LadyHawke, la femme de la nuit (Richard Donner - 1985)

[AchaB]

Il est des films sur lesquels, je l'avoue, j'ai eu de la chance:

-C'est à dire?

-Eh bien c'est à dire que ce sont des films que j'aurais du voir dans ma jeunesse et mon enfance et à coté desquels je suis toujours passé. Ainsi, en les voyant pour la premiere fois à l'age adulte (sic) je profite d'un report d'enfance non consommé et parfaitement preservé

Il en va ainsi pour LADYHAWKE, film de R. Donner, 1985 dans la veine Heroic Fantasy, moins mievre que Willow (pardon, mais j'ai jamais pu le terminer) beaucoup plus traditionnel, dans le bon sens du therme, le genre d'histoire qu'on raconte aux gosses.
Une fois passé l'EPREUVE que constitue la musique infecte d'Allan Parsons (que j'aime beaucoup par ailleurs, mais sincerement, chacun son metier...) on a tout le loisir de profiter du trop rare Rutger Hauer et de tomber amoureux de la belle Michelle....
Et, ô surprise, un Matthew Broderick emouvant! qui l'eut cru, pas moi jusqu'à present, comme quoi, y'a que les imbeciles etc...

Voilà donc, ce petit temoignage encore tout emprunt de la nostalgie de cette periode à la Histoire Sans Fin, Donjons et Dragons et Puissance 4....

Sur ce, nous sommes dimanche soir, je vous laisse, mon bain est pret, et j'ai ma mere qui me rechauffe mon bol de Floraline... ah merde, non, ça c'etait a la meme heure il y a 20 ans

[Addis-Abeba]

J'aime bien ce film, et son univers si particulier, seule la musique pas vraiment en adéquation (c'est le moins que l'on puisse dire) m'avait un peu gaché à l'époque mon plaisir.

[Swan]

Sur ce, nous sommes dimanche soir, je vous laisse, mon bain est pret, et j'ai ma mere qui me rechauffe mon bol de Floraline... ah merde, non, ça c'etait a la meme heure il y a 20 ans

Et tu entends résonner le générique de 7/7, je connais...

Au contraire de toi, Ladyhawke est un bon souvenir de jeunesse, mais que je n'ai pas revu depuis sa sortie, même si la VHS traîne quelque part. Par peur d'une déception rétrospective sans doute.

[AchaB]

Au contraire de toi, Ladyhawke est un bon souvenir de jeunesse

Je me suis mal exprimé, autant pour moi: J'ai vu Ladyhawke pour la premiere fois il y a Deux Heures et j'ai adoré.

[Swan]

Je me suis mal exprimé, autant pour moi: J'ai vu Ladyhawke pour la premiere fois il y a Deux Heures et j'ai adoré.

Non, c'est moi qui ai dû mal m'exprimer : au contraire de toi, j'ai découvert Ladyhawke à sa sortie, alors que j'étais vraiment enf... enfin, disons plus jeune.

[AchaB]

Je me suis mal exprimé, autant pour moi: J'ai vu Ladyhawke pour la premiere fois il y a Deux Heures et j'ai adoré.

Non, c'est moi qui ai dû mal m'exprimer : au contraire de toi, j'ai découvert Ladyhawke à sa sortie, alors que j'étais vraiment enf... enfin, disons plus jeune.

Qu'est-ce qu'on est courtois sur ce topic! lol

[Xuxu]

La première fois que j'ai vu LadyHawke, c'était en 5ème (on avait une super prof de français qui nous avait passé ce film juste avant les vacances de Noël) : j'avais adoré.
L'ai revu des années plus tard avec la même émotion.
Et, depuis, il est associé à AlexRow et NounouOgg. Definitely.

[NounouOgg]

La première fois que j'ai vu LadyHawke, c'était en 5ème (on avait une super prof de français qui nous avait passé ce film juste avant les vacances de Noël) : j'avais adoré.
L'ai revu des années plus tard avec la même émotion.
Et, depuis, il est associé à AlexRow et NounouOgg. Definitely.

[AlexRow]

C'est pas entièrement faux cependant

[Xuxu]

Quoi qu'y n'ya, poulette ?

[Swan]

Quoi qu'y n'ya, poulette ?

C'est une poulette le jour ? Et alors, que devient Alexrow la nuit ?

[AlexRow]

[odelay]

Si on enlève l'abominable musique d'Alan Parson's project, c'est un film très sympathique.
A noter que La Pfeiffer et Hauer ne pouvaient pas se piffrer (lu dans un article consacré à Donner il y a qq années dans Première), vu que le sujet du film c'était l'impossibilité de leur rencontre, ce ne devait pas être bien grave.

Sinon dans le style je découvre adulte un film destiné au enfants :
J'ai vu pour la première fois de ma vie il y a 15 jours Les Goonies du même Donner (bizarrement, je n'avais jamais réussi à le voir pour X raisons).
J'ai été absolument attéré par ce film vues les attentes que j'avais envers lui à cause le générique et des propos habituellement bienveillants qu'il suscite . Les gamins jouent vraiment comme des patates, le traitement du scènar qui part d'une bonne idée est franchement poussif, les gags sont énoooormes et pas drôles, l'esprit BD et l'hommage au ciné d'antan sont très artificiels... Pourtant je partais avec les meilleures intentions du monde en le voyant et je suis habituellement assez client des films pour gamins qd ils sont bien foutus, mais là... comme quoi, il y a des films qui ne faut pas voir étant adultes; on ne doit les supporter que grâce à la nostalgie qu'ils procurent.

[Pitoch]

Sur ce, nous sommes dimanche soir, je vous laisse, mon bain est pret, et j'ai ma mere qui me rechauffe mon bol de Floraline... ah merde, non, ça c'etait a la meme heure il y a 20 ans

Et tu entends résonner le générique de 7/7, je connais...

Au contraire de toi, Ladyhawke est un bon souvenir de jeunesse, mais que je n'ai pas revu depuis sa sortie, même si la VHS traîne quelque part. Par peur d'une déception rétrospective sans doute.

+1 !

J'en garde un souvenir ému de mon enfance, mais je crains une vision adulte.

[Max Schreck]

Aaaahh Ladyhawke... J'ai longtemps fantasmé ce film et son histoire en trippant sur l'affiche et la bande-annonce que projetait régulièrement le cinéma ami des enfants qu'est Le Grand Pavois. Ma première vision a été bien plus tardive.

Je ne reviendrai donc pas sur la zique qui gâche malheureusement toutes les scènes d'action du film sans exception (dès que Rutger tire son épée). L'histoire est magnifique et digne des récits fantastiques du moyen-âge (genre Marie de France). Pfeiffer est tout simplement parfaite dans son rôle, pleine d'évanescence, fragile tellement elle est pâle et les yeux pleins de tristesse.

Marrant de mettre en parallèle le rôle de chevalier blanc de Hauer avec celui du pillard bestial qu'il interprête la même année dans le Flesh+blood de Verhoeven.