Kevin Costner
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Re: Kevin Costner
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Re: Kevin Costner
Tin cup (Ron Shelton - 1996)
Le calme du green après la tempête Waterworld. Kevin Costner se fait plaisir avec ce film où il peut mette en avant sa passion du golf.
Il faut sans doute être un peu amateur du sport pour apprécier le film, je m'y suis un peu ennuyé. L'histoire est un classique, un ancien joueur pro qui va revenir au plus haut niveau et rencontrer l'amour.
Un peu longuet, le casting charismatique à souhait n'est pas désagréable avec la charmante et trop rare René Russo, le fringant Don Johnson et bien sûr Kevin Costner qui reste toujours cet acteur mélancolique, au sourire ravageur, idéaliste, avec une certaine noblesse. On a envie de le suivre partout (sans vouloir y revenir quand même, une fois ça suffit).
À noter qu'il va bientôt finir pour Netflix, The Highwaymen sous la direction de John Lee Hancock, l'histoire de la traque de Bonnie et Clyde par les Texas Rangers Harmer et Gault. C'est Woody Harrelson qui fait équipe avec lui.
Le calme du green après la tempête Waterworld. Kevin Costner se fait plaisir avec ce film où il peut mette en avant sa passion du golf.
Il faut sans doute être un peu amateur du sport pour apprécier le film, je m'y suis un peu ennuyé. L'histoire est un classique, un ancien joueur pro qui va revenir au plus haut niveau et rencontrer l'amour.
Un peu longuet, le casting charismatique à souhait n'est pas désagréable avec la charmante et trop rare René Russo, le fringant Don Johnson et bien sûr Kevin Costner qui reste toujours cet acteur mélancolique, au sourire ravageur, idéaliste, avec une certaine noblesse. On a envie de le suivre partout (sans vouloir y revenir quand même, une fois ça suffit).
À noter qu'il va bientôt finir pour Netflix, The Highwaymen sous la direction de John Lee Hancock, l'histoire de la traque de Bonnie et Clyde par les Texas Rangers Harmer et Gault. C'est Woody Harrelson qui fait équipe avec lui.
- Roilo Pintu
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Re: Kevin Costne
Jusqu'au bout du rêve le 4 juin prochain sur Paramount channel
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Re: Kevin Costner
Oui, il s'est fait plaisir régulièrement, on peut dire ça.Roilo Pintu a écrit :Tin cup (Ron Shelton - 1996)
Le calme du green après la tempête Waterworld. Kevin Costner se fait plaisir avec ce film où il peut mette en avant sa passion du golf.
Il faut sans doute être un peu amateur du sport pour apprécier le film, je m'y suis un peu ennuyé. L'histoire est un classique, un ancien joueur pro qui va revenir au plus haut niveau et rencontrer l'amour.
Un peu longuet, le casting charismatique à souhait n'est pas désagréable avec la charmante et trop rare René Russo, le fringant Don Johnson et bien sûr Kevin Costner qui reste toujours cet acteur mélancolique, au sourire ravageur, idéaliste, avec une certaine noblesse. On a envie de le suivre partout (sans vouloir y revenir quand même, une fois ça suffit).
Les films de sport, c'est son dada!:
cyclisme (American Flyers), golf (Tin cup), baseball (Chasing Dreams, Jusqu'au bout du rêve, Duo à trois, Pour l'amour du jeu et même Les Bienfaits de la colère dans lequel il joue un joueur retraité qui fait de la radio), athlétisme (McFarland), football américain (Draft Day). Il est même dans les gradins dans le film de boxe Les adversaires avec Woody Harrelson et le père entraineur de la championne de ski Jessica Chastain dans Le grand jeu.
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Re: Kevin Costner
Oui, c'est vraiment une carrière très spéciale.
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Re: Kevin Costner
Ils m'en reste quelques uns...
J'ai bien aimé McFarland, sympathique.
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Re: Kevin Costner
Jusqu'au bout du rêve (Phil Alden Robinson - 1989)
Ray Kinsella (Kevin Costner), fermier endetté, se trouve au début d’une quête initiatique, dont le plus difficile pourrait être d’y croire. Au milieu de son champs, une voix lui soupire « si tu le construis, il viendra… », si Ray construit un terrain de baseball, l’ancien joueur préféré de son père viendra à lui. Bien évidemment une énigme en cache une autre, tout comme sa quête ne se dévoile pas totalement, ni immédiatement.
Difficile d’y croire, pas forcément, à la fois parce que Kevin Costner incarne parfaitement ce fermier, que l’on est prêt à suivre partout dans sa recherche de réponses ; il a ce regard rassurant, idéaliste, laconique, pas frimeur, loyal ; le père, le mari exemplaire poursuivant un rêve américain dans une histoire où les personnages ont perdu leurs rêves, leurs illusions. Et aussi parce que le film utilise le fantastique de la manière la plus simple, sans être explicatif (le scénario n’a pas peur d’être naïf, il fait confiance à son spectateur), sans perdre de temps (la voix s’entend dans les 5 première minutes), et en évitant d’isoler le personnage principal, sa femme (Amy Madigan est superbe dans le film) et sa fille partagent ses visions, mais également sa quête.
Son parcours sera l’occasion de rencontres, de destins brisés, de nostalgie, nous offrant la présence magique et émouvante de Burt Lancaster.
Fable onirique consacrée à l’amour du baseball, Costner amorce pour la deuxième fois (après Duo à 3) le film sportif, apte à porter les thèmes de la foi, la rédemption. Le baseball ici c’est la religion (sûrement plus que le football américain), c’est plus qu’un sport dans la culture américaine (largement déployé dans la fiction, au-delà du film sportif), le personnage du romancier Terence Mann (impérial James Earl Jones) saura bien le resituer dans l’histoire américaine ("la seule constante dans ce pays durant toutes ces années à été le baseball... l'Amérique effacée, reconstruite.... le baseball s'est maintenu"). On est proche du sacré chez les américains ; à la fois sur les rencontres sportives vécues comme des messes, des rendez-vous familiaux incontournables, mais également comme un échange, un rapport semblant indispensable dans les rapports que peuvent entretenir les garçons avec leurs pères, et dont le film se servira habilement pour clore l’histoire, avec sa très belle scène finale (qui permettra à la fois au personnage de se réconcilier avec lui-même, sur un moment d’échange qu’on sent être réparateur) tout en rappelant une certaine nostalgie de l’Amérique.
Ray Kinsella (Kevin Costner), fermier endetté, se trouve au début d’une quête initiatique, dont le plus difficile pourrait être d’y croire. Au milieu de son champs, une voix lui soupire « si tu le construis, il viendra… », si Ray construit un terrain de baseball, l’ancien joueur préféré de son père viendra à lui. Bien évidemment une énigme en cache une autre, tout comme sa quête ne se dévoile pas totalement, ni immédiatement.
Difficile d’y croire, pas forcément, à la fois parce que Kevin Costner incarne parfaitement ce fermier, que l’on est prêt à suivre partout dans sa recherche de réponses ; il a ce regard rassurant, idéaliste, laconique, pas frimeur, loyal ; le père, le mari exemplaire poursuivant un rêve américain dans une histoire où les personnages ont perdu leurs rêves, leurs illusions. Et aussi parce que le film utilise le fantastique de la manière la plus simple, sans être explicatif (le scénario n’a pas peur d’être naïf, il fait confiance à son spectateur), sans perdre de temps (la voix s’entend dans les 5 première minutes), et en évitant d’isoler le personnage principal, sa femme (Amy Madigan est superbe dans le film) et sa fille partagent ses visions, mais également sa quête.
Son parcours sera l’occasion de rencontres, de destins brisés, de nostalgie, nous offrant la présence magique et émouvante de Burt Lancaster.
Fable onirique consacrée à l’amour du baseball, Costner amorce pour la deuxième fois (après Duo à 3) le film sportif, apte à porter les thèmes de la foi, la rédemption. Le baseball ici c’est la religion (sûrement plus que le football américain), c’est plus qu’un sport dans la culture américaine (largement déployé dans la fiction, au-delà du film sportif), le personnage du romancier Terence Mann (impérial James Earl Jones) saura bien le resituer dans l’histoire américaine ("la seule constante dans ce pays durant toutes ces années à été le baseball... l'Amérique effacée, reconstruite.... le baseball s'est maintenu"). On est proche du sacré chez les américains ; à la fois sur les rencontres sportives vécues comme des messes, des rendez-vous familiaux incontournables, mais également comme un échange, un rapport semblant indispensable dans les rapports que peuvent entretenir les garçons avec leurs pères, et dont le film se servira habilement pour clore l’histoire, avec sa très belle scène finale (qui permettra à la fois au personnage de se réconcilier avec lui-même, sur un moment d’échange qu’on sent être réparateur) tout en rappelant une certaine nostalgie de l’Amérique.
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Re: Kevin Costner
Pour la quatrième fois déjà en fait.Roilo Pintu a écrit :Costner amorce pour la deuxième fois (après Duo à 3) le film sportif
De ce film je retiens avant tout la fibre nostalgique. Le baseball est d’ailleurs le sport américain le plus chargé d’Histoire. Et je pense que c’est le sport favori de Costner pour cette même raison. La présence du grand Burt Lancaster, alors légende vivante, amplifie ce sentiment.
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Re: Kevin Costner
8 films sportifs, il a tourné si je me trompe pas ....Supfiction a écrit :Pour la quatrième fois déjà en fait.Roilo Pintu a écrit :Costner amorce pour la deuxième fois (après Duo à 3) le film sportif
J'amerais bien récuperer le prix de l'exploit, c'est pas si courant un film sur le velo, en plus Badham était au top de sa cote à l'époque.
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Re: Kevin Costner
Merci de m'avoir corrigé.Supfiction a écrit :Pour la quatrième fois déjà en fait.Roilo Pintu a écrit :Costner amorce pour la deuxième fois (après Duo à 3) le film sportif
En fait je voulais dire le deuxième film de baseball (a l'époque )
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Re: Kevin Costner
10 en comptant large ses rôles de sportifs, entraineur et ex-sportifs (mais ce ne sont pas forcement des films de sport). Le dvd Zone 1 a des stf malheureusement il est un peu cher, je viens de voir. Je ne suis pas sûr qu'il y ai eu meilleur film sur le vélo depuis.la_vie_en_blueray a écrit :8 films sportifs, il a tourné si je me trompe pas ....Supfiction a écrit : Pour la quatrième fois déjà en fait.
J'amerais bien récuperer le prix de l'exploit, c'est pas si courant un film sur le velo, en plus Badham était au top de sa cote à l'époque.
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Re: Kevin Costner
Rappelons une nouvelle fois que Waterworld n’a jamais été un four. Juste un blockbuster juste rentable.zemat a écrit :Curieux que tu ne connaisses pas l'existence de ce montage.Torrente a écrit :
Je vous hais.
Je ne savais même pas qu'une version longue existait.
J'adore Reynolds, Costner et Tripplehorn... j'aime donc le film... du coup, il FAUT que je voie ce montage maintenant, et le DVD neuf coûte 2 reins et une cornée !?
Je vous hais !
Je ne l'ai jamais vu mais je me rappelle bien des articles dessus à sa sortie il y a 10 ans.
Viens de voir le prix, en effet il est bien épuisé !
Quant à cette version longue (je ne sais plus comment je l’avais vu) elle était beaucoup plus réussie notamment car elle donnait le temps d’apprécier les personnages, en particulier celui de Costner qui était peu sympathique dans la version courte.
La vraie raison de la disparition de la version longue :
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Re: Kevin Costner
T'in, ils ont assuré le service com' de la Sncf !
Pas trop fan du concept mais c'est pas trop mal emballé.
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Re: Kevin Costner
Mais il y a des gens qui ont vu cette pub? Je n'en ai aucun souvenir, même au ciné. Si c'était pour que personne ne la voie, bonjour le fric dépensé pour rien...
c'était mon moment
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