J'allais le dire mais en même temps, est-ce que je posterais une photo de la charmante Isabelle dans le fameux sujet du forum rempli de photos de jolies filles parfois légèrement vêtues (et quelques garçons)... ça n'est pas sûr.Ratatouille a écrit :Ah oui, on n'a pas tous forcément les mêmes goûts en matière de femmes, effectivement...AtCloseRange a écrit :Ah, il y a Isabelle Candelier dans le film? Voilà bien une raison qui me pourrait me pousser à voir le film (bien davantage que Marion Cotillard).
Une grande année (Ridley Scott - 2006)
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Ah mais si tu souhaites le faire, n'hésite pas !....quoiqu'en fait non, évite.AtCloseRange a écrit :J'allais le dire mais en même temps, est-ce que je posterais une photo de la charmante Isabelle dans le fameux sujet du forum rempli de photos de jolies filles parfois légèrement vêtues (et quelques garçons)... ça n'est pas sûr.Ratatouille a écrit :
Ah oui, on n'a pas tous forcément les mêmes goûts en matière de femmes, effectivement...
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ça me rappelle un autre film de Ridley Scott : Hannibal, dans lequel Giancarlo Gannini parle en anglais avec tous les autres Italiens... ça m'avait fait tiquer (même si j'aime bien le film).Ratatouille a écrit :Perso, ce n'est pas que j'ai trouvé que ça sonnait faux ; mais de voir Didier Bourdon, supposé incarner un paysan bourru, parler un anglais absolument parfait...c'est peut-être bête, mais j'ai eu du mal à y croire.
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Je suis pas franchement fan de Cotillard, mais il faut reconnaître que dans ce film, elle est magnifique.Ratatouille a écrit :Ah oui, on n'a pas tous forcément les mêmes goûts en matière de femmes, effectivement...AtCloseRange a écrit :Ah, il y a Isabelle Candelier dans le film? Voilà bien une raison qui me pourrait me pousser à voir le film (bien davantage que Marion Cotillard).
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Re: Une grande année (Ridley Scott, 2006)
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Re: Une grande année (Ridley Scott, 2006)
Merci, mais non.mannhunter a écrit :Dvd bradé à 5 euros dans tous les magasins Carrefour!
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Re: Une grande année (Ridley Scott, 2006)
t'aimes pas Ridley Scott?Major Tom a écrit :Merci, mais non.mannhunter a écrit :Dvd bradé à 5 euros dans tous les magasins Carrefour!
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Re: Une grande année (Ridley Scott, 2006)
Seulement entre 1977 et 1982, c'est ça ses grandes années.mannhunter a écrit :t'aimes pas Ridley Scott?
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Re: Une grande année (Ridley Scott, 2006)
Film facile, rempli de clichés à ras bord, où scott évoque plus son fantasme de la provence (et de Londres) qu'une quelconque réalité. Tout ça semble assumé et n'a finalement rien de méchant même si le réal n'est pas très à l'aise sur le registre de la comédie romantique.
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Re: Une grande année (Ridley Scott, 2006)
Je suis en train de combler progressivement mes lacunes dans la filmographie scottienne, avec des titres que j'avais pu rater à leur sortie. J'avoue que pour celui-ci, ça ne m'avait pas posé problème à l'époque. Le réal avait bien le droit de se payer des vacances en France après la production éprouvante de Kingdom of heaven. Au moment de l''aborder enfin, reprenant connaissance de son pitch en carton, ma motivation a vacillé : Crowe en trader de la City plongé malgré lui dans le vignoble provencal, avec La Cotillard en love interest qui va l'initier à la vie de terroir so french. Sur ces bases, peut-on vraiment espérer un bon film ? Chez Wilder, ça a effectivement donné le magnifique Avanti. Mais là, j'imaginais déjà la mise en scène de Scott fabriquer des paysages de carte postale, et offrir une vision totalement aseptisée de la France, pour asséner des dialogues creux faisant l'apologie des vraies valeurs de la vie, qu'on doit apprendre à déguster comme un grand cru. Bref, un film sans doute pas destiné au spectateur français, le genre de proposition qui ne passera pas davantage que le Midnight in Paris de Woody.
Alors oui, si l'intrigue est évidemment cousue de fil blanc dans sa progression (rien que l'affiche spoile puisqu'elle est carrément tirée du dernier plan du film), elle est au service d'une comédie romantique qui ne manque pas de charme. Si on n'est pas allergique au genre et à ses ressorts, je ne vois pas pourquoi on ne passerait pas un bon moment. Bon au bout d'un moment, le film semble certes faire du surplace, n'avoir plus rien à tracer. Rempli de leçons de vie, le récit s'assume comme une sorte de parenthèse dans la vie de son protagoniste. Même lors du happy end, Max a bien conscience que sa romance pourrait ne pas durer. Le but est ici de savourer le présent. Scott fait a priori preuve d'une absence de prétention, et en même temps on y retrouve son savoir-faire et son goût pour des décors raffinés, tant dans la mise en valeur des paysages provençaux (les vieilles pierres, la campagne, les villages) que dans la façon d'en faire émerger les fantômes du passé. Les flashbacks sont ainsi plutôt joliment amenés, avec un Albert Finney malicieux qu'on rêverait tous d'avoir pour oncle. Les dialogues sont amusants, les personnages secondaires plutôt bien campés (de Tom Hollander en copain-avocat à Didier Bourdon qui trouve là son meilleur rôle, easy), et Crowe fait preuve d'une vitalité contagieuse. Le but est évidemment de mettre en images une Provence magnifiée, qui ne serait photographiée qu'à la lumière rasante du matin ou du crépuscule. C'est évidemment un monde qui n'existe pas (ou alors moi aussi je veux boire un coup sous les lampions au bord d'un étang pendant un ciné-concert projetant les films les plus emblématiques du cinéma français). Et étonnamment, même s'ils sont présents, les inévitables clichés sur la France et les français ne sont jamais lourdauds, on n'est pas tant que ça dans la caricature. Même dans les péripéties, en dehors du vague mystère des vignes, on échappera au jeux d'opposition et de rivalités faciles (finalement pas de méchant ou de complot).
Alors oui, si l'intrigue est évidemment cousue de fil blanc dans sa progression (rien que l'affiche spoile puisqu'elle est carrément tirée du dernier plan du film), elle est au service d'une comédie romantique qui ne manque pas de charme. Si on n'est pas allergique au genre et à ses ressorts, je ne vois pas pourquoi on ne passerait pas un bon moment. Bon au bout d'un moment, le film semble certes faire du surplace, n'avoir plus rien à tracer. Rempli de leçons de vie, le récit s'assume comme une sorte de parenthèse dans la vie de son protagoniste. Même lors du happy end, Max a bien conscience que sa romance pourrait ne pas durer. Le but est ici de savourer le présent. Scott fait a priori preuve d'une absence de prétention, et en même temps on y retrouve son savoir-faire et son goût pour des décors raffinés, tant dans la mise en valeur des paysages provençaux (les vieilles pierres, la campagne, les villages) que dans la façon d'en faire émerger les fantômes du passé. Les flashbacks sont ainsi plutôt joliment amenés, avec un Albert Finney malicieux qu'on rêverait tous d'avoir pour oncle. Les dialogues sont amusants, les personnages secondaires plutôt bien campés (de Tom Hollander en copain-avocat à Didier Bourdon qui trouve là son meilleur rôle, easy), et Crowe fait preuve d'une vitalité contagieuse. Le but est évidemment de mettre en images une Provence magnifiée, qui ne serait photographiée qu'à la lumière rasante du matin ou du crépuscule. C'est évidemment un monde qui n'existe pas (ou alors moi aussi je veux boire un coup sous les lampions au bord d'un étang pendant un ciné-concert projetant les films les plus emblématiques du cinéma français). Et étonnamment, même s'ils sont présents, les inévitables clichés sur la France et les français ne sont jamais lourdauds, on n'est pas tant que ça dans la caricature. Même dans les péripéties, en dehors du vague mystère des vignes, on échappera au jeux d'opposition et de rivalités faciles (finalement pas de méchant ou de complot).
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Re:
Bon, finalement Isabelle n'était pas une raison suffisante d'apprécier le film.AtCloseRange a écrit :Ah, il y a Isabelle Candelier dans le film? Voilà bien une raison qui me pourrait me pousser à voir le film (bien davantage que Marion Cotillard).Joshua Baskin a écrit :Ca se regarde mais sans aucune passion. On se fout complétement de ce qui se passe à l'écran.
Didier Bourdon et Isabelle Candelier même s'ils jouaient bien leur rôle m'ont presque saoûlé. Incroyable de voir qu'à chaque fois que j'entends parler français dans un film américain j'ai l'impression que ça sonne faux, je ne sais pas pourquoi.
Les scènes que j'ai finalement le plus appréciées sont celles avec Albert Finney.
Marion Cotillard est sublime dans le film.
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Re: Re:
AtCloseRange a écrit :Mais love eternal pour l'actrice des premiers Podalydès.
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Re: Une grande année (Ridley Scott - 2006)
Gros crush aussi. Les années lui vont très bien.
(vous pensiez quand même pas que j'allais pas réagir ?)
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Re: Une grande année (Ridley Scott - 2006)
j'ai raté un truc ou tu ne penses plus la même chose qu'en 2007 (voir le haut de la page)?Ratatouille a écrit :Gros crush aussi. Les années lui vont très bien.
(vous pensiez quand même pas que j'allais pas réagir ?)
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Re: Une grande année (Ridley Scott - 2006)
A l'écrit au moins, tu fais vachement bien la surprise...AtCloseRange a écrit :j'ai raté un truc ou tu ne penses plus la même chose qu'en 2007 (voir le haut de la page)?