The Descent (Neil Marshall - 2005)
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The Descent (Neil Marshall - 2005)
Le réalisateur de l'astucieux et déjà super bien foutu Dog Soldiers revient à la charge avec The Descent.
Il vaut mieux en savoir le moins possible sur le film.
Le teaser ici :
http://www.allocine.fr/film/video_gen_cfilm=47101.html
Affiche pas mal malgré la tagline de trop. En général un film d'horreur n'est pas fait pour se marrer.
Il vaut mieux en savoir le moins possible sur le film.
Le teaser ici :
http://www.allocine.fr/film/video_gen_cfilm=47101.html
Affiche pas mal malgré la tagline de trop. En général un film d'horreur n'est pas fait pour se marrer.
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J'avais bien aimé DOG SOLDIER, mais je crois qu'il faut faire vite, car il me semble qu'il y a peu de copies en France
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Je ne savais strictement rien du film quand je suis entré dans la salle si ce n'est qu'il avait assez bonne réputation. Au final j'ai un peu de mal à saisir l'avalanche de 4 étoiles sur Allociné car si le film est gore et sans réelles concessions on se retrouve devant un survival qui aurait gagné à être moins signifiant (retour à l'état primitif blablabla), un peu mieux joué et surtout mieux ficelé car, en définitive, cela se résume à du sursautage toutes les 5 minutes, tant et si bien que l'effet ne surprend plus au bout de la 5ieme fois. En outre, la mise en scène reste très banale, impersonnelle malgré une démonstration d'efficacité sur 2 ou 3 scènes. Le groupe de filles et les tensions qui existent entre elles laissent indifférent car la psychologie des persos reste bien maigre et le réalisateur n'a pas le talent nécessaire pour leur donner chair et échapper à une impression de superficialité.
La fin ne m'a pas touché (et pour tout dire un peu agacé) preuve que j'étais peu sensible au destin des personnages.
La fin ne m'a pas touché (et pour tout dire un peu agacé) preuve que j'étais peu sensible au destin des personnages.
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l'exposition est laborieuse,la bande son est fatiguante,les combats frénético-parkinsoniens donnent mal à la tête,les quelques effets de fausse peur tombent à plat et le style emphathique du réal fait sombrer plus d'une fois son film dans le ridicule (l'échappée fantasmée à la fin,avec cette musique ultra dramatique )
néanmoins,la photo de ce croisement bâtard entre "buffy" et "predator" est assez jolie...c'est peu!!
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The Descent de Neil Marshall est l'exemple typique du film de genre qui pète plus haut que son cul et qui prouve, paradoxalement, que celui-ci se porte bien mal.
Accumulant invraisemblances sur invraisemblances, "The descent" est comme son titre -ronflant- l'indique une plongée dans l'insconscient, une descente aux enfers mais attention les -jolies- bêtes ne sont pas forcément celles que l'on croit....Oh, oh, oh !!!! Imaginez un instant: un casting l'Oreal formé de top-models toutes plus magnifiques les unes que les autres qui, nous l'apprenons, sont des expertes confirmés en spéléo !!! Eh, bien, ces jolies jeunes femmes, il y'a une qui ne va pas bien du tout mais alors pas bien because elle a perdu son "love interest " et sa fille au cours d'un tragique et ridicule accident de la route.
L'enjeu pourri étant bien posé et ce avec insistance, le film peut désormais démarrer. Et, non pas encore, il faut encore se farcir une exposition aussi laborieuse que fatiguante qui est censé nous faire découvrir et aimer notre délicieuse équipe. On prend état là aussi de
l'extraordinaire pauvreté des dialogues et de la prétention du Mr:
les "actrices" font peine à voir tellement elles jouent mal et sont mal dirigées.
Et, c'est là que ça commence. On descend direct to hell. Dans le bis...
Le scénario de The Descent est donc l'histoire d'une descente ( jusque là, tout le monde suit) mais aussi ( suspense ) de cette découverte que l'on fait, en général dans des circonstances extraordinaires et dramatiques, à savoir: qui sommes-nous réellement ?
Réponse de l'intéressé: des loups. Marshall aime bien Hobbes mais plus encore Mc Tiernan qu'il pompe dans les grandes largeurs en particulier Predator et Le 13ème guerrier. A trop " vouloir signifier ", chargeant jusqu'à la gueule ses images de symboles lourds, son film se délite. L'echec et c'est peut-être cela le plus grave, c'est qu'il ne fait pas
vraiment peur. Bref, on est assez loin du "Voyage unique" que l'affiche et que le critique essaie de nous vendre.
Ajoutez une musique toute grandiloquente à des images qui n'en demandaient pas tant et un montage épileptique qui ne fait que desservir les rares moments du film qui auraient pu être réussi et vous aurez une petite idée de cette descente...
PS: la fausse-fin est hilarante !!! Bravo, Marshall tu es bon.
Accumulant invraisemblances sur invraisemblances, "The descent" est comme son titre -ronflant- l'indique une plongée dans l'insconscient, une descente aux enfers mais attention les -jolies- bêtes ne sont pas forcément celles que l'on croit....Oh, oh, oh !!!! Imaginez un instant: un casting l'Oreal formé de top-models toutes plus magnifiques les unes que les autres qui, nous l'apprenons, sont des expertes confirmés en spéléo !!! Eh, bien, ces jolies jeunes femmes, il y'a une qui ne va pas bien du tout mais alors pas bien because elle a perdu son "love interest " et sa fille au cours d'un tragique et ridicule accident de la route.
L'enjeu pourri étant bien posé et ce avec insistance, le film peut désormais démarrer. Et, non pas encore, il faut encore se farcir une exposition aussi laborieuse que fatiguante qui est censé nous faire découvrir et aimer notre délicieuse équipe. On prend état là aussi de
l'extraordinaire pauvreté des dialogues et de la prétention du Mr:
les "actrices" font peine à voir tellement elles jouent mal et sont mal dirigées.
Et, c'est là que ça commence. On descend direct to hell. Dans le bis...
Le scénario de The Descent est donc l'histoire d'une descente ( jusque là, tout le monde suit) mais aussi ( suspense ) de cette découverte que l'on fait, en général dans des circonstances extraordinaires et dramatiques, à savoir: qui sommes-nous réellement ?
Réponse de l'intéressé: des loups. Marshall aime bien Hobbes mais plus encore Mc Tiernan qu'il pompe dans les grandes largeurs en particulier Predator et Le 13ème guerrier. A trop " vouloir signifier ", chargeant jusqu'à la gueule ses images de symboles lourds, son film se délite. L'echec et c'est peut-être cela le plus grave, c'est qu'il ne fait pas
vraiment peur. Bref, on est assez loin du "Voyage unique" que l'affiche et que le critique essaie de nous vendre.
Ajoutez une musique toute grandiloquente à des images qui n'en demandaient pas tant et un montage épileptique qui ne fait que desservir les rares moments du film qui auraient pu être réussi et vous aurez une petite idée de cette descente...
PS: la fausse-fin est hilarante !!! Bravo, Marshall tu es bon.
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Mon dieu mon dieu...je vais peut-être passer pour un hérétique, mais j'ai aimé ce film. Serai-je pardonné ?
Bref...vu également hier, et j'ai trouvé que c'était un putain de bon film d'horreur à l'ancienne, hyper cruel et pas avare en gore !
Ca met un peu de temps à démarrer, les personnages ne sont pas très développés (en même temps, ce n'est pas le genre de choses que je demande à un film d'horreur), mais c'est d'une sauvagerie assez impressionnante.
De plus, Neil Marshall joue parfaitement avec ses décors (parfaite gestion de la topographie des lieux) et ses zones obscures. C'est donc un film à déconseiller aux claustrophobes, ainsi qu'aux personnes sensibles au vertige...un vrai film étouffant et malaisant, quoi.
Et effectivement, on pense beaucoup (toutes proportions gardées) à Predator, sans pour autant avoir eu l'impression que le McT s'était vu "pillé"...
Donc après la semi-réussite Dog Soldiers (un B sympa faisant écho à Aliens), Marshall prouve qu'il est bel et bien un réalisateur à suivre.
PS : quant au casting, hormis le fait qu'il soit exclusivement féminin, je ne vois pas trop ce qu'il a de l'Oreal...m'enfin bon, je ne vais pas me mettre aujourd'hui à réagir aux critiqes de tronche de cuir.
Bref...vu également hier, et j'ai trouvé que c'était un putain de bon film d'horreur à l'ancienne, hyper cruel et pas avare en gore !
Ca met un peu de temps à démarrer, les personnages ne sont pas très développés (en même temps, ce n'est pas le genre de choses que je demande à un film d'horreur), mais c'est d'une sauvagerie assez impressionnante.
De plus, Neil Marshall joue parfaitement avec ses décors (parfaite gestion de la topographie des lieux) et ses zones obscures. C'est donc un film à déconseiller aux claustrophobes, ainsi qu'aux personnes sensibles au vertige...un vrai film étouffant et malaisant, quoi.
Et effectivement, on pense beaucoup (toutes proportions gardées) à Predator, sans pour autant avoir eu l'impression que le McT s'était vu "pillé"...
Donc après la semi-réussite Dog Soldiers (un B sympa faisant écho à Aliens), Marshall prouve qu'il est bel et bien un réalisateur à suivre.
PS : quant au casting, hormis le fait qu'il soit exclusivement féminin, je ne vois pas trop ce qu'il a de l'Oreal...m'enfin bon, je ne vais pas me mettre aujourd'hui à réagir aux critiqes de tronche de cuir.
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- Ophely, no soucy
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