Agnès Varda (1928 - 2019)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Jeremy Fox
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Re: Agnès Varda

Message par Jeremy Fox »

Un jour, ce coffret sera mien.
Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

Jeremy Fox a écrit :Un jour, ce coffret sera mien.
Si tu ne veux pas de ta pochette surprise, tu sais où me trouver ce jour là... :D :mrgreen:
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Jeremy Fox
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Re: Agnès Varda

Message par Jeremy Fox »

Début d'une intégrale Varda sur le site avec La Pointe Courte
Kirikou
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Re: Agnès Varda

Message par Kirikou »

Jeremy Fox a écrit :Début d'une intégrale Varda sur le site avec La Pointe Courte
Vivement la suite ! :D Pour l'instant je regarde les dvd dans le désordre et non dans l'ordre chronologique...

... et vous ?
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Re: Agnès Varda

Message par Amarcord »

Jeremy Fox a écrit :Début d'une intégrale Varda sur le site avec La Pointe Courte
Chouette initiative que de mettre la lumière sur cette artiste majeure ! Je me régale d'avance de tout ce qu'il va y avoir à lire !
Et c'est l'occasion de recadrer (peut-être ?) un peu les choses : ...et si, le vrai premier long métrage de la Nouvelle vague, c'était La Pointe courte ? On ne cite jamais Varda comme une pionnière de la Nouvelle vague (on préfère parler toujours du Beau Serge, d’À bout de souffle ou des 400 coups, tous réalisés et sortis après), mais historiquement, c'est bien elle, la première de la "bande" (mais c'est peut-être là que le bât blesse : peut-on rattacher un oiseau aussi libre que la Varda à quelque bande que ce soit, finalement ?) à avoir fait un long métrage, avec cette Pointe courte, dont le tournage a quand même débuté fin 1954 (soit 3 ans avant Le Beau Serge, souvent considéré comme le premier film de la Nouvelle vague)... En fait, Varda a juste eu le "tort" de faire La Pointe courte avant même que Françoise Giroud n'ait, la première, parlé de "nouvelle vague", dans "L'Express", en 1957... En d'autres termes : dès le départ, Varda était donc, déjà, en avance !
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Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

Kirikou a écrit :
Jeremy Fox a écrit :Début d'une intégrale Varda sur le site avec La Pointe Courte
Vivement la suite ! :D Pour l'instant je regarde les dvd dans le désordre et non dans l'ordre chronologique...

... et vous ?
Oui, très chouette initiative pour reprendre Amarcord.
Curieusement de même que j'entamais un périple Werner Herzog au moment où les chroniques paraissaient en même temps sur le site de Classik, j'ai entamé un périple Agnès Varda il y a peu. Comme Kirikou, j'ai commencé les oeuvres dans le désordre total, seulement guidé par mes envies. Je vais poster quelques chroniques ici, tiens. :D
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Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

J'ai commencé mon périple Varda dans le désordre, aussi bien regardant des courts que des longs. Mais comme j'ai commencé par des courts, j'en parle donc ici.

=============

● Ô saisons, ô châteaux (1957).

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Une oeuvre de commande juste après son premier long-métrage, La pointe courte (1955). Et une oeuvre dont elle se sort avec une incroyable légèreté, une évidence pas croyable pour l'époque. Cela a plus de cinquante ans mais pourrait avoir été fait aujourd'hui si le son et l'image ne trahissaient pas d'une certaine manière la provenance temporelle. D'autres auraient choisis de commencer leur carrière par des courts avant de passer au long, pas la Varda qui bouillonnait déjà d'un certain feu intérieur. Cela dure 22 minutes mais se révèle drôle, enchanteur et des plus instructifs sans jamais tomber dans le commentaire lourdement didactique.


Agnès en plus à l'oeil. Les compositions restent toujours bien faites, on entend même des poèmes de l'époque lus par le fidèle Antoine Bourseiller (le Antoine de Cléo de 5 à 7 mais aussi papa de Rosalie Varda et donc narrateur personnel de plusieurs courts d'Agnès) quand ce ne sont pas de charmantes top-modèles qu'on jurerait issues d'un Funny Face (à tel point que je me suis demandé si Audrey Hepburn allait faire son apparition dans le court !) qui parcourent les ruelles et vieilles ruines, leur redonnant encore plus de classe qu'elles en ont. Très sympathique. (5/6)
Recommandé pour Demi-Lune. :wink:

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● Plaisir d'amour en Iran (1976).


Un court en forme de bulle, petit complément de 6 minutes à L'une chante, l'autre pas où l'on retrouve les personnages de Valérie Mairesse et son Jules (gros sourcils copyright Emmanuel Chain) en Iran en voyage amoureux. On aurait pu s'attendre à quelques plans et un propos un brin charnel, mais non. Tout au plus l'évidence que l'architecture des lieux est assez sensuelle (avec des toits en forme de bulbes comme des tétons, des portes un peu vaginales...) sur fond d'images d'Epinal. Sinon comme le montre les peintures des lieux qu'Agnès filme, c'est les femmes dans un coin et les hommes dans l'autre lors d'ancestrales réunions tupperware. Mouais. Mignon, sans plus. (2/6)



● Du côté de la côte (1958).

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On retrouve une Agnès en grande forme pour un court brillant et passionnant. C'est ici encore une oeuvre de commande après ô saisons ô châteaux mais le ton est plus noir. Déjà 1958, la Varda, presque prophétique ne pouvait que constater les masses de vacanciers échoués tel des baleines sur la côte, resserrés au possible, étouffants, bronzants, attrapant leurs coups de soleil. Sans compter la pollution souvent liée au touristes eux-mêmes. Notre Agnès parcourt la Riviera, déniche des lieux incroyables qui font voyager hors de France alors qu'on a juste changé de ville. Avec cette question en fond, qu'est-il arrivé à l'Eden ? Peut-on encore le trouver ?

On finira effectivement par le trouver. Ou dans des traces visibles et accessibles. Dans un coucher de soleil ou sur une île abandonnée loin des touristes où un couple se baigne nu comme aux premiers âges. On finit sur des images de parasol qui se ferment, d'endroits désertés comme si les vacanciers partis l'endroit n'en finissait plus de mourir, sur fond de mélodie mélancolique signée Georges Delerue. Encore du bel ouvrage. (6/6)

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Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

Suite de mon périple Varda.



L'opéra-mouffe (1958).


Un bien bel étrange objet que cet opéra-mouffe dans un noir et blanc à découper au couteau sur une musique d'un Delerue qu'on croirait un peu sous acide. En 1958, Agnès Varda est enceinte de Rosalie et s'interroge sur son corps, la vie qu'elle porte en elle, ce mystère et le besoin d'avoir un enfant quand on ne peux que remarquer la pauvreté des gens autour de soi, justement rue Mouffetard où les marchés et la nourriture ont une certaine importance. Mais d'un autre côté, la Agnès est pleine d'espoir, elle n'abandonne pas. En résulte donc un ovni filmique à la frontière de l'abstrait.

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Agnès filme donc tout, cela pourrait être cérébral, ça devient pourtant un étrange magma de plans et séquences classés dans plusieurs petits chapitres "la rue", "le bonheur", "les amoureux"... Il n'y a pas de reliant, on revoit les amoureux à plusieurs moments, d'autres personnes ici et là... Comme si la vie formait un courant propice aux rencontres de têtes connues et inconnues. On voit une femme enceinte anonyme (Agnès ?) pourtant filmée avec une pudeur touchante de profil. Le ventre gonflé de près avec les stires pourraient presque faire penser à une image délavée de Mars et ses canaux. Puis à une image de ventre gonflé qui se contracte pour imiter l'acte de naissance, la cinéaste met une image de potiron gonflé qu'on ouvre pour y voir les fèves et la chair juteuse. Séparé en deux parties distinctes, la "coque" alors vidée peut faire penser aussi bien à un utérus qu'à des trompes de Fallope avec à son bout les ovaires où là aussi on trouvera des petites graines. Dans un cas comme dans l'autre, ce qui ensemencera la vie aussi bien végétale qu'humaine.

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On le voit, la Agnès tente de mettre la main sur quelque chose d'organique qui est plus qu'un ressenti personnel (plus loin d'autres images étranges y feront écho comme un poussin dans un bocal) mais elle ne se borne pas qu'à ça puisqu'elle va enregistrer le monde autour d'elle, la rue, les personnages âgées, les commérages, les passants, les devantures, les enfants qui jouent avec un masque ou pas. Pas de son, juste la musique qui plane sur des images inconsciemment très fortes, toujours chargées d'un certain sens. Un vrai petit bijou.
(5/6)





Réponses de femmes : notre corps, notre sexe (1975).

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D'une commande pour une émission de télé, la Varda (qu'on voit furtivement se mettre "en scène" comme une signature) livre ce petit manifeste qui remet les pendules à l'heure sur le rapport qu'entretiennent les femmes vis à vis de leur corps et l'image souvent complètement faussée qu'en donne la publicité et la société, ce qui a souvent un impact aussi bien sur elles que leurs compagnons masculins. Même si le ton est un peu raide (on sent qu'il y a un texte récité mais sans doute afin de coordonner au mieux le groupe de courageuses volontaires qui défilent devant la caméra, parfois dénudées pour illustrer au mieux ce qui est dit), l'ensemble s'avère toujours aussi essentiel à l'époque actuelle (où les mentalités et la publicité n'ont d'ailleurs pas tellement évoluées que ça).

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Et puis ça file très vite, c'est toujours très fin, voire drôle (quand la Varda filme une rangée d'hommes barbus et souvent vieillis qui tirent la gueule sans bruit pour symboliser par la caricature la "domination paternaliste masculine", le gag est imparable), c'est sérieux tout en ne se prenant non plus pas trop au sérieux. Pour l'anecdote et comme le rappelle la cinéaste en présentation du court, à l'époque deux plans avaient fait un tolé et déclenché la censure et l'ire d'Antenne 2. Dans l'un, une femme enceinte, heureuse et riante avec son ventre rebondi tout mignon et touchant. Dans l'autre, une femme qui est voilée d'un côté (le côté "cache ton corps de la société") nue de l'autre avec un téléphone ou autre objet (le côté "déshabille toi pour mieux vendre"). A l'époque actuelle, on voit ça, on sourit et on se dit que la connerie n'a décidément pas d'âge.


Plans que je vous livre d'ailleurs en spoiler pour finir cette chronique.
Même si pas de quoi se lever dans la nuit pour aller joyeusement noyer des chatons avec Colqhoun.

Spoiler (cliquez pour afficher)
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(5/6)
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Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

Black panthers (1968).

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Un document rare et d'autant plus passionnant qu'au bout du compte aujourd'hui, on sait encore relativement peu de choses sur les Black Panthers. Mais en 1968, accréditée de la mention "télé française" (vrai ou faux en fin de compte ?), Agnès Varda réussit à pénétrer dans l'intimité de ses hommes et femmes en guerre permanente aussi bien envers la police des Etats-Unis que les états-unis eux-mêmes ou les préjugés des blancs (et donc en sous-marin, une lutte perpétuelle contre le racisme). Le mouvement revendique aussi bien la libération de plusieurs personnes "injustement emprisonnées" (belle séquence où la Varda pas dupe et toujours objective demande constamment "mais vous savez pourquoi il a été emprisonné ? Qu'est-ce qui s'est passé cette nuit-là ?" sans finalement qu'une vraie réponse ne soit donnée) que des codes esthétiques et moraux ("black is beautiful" pour dégager une nouvelle esthétique d'une personne noire propre aux hommes et femmes qui ne suivraient pas la mode des blancs) voire politiques (le petit carnet rouge de Mao traîne souvent de poches en poches). Le tout filmé en 16 mm, très vite et sur le vif mais avec souvent des plans d'une composition à pâlir comme si le naturel photographique d'Agnès ne pouvait s'empêcher de revenir dans la composition. Petit bijou.
(5/6)



Les dites cariatides (1984).

Les dites cariatides, ce sont ces statues, souvent de femmes, souvent dénudées, qui soutiennent les balcons et fenêtres des appartements et vieux immeubles parisiens. Il n'y avait que la Agnès pour remarquer ça et passer d'une oeuvre de commande à un petit projet personnel à nouveau. C'est court mais instructif avec un peu de poésie. Par là on navigue dans le temps et les poèmes de Baudelaire puis plus loin dans le temps on revient aux esclaves grecques. Sympathique et rapide en plus même si pas forcément indispensable de même que T'as de beaux escaliers tu sais (1986), petit hommage alors aux 50 ans de la cinémathèque alors à Chaillot. Plus prétexte à livrer un petit montage de quelques films (avec des escaliers parfois) et montrer Isabelle Adjani qui nous fait un grâcieux sourire charmant à se damner.
Quand je disais que la Varda fait des appels du pied à Demi-Lune, ça se vérifie encore ici. :mrgreen:




● Le lion volatil (2003).
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Une petite récréation amusée sous les yeux du spectateur et même de la Agnès qui apparaît dans un parc en train de lire un livre comme une petite mamie tranquille. Pour un peu on est dans du Jacques Demy light, mais sans chanson. Mais l'état d'esprit semble presque le même. C'est drôle, amusant, touchant et fin en étant complètement improbable, surréaliste et impossible. Soit la rencontre entre Julie Depardieu apprentie médium qui tombe amoureuse place Denfert Rochereau d'un des gardiens des catacombes, un grand blond qui pratique en plus l'art de la prestigiditation. Les deux tourtereaux se découvrent un coup de foudre en même temps. Mais notre Julie peu sûre d'elle-même finira par rembarrer le petiot et quand il disparaîtra (marrant ce camion qui passe "tout doit disparaître" !), ce sera comme par enchantement. Mais le monde en aura changé et le lion de Denfert aura décidé, un os en bouche, d'aller prendre des vacances. ...Pour être remplacé en épilogue par la (regrettée) chatte Zgougou d'Agnès. Improbable à fond mais touchant.
(4/6)

Bonus, Zgougou en guest star.
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Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

7p., cuis., s. de b., ... à saisir (1984).

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Sur le DVD des court-métrages d'Agnès Varda il y a un court (28 minutes) bien à part qui fait vraiment ovni. Le bidule est bien justement prénommé non pas de son titre issu d'une annonce immobilière (qui finalement résume bien l'objet) mais... "l'essai". Un peu comme un artefact top secret qu'on aurait rangé au rebut, en cachette pour ne pas effrayer. Et il faut dire qu'on entre effectivement dans un autre univers où la découverte de ce qui semble un hôpital abandonné donne à la Agnès plein d'idées qui vont dans tous les sens.


Il y a donc à la fois une voix-off, des acteurs qui incarnent une famille et cette idée de redonner sens et vie à un lieu (à la fois imaginaire comme réel). Et puis le temps qui s'écoule, inexorablement. La cinéaste crée donc la naissance du lieu en y mettant une petite famille qui vient d'aménager. Le père, bourgeois et borné, médecin réputé gagne bien sa vie. Tout ce petit monde grandit, les moustaches et cheveux blancs se développent, les marmots en plus s'additionnent, les servantes et bonnes se succèdent (avec une Yolande Moreau dont la présence réjouit). Et rapidement à l'emprise que le patriarche forme sur ses enfants devenus ados s'ajoute le malaise d'un lieu qu'on a jamais quitté, qui semble presque se détraquer lentement ("l'épilogue" montrera certaines pièces envahies de moisissure, plumes, poussières comme issues d'une autre dimension). Dans ce climat, seule l'aînée se rebelle contre le papa, les frangins, ambigüs, inquiets et peureux en faisant le moins possible.

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C'est une expérience un peu à part qu'il est difficile de décrire.
Les influences semblent fourmiller de partout et pourtant l'ensemble reste "cohérent". A un générique (de fermeture) complètement godardien (plan fixe des portes du lieu et une voix-off qui énonce les techniciens), on navigue avant ça dans une bizarrerie qui rappelle presque le cinéma tchèque avec cette très belle image de mannequins féminins aux yeux fermés qui dorment : la poitrine articulée par un jeu de mécanisme se soulève et retombe lentement comme au rythme d'une respiration paisible dans le sommeil. Sans oublier les arrières-plans, le décor, d'autres marionettes et postiches issus d'une exposition (sur les maladies vénériennes) réutilisés. Et puis la grosse servante ou bien la Moreau qui fait la cuisine, fume, cuisine des oeufs en crachant allègrement dedans pour que ce soit bien visqueux parce que "le patron il aime bien quand c'est liquide comme ça". Fellini is not dead. On navigue presque dans le surréalisme. Les lieux eux-mêmes semblent se doter d'une mémoire (en surimpression, des images des "anciens pensionnaires" qui évoquent des souvenirs heureux), traversés de fantômes. Quelque chose d'intemporel.

Un ovni, un bidule... un essai quoi. Encore que je doute que ça s'en rapproche même.

4/6.
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AtCloseRange
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Re: Agnès Varda

Message par AtCloseRange »

J'imagine que beaucoup vont être intéressés par ceci:
http://dafilms.com/event/107-retrospective-agnes-varda/

Soit les documentaires d'Agnès Varda en streaming gratuit jusqu'au 17 février.
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Miss Nobody
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Re: Agnès Varda

Message par Miss Nobody »

AtCloseRange a écrit :J'imagine que beaucoup vont être intéressés par ceci:
http://dafilms.com/event/107-retrospective-agnes-varda/
Soit les documentaires d'Agnès Varda en streaming gratuit jusqu'au 17 février.
Génial! :o Mais ça va être dur de tous les voir en 10 jours!!! :(
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Re: Agnès Varda

Message par Boubakar »

AtCloseRange a écrit :Soit les documentaires d'Agnès Varda en streaming gratuit jusqu'au 17 février.
Il y a même quelques films comme La pointe courte.
Anorya
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Re: Agnès Varda

Message par Anorya »

Miss Nobody a écrit :
AtCloseRange a écrit :J'imagine que beaucoup vont être intéressés par ceci:
http://dafilms.com/event/107-retrospective-agnes-varda/

Soit les documentaires d'Agnès Varda en streaming gratuit jusqu'au 17 février.
Génial! :o Mais ça va être dur de tous les voir en 10 jours!!! :(
Demi-Lune est chaud bouillant sur les starting-blocks, tu penses. 8)

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Il a intérêt vu les appels du pied que Varda lui lançait d'ailleurs.
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Re: Agnès Varda

Message par cinéfile »

Entretien entre Agnès Varda et Frédéric Taddei dans Le Tête-à-tête (France Culture) disponible en podcast ici :

http://www.franceculture.fr/emission-le ... 2013-01-27
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