Le Couperet (Costa-Gavras - 2005)
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- Joshua Baskin
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Malgré quelques petits défauts exprimés plus haut, mais qui ne nuisent pas du tout au film dans sa globalité (la dernière scène pas très claire, les affiches un peu hors sujet), j'ai trouvé le film tout simplement excellent. Entre drame social et comédie noire, le film est assez atypique. J'avais lu le livre il y a quelques années, je me souvenais avoir adoré mais il ne m'en restait plus beaucoup de souvenirs et j'ai pu redécouvrir cette histoire avec un grand plaisir.
Assurement l'un des tout meilleurs films de ce début d'année.
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- antépiphoromaniaque
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Certaines scènes ratées, lourdes ou scénaristiquement ininteressantes (le sexologue, les logiciels volés, certains dialogues...) dans un ensemble nerveux et assez jouissif. On retrouve vraiment le ton "Westlake"...
Bref un bon fim même si je trouve, au final, que ça ne va pas assez loin.
José Garcia est excellent.
PS : pour ce qui est de l'insistance sur ces étranges panneaux publicitaires, je trouve qu'ils participent à la couleur décalée du film : une impression de légère "anticipation". Même si ils ne sont finalement pas vraiment exploités. Ni scénaristiquement ni visuellement...
PS 2 : plus de deux heures pour un tel film, c'est TROP LONG ! Il faut savoir jeter, couper...
"Kill your darlings" disait Hammett.
Bref un bon fim même si je trouve, au final, que ça ne va pas assez loin.
José Garcia est excellent.
PS : pour ce qui est de l'insistance sur ces étranges panneaux publicitaires, je trouve qu'ils participent à la couleur décalée du film : une impression de légère "anticipation". Même si ils ne sont finalement pas vraiment exploités. Ni scénaristiquement ni visuellement...
PS 2 : plus de deux heures pour un tel film, c'est TROP LONG ! Il faut savoir jeter, couper...
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- Marcus
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Effectivement, cette histoire de panneaux publicitaires m'avait interpellé sans que je ne sache bien à quoi ils servaient. Mon problème, c'est surtout que, honte à moi, je n'ai remarqué que les panneaux "de femmes" (string, soutien-gorge et autres) D'où ma perplexité...
Elle était belle comme le jour, mais j'aimais les femmes belles comme la nuit.
Jean Eustache, La Maman et la Putain
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- Joshua Baskin
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Cette histoire de logiciels volés m'a surtout bien fait marrer. La tête de Karin Viard quand elle voit les policiers débarquer est à mourir de rireSimone Choule a écrit :Certaines scènes ratées, lourdes ou scénaristiquement ininteressantes (le sexologue, les logiciels volés, certains dialogues...) dans un ensemble nerveux et assez jouissif. On retrouve vraiment le ton "Westlake"...
Bref un bon fim même si je trouve, au final, que ça ne va pas assez loin.
José Garcia est excellent.
PS : pour ce qui est de l'insistance sur ces étranges panneaux publicitaires, je trouve qu'ils participent à la couleur décalée du film : une impression de légère "anticipation". Même si ils ne sont finalement pas vraiment exploités. Ni scénaristiquement ni visuellement...
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Conseil également valable pour Tarantino.Simone Choule a écrit :PS 2 : plus de deux heures pour un tel film, c'est TROP LONG ! Il faut savoir jeter, couper...
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Il a réalisé un documentaire pour la télé, Slasher, les Cahiers en ont dit le plus grand bien.Simone Choule a écrit : MODE MAUVAISE LANGUE ON : Il a peut-etre plus que ça à faire ?
http://french.imdb.com/title/tt0375073/
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Les Cahiers ont fait leur couverture avec "Edvard Munch" en criant au chef d'oeuvre. Soit l'une des plus grosses daubes qui m'ait été donné de voir...Bob Harris a écrit :Il a réalisé un documentaire pour la télé, Slasher, les Cahiers en ont dit le plus grand bien.Simone Choule a écrit : MODE MAUVAISE LANGUE ON : Il a peut-etre plus que ça à faire ?
http://french.imdb.com/title/tt0375073/
- Xavier
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SPOILERJoshua Baskin a écrit :Cette histoire de logiciels volés m'a surtout bien fait marrer. La tête de Karin Viard quand elle voit les policiers débarquer est à mourir de rireSimone Choule a écrit :Certaines scènes ratées, lourdes ou scénaristiquement ininteressantes (le sexologue, les logiciels volés, certains dialogues...) dans un ensemble nerveux et assez jouissif. On retrouve vraiment le ton "Westlake"...
Bref un bon fim même si je trouve, au final, que ça ne va pas assez loin.
José Garcia est excellent.
PS : pour ce qui est de l'insistance sur ces étranges panneaux publicitaires, je trouve qu'ils participent à la couleur décalée du film : une impression de légère "anticipation". Même si ils ne sont finalement pas vraiment exploités. Ni scénaristiquement ni visuellement...
PS 2 : plus de deux heures pour un tel film, c'est TROP LONG ! Il faut savoir jeter, couper...
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Pour ma part j'ai trouvé l'histoire du fils très juste.
Cela permet à José Garcia de se déculpabiliser de ses crimes en aidant son fils et de voir sa femme catastrophée par le vol de son fils alors qu'on sait, nous, ce qu'est en train de faire son mari...
Le personnage de José Garcia n'aurait surement pas agi de cette manière en temps normal, c'est évident.
Scénaristiquement parlant cela instaure aussi un certain suspence: les flics sont-ils là pour l'histoire du fils ou les crimes du père?
J'ai trouvé le film dans son ensemble très réussi, malgré la dernière scène un peu incompréhensible, et Garcia exceptionnel.
8/10
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- Ophely, no soucy
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Tu te ramollis ma vieille !!!! Nerveux et joussif sont deux mots qui n'ont rien à foutre pour qualifier ce téléfilm. Aussi bandant que Navarro...Simone Choule a écrit :dans un ensemble nerveux et assez jouissif. On retrouve vraiment le ton "Westlake"...
José Garcia est aussi convaincant que Louis de Funes en "taxi driver".Simone Choule a écrit : Bref un bon fim même si je trouve, au final, que ça ne va pas assez loin.
José Garcia est excellent.
Costa Gravos, gravats... Admirez la déclinaison.Simone Choule a écrit : PS 2 : plus de deux heures pour un tel film, c'est TROP LONG ! Il faut savoir jeter, couper...
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- Machino
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Assez jouissif le film est à mon gout affreusement simpliste. C'est le seul film que j'ai vu de Costa Gavras, j'y vois des qualités mais rien d'un grand cineaste. Le propos vraiment lourd, ces plans de 5 secondes sur les affiches à repetition et la fin sont les exemples les plus evidents du simplisme affiché (a ce propos je n'ai jamais vu une fin aussi ridicule). Neanmoins je reste conscient que cet etalage d'anticapitalisme reste à prendre au second degré, à partir de là c'est un divertissement sympathique bien barré. L'humour est parfois un peu appuyé mais c'est quand même bien marrant de voir ce chomeur lutter pour reussir à a avoir ses proies. Costa-Gavras met une certaine ambiance mais une abandance de gros plans (chose qui me parait de plus en plus à la mode) fatigue un peu, tout comme pas mal d'effets semblent gratuits. Les performances sont loin de m'avoir impressionnées, souvent les dialogues sonnent faux et artificiels. Garcia s'en sort globalement plutot pas mal mais la voix off est affreusement appuyée dans le registre caverneux, Karin Viard est pas trop mauvaise mais surjoue comme la plupart des seconds roles. Par contre les enfants font un veritable massacre dans la faussete la plus totale, ca parait d'ailleurs etre une specialité francaise (les cineastes francais auraient-ils tous decidés qu'un enfant c'est de toute façon sensé être nul?). Je n'etais pas vraiment curieux du cinema du bonhomme sachant son cachet politisé qui me faisait craindre le pire, même si je suis tombé sur ce qui me faisait peur je l'ai un peu oublié car le film est assez amusant.
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- Laspalès
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comme on dit: +1!acidparadouze a écrit :le film est à mon gout affreusement simpliste. . Le propos vraiment lourd, ces plans de 5 secondes sur les affiches à repetition et la fin sont les exemples les plus evidents du simplisme affiché.
une abandance de gros plans (chose qui me parait de plus en plus à la mode) fatigue un peu, tout comme pas mal d'effets semblent gratuits. Les performances sont loin de m'avoir impressionnées, souvent les dialogues sonnent faux et artificiels.
la voix off est affreusement appuyée dans le registre caverneux, Karin Viard surjoue comme la plupart des seconds roles.les enfants font un veritable massacre dans la faussete la plus totale
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- David O. Selznick
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Surtout, acidparadouze, que cette première expérience déçue avec le cinéma de Costa ne te détourne pas de ses films autrement réussis et vraiment impressionnants que sont, par exemple, Amen ou surtout Missing.
Le Couperet est plus qu'anecdotique comparé à ces deux grandes oeuvres (je considère le second comme un chef-d'oeuvre).
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« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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