Halloween de David Gordon Green, et de constater les troublantes similitudes d’approche.
Sur le plan stylistique, a priori rien à avoir: les images granuleuses de Rob Zombie, filmées en très gros plans au ras de la peau, presque exsudatives, rarement stables renvoient aux images lisses, claires, zoomées de Gordon Green ( cruelle absence de son chef op habituel, le regretté Tim Orr ). Et, pourtant, dans les deux cas, il y a écho et hommage à l'esthétique des 70’s, que chaque réalisateur soumet à ce désolant besoin d’explication psychologique avec pour résultat une démystification onéreuse et préjudiciable: par excès d’humanisation de Myers s’éloignant de l’abstraction pure (« shape ») à travers le choix d’un visage familier, figure du vieillard chez Gordon Green ou du bikers chez Zombie, une plus-value dramatique à tendance psychologisante, examen inintéressant digne d'un sitcom des conséquences traumatiques sur la famille Strode chez le réalisateur de George Washington,, généalogie du mal chez Zombie, avec le concours d’une imagerie symbolique clipeuse foireuse qui identifie maman Myers à un ange de la mort.
Dans les deux cas, la déconstruction du mythe Myers, par la psychologie et l’humanisation, annule d'avance toute économie, confisque toute possibilité de tension, par excès de rationalité, et de mystère. Les deux films se réduisant souvent à des interprétations psychanalytiques de Myers, écueil que Carpenter et ses ayants droits avaient évité en faisant de Myers l’incarnation du Mal et du boogie-man. Il s’agissait alors moins de pénétrer son esprit ou de comprendre la tragédie de son existence mais de libérer son corps de contraintes physiques et d’en faire finalement un fantôme hantant les lieux, un enjeu de mise en scène spatiale, une pure présence sans visage, omnipotent et increvable. C’est une cohérence et puissance d’effroi dont, manifestement, ni Rob Zombie ni David Gordon Green n’ont saisi.
Sur le plan stylistique, a priori rien à avoir: les images granuleuses de Rob Zombie, filmées en très gros plans au ras de la peau, presque exsudatives, rarement stables renvoient aux images lisses, claires, zoomées de Gordon Green ( cruelle absence de son chef op habituel, le regretté Tim Orr ). Et, pourtant, dans les deux cas, il y a écho et hommage à l'esthétique des 70’s, que chaque réalisateur soumet à ce désolant besoin d’explication psychologique avec pour résultat une démystification onéreuse et préjudiciable: par excès d’humanisation de Myers s’éloignant de l’abstraction pure (« shape ») à travers le choix d’un visage familier, figure du vieillard chez Gordon Green ou du bikers chez Zombie, une plus-value dramatique à tendance psychologisante, examen inintéressant digne d'un sitcom des conséquences traumatiques sur la famille Strode chez le réalisateur de George Washington,, généalogie du mal chez Zombie, avec le concours d’une imagerie symbolique clipeuse foireuse qui identifie maman Myers à un ange de la mort.
Dans les deux cas, la déconstruction du mythe Myers, par la psychologie et l’humanisation, annule d'avance toute économie, confisque toute possibilité de tension, par excès de rationalité, et de mystère. Les deux films se réduisant souvent à des interprétations psychanalytiques de Myers, écueil que Carpenter et ses ayants droits avaient évité en faisant de Myers l’incarnation du Mal et du boogie-man. Il s’agissait alors moins de pénétrer son esprit ou de comprendre la tragédie de son existence mais de libérer son corps de contraintes physiques et d’en faire finalement un fantôme hantant les lieux, un enjeu de mise en scène spatiale, une pure présence sans visage, omnipotent et increvable. C’est une cohérence et puissance d’effroi dont, manifestement, ni Rob Zombie ni David Gordon Green n’ont saisi.
Dernière modification par G.T.O le 8 déc. 18, 17:33, modifié 1 fois.
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
avec sa barbe de père Noël entraperçue lors de la magnifique intro avec les patients hystériques, le film commençait fort déjà...G.T.O a écrit :figure du vieillard chez Gordon Green
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
J'hallucine encore de voir que ce début n'ait pas attisé plus de rejet, tellement j'ai trouvé cela ridicule de bout en bout.mannhunter a écrit :avec sa barbe de père Noël entraperçue lors de la magnifique intro avec les patients hystériques, le film commençait fort déjà...G.T.O a écrit :figure du vieillard chez Gordon Green
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
"Barbe de Père Noël" ? Non mais vous êtes sérieux ?
Le mec est supposé avoir 67 ans, donc avec une barbe forcément blanche...et pour vous, ça devient une "barbe de Père Noël".
J'adore votre capacité à saisir un élément totalement anecdotique dans un film, pour mieux le tourner en ridicule alors que ça n'en vaut franchement pas la peine.
S'il y en a qui vous lisent et qui espèrent se marrer autant que vous devant cette scène du film, ils risquent d'être sacrément déçus.
Le mec est supposé avoir 67 ans, donc avec une barbe forcément blanche...et pour vous, ça devient une "barbe de Père Noël".
J'adore votre capacité à saisir un élément totalement anecdotique dans un film, pour mieux le tourner en ridicule alors que ça n'en vaut franchement pas la peine.
S'il y en a qui vous lisent et qui espèrent se marrer autant que vous devant cette scène du film, ils risquent d'être sacrément déçus.
Tu m'as fait flipper, j'ai cru qu'il était décédé.G.T.O a écrit :( cruelle absence de son chef op habituel, le regretté Tim Orr )
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
mannhunter a écrit :avec sa barbe de père Noël entraperçue lors de la magnifique intro avec les patients hystériques, le film commençait fort déjà...G.T.O a écrit :figure du vieillard chez Gordon Green
Oui, apparition totalement ratée, à l'image du film en général. Là aussi point commun avec le film de Rob zombie, cet autre film capillaire: écho entre la barbe de Myers et la coupe de cheveux de Laurie - Sarah Connor T2- Strode. Et aussi mauvais l'un que l'autre.
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Ceci dit, tu as raison. Je voulais préciser que c'est la séquence elle-même que je trouve complètement ratée ainsi que son écriture, plutôt que la barbe de Myers, que j'ai trouvé... normale quoi.Flol a écrit :"Barbe de Père Noël" ? Non mais vous êtes sérieux ?
Le mec est supposé avoir 67 ans, donc avec une barbe forcément blanche...et pour vous, ça devient une "barbe de Père Noël".
J'adore votre capacité à saisir un élément totalement anecdotique dans un film, pour mieux le tourner en ridicule alors que ça n'en vaut franchement pas la peine.
S'il y en a qui vous lisent et qui espèrent se marrer autant que vous devant cette scène du film, ils risquent d'être sacrément déçus.
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Re: La saga Halloween (1978-2018)
Watkinssien a écrit :J'hallucine encore de voir que ce début n'ait pas attisé plus de rejet, tellement j'ai trouvé cela ridicule de bout en bout.
Voilà, c'est un tout cette intro maladroite, entre le cabotinage des patients qui "aboient" autour du mutique Myers, les dialogues démonstratifs et la barbe de papy, comme la petite scène voulue iconique et juste tristement banale où il récupère en plein jour je crois après l'agression dans les chiottes son masque (usé), dans le coffre de la bagnole. ...ça manque singulièrement d'atmosphère, de mystère,de tension comme le film dans son ensemble (bon faut dire aussi que j'avais redécouvert le Carpenter sur grand écran quelques jours après le DGG/Blum.. )Watkinssien a écrit :c'est la séquence elle-même que je trouve complètement ratée ainsi que son écriture