Dennis Hopper (1936-2010)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Dennis Hopper (1936-2010)
EDIT DE LA MODERATION:
Vous pouvez également consulter les topics consacrés aux films réalisés par Dennis Hopper
The last movie (1971)
Catchfire (1990)
et la Chronique Classik de Out of the blue (1980)
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Colors: un bon film de Dennis Hopper sur les gangs de rues. Le film vaut surtout par son coté brut de décoffrage et par la prestation des acteurs avec un Duvall au mieux de sa forme et un jeune trou du cul nommé Sean Penn, surtout connu à l'époque comme étant le mari fougueux d'une chanteuse qui ne l'est pas moins, encore aujourd'hui. Il a bien changé...
Vous pouvez également consulter les topics consacrés aux films réalisés par Dennis Hopper
The last movie (1971)
Catchfire (1990)
et la Chronique Classik de Out of the blue (1980)
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Colors: un bon film de Dennis Hopper sur les gangs de rues. Le film vaut surtout par son coté brut de décoffrage et par la prestation des acteurs avec un Duvall au mieux de sa forme et un jeune trou du cul nommé Sean Penn, surtout connu à l'époque comme étant le mari fougueux d'une chanteuse qui ne l'est pas moins, encore aujourd'hui. Il a bien changé...
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Colors de Dennis Hopper (1988)
Malgré de réelles qualités, un peu déçu par cette incursion de Hopper dans le polar urbain. En ouverture un panneau nous annonce les forces en présences, deux unités de flic rivales le CRASH unité anti gang rattaché à la ville et celle appartenant aux unités du sherif. Face à eux les multil=ples gang de LA 3 fois plus nombreux et mieux armés. Avec une telle note d'intention on s'attend à un récit tendu sur fond de rivalités policières et de guérilla urbaine dantesque mais il n'en sera rien. Les scènes de confrontations entre gang (multi ethnique détaills assez improbable qui nuit un peu à la crédibilité souhaitée) manquent cruellement d'envergure et d'energie. De plus le film ne sais que choisir entre intrigue policière construite (avec l'ouverture sur un crime dont l'enquête sera mollement menée) et chronique quotidienne de flics là où il s'en sort le mieux. Cela rend le tout un peu bancal notamment au niveau des personnages comme Don Cheadle qui s'annonce au début comme le big bad motherfucker du film et qu'on ne revoit plus que par intermittence par la suite. Regrettable aussi que quelques idées interessante soient sous exploitées notamment celle qui voit Sean Penn accusé à tort d'un meurtre et devenant la cible de tout les gangs. Sinon c'est relativement prenant tout de même grâce à une description assez réussie de la vie de ses quartiers pauvres de LA, de l'errance des jeunes avec le gang comme seul refuge et quelque moments bien nerveux. Une course poursuite de suspect en voitures qui tourne mal ou encore Sean Penn qui traque un dealer sans relache le tout se terminant en grosse baston dans les cuisines d'un restaurant. Très bonne prestations de Sean Penn en chien fou incontrolable et de robert Duvall vieux de la vieille trop conciliant. 4/6
Malgré de réelles qualités, un peu déçu par cette incursion de Hopper dans le polar urbain. En ouverture un panneau nous annonce les forces en présences, deux unités de flic rivales le CRASH unité anti gang rattaché à la ville et celle appartenant aux unités du sherif. Face à eux les multil=ples gang de LA 3 fois plus nombreux et mieux armés. Avec une telle note d'intention on s'attend à un récit tendu sur fond de rivalités policières et de guérilla urbaine dantesque mais il n'en sera rien. Les scènes de confrontations entre gang (multi ethnique détaills assez improbable qui nuit un peu à la crédibilité souhaitée) manquent cruellement d'envergure et d'energie. De plus le film ne sais que choisir entre intrigue policière construite (avec l'ouverture sur un crime dont l'enquête sera mollement menée) et chronique quotidienne de flics là où il s'en sort le mieux. Cela rend le tout un peu bancal notamment au niveau des personnages comme Don Cheadle qui s'annonce au début comme le big bad motherfucker du film et qu'on ne revoit plus que par intermittence par la suite. Regrettable aussi que quelques idées interessante soient sous exploitées notamment celle qui voit Sean Penn accusé à tort d'un meurtre et devenant la cible de tout les gangs. Sinon c'est relativement prenant tout de même grâce à une description assez réussie de la vie de ses quartiers pauvres de LA, de l'errance des jeunes avec le gang comme seul refuge et quelque moments bien nerveux. Une course poursuite de suspect en voitures qui tourne mal ou encore Sean Penn qui traque un dealer sans relache le tout se terminant en grosse baston dans les cuisines d'un restaurant. Très bonne prestations de Sean Penn en chien fou incontrolable et de robert Duvall vieux de la vieille trop conciliant. 4/6
Major Tom (en janvier 2006) a écrit :Colors
À Los Angeles, un jeune flic inexpérimenté (Sean Penn) et un autre proche de la retraite (Robert Duvall) se retrouvent équipiers, et luttent contre la guerre des gangs et la vente de crack. Ce polar urbain montre bien la difficulté pour les flics de LA de contrôler les ghettos, et Dennis Hopper sait admirablement bien créer l'atmosphère de misère, d'inactivité et de violence qui règne dans les ghettos. Un très bon polar, avec les excellents Penn et Duvall...
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Dennis Hopper
La Cinémathèque française a donc annoncé son programme de rentrée ce matin, et l'événement de l'automne sera l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood", événement accompagné d'une rétrospective de plusieurs mois (intégrale de ses films en tant que réalisateur, dont le très rare Homeless, et grosse sélection de ses films en tant qu'acteur). L'expo sera l'occasion de découvrir de nombreux extraits vidéo, des photographies et des créations d’Hopper mais aussi des pièces de sa riche collection particulière (Edward Ruscha, Andy Warhol, Robert Rauschenberg, Jean-Michel Basquiat, Viggo Mortensen…). Début des hostilités le 15 octobre 2008.
A noter qu'Hopper sera à Paris pour l'occasion. Il donnera une leçon de cinéma le 18 octobre, et participera à un dialogue avec Wim Wenders autour de l'Ami américain le 17 octobre
- Pour en savoir plus sur l'expo
- Pour en savoir plus sur la rétro
A l'occasion de cet événement, la Cinémathèque lance par ailleurs un nouveau cycle de conférences, autour du Nouvel Hollywood. 6 conférences, à partir du 23 octobre illustrées d’extraits de films (entre autres : A cause d'un assassinat, Five easy pieces, Monterey pop, Trois femmes...) et qui auront lieu le jeudi à 19h, suivies à 21h de la projection d’un film choisi par le conférencier. L'entrée est libre à la conférence.
Enfin, last but not least, un grand concours lancé aujourd'hui vous permet de gagner de nombreux lots. Le premier d'entre eux : un voyage pour deux à Los Angeles. Et je pense que les questions ne devraient pas vous poser trop de problèmes
A+
A noter qu'Hopper sera à Paris pour l'occasion. Il donnera une leçon de cinéma le 18 octobre, et participera à un dialogue avec Wim Wenders autour de l'Ami américain le 17 octobre
- Pour en savoir plus sur l'expo
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A l'occasion de cet événement, la Cinémathèque lance par ailleurs un nouveau cycle de conférences, autour du Nouvel Hollywood. 6 conférences, à partir du 23 octobre illustrées d’extraits de films (entre autres : A cause d'un assassinat, Five easy pieces, Monterey pop, Trois femmes...) et qui auront lieu le jeudi à 19h, suivies à 21h de la projection d’un film choisi par le conférencier. L'entrée est libre à la conférence.
Enfin, last but not least, un grand concours lancé aujourd'hui vous permet de gagner de nombreux lots. Le premier d'entre eux : un voyage pour deux à Los Angeles. Et je pense que les questions ne devraient pas vous poser trop de problèmes
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
Up... Up... Hop... Hop... Hopper !
J-8 avant l'ouverture de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" à la Cinémathèque française. Le site web consacré à l'événement (et la chaine Youtube de la CF) vous propose de suivre au jour le jour l'accrochage de l'exposition, par Hopper himself. Une vidéo quotidienne à compter d'aujourd'hui, donc. A découvrir aussi une petite balade virtuelle dans le Los Angeles de Hopper, ou le feuilleté de quelques pages du catalogue de l'expo.
A suivre, la diffusion entre autres, sur le même site, du dialogue Hopper/Wenders et de la leçon de cinéma de Dennis Hopper.
Et évidemment, n'oubliez pas l'exposition à partir du 15 octobre prochain.
Super Soul
PS : Oh mais dis donc, ce serait pas une page Facebook Cinémathèque que je vois là ?
J-8 avant l'ouverture de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" à la Cinémathèque française. Le site web consacré à l'événement (et la chaine Youtube de la CF) vous propose de suivre au jour le jour l'accrochage de l'exposition, par Hopper himself. Une vidéo quotidienne à compter d'aujourd'hui, donc. A découvrir aussi une petite balade virtuelle dans le Los Angeles de Hopper, ou le feuilleté de quelques pages du catalogue de l'expo.
A suivre, la diffusion entre autres, sur le même site, du dialogue Hopper/Wenders et de la leçon de cinéma de Dennis Hopper.
Et évidemment, n'oubliez pas l'exposition à partir du 15 octobre prochain.
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PS : Oh mais dis donc, ce serait pas une page Facebook Cinémathèque que je vois là ?
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
THE LAST MOVIE - DENNIS HOPPER - 1971 - 108’
Jeudi 16 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Samedi 25 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Faut que je me débrouille pour aller a un de ses séances.
Jeudi 16 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Samedi 25 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Faut que je me débrouille pour aller a un de ses séances.
Comme les Notting Hillbillies : "Missing...Presumed Having a Good Time (on Letterboxd : https://letterboxd.com/ishenryfool/)"
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
B..... de m.... !!!7swans a écrit :THE LAST MOVIE - DENNIS HOPPER - 1971 - 108’
Jeudi 16 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Samedi 25 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Faut que je me débrouille pour aller a un de ses séances.
ça pourrait pas ressortir au ciné ? (ou en dvd)
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
et puis quoi encore ? faut bien que la vie à paris ait quelques compensationsBoubakar a écrit :B..... de m.... !!!7swans a écrit :THE LAST MOVIE - DENNIS HOPPER - 1971 - 108’
Jeudi 16 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Samedi 25 Octobre 2008 - 21h00 - SALLE HENRI LANGLOIS - VOSTF
Faut que je me débrouille pour aller a un de ses séances.
ça pourrait pas ressortir au ciné ? (ou en dvd)
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
The Last Movie - Dennis Hopper (1971)
Le film est plein d’une majestueuse prétention artistique et d’une liberté de ton tout à fait rafraîchissante.
Dennis Hopper ne s’embarrasse pas de conventions narratives ou d’une construction linéaire de son récit.
Il sert et abreuve son Idée, son thème au travers de situations, de scènes construites et déconstruites de façon totalement aléatoires. Mais le grand thème du film est là et bien présent des les premières images : la corruption de l’innocence.
Hopper organise (c’est un grand mot tant le film semble bancal) le développement de son thème autour de trois points importants : La violence (l’arrivée du tournage d’un film de cinéma dans un village retiré, apprend la violence, ou la reproduction à l’identique de la violence, avec son lot de grotesque aux habitants du village), le sexe (un riche industriel qui a réussit dans le balais, vient s’encanailler avec sa femme dans les bordels péruviens) et l’argent (cette recherche frénétique de l’or, qui alimente une intrigue secondaire du récit, l’or fascine, on ne sait pas comment l’extraire, on ne sait pas pourquoi, on se contente de faire comme dans le trésor de la Siera Madre).
Hopper montre aussi l’incapacité de la Religion à faire face a ses dégénérescences nouvelles. Le curé, un moment perplexe voir inquiet, baisse rapidement les bras, et ne dira de tout ça (la violence qui habite désormais les gens du village, le sexe qui intriguera ses jeunes disciples épiant Hopper et sa compagne faisant l’amour au grand air) qu’il ne s’agit que d’un Jeux sans conséquence.
Sur la forme, le montage se veut très novateur, ou du moins libre dans son enchaînement de séquences ou de plans. Le film se paye également deux panneaux : « Scène Manquante », dont on ne sait pas si ça fait parti intégrante du récit, de l’univers que veut développer Hopper pour accompagner son idée, ou de scènes véritablement manquantes, vu les problèmes de Production et de Post Production que le réalisateur à connu sur ce film (le fait de se poser la question pointe un vrai défaut du film : a quel niveau Hopper maîtrise t il ce qu’il raconte ? Du moins sa façon de le raconter…).
Certaines scènes décontextualisées peuvent prêter a sourire (Hopper et sa compagne courant en un léger ralentit dans des champs de pissenlits sur un fond de musique Folk douce) mais imprègnent a différents moments le récit et forme un contraste latent avec les vices qui rongent peu a peu les villageois.
Un ami qui m’accompagnait en est ressorti beaucoup plus mitigé que moi, apparentant le film a du Jodorowsky en roue libre.
Le film est plein d’une majestueuse prétention artistique et d’une liberté de ton tout à fait rafraîchissante.
Dennis Hopper ne s’embarrasse pas de conventions narratives ou d’une construction linéaire de son récit.
Il sert et abreuve son Idée, son thème au travers de situations, de scènes construites et déconstruites de façon totalement aléatoires. Mais le grand thème du film est là et bien présent des les premières images : la corruption de l’innocence.
Hopper organise (c’est un grand mot tant le film semble bancal) le développement de son thème autour de trois points importants : La violence (l’arrivée du tournage d’un film de cinéma dans un village retiré, apprend la violence, ou la reproduction à l’identique de la violence, avec son lot de grotesque aux habitants du village), le sexe (un riche industriel qui a réussit dans le balais, vient s’encanailler avec sa femme dans les bordels péruviens) et l’argent (cette recherche frénétique de l’or, qui alimente une intrigue secondaire du récit, l’or fascine, on ne sait pas comment l’extraire, on ne sait pas pourquoi, on se contente de faire comme dans le trésor de la Siera Madre).
Hopper montre aussi l’incapacité de la Religion à faire face a ses dégénérescences nouvelles. Le curé, un moment perplexe voir inquiet, baisse rapidement les bras, et ne dira de tout ça (la violence qui habite désormais les gens du village, le sexe qui intriguera ses jeunes disciples épiant Hopper et sa compagne faisant l’amour au grand air) qu’il ne s’agit que d’un Jeux sans conséquence.
Sur la forme, le montage se veut très novateur, ou du moins libre dans son enchaînement de séquences ou de plans. Le film se paye également deux panneaux : « Scène Manquante », dont on ne sait pas si ça fait parti intégrante du récit, de l’univers que veut développer Hopper pour accompagner son idée, ou de scènes véritablement manquantes, vu les problèmes de Production et de Post Production que le réalisateur à connu sur ce film (le fait de se poser la question pointe un vrai défaut du film : a quel niveau Hopper maîtrise t il ce qu’il raconte ? Du moins sa façon de le raconter…).
Certaines scènes décontextualisées peuvent prêter a sourire (Hopper et sa compagne courant en un léger ralentit dans des champs de pissenlits sur un fond de musique Folk douce) mais imprègnent a différents moments le récit et forme un contraste latent avec les vices qui rongent peu a peu les villageois.
Un ami qui m’accompagnait en est ressorti beaucoup plus mitigé que moi, apparentant le film a du Jodorowsky en roue libre.
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
Il y a un sujet consacré au film en section naphta.
J'ai également assisté à la séance d'hier soir et le film m'a beaucoup impressionné. J'y reviendrai quand j'aurai un peu plus de temps.
J'ai également assisté à la séance d'hier soir et le film m'a beaucoup impressionné. J'y reviendrai quand j'aurai un peu plus de temps.
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
Merci, j'avais pas vu le Topic!Pete Dayton a écrit :Il y a un sujet consacré au film en section naphta.
C'est moi ou pas mal de gens sont sortis pendant la séance?Pete Dayton a écrit :J'ai également assisté à la séance d'hier soir et le film m'a beaucoup impressionné. J'y reviendrai quand j'aurai un peu plus de temps.
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
Vingt minutes ? Pas mal, mais c'est un peu court, jeune homme
Vous pouvez aussi (surtout ?) regarder sur le site de la Cinémathèque la Leçon de cinéma d'une heure et demie donnée par Dennis Hopper aux 500 spectacteurs de la salle Henri Langlois (je vous conseille particulièrement, dans la dernière des 4 vidéos (*) la leçon de jeu de Dennis Hopper, vraiment étonnante - c'est à partir de la 7/8° mn... mais le reste est tout aussi passionnant).
A votre disposition aussi, le dialogue Dennis Hopper / Wim Wenders qui avait eu lieu la veille dans la même salle.
Et aussi, sur la chaine Youtube de la Cinémathèque française, l'ouverture de la rétrospective ainsi que quelques vidéos de l'accrochage de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" par l'acteur/réalisateur américain.
(*) Tracks & Apocalypse Now
Vous pouvez aussi (surtout ?) regarder sur le site de la Cinémathèque la Leçon de cinéma d'une heure et demie donnée par Dennis Hopper aux 500 spectacteurs de la salle Henri Langlois (je vous conseille particulièrement, dans la dernière des 4 vidéos (*) la leçon de jeu de Dennis Hopper, vraiment étonnante - c'est à partir de la 7/8° mn... mais le reste est tout aussi passionnant).
A votre disposition aussi, le dialogue Dennis Hopper / Wim Wenders qui avait eu lieu la veille dans la même salle.
Et aussi, sur la chaine Youtube de la Cinémathèque française, l'ouverture de la rétrospective ainsi que quelques vidéos de l'accrochage de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" par l'acteur/réalisateur américain.
(*) Tracks & Apocalypse Now
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
Merci beaucoup X.
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Re: Dennis Hopper à la Cinémathèque française
Je n'ai vu que la partie consacrée à Last movie, mais je suis un peu déçu du manque d'originalité des questions, tournant trop autour du film sans vraiment rentrer du sujet. Les propos que donnait Dennis Hopper à Peter Biskind me paraissaient plus intéressants, car c'est un film dont les conditions de tournage ont directement influencé sa mise en chantier, et modifié une partie de la (non-)intrigue. Mais c'est quand même plaisant d'écouter Hopper.Super Soul a écrit :Vous pouvez aussi (surtout ?) regarder sur le site de la Cinémathèque la Leçon de cinéma d'une heure et demie donnée par Dennis Hopper aux 500 spectacteurs de la salle Henri Langlois (je vous conseille particulièrement, dans la dernière des 4 vidéos (*) la leçon de jeu de Dennis Hopper, vraiment étonnante - c'est à partir de la 7/8° mn... mais le reste est tout aussi passionnant).