Les Fils de l'homme (Alfonso Cuaron - 2006)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Le prisonnier
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Message par Le prisonnier »

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L'Afrique étant le berceau de l'humanité, il est très symbolique que le dernier espoir de l'humanité soit une jeune femme d'origine africaine...
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-Kaonashi-
Tata Yuyu
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Message par -Kaonashi- »

Au détour d'une petite recherche sur le forum à propos de Y tu mamma tambien ! (quasiment aucun résultat), je tombe là-dessus :
MJ (26/06/2006) a écrit :Alfonso Cuaron à la barre en plus (excellent Harry Potter 3, souvenir par contre un peu plus mitigé concernant Y tu Mamà Tambien mais on fera avec), grosse attente pour ma part.
Pourtant : c'est quel film en 20e position ?
:o :mrgreen:
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MJ
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Message par MJ »

-Kaonashi Yupa- a écrit ::o :mrgreen:
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Aragorn Elessar
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Message par Aragorn Elessar »

MJ a écrit :
Nikita a écrit :Pourquoi - je ne pose la question que pour Children of men ?
Pour la simple et bonne raison que je n'y ai pas vu une volonté que je t'en jette facile à la gangsta MTV mais une manière de plonger complètement le spectateur dans l'action, - qui se serait retrouvé bien plus fragmenté avec un montage plus cut dans les scènes de tension. Un peu l'anti-Bourne en somme, et je me retrouve beaucoup plus dans cette démarche. Quoiqu'aucun effet n'est bon, mauvais ou valable en soi.
Pour Elephant, je me doutais bien que tu ne poserais pas la question!
En fait, je trouve que c'etait le meilleur choix pour les deux séquences, voire même l'unique choix à faire.
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Brody
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Message par Brody »

Et hop, mon film du mois !

chapeau monsieur Cuaron 8)
joey
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Re: The Children of men (Alfonso Cuaron)

Message par joey »

Children of Men pourrait devenir une série télévisée.

http://www.scifi.com/scifiwire/index.ph ... 1&id=50711
Eick Adapts Children For TV

Bionic Woman executive producer David Eick told SCI FI Wire that he's working on a pilot script for a proposed TV series based on Children of Men, P.D. James' SF novel, which also inspired Alfonso Cuaron's 2006 film of the same name.

"It's really taking root more in the origins of the novels in that it will focus on the cultural movement in which young people become the society's utter focus," Eick (Battlestar Galactica) said in an interview at SCI FI Channel's upfront presentation to advertisers in New York on March 18. "Much like our culture, whenever Lindsay Lohan does something [and] it becomes the headline of every news show, it's about how, when you don't have a responsibility to the next generation and you're free to do whatever you want, where do you draw the line?"

Eick added that Children of Men will question how society defines responsibility, freedom and a sense of values when it doesn't necessarily believe humans will survive as a species. "So it's a very compelling, I think, human question that science fiction has always explored extremely provocatively," he said. "It's not really a war show like the movie was. It's more an exploration of that issue."

Eick is writing Children of Men now, even as he closes out SCI FI Channel's original series Battlestar Galactica and prepares for production on SCI FI's recently green-lighted prequel series Caprica. Eick's Bionic, meanwhile, has been canceled by NBC. (NBC is owned by NBC Universal, which also owns SCI FI Channel and SCIFI.COM.) --Ian Spelling
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Pete Dayton
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Re: The Children of men (Alfonso Cuaron)

Message par Pete Dayton »

Oulà... David Eick est peut-être bon lorsqu'il est associé à Ron Moore (sur Battlestar Galactica), mais tout seul, avec Bionic Woman, on a vu ce que ça a donné ! :|
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Mama Grande!
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Re: The Children of men (Alfonso Cuaron)

Message par Mama Grande! »

Je l'avais loupé lors de sa sortie en salles, et je constate aujourd'hui avec bonheur que le film est à la hauteur de l'enthousiasme suscité.
Ce film de science fiction est, paradoxalement (?), le film récent le plus actuel que j'ai vu, du moins en ce qui concerne le cinéma occidental. L'histoire a beau se dérouler dans 20 ans, les images sont tantôt celles que nous craignons devoir affronter, tantôt celles que nous affrontons déjà. La première partie nous montre un Londres, aujourd'hui centre économique mondial, devenu chaotique, qui ne peut plus s'isoler des troubles du monde qui l'entoure. La question des réfugiés est devenue incontrôlable, le pouvoir en place est devenu aussi prédateur que les groupes armés, l'humanité a perdu tout espoir d'avenir. Dans la deuxième partie, on se retrouve avec des images plus familières de guerre, plus souvent en provenance du Proche Orient (voire les groupes armés islamistes qui manifestent pour crier vengeance, et le mot "Intifada" écrit sur les murs) que d'Angleterre.
A travers cette histoire de sf parabolique, Cuaron a transcris sur pellicule nos angoisses de manière brute (magnifique photo), violente, et intelligente. Il ne tombe pas, contrairement à dans le foireux V for Vendetta dans la prise de partie, inappropriée car la situation qu'il montre n'est pas plus compréhensible pour lui que pour nous. Il constate, point barre, à la manière d'un reporter photo en zone de combat. C'est pour moi ce qu'un cinéaste peut faire de mieux.
Saluons aussi la direction d'acteurs, et Clive Owen (que je vois ici pour la première fois :oops: ) qui m'a bluffé.
Par son utilisation de la science fiction pour mettre en relief les enjeux du monde contemporain, Children of men est à rapprocher de la fantastique deuxième saison de la série Ghost in the Shell Stand Alone Complex, qui privilégie une approche plus géopolitique. J'en profite pour poster le générique retenu pour la diffusion japonaise. Je l'avais déjà posté ailleurs, mais c'est vraiment une séquence d'animation virtuose, dont l'ambiance se rapproche pas mal du film de Cuaron.

Enjoy:

Joe Wilson
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Re: The Children of men (Alfonso Cuaron)

Message par Joe Wilson »

Rattrapage tardif...j''ai été impressionné par l'âpreté et l'efficacité de la mise en scène, largement convaincante dans son évocation d'un chaos et d'une société sur le point de s'aveugler.
Cuaron parvient également à trouver l'équilibre entre le tableau saisissant d'un monde en sursis, et le portrait intense de trajectoires individuelles (Clive Owen en tête, mais Julianne Moore et Michael Caine sont aussi indispensables).
Je suis plus sceptique face à un scénario très chargé en symboles (malgré la beauté du final en demie-teinte), qui alourdit un propos déjà très dense. Mais cela ne ternit pas la valeur d'un film très pertinent dans son approche d'un futur incertain, envahi par la crainte et l'affolement.
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Demi-Lune
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Re: Les Fils de l'homme (Alfonso Cuaron - 2006)

Message par Demi-Lune »

Un chef-d’œuvre. 8)
David de stras
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Re:Theo perd une de ses tongs

Message par David de stras »

Art Core a écrit :Encore une très grosse surprise que ce film sorti de nul part (et sorti nul part d'ailleurs :? ).
Je n'en attendais rien, étant juste gentiment alléché par le pitch mais n'ayant qu'assez peu d'estime pour Cuaron (je n'ai vu que son Harry Potter que je trouve aussi moyen que les Colombus et son segment de Paris Je t'aime sympa sans plus) et je me suis pris une bombe en pleine gueule.
Le film propose une anticipation qui ne s'avoue pas et qui pourrait très bien au final être totalement contemporaine et sous couvert de science-fiction Cuaron propose un grand film politique on ne peut plus contemporain (je suis d'ailleurs curieux de voir comment le film a été reçu en Grande-Bretagne). Tout y passe en commençant par cette paranoïa du terrorisme, omnipresent qui prend ces racines dans le sort résérvé par l'armée aux refugiées. Un film aussi qui montre ce que veut dire avoir des idéaux et se battre pour eux (le seul personnage sans idéal, le personnage neutre est le seul capable de mener à bien la mission).
Mais au-delà de ça donc il existe une mise-en-scène tout simplement démente faite de plans-séquences furieux et inspirés donnant au film un cachet réaliste absolument saisissant. Et toute l'esthétique caméra épaule, steadycam très mobile aide vraiment à rendre le récit proche de nous et de ne pas l'envoyer dans des nébuleuses trop science-fictionnelles (de même que comme l'a dit tronche de cuir, le refus de Cuaron de nous donner des informations, de nous offrir un panorama global de ce monde mais au contraire de nous coller au point de vue de Clive Owen).
Et puis c'est d'une noirceur totale, rien ne nous est epargné, la description de ce "camp" à la fin est incroyable car en quelques plans Cuaron installe un vrai univers decrépi et malade dans lequel l'humanité a perdu tout espoir (le plan-séquence "final" est un morceau de bravoure incroyable reléguant aux oubliettes celui de Hard Boiled et en même temps je le trouve terriblement significatif, suivant cet homme qui est sans doute le dernier qui garde un espoir). Mais dans cette noirceure et cette obscurité il a l'intelligence de glisser quelques doses d'humour particulièrement à propos car ne faisant que relever l'ironie d'une telle situation (les tongs, le pull "London 2012" etc...) oui en effet beaucoup d’humour dans ce film. J’ai même remarqué que lorsqu’il enfile les tongs il a des blessures sur les pieds et les mets en tenant les sangles des tongs pour ne pas avoir mal en Les enfilant. Les détails ( blessures, situation cocasse ) tout est très bien pensé. Theo aurait voulu mettre des chaussures mais aucune ne lui vont. Il essaye les tongs en soupirant (on l’entend) en plus deux tailles trop petites à parement écrit dans le script. Il manque même de perdre une de ses tongs dans la forêt quand il marche avec le chien ^^ comme quoi tout est bien pensé en mettant l’accent sur ses pieds pour montrer qu’il aurait voulu d’autres chaussures.
Lors de sa fuite de chez jasper il n’a que ça aux pieds il conduit avec il n’a pas le choix. Un long périple en tongs en automne avec une chemise, un pull, un pantalon de costards et une veste longue et les tongs havainas très bonne qualité la marque! C’est bien pensé pour qu’elles ne se cassent pas pendant le tournage, elles sont assez épaisses.
Il marche avec sur du verre est la boue avec dans l’ecole Abandonné, on entends le bruit des tongs pendant. Presque tout le film^^
Il a les talons noir de suie à force de marcher partout ( on le voit quand syd les amène au bus) et les doigts de pied noir lors de l’arrivée dans la chambre où le bébé va naître.
Quand il se bat avec syd, Theo est à genoux et essaye de prendre l’arme de syd et y mets tellement de force que sont pied droit balaye le sol sale et sa tong droite commence à se retirée... puis syd lui donne un coup et se jette sur lui. Mais marcka donne les coups à syd et Theo se relève avec rapidité et sa tong droite se retourne dû à la bataille et l’empêche de courir vite dans le corridor. Embarrassé par cette tong ( il dit putain en regardant son pied) il l’envoi en l’air vers la sortie en étant soulagé. On la voit voler au loin dans le couloir, et par après sur le sol pleine de suie. Il s’en fou il veut fuir sans penser à ce qu’il va se passer dehors, il vas se blesser au pied droit. Si il l’avait gardé il aurait fini le film avec ou aurait perdu l’autre à la guérira finale... dommage cela aurait été mieux comme c’est un héros en tongs. En tout cas sexy et c’est bien le seul acteur qui a accepter de faire ça . Il avait une protection sur les pieds, un bodyfluid ( faux pieds en caoutchouc) pour la scène où il se blesse. Et il avait un mi-bas pour tenir la tong gauche pour qu’elle ne s’échappe pas lorsqu’il tue syd avec la batterie.

Bref un petit chef-d'oeuvre tombé du ciel, sorti dans l'indifférence (pas de VO sur Lyon j'ai dû le voir en VF :? ) alors que le film a un énorme potentiel. C'est vraiment dommage. En tout cas je le conseille à tous car c'est une petite merveille.
David de stras
Stagiaire
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Re: Re:Theo perd une de ses tongs

Message par David de stras »

David de stras a écrit :
Art Core a écrit :Encore une très grosse surprise que ce film sorti de nul part (et sorti nul part d'ailleurs :? ).
Je n'en attendais rien, étant juste gentiment alléché par le pitch mais n'ayant qu'assez peu d'estime pour Cuaron (je n'ai vu que son Harry Potter que je trouve aussi moyen que les Colombus et son segment de Paris Je t'aime sympa sans plus) et je me suis pris une bombe en pleine gueule.
Le film propose une anticipation qui ne s'avoue pas et qui pourrait très bien au final être totalement contemporaine et sous couvert de science-fiction Cuaron propose un grand film politique on ne peut plus contemporain (je suis d'ailleurs curieux de voir comment le film a été reçu en Grande-Bretagne). Tout y passe en commençant par cette paranoïa du terrorisme, omnipresent qui prend ces racines dans le sort résérvé par l'armée aux refugiées. Un film aussi qui montre ce que veut dire avoir des idéaux et se battre pour eux (le seul personnage sans idéal, le personnage neutre est le seul capable de mener à bien la mission).
Mais au-delà de ça donc il existe une mise-en-scène tout simplement démente faite de plans-séquences furieux et inspirés donnant au film un cachet réaliste absolument saisissant. Et toute l'esthétique caméra épaule, steadycam très mobile aide vraiment à rendre le récit proche de nous et de ne pas l'envoyer dans des nébuleuses trop science-fictionnelles (de même que comme l'a dit tronche de cuir, le refus de Cuaron de nous donner des informations, de nous offrir un panorama global de ce monde mais au contraire de nous coller au point de vue de Clive Owen).
Et puis c'est d'une noirceur totale, rien ne nous est epargné, la description de ce "camp" à la fin est incroyable car en quelques plans Cuaron installe un vrai univers decrépi et malade dans lequel l'humanité a perdu tout espoir (le plan-séquence "final" est un morceau de bravoure incroyable reléguant aux oubliettes celui de Hard Boiled et en même temps je le trouve terriblement significatif, suivant cet homme qui est sans doute le dernier qui garde un espoir). Mais dans cette noirceure et cette obscurité il a l'intelligence de glisser quelques doses d'humour particulièrement à propos car ne faisant que relever l'ironie d'une telle situation (les tongs, le pull "London 2012" etc...) oui en effet beaucoup d’humour dans ce film. J’ai même remarqué que lorsqu’il enfile les tongs il a des blessures sur les pieds et les mets en tenant les sangles des tongs pour ne pas avoir mal en Les enfilant. Les détails ( blessures, situation cocasse ) tout est très bien pensé. Theo aurait voulu mettre des chaussures mais aucune ne lui vont. Il essaye les tongs en soupirant (on l’entend) en plus deux tailles trop petites à parement écrit dans le script. Il manque même de perdre une de ses tongs dans la forêt quand il marche avec le chien ^^ comme quoi tout est bien pensé en mettant l’accent sur ses pieds pour montrer qu’il aurait voulu d’autres chaussures.
Lors de sa fuite de chez jasper il n’a que ça aux pieds il conduit avec il n’a pas le choix. Un long périple en tongs en automne avec une chemise, un pull, un pantalon de costards et une veste longue et les tongs havainas très bonne qualité la marque! C’est bien pensé pour qu’elles ne se cassent pas pendant le tournage, elles sont assez épaisses.
Il marche avec sur du verre est la boue avec dans l’ecole Abandonné, on entends le bruit des tongs pendant. Presque tout le film^^
Il a les talons noir de suie à force de marcher partout ( on le voit quand syd les amène au bus) et les doigts de pied noir lors de l’arrivée dans la chambre où le bébé va naître.
Quand il se bat avec syd, Theo est à genoux et essaye de prendre l’arme de syd et y mets tellement de force que sont pied droit balaye le sol sale et sa tong droite commence à se retirée... puis syd lui donne un coup et se jette sur lui. Mais marcka donne les coups à syd et Theo se relève avec rapidité et sa tong droite se retourne dû à la bataille et l’empêche de courir vite dans le corridor. Embarrassé par cette tong ( il dit putain en regardant son pied) il l’envoi en l’air vers la sortie en étant soulagé. On la voit voler au loin dans le couloir, et par après sur le sol pleine de suie. Il s’en fou il veut fuir sans penser à ce qu’il va se passer dehors, il vas se blesser au pied droit. Si il l’avait gardé il aurait fini le film avec ou aurait perdu l’autre à la guérira finale... dommage cela aurait été mieux comme c’est un héros en tongs. En tout cas sexy et c’est bien le seul acteur qui a accepter de faire ça . Il avait une protection sur les pieds, un bodyfluid ( faux pieds en caoutchouc) pour la scène où il se blesse. Et il avait un mi-bas pour tenir la tong gauche pour qu’elle ne s’échappe pas lorsqu’il tue syd avec la batterie.

Bref un petit chef-d'oeuvre tombé du ciel, sorti dans l'indifférence (pas de VO sur Lyon j'ai dû le voir en VF :? ) alors que le film a un énorme potentiel. C'est vraiment dommage. En tout cas je le conseille à tous car c'est une petite merveille.
David de stras
Stagiaire
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Re: Les Fils de l'homme (Alfonso Cuaron - 2006)

Message par David de stras »

Theo est souvent sans chaussures car il a oublié ses chaussures durant sa fuite. Et comme il s’est blessé les pieds à force de marcher dans la boue et courrir sur le bitume et se pendre des branches... il se désinfecte les blessures dans un pot chez jasper. Comme il a mal les autres chaussures d’ailleurs trop petites ne lui vont pas. Mais la paire de tongs oui ( même si elles sont deux tailles trop petites) du 41/42 pour être exact et lui fait du 43. Embarrassé il n’a que ça. Il a les pieds sales durant le film à force de traîner partout. Et en se battant avec syd, qu’il essaye de maîtriser en lui prenant l’arme, a ce moment là son pied droit traîne par terre et sa tong se détache un peu il se retrouve à courir avec une tong à moitié retourné au moment de se relever. Il veut courir dans le corridor mais elle l’empeche D’accélérer donc il l’envoi D’un coup de pied au loin dans le couloir en criant ( putaîn) puis on la voit voler au loin ^^ regardez bien la scène. C’est pour sa qu’il se blesse dehors car il a perdu une tong. Son pied nu est vulnérable il aurait dû rester avec une tong en moins jusqu’à la fin. Cela aurait été plus crédible. Quitte même à perdre l’autre et compliquer les choses comme si cela nous arrivait. Je pense qu’il aurait perdu les deux Au vu des cascades.
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