Pierre Granier-Deferre (1927-2007)
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Quelques films que j'aime beaucoup et d'autres que j'aime moins.
J'avais assisté au tournage d'une scène de "La métamorphose des cloportes" dans un café à Pigalle. La scène ou Ventura giffle un petit mac.
Disons que (sans que cela soit péjoratif), il faisait un cinéma plus proche de Verneuil que de Renoir.
R.I.P.
J'avais assisté au tournage d'une scène de "La métamorphose des cloportes" dans un café à Pigalle. La scène ou Ventura giffle un petit mac.
Disons que (sans que cela soit péjoratif), il faisait un cinéma plus proche de Verneuil que de Renoir.
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Charles Boyer (faisant la cour) à Michèle Morgan dans Maxime.
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La classe !Commissaire Juve a écrit :Eh bé ! terrible...Major Dundee a écrit :...
J'avais assisté au tournage d'une scène de "La métamorphose des cloportes" dans un café à Pigalle...
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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RIP a un monsieur que j'appréciais beaucoup jusque dans les années 80
j'aimerais citer un film oublié, Une Etrange Affaire (1981). Un film troublant, dont l'inquiétant grandit crescendo, avec des acteurs fabuleux, une BO de Sarde magnifique, un grand film français à (re)découvrir, sur des êtres humains ayant perdu leur coeur et leur âme depuis bien longtemps au profit du capitalisme le plus extreme, cynique et inhumain. Piccoli y est dément. Je cite aussi en oublié ou méconnu La Cage (1975), avec Lino Ventura retenu prisonnier par Ingrid Thulin dans son sous sol, tres bon huis clos, super final et encore du grand Sarde.
Comme d'autres anciens "cadors" du passé, PGD etait depuis un peu sur la touche, confiné à la Télé.
j'aimerais citer un film oublié, Une Etrange Affaire (1981). Un film troublant, dont l'inquiétant grandit crescendo, avec des acteurs fabuleux, une BO de Sarde magnifique, un grand film français à (re)découvrir, sur des êtres humains ayant perdu leur coeur et leur âme depuis bien longtemps au profit du capitalisme le plus extreme, cynique et inhumain. Piccoli y est dément. Je cite aussi en oublié ou méconnu La Cage (1975), avec Lino Ventura retenu prisonnier par Ingrid Thulin dans son sous sol, tres bon huis clos, super final et encore du grand Sarde.
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Pareil, son meilleur film à mon avis. Juste derrière, peut être les adaptations de Simenon qui se rapprochent le plus de l'univers de ce dernier.kayman a écrit :RIP a un monsieur que j'appréciais beaucoup jusque dans les années 80
j'aimerais citer un film oublié, Une Etrange Affaire (1981). Un film troublant, dont l'inquiétant grandit crescendo, avec des acteurs fabuleux, une BO de Sarde magnifique, un grand film français à (re)découvrir, sur des êtres humains ayant perdu leur coeur depuis bien longtemps au profit du capitalisme le plus extreme, cynique et inhumain. Piccoli y est dément.
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A ces deux films, je rajoute un autre (qui risque fort de ne pas être cité), le très beau La Race des "seigneurs", qui (comme pour La Veuve Couderc) est interprété par un Delon à milles lieux de son jeu habituel.kayman a écrit :RIP a un monsieur que j'appréciais beaucoup jusque dans les années 80
j'aimerais citer un film oublié, Une Etrange Affaire (1981). Un film troublant, dont l'inquiétant grandit crescendo, avec des acteurs fabuleux, une BO de Sarde magnifique, un grand film français à (re)découvrir, sur des êtres humains ayant perdu leur coeur et leur âme depuis bien longtemps au profit du capitalisme le plus extreme, cynique et inhumain. Piccoli y est dément. Je cite aussi en oublié ou méconnu La Cage (1975), avec Lino Ventura retenu prisonnier par Ingrid Thulin dans son sous sol, tres bon huis clos, super final et encore du grand Sarde.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Triste nouvelle.
J'aimais vraiment son cinéma qui reposait sur des scénarios et un savoir faire solides, ainsi que sur une belle direction d'acteur. Il a souvent été très injustement méprisé pour son classissisme, mais au bout du compte on s'aperçoit que ce sont des films qui ne prennent pas de rides et qui se revoient avec grand plaisir.
Sa collaboration avec Sarde était merveilleuse (j'adore le morceau lent, Louise, joué par Azolla et le piano dans l'Etoile du Nord). Il manque encore pas mal de morceaux à rééditer en CD notamment le sublime thème de Cours Privés.
J'aimais vraiment son cinéma qui reposait sur des scénarios et un savoir faire solides, ainsi que sur une belle direction d'acteur. Il a souvent été très injustement méprisé pour son classissisme, mais au bout du compte on s'aperçoit que ce sont des films qui ne prennent pas de rides et qui se revoient avec grand plaisir.
Sa collaboration avec Sarde était merveilleuse (j'adore le morceau lent, Louise, joué par Azolla et le piano dans l'Etoile du Nord). Il manque encore pas mal de morceaux à rééditer en CD notamment le sublime thème de Cours Privés.
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J'ai un vague souvenir plutôt bon d'une étrange affaire qui se passait dans le milieu de la publicité, bien plus infréquentable que ce qu'on a pu voir plus recemment, et j'ai beaucoup aimé Adieu Poulet probablement en grande partie grâce à Patrick Dewaere.
Assurément un cinéaste intéressant mais quelque peu méprisé.
Assurément un cinéaste intéressant mais quelque peu méprisé.
One of us..... One of us.....