Neil Jordan
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Filmo up and down, avec plus de down AMHA.
Son dernier film pas encore sorti, Breakfast on Pluto, a l'air intéressant. Cillian Murphy a l'air habité sur les photos.
Années 70. Abandonné étant bébé dans sa petite ville natale Irlandaise, Patrick Braden, un jeune travesti attendrissant, plein d'esprit et à la dureté trompeuse, se rend compte très tôt qu'il est né dans le mauvais corps. Il survit à cet environnement très rude grâce à son esprit, son charme et à son refus total de laisser quiconque ou quoi que ce soit changer qui il est vraiment. (Courtesy Allociné)
Son dernier film pas encore sorti, Breakfast on Pluto, a l'air intéressant. Cillian Murphy a l'air habité sur les photos.
Années 70. Abandonné étant bébé dans sa petite ville natale Irlandaise, Patrick Braden, un jeune travesti attendrissant, plein d'esprit et à la dureté trompeuse, se rend compte très tôt qu'il est né dans le mauvais corps. Il survit à cet environnement très rude grâce à son esprit, son charme et à son refus total de laisser quiconque ou quoi que ce soit changer qui il est vraiment. (Courtesy Allociné)
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Concernant Interview with a Vampire, j'avais beaucoup aimé à sa sortie mais je sais pas s'il a bien vieilli, contrairement à La Compagnie des loups que j'ai détesté.
Il était projeté le même jour que Brokeback Mountain au festival de films gays et lesbiens...Robert McCall a écrit :Son dernier film pas encore sorti, Breakfast on Pluto, a l'air intéressant.
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Jordan a atteint des sommets de ridicule dans l'époustouflant In Dreams. Sinon j'aime toujours La Compagnie des loups, bien moins cependant qu'au moment de sa sortie. The Crying Game m'ennuie profondément, et je jubile devant Interview avec un vampire. Michael Collins me laisse de marbre tandis que Mona Lisa était une réussite troublante... bref, je n'arrive absolument pas à saisir ce cinéaste qui aime faire le funambule sur la très fine corde du ridicule.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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Breakfast on Pluto (Neil Jordan - 2006)
4 copies en France pour un film qu'on ne pourra même pas prendre pour un Disney avec le chien de Mickey.
Années 70. Abandonné étant bébé dans sa petite ville natale Irlandaise, Patrick Braden, un jeune travesti attendrissant, plein d'esprit et à la dureté trompeuse, se rend compte très tôt qu'il est né dans le mauvais corps. Il survit à cet environnement très rude grâce à son esprit, son charme et à son refus total de laisser quiconque ou quoi que ce soit changer qui il est vraiment.
Sur le papier et au début, brefs échos de Velvet Goldmine : les seventies, l'ambigüité sexuelle, une touche de glam (avec un improbable groupe du nom de Billy et les Mohawks), Oscar Wilde, des plans aériens, un bébé trouvé sur un perron, une atmosphère un peu onirique et même le God of glam Bryan Ferry himself dans une courte apparition mémorable de moustachu louche.
Et puis ensuite non, pas vraiment : Jordan fait des allers-retours constants entre légèreté queer pailletée maquillée féérique et gravité du réel (sur fond d'Irlande et d'Angleterre déchirées par le terrorisme) au travers de Patrick, sur qui tout glisse. Au début, son personnage est un peu crispant : il se fout de tout, subvertit soigneusement son entourage avec ses robes tout en restant imperméable au drame irlandais. D'autant que le film est un poil trop long (2h20) et les séquences (le film est chapitré) inégales. Et puis son attitude de résistant queer contre le réel fonctionne finalement bien dans une séquence improbable genre Super Drag Queen contre l'IRA.
Les intentions du film sont parfois un peu trop transparentes (l'ironie de la quête de la mère, le rêve contre la réalité), la réalisation correcte (les rouges-gorges numériques qui parlent) et c'est souvent charmant et marrant : transfiguré, touchant, acteur à suivre, Cillian Murphy porte le film entièrement sur ses épaules, aidé par les éternels Irlandais de service (Brendan Gleeson, Liam Neeson et Stephen Rea). Son personnage bouffe quand même un peu les autres (notamment ses amis d'enfance), sur qui on aurait aimé en savoir plus.
Années 70. Abandonné étant bébé dans sa petite ville natale Irlandaise, Patrick Braden, un jeune travesti attendrissant, plein d'esprit et à la dureté trompeuse, se rend compte très tôt qu'il est né dans le mauvais corps. Il survit à cet environnement très rude grâce à son esprit, son charme et à son refus total de laisser quiconque ou quoi que ce soit changer qui il est vraiment.
Sur le papier et au début, brefs échos de Velvet Goldmine : les seventies, l'ambigüité sexuelle, une touche de glam (avec un improbable groupe du nom de Billy et les Mohawks), Oscar Wilde, des plans aériens, un bébé trouvé sur un perron, une atmosphère un peu onirique et même le God of glam Bryan Ferry himself dans une courte apparition mémorable de moustachu louche.
Et puis ensuite non, pas vraiment : Jordan fait des allers-retours constants entre légèreté queer pailletée maquillée féérique et gravité du réel (sur fond d'Irlande et d'Angleterre déchirées par le terrorisme) au travers de Patrick, sur qui tout glisse. Au début, son personnage est un peu crispant : il se fout de tout, subvertit soigneusement son entourage avec ses robes tout en restant imperméable au drame irlandais. D'autant que le film est un poil trop long (2h20) et les séquences (le film est chapitré) inégales. Et puis son attitude de résistant queer contre le réel fonctionne finalement bien dans une séquence improbable genre Super Drag Queen contre l'IRA.
Les intentions du film sont parfois un peu trop transparentes (l'ironie de la quête de la mère, le rêve contre la réalité), la réalisation correcte (les rouges-gorges numériques qui parlent) et c'est souvent charmant et marrant : transfiguré, touchant, acteur à suivre, Cillian Murphy porte le film entièrement sur ses épaules, aidé par les éternels Irlandais de service (Brendan Gleeson, Liam Neeson et Stephen Rea). Son personnage bouffe quand même un peu les autres (notamment ses amis d'enfance), sur qui on aurait aimé en savoir plus.
Puissant, corrompu et menteur
You two do make a charming couple though, you're both, what's the expression, damaged goods.
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personne n'aurait vu son dernier film Breakfast on Pluto
en passant The crying game sortira en dvd le 19 avril
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Pour moi Entretien avec un Vampire est son chef-d'oeuvre(et accessoirement celui de son compositeur aussi), en revanche Michael Collins et Mona Lisa ne me font ni chaud, ni froid. Je les trouve juste insipides.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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YYYyyyyyyeiiiiirrrrrrrkkkkkkkkk !!!Roy Neary a écrit :Alors je vais être obligé de te prêter le DVD pour que tu découvres cette petite merveille (cela dit en toute objectivité bien sûr...)Margo a écrit :Et je n'ai pas vu ce qui semble être un de ses meilleurs films (?), Interview with a vampire.
Vous voulez maroufler ? Je suis votre homme...
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Su-perbe film.tronche de cuir a écrit :Sans oublier son mélodrame fièvreux: "La fin d'une liaison".
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http://www.dvdclassik.com/forum/viewtopic.php?t=20771NICOLAS mag a écrit :personne n'aurait vu son dernier film Breakfast on Pluto