Tu m'étonnes. Lorsque je regardais ce film étant enfant (c'est-à-dire très très souvent), je finissais souvent caché sous la table-basse tant cette scène me faisait peur (d'ailleurs, rien qu'en y repensant...).Colqhoun a écrit :C'est justement dans le 3ème. Une scène marquante pour un enfant qui découvre ce film.Jordan White a écrit :Je ne sais plus dans quel épisode il y a la femme robot, mais ça c'est aussi marquant.
Richard Pryor (1940 - 2005)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 54619
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
- Colqhoun
- Qui a tué flanby ?
- Messages : 33435
- Inscription : 9 oct. 03, 21:39
- Localisation : Helvetica
- Contact :
La dernière fois que j'ai vu ce film -cela doit faire un peu moins d'une année- cette scène là m'avait encore fait pas mal d'effet. Je n'étais certes pas terrifié ou effrayé, mais la transformation et la créature que cela donne à l'arrivée donnent des images plutôt impressionantes et surtout totalement dénuées d'humour.
"Give me all the bacon and eggs you have."
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 30177
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
Re: Richard Pryor
Elephant films sortira 3 de ses films en 2016 :
Car Wash
La Bible ne fait pas le moine (In God We Tru$t)
Comment claquer un million de dollars par jour (Brewster's Million)
annoncé sur leur facebook
pas de precision sur dvd et/ou bluray
Car Wash
La Bible ne fait pas le moine (In God We Tru$t)
Comment claquer un million de dollars par jour (Brewster's Million)
annoncé sur leur facebook
pas de precision sur dvd et/ou bluray
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18363
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Richard Pryor
J'espère que le Walter Hill (très Frank Capra et très sympa) sera au bon format (l'ancien DVD était recadré).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- manuma
- Décorateur
- Messages : 3624
- Inscription : 31 déc. 07, 21:01
Re: Richard Pryor
WHICH WAY IS UP? - Michael Schultz (1977)
Afro-américanisation de la pesante satire socio-politique de Wertmüller, Mimi metallurgico ferito nell’onore par le réalisateur de Scavenger hunt, The Last dragon et autres merveilles. Première bonne nouvelle, me concernant : le film dure presque une demi-heure de moins que son modèle. Seconde bonne nouvelle, Michael Schultz se la raconte moins que sa collègue italienne et l’aspect revendicatif rentre dedans de la tragi-comédie originelle passe ici au troisième plan. L’ensemble joue certes un peu la provoc ici et là, mais on est bien plus dans le registre de la comédie sexuelle décomplexée que dans celui du brulot contestataire. Pas une totale réussite, mais une comédie par moment savoureusement grinçante, qui n'existe toutefois que pour Richard Pryor, en top forme comique, endossant ici les trois rôles masculins principaux.
Afro-américanisation de la pesante satire socio-politique de Wertmüller, Mimi metallurgico ferito nell’onore par le réalisateur de Scavenger hunt, The Last dragon et autres merveilles. Première bonne nouvelle, me concernant : le film dure presque une demi-heure de moins que son modèle. Seconde bonne nouvelle, Michael Schultz se la raconte moins que sa collègue italienne et l’aspect revendicatif rentre dedans de la tragi-comédie originelle passe ici au troisième plan. L’ensemble joue certes un peu la provoc ici et là, mais on est bien plus dans le registre de la comédie sexuelle décomplexée que dans celui du brulot contestataire. Pas une totale réussite, mais une comédie par moment savoureusement grinçante, qui n'existe toutefois que pour Richard Pryor, en top forme comique, endossant ici les trois rôles masculins principaux.
- Jean-Pierre Festina
- Electro
- Messages : 999
- Inscription : 13 nov. 07, 12:55
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
Comment claquer un million de dollars par jour (W.Hill, 1986)
Pas fameux. Quelques bonnes idées mais qui devaient sans doute se trouver dans le livre de 1902. Richard Pryor court dans tous les sens et promène des yeux ronds de cocaïnés sur 97 minutes. Ce sera sa seule expression de tout le film.
Pas fameux. Quelques bonnes idées mais qui devaient sans doute se trouver dans le livre de 1902. Richard Pryor court dans tous les sens et promène des yeux ronds de cocaïnés sur 97 minutes. Ce sera sa seule expression de tout le film.
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
Non mais ALLOOOO quoi
Non mais ALLOOOO quoi
- Supfiction
- Charles Foster Kane
- Messages : 22133
- Inscription : 2 août 06, 15:02
- Localisation : Have you seen the bridge?
- Contact :
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
C’est son film le plus connu en France, avec Superman III, et on adorait ça étant gosse. Le rêve de pouvoir claquer son pognon sans limite et l’astuce finale.Yaplusdsaumon a écrit :Comment claquer un million de dollars par jour (W.Hill, 1986)
Pas fameux. Quelques bonnes idées mais qui devaient sans doute se trouver dans le livre de 1902. Richard Pryor court dans tous les sens et promène des yeux ronds de cocaïnés sur 97 minutes. Ce sera sa seule expression de tout le film.
Évidemment, ça vieillit plus ou moins bien, surtout si on le découvre seulement maintenant.
- Jean-Pierre Festina
- Electro
- Messages : 999
- Inscription : 13 nov. 07, 12:55
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
De mon côté je l'avais déjà vu petit et je m'étais gentiment amusé, mais même petit je sentais qu'Un fauteuil pour deux pétait dix fois plus haut que cette oeuvrette mineure. Si on doit se contenter de ça et Superman III, j'ai peur que la renommée de l'acteur principal soit mal barrée de par chez nous.Supfiction a écrit :C’est son film le plus connu en France, avec Superman III, et on adorait ça étant gosse. Le rêve de pouvoir claquer son pognon sans limite et l’astuce finale.Yaplusdsaumon a écrit :Comment claquer un million de dollars par jour (W.Hill, 1986)
Pas fameux. Quelques bonnes idées mais qui devaient sans doute se trouver dans le livre de 1902. Richard Pryor court dans tous les sens et promène des yeux ronds de cocaïnés sur 97 minutes. Ce sera sa seule expression de tout le film.
Évidemment, ça vieillit plus ou moins bien, surtout si on le découvre seulement maintenant.
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
Non mais ALLOOOO quoi
Non mais ALLOOOO quoi
- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18363
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
Elle n'a pourtant jamais été épaisse (gamin, j’entendais souvent mes camarades se plaindre du "faux Eddie Murphy" de Superman III). La faute à un humour difficilement traduisible (les stand-up du comédien n'ont jamais traversé la douane avant l'ère internet) et à des films tout aussi typés américano américains (là où sont disciple Eddie Murphy est passé tranquilou chez nous, aidé par une VF rentrée dans les manuels d'Histoire).Yaplusdsaumon a écrit :Si on doit se contenter de ça et Superman III, j'ai peur que la renommée de l'acteur principal soit mal barrée de par chez nous.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- Jean-Pierre Festina
- Electro
- Messages : 999
- Inscription : 13 nov. 07, 12:55
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
Vrai que dès les premières minutes du film, on arrive en plein match de base-ball, un sport qu'il est difficile ici de ne pas trouver assez frontalement crétin, ne serait-ce qu'au vu type qui court tout seul après avoir lancé sa balle.Kevin95 a écrit :Elle n'a pourtant jamais été épaisse (gamin, j’entendais souvent mes camarades se plaindre du "faux Eddie Murphy" de Superman III). La faute à un humour difficilement traduisible (les stand-up du comédien n'ont jamais traversé la douane avant l'ère internet) et à des films tout aussi typés américano américains (là où sont disciple Eddie Murphy est passé tranquilou chez nous, aidé par une VF rentrée dans les manuels d'Histoire).Yaplusdsaumon a écrit :Si on doit se contenter de ça et Superman III, j'ai peur que la renommée de l'acteur principal soit mal barrée de par chez nous.
Je réagissais aussi sur un détail reporté par Wikipedia selon lequel Richard Pryor aurait été sacré "meilleur humoriste américain de tous les temps" par la chaîne Comedy Central en 2004. Devant X, devant Y, autant de noms que chaque forumeur a sur le bout de la langue.
Ca m'a rappelé que lorsque je vais en Angleterre et que je regarde la collection de disques d'un Anglais, je crois à chaque fois benoîtement y trouver du Beatles, du Rolling Stones ou encore du David Bowie, et y trouve à la place du Don McLean, du Perry Como et du Gary Glitter.
En bref : entre ce qu'un pays exporte et ce que ce même pays consomme, il y a un fossé qui peut être très trompeur.
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
Non mais ALLOOOO quoi
Non mais ALLOOOO quoi
- manuma
- Décorateur
- Messages : 3624
- Inscription : 31 déc. 07, 21:01
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
SOME KIND OF HERO (1982)
Je m'attendais à une comédie. Perdu : Some kind of hero est, pour reprendre littéralement son titre, une "sorte de" drame satirique sur le difficile retour à la vie civile d'un vétéran du Vietnam, ancien prisonnier de guerre, incarné par un Richard Pryor ne semblant pas trop savoir s'il doit faire le con ou la jouer sérieux. Absence de directives claires de la part de Michael Pressman (le sympa Boulevard nights, dans mon vieux souvenir) ? Peut-être, peut-être pas. En tout cas l'acteur adapte son jeu selon la scène. Et s'il assure correctement dans un registre comme dans l'autre, le résultat relève forcement du mic-mac désarticulé, le plus problématique étant peut-être la première demi-heure, narrant son quotidien de prisonnier de guerre, plus proche de Missing in action 2: The Beginning que de The Deer hunter en terme de crédibilité. Bref, pas encore le titre qui me fera revenir sur mon impression première que Richard Pryor et les années 80, c'est Brewster's millions et rien d'autre...
Je m'attendais à une comédie. Perdu : Some kind of hero est, pour reprendre littéralement son titre, une "sorte de" drame satirique sur le difficile retour à la vie civile d'un vétéran du Vietnam, ancien prisonnier de guerre, incarné par un Richard Pryor ne semblant pas trop savoir s'il doit faire le con ou la jouer sérieux. Absence de directives claires de la part de Michael Pressman (le sympa Boulevard nights, dans mon vieux souvenir) ? Peut-être, peut-être pas. En tout cas l'acteur adapte son jeu selon la scène. Et s'il assure correctement dans un registre comme dans l'autre, le résultat relève forcement du mic-mac désarticulé, le plus problématique étant peut-être la première demi-heure, narrant son quotidien de prisonnier de guerre, plus proche de Missing in action 2: The Beginning que de The Deer hunter en terme de crédibilité. Bref, pas encore le titre qui me fera revenir sur mon impression première que Richard Pryor et les années 80, c'est Brewster's millions et rien d'autre...
- hansolo
- Howard Hughes
- Messages : 16025
- Inscription : 7 avr. 05, 11:08
- Localisation : In a carbonite block
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
A se demander comment il a pu signer, en 1983, un contrat de cinq ans avec Columbia Pictures pour 40 millions de dollars ?!
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
- Shin Cyberlapinou
- Assistant opérateur
- Messages : 2181
- Inscription : 1 févr. 09, 09:51
Re: Richard Pryor (1940 - 2005)
Stallone avait signé un contrat de 3 film pour 60 millions au milieu des années 90, juste au début de son plus gros passage à vide. Ne jamais sous-estimer le poids d'un bon agent!