The Boogeyman a écrit :Hâte !
Toujours pas de date pour une sortie française.
Très hâte aussi!
Décidément très content d'avoir eu la chance de le découvrir en salle celui-là, quelle expérience de malade ça a été.
Parce que là aussi, gros doute que ça puisse sortir de par chez nous...mais j'espère me tromper.
Étrangement anachronique et faisant plus penser aux clones de Pulp Fiction qui pullulaient dans les années 90 qu'ä la saveur originale. Mais entre le perceur de coffres Zed devenu Red et le frenchie tout fou qui veut venger son frère c'est bien un vrai faux Killing Zoé 2, rien que pour ça je suis curieux.
Des éléments autobiographiques, un visuel apparemment soigné, Crispin Glover fidèle à lui-même, des accents, d'autres accents et encore des accents... je dis pourquoi pas
On n'attendait plus rien d'Adrian Lyne et le revoilà, 18 ans après Infidèle, pour un thriller érotique nommé Deep Water avec cette fois Ben Affleck et Ana De Armas ♥ ...
Roger Avary (90's ok), Adrian Lyne, Top Gun 2...je sens qu'on va avoir des nouvelles de Frank Oz.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Ha bon? C'est dans le délire un seul (faux) ,plan séquence? Je savais pas.
La curiosité monte d'un cran.
J’ai l’impression que cette nouvelle mode du film en plan séquence risque paradoxalement d’aboutir aux mêmes travers qu’avec l’abus de cut à la Paul Greengrass : de l’action à outrance et décontextualisée. C’est Sam Mendes néanmoins donc je serai au rendez-vous.
Ha bon? C'est dans le délire un seul (faux) ,plan séquence? Je savais pas.
La curiosité monte d'un cran.
Dunkirk n'était pas conçu selon le principe du vrai faux plan-séquence.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Ce sera surtout blindé de faux plan-séquences, avec des raccords sur fond d'écran noirs. Typiquement le genre de trucs qui me font sortir du procédé, tellement je suis obnubilé par la recherche de ces raccords.
Mosin-Nagant a écrit :
On dirait Joan Cusack avec une perruque. Du coup, on dirait un peu John Cusack.