homerwell a écrit :shubby a écrit :
Par la pensée, la révolte, hein. Chez Camus y'a qu'des victimes & des fléaux. Le reste - action, héroïsme, courage, tout ça - relève de l'abstrait.
Cela étant, c'est l'idée, oui
Après la conscience politique de Kassovitz, voilà l'abstraction du courage de Camus.
C'est nouveau, ça vient de sortir.
Ca n'est pas du négationnisme ; on supplante un passéisme parfois embelli, parfois calomnié, par une anticipation d'une nostalgie à venir. D'un présent qui vaut parfois mieux que ce que l'on en croit.
Albert Camus est mort, vive Albert qui mue !
bruce randylan a écrit :
C'est une amie chinoise qui m'expliquait ça avec démonstration à la clé dans le meilleur restaurant de canard laqué de Beijing
La dernière fois que j'ai mangé dans un resto de canard claqué à Pékin, un autochtone m'a presque craché sur mes pompes.
Ce qui me rappelle une bonne vanne de
Clint dans
Josey Wales : "Quand tu craches sur mes pompes, essaye pas de me faire croire qu'il pleut".