Mike Nichols
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Mike Nichols
EDIT DE LA MODERATION:
N'hésitez pas à consulter les topics consacrés aux films du réalisateur:
Le aluréat (1967)
Catch 22 (1970)
Wolf (1994)
Angels in America (2003)
Closer (2004)
La guerre selon Charlie Wilson (2007)
===================================================================
Le mystére Silkwood:revu pour la seconde fois ce film qui fait toujours aussi froid dans le dos
autrement moins hollywoodien et autrement plus honnete qu'Ewin Brockovich par ex.
sublime Meryl Streep qui rend un bel hommage à cette femme merveillleuse.c'est aussi un des plus beaux roles de Kurt Russel,et un très beau second role pour Cher.
inspiré de faits réels,un film bouleversant et déchirant.
c'était l'époque bénite ou Mike Nichols savait encore faire du cinéma...
N'hésitez pas à consulter les topics consacrés aux films du réalisateur:
Le aluréat (1967)
Catch 22 (1970)
Wolf (1994)
Angels in America (2003)
Closer (2004)
La guerre selon Charlie Wilson (2007)
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Le mystére Silkwood:revu pour la seconde fois ce film qui fait toujours aussi froid dans le dos
autrement moins hollywoodien et autrement plus honnete qu'Ewin Brockovich par ex.
sublime Meryl Streep qui rend un bel hommage à cette femme merveillleuse.c'est aussi un des plus beaux roles de Kurt Russel,et un très beau second role pour Cher.
inspiré de faits réels,un film bouleversant et déchirant.
c'était l'époque bénite ou Mike Nichols savait encore faire du cinéma...
- Colqhoun
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Primary Colors - Mike Nichols
Les élections présidentielles US vues de l'intérieur, par le biais d'un jeune homme, noir, idéaliste, qui veut aider un gouverneur dans sa campagne. C'est souvent drôle, par moment chiant, à peine trop tire-larmes sur la fin et je ne sais quoi penser de la véracité de ce que l'on voit.
Il n'empêche que la programmation de ce film en cette période d'élections était une excellente idée.
Les élections présidentielles US vues de l'intérieur, par le biais d'un jeune homme, noir, idéaliste, qui veut aider un gouverneur dans sa campagne. C'est souvent drôle, par moment chiant, à peine trop tire-larmes sur la fin et je ne sais quoi penser de la véracité de ce que l'on voit.
Il n'empêche que la programmation de ce film en cette période d'élections était une excellente idée.
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- rocher ton corps
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J'aime bien ce film. Il est loin d'être parfait mais je le trouve intéressant dans sa description d'une campagne électorale US.Enzo a écrit :Primary Colors - Mike Nichols
Les élections présidentielles US vues de l'intérieur, par le biais d'un jeune homme, noir, idéaliste, qui veut aider un gouverneur dans sa campagne. C'est souvent drôle, par moment chiant, à peine trop tire-larmes sur la fin et je ne sais quoi penser de la véracité de ce que l'on voit.
Il n'empêche que la programmation de ce film en cette période d'élections était une excellente idée.
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WORKING GIRL de Mike Nichols (1987)
C'est si mignon tout ça! J'avoue avoir bien apprécié ce conte de fées moderne. Bien joué, bien que Melanie Griffith apparaisse un peu trop en porte jarretelles à mon goût (pourtant je ne rechigne pas d'habitude!...).
A ne pas rater: le 1er quart d'heure très choucrouteland-style! Incroyable, je n'arrive toujours pas à apprécier les looks des 80's...
Le master du dvd est de très bonne qualité, quelquefois les visages semblent un peu pâles/bleus, mais c'est sûrement le dir. phot qui n'a pas sû gérer ses HMI... et de toutes façons ça passe quand même.
Peu de poussières, bonne définition.
C'est si mignon tout ça! J'avoue avoir bien apprécié ce conte de fées moderne. Bien joué, bien que Melanie Griffith apparaisse un peu trop en porte jarretelles à mon goût (pourtant je ne rechigne pas d'habitude!...).
A ne pas rater: le 1er quart d'heure très choucrouteland-style! Incroyable, je n'arrive toujours pas à apprécier les looks des 80's...
Le master du dvd est de très bonne qualité, quelquefois les visages semblent un peu pâles/bleus, mais c'est sûrement le dir. phot qui n'a pas sû gérer ses HMI... et de toutes façons ça passe quand même.
Peu de poussières, bonne définition.
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- David O. Selznick
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The Fortune (La Bonne fortune), Mike Nichols, 1975
Une comédie franchement géniale et assez noire qui se déroule dans l'Amérique des années 20, à l'époque où une loi du nom de Mann interdisait à une femme de voyager d'un état à l'autre avec un homme sans être mariée. Empêtré dans une procédure de divorce qui n'en finit pas, Warren Beatty demande à Jack Nicholson de se marier à sa place avec Stockard Channing. Ils partent tous les trois pour la Californie et tentent tant bien que mal de cohabiter. Le trio est complétement loufoque. Nicholson joue un peu les benêts et il a des scènes de démence hilarantes. Je me suis vraiment bien marré devant une avalanche de situations burlesques, menées sur un excellent rythme.
Nichols signe une mise en scène épatante, avec toujours ce goût pour les plans séquences et le format large. David Shire arrange des thèmes jazzy et pose une ambiance super sympa sur l'ensemble.
Le DVD est en ce moment en promo à 9,99.
Une comédie franchement géniale et assez noire qui se déroule dans l'Amérique des années 20, à l'époque où une loi du nom de Mann interdisait à une femme de voyager d'un état à l'autre avec un homme sans être mariée. Empêtré dans une procédure de divorce qui n'en finit pas, Warren Beatty demande à Jack Nicholson de se marier à sa place avec Stockard Channing. Ils partent tous les trois pour la Californie et tentent tant bien que mal de cohabiter. Le trio est complétement loufoque. Nicholson joue un peu les benêts et il a des scènes de démence hilarantes. Je me suis vraiment bien marré devant une avalanche de situations burlesques, menées sur un excellent rythme.
Nichols signe une mise en scène épatante, avec toujours ce goût pour les plans séquences et le format large. David Shire arrange des thèmes jazzy et pose une ambiance super sympa sur l'ensemble.
Le DVD est en ce moment en promo à 9,99.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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La bonne fortune (The Fortune, 1975), de Mike Nichols.
Hommage parodique à la comédie burlesque du muet, ce film met en scène deux petits malfrats (Warren Beatty et Jack Nicholson) ayant mis le grapin sur une riche héritière (Stockard Channing). Amusant, avec des dialogues à double-sens assez savoureux, interprété par deux cabotins formant un vrai vieux couple, ce film se laisse voir sans ennui. Stockard Channing arrive à faire exister son personnage, et c'est probablement la plus belle réussite du film...
Hommage parodique à la comédie burlesque du muet, ce film met en scène deux petits malfrats (Warren Beatty et Jack Nicholson) ayant mis le grapin sur une riche héritière (Stockard Channing). Amusant, avec des dialogues à double-sens assez savoureux, interprété par deux cabotins formant un vrai vieux couple, ce film se laisse voir sans ennui. Stockard Channing arrive à faire exister son personnage, et c'est probablement la plus belle réussite du film...
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Voilà qui va peut-être enfin me pousser à regarder le DVD (depuis le temps que je l'ai...)joe-ernst a écrit :La bonne fortune (The Fortune, 1975), de Mike Nichols.
Hommage parodique à la comédie burlesque du muet, ce film met en scène deux petits malfrats (Warren Beatty et Jack Nicholson) ayant mis le grapin sur une riche héritière (Stockard Channing). Amusant, avec des dialogues à double-sens assez savoureux, interprété par deux cabotins formant un vrai vieux couple, ce film se laisse voir sans ennui. Stockard Channing arrive à faire exister son personnage, et c'est probablement la plus belle réussite du film...
Meilleur topic de l'univers
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Qui a peur de Viriginia Woolf ?
Quatre personnages, un lieu principal et un autre secondaire, action qui se déroule le temps d'une nuit: pas de doute, on a bien affaire à l'adaptation d'une pièce de théâtre. On le sait, cinéma et théâtre ne font pas toujours bon ménage, mais alors là...
Difficile d'en parler en détails, mais c'est une claque du niveau des Larmes amères de Petra von Kant ou des canons bergmaniens. A l'exception de Richard Burton et Elizabeth Taylor, rien n'y est hollywoodien tant le film est teinté de violence verbale et psychologique. Insultes, humiliations, crises d'hystérie, voilà où se trouve le spectacle si on adopte un point de vue superficiel. Pour le reste, c'est l'une des plus brillantes, les plus intenses, les plus vertigineuses analyses de la vie de couple qui m'ait été donné de voir. Mike Nichols, qui signe ici sa 1e réalisation, affiche une maîtrise réellement stupéfiante... quel dernier plan ! C'est sublime.
Quatre personnages, un lieu principal et un autre secondaire, action qui se déroule le temps d'une nuit: pas de doute, on a bien affaire à l'adaptation d'une pièce de théâtre. On le sait, cinéma et théâtre ne font pas toujours bon ménage, mais alors là...
Difficile d'en parler en détails, mais c'est une claque du niveau des Larmes amères de Petra von Kant ou des canons bergmaniens. A l'exception de Richard Burton et Elizabeth Taylor, rien n'y est hollywoodien tant le film est teinté de violence verbale et psychologique. Insultes, humiliations, crises d'hystérie, voilà où se trouve le spectacle si on adopte un point de vue superficiel. Pour le reste, c'est l'une des plus brillantes, les plus intenses, les plus vertigineuses analyses de la vie de couple qui m'ait été donné de voir. Mike Nichols, qui signe ici sa 1e réalisation, affiche une maîtrise réellement stupéfiante... quel dernier plan ! C'est sublime.
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CATCH 22 - Mike Nichols.
Catch 22 : une situation dont on ne peut sortir.
Dans le film, John Yossarian essaie de se faire passer pour fou pour rester au sol mais une clause de l'armée explique que vouloir rester au sol est un comportement totalement rationnel qui ne peut justifier un arrêt de ses activités. John Yossarian est donc obligé de continuer à voler.
Complétement emballé par le film. Absolument hilarant, d'un antimilitarisme mélancolique féroce, le film fait tour a tour penser a du Becket (dans son développement de tunnels de dialogues sur-raisonné, implicant des personnages qui ne semblent pas s'écouter), mais aussi au travers de situations tendant elle meme vers le theatre de l'absurde. On y retrouve aussi, surtout dans la deuxieme partie du film, plus déroutante et développant un humour plus noir, beaucoup de thème chère a Kafka, et certaines situation pouraient avoir inspirées Gilliam pour son Brazil.
On peut louer aussi la réalisation de Nichols, qui arrive a faire vivre une multitude de personnage sans une impression de gachie. Sa construction du cadre est tres travaillée, en cela, les plan en cocpite d'avion dans lesquels se retrouvent parfois 5 ou 6 acteurs sont particulierement bien construits, avec une minutie du détail (en se souciant et appréciant le travail sur le second plan). On a droit a beaucoup de magnifiques plans séquences, longtemps immobiles, et qui ne s'animent que vers la fin de plan par de lents mouvements de grue.
Et puis, le coeur du film, une brochette d'acteurs survoltée pris dans des roles taillés a leur mesure : Anthony Perkins (génial), Jon Voight, Alan Arkin (qui porte le film), Orson Welles (des dialogues excéllents), Art Garfunkel (attachant), Martin Sheen (décapant)...
Une énorme découverte, qui surpasse (de mon point de vu) le film d'Altman Mash, a qui on le compare souvent, meme si les deux humours développés sont complétements différents...
N.B : je n'ai pas réussi a trouver de topic sur le film, ni meme de messages y faisant référence, si quelqu'un arrive a mieux tirer profit que moi de la fonction recherche...
Catch 22 : une situation dont on ne peut sortir.
Dans le film, John Yossarian essaie de se faire passer pour fou pour rester au sol mais une clause de l'armée explique que vouloir rester au sol est un comportement totalement rationnel qui ne peut justifier un arrêt de ses activités. John Yossarian est donc obligé de continuer à voler.
Complétement emballé par le film. Absolument hilarant, d'un antimilitarisme mélancolique féroce, le film fait tour a tour penser a du Becket (dans son développement de tunnels de dialogues sur-raisonné, implicant des personnages qui ne semblent pas s'écouter), mais aussi au travers de situations tendant elle meme vers le theatre de l'absurde. On y retrouve aussi, surtout dans la deuxieme partie du film, plus déroutante et développant un humour plus noir, beaucoup de thème chère a Kafka, et certaines situation pouraient avoir inspirées Gilliam pour son Brazil.
On peut louer aussi la réalisation de Nichols, qui arrive a faire vivre une multitude de personnage sans une impression de gachie. Sa construction du cadre est tres travaillée, en cela, les plan en cocpite d'avion dans lesquels se retrouvent parfois 5 ou 6 acteurs sont particulierement bien construits, avec une minutie du détail (en se souciant et appréciant le travail sur le second plan). On a droit a beaucoup de magnifiques plans séquences, longtemps immobiles, et qui ne s'animent que vers la fin de plan par de lents mouvements de grue.
Et puis, le coeur du film, une brochette d'acteurs survoltée pris dans des roles taillés a leur mesure : Anthony Perkins (génial), Jon Voight, Alan Arkin (qui porte le film), Orson Welles (des dialogues excéllents), Art Garfunkel (attachant), Martin Sheen (décapant)...
Une énorme découverte, qui surpasse (de mon point de vu) le film d'Altman Mash, a qui on le compare souvent, meme si les deux humours développés sont complétements différents...
N.B : je n'ai pas réussi a trouver de topic sur le film, ni meme de messages y faisant référence, si quelqu'un arrive a mieux tirer profit que moi de la fonction recherche...
Comme les Notting Hillbillies : "Missing...Presumed Having a Good Time (on Letterboxd : https://letterboxd.com/ishenryfool/)"
- Jack Griffin
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Hop7swans a écrit :CATCH 22 - Mike Nichols.
N.B : je n'ai pas réussi a trouver de topic sur le film, ni meme de messages y faisant référence, si quelqu'un arrive a mieux tirer profit que moi de la fonction recherche...
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... ht=catch22
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J'aimerais beaucoup le voir d'autant que ce que j'ai lu du livre était très drôle.Jack Griffin a écrit :Hop7swans a écrit :CATCH 22 - Mike Nichols.
N.B : je n'ai pas réussi a trouver de topic sur le film, ni meme de messages y faisant référence, si quelqu'un arrive a mieux tirer profit que moi de la fonction recherche...
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Malheureusement, je ne pensais pas que la version anglaise du bouquin me poserait autant de problèmes...
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Mike Nichols
Dans 50 ans de cinéma américain, Jean Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier pointent du doigt la différence d’appréciation enter la critique américaine et la critique française, exemple (ou finalité) de nos différences culturelles. Mike Nichols en est un des fruits les plus marquant, schématisant a lui tout seul le fossé qui nous sépare.
Alors qu’il jouit, depuis son premier film, d’une forte réputation et d’un soutient quasiment constant et unanime de la part de la presse américaine (accompagné le plus souvent par des succès commerciaux, confirmant le « consensus » autour de son travail), le succès de Nichols et ses films restent une énigme irraisonnée pour la critique française, et (lâchons le mot) Nichols serait alors complètement surestimé. On le prend ici pour « un cinéaste de la facilité », expliquant assez légèrement son succès au usa par la formule suivante : « le spectateur américain ne recherche que la facilité ».
Ainsi Jean Tulard (qui, j’ose le dire : n’aime rien)dans son dictionnaire du cinéma ne sauvera de la filmographie de Mike Nichols que The Graduate, son « éloge » se limitant a trouver le film « personnel et parfois drôle », le reste n’étant qu’adaptation raté (catch 22), pétard mouillé (carnal knowledge), etc…
Alors un Topic-Top, qui est aussi la (voir surtout la), pour recueillir vos avis concernant ce cinéaste, dans sa globalité, et pourquoi pas un p’tit mot sur les films.
Closer (2004/I)
"Angels in America" (2003)
Wit (2001) (TV)
What Planet Are You From? (2000)
Primary Colors (1998)
The Birdcage (1996)
Wolf (1994)
Regarding Henry (1991)
Postcards from the Edge (1990)
Working Girl (1988)
Biloxi Blues (1988)
Heartburn (1986)
Silkwood (1983)
Gilda Live (1980)
The Fortune (1975)
The Day of the Dolphin (1973)
Carnal Knowledge (1971)
Catch-22 (1970)
Teach Me! (1968)
The Graduate (1967)
Who's Afraid of Virginia Woolf? (1966)
Je me permettrais de donner mon Top et un avis sur les films après avoir revu The Graduate et Who’s Afraid of Virginia Woof ? (Que j’aurai vu d’ici la fin de la semaine…)
Mais provisoirement :
Chef d’œuvres :
-Catch 22
-Carnal Knowledge
Bons films :
-Biloxi Blues
-The Fortune
Intéressant :
-Angels in America
-closer
Insignifiants :
-Primary Colors
-Regarding Henry
Raté :
-Wolf
Alors qu’il jouit, depuis son premier film, d’une forte réputation et d’un soutient quasiment constant et unanime de la part de la presse américaine (accompagné le plus souvent par des succès commerciaux, confirmant le « consensus » autour de son travail), le succès de Nichols et ses films restent une énigme irraisonnée pour la critique française, et (lâchons le mot) Nichols serait alors complètement surestimé. On le prend ici pour « un cinéaste de la facilité », expliquant assez légèrement son succès au usa par la formule suivante : « le spectateur américain ne recherche que la facilité ».
Ainsi Jean Tulard (qui, j’ose le dire : n’aime rien)dans son dictionnaire du cinéma ne sauvera de la filmographie de Mike Nichols que The Graduate, son « éloge » se limitant a trouver le film « personnel et parfois drôle », le reste n’étant qu’adaptation raté (catch 22), pétard mouillé (carnal knowledge), etc…
Alors un Topic-Top, qui est aussi la (voir surtout la), pour recueillir vos avis concernant ce cinéaste, dans sa globalité, et pourquoi pas un p’tit mot sur les films.
Closer (2004/I)
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Wit (2001) (TV)
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Wolf (1994)
Regarding Henry (1991)
Postcards from the Edge (1990)
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Biloxi Blues (1988)
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Gilda Live (1980)
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The Day of the Dolphin (1973)
Carnal Knowledge (1971)
Catch-22 (1970)
Teach Me! (1968)
The Graduate (1967)
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Je me permettrais de donner mon Top et un avis sur les films après avoir revu The Graduate et Who’s Afraid of Virginia Woof ? (Que j’aurai vu d’ici la fin de la semaine…)
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Re: Top Mike Nichols
Mon classement :
1 - The Graduate
2 - Who's afraid of Virginia Woolf
3 - Angels in America
4 - Catch 22
5 - Primary Colors
6 - Closer
1 - The Graduate
2 - Who's afraid of Virginia Woolf
3 - Angels in America
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Si Who's Afraid of Virginia Woolf ? reste sympathique (sans être le chef d’œuvre qu'il voudrait être) et The Graduate, une merveilleuse comédie, j'ai énormément de mal avec le reste de la filmo du monsieur, qui hostile entre la comédie de boulevard (son remake de La Cage aux folles est réellement pitoyable) jamais drôle, le drame pompeux et le film de genre à la ramasse (voir le naveton Wolf)
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Top Mike Nichols
Très bon :
Qui a peur de Virginia Woolf ?
Biloxi Blues
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Bien :
Le Mystère Silkwood
Bof :
Working Girk
Pouah :
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Wolf
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