Commentaires à propos de votre film du mois

[AtCloseRange]

THE ISLAND - Michael Ritchie (1980) : 9.0/10

C'est po vrai...

ça doit être une note nanar...

[manuma]

THE ISLAND - Michael Ritchie (1980) : 9.0/10

C'est po vrai...

La fin est top, en effet

9/10, c'est une note de cœur plus que de raison. Ce film, je l'ai découvert sur Canal, en 86 ou 87, puis revu à intervalle irrégulier au cours des décennies suivantes. Je reste particulièrement sensible au côté frondeur / foutraque / contre nature de cette production de prestige mélangeant action, gore et comédie satirique. Après, c'est sûr que ça reste une affaire de (mauvais) goût et que ce n'est pas le film de Ritchie que je recommanderai de suite à quelqu'un souhaitant découvrir son travail.

[Alexandre Angel]

Il y avait celui-là aussi

[Rick Blaine]

Probablement plié pour ce mois avec La mafia fait la loi, film qui décortique avec une grande intelligence l'omerta et la soumission à la mafia par la peur, les valeurs culturelles et la nécessité sociale. Damiani filme avec brio, alternant les séquences au réalisme distancié et les scènes plus théâtrales. Le film est portée par un casting de luxe, avec une Claudia Cardinale au sommet de son art et de sa beauté. Sublime photo, sublime B.O., tous les ingrédients sont là pour un grand film.

[Jeremy Fox]

Premier prétendant

[Beule]

Annonces Matrimoniales / La Visita (Antonio Pietrangeli)
Par un beau dimanche, un monstre romain, médiocre, mesquin et plein d’une morgue larvée, débarque en Émilie-Romagne pour y rencontrer celle avec qui il entretient une relation épistolaire. Tout l’art des auteurs (Maccari, Scola, Pietrangeli) consiste à aiguiller discrètement le regard du spectateur de l’observation grinçante vers l’empathie non feinte pour ces deux cœurs solitaires l’un et l’autre insatisfaits et meurtris. À laisser exsuder les profondes fêlures pour contaminer la comédie au vitriol et l'infléchir, pas-à-pas, vers la chronique douce-amère nouant les émotions en fond de gorge. Il y a décidément un ton Pietrangeli, et cette cinquième incursion dans son œuvre ne fait que conforter mon estime pour ce réalisateur par trop méconnu encore.

[Jack Carter]

Annonces Matrimoniales / La Visita (Antonio Pietrangeli)
Par un beau dimanche, un monstre romain, médiocre, mesquin et plein d’une morgue larvée, débarque en Émilie-Romagne pour y rencontrer celle avec qui il entretient une relation épistolaire. Tout l’art des auteurs (Maccari, Scola, Pietrangeli) consiste à aiguiller discrètement le regard du spectateur de l’observation grinçante vers l’empathie non feinte pour ces deux cœurs solitaires l’un et l’autre insatisfaits et meurtris. À laisser exsuder les profondes fêlures pour contaminer la comédie au vitriol et l'infléchir, pas-à-pas, vers la chronique douce-amère nouant les émotions en fond de gorge. Il y a décidément un ton Pietrangeli, et cette cinquième incursion dans son œuvre ne fait que conforter mon estime pour ce réalisateur par trop méconnu encore.

ah tiens, je l'ai en stock celui-là, je vais me le programmer

[Rick Blaine]

Il y avait longtemps que je me gardais Le quatrième homme pour plus tard, la sortie en BR m'a donné l'occasion et quelle claque. Un film noir parfait, tendu comme un string où tout passe par la mise en scène, et par de remarquables performances d'acteur. John Payne et surtout Jack Elam n'ont jamais été aussi bon dans ce film qui porte toute l'essence du noir, et dont les trouvailles scénaristiques sont remarquables, et parfaitement rendues à l'écran.

[G.T.O]

Danton. Vision fébrile sur l'après-révolution dont l'embrasement général rappelle la folie des Diables de Ken Russell. Conçu comme un duel idéologique et humain, Danton résonne comme la fin précipitée des idéaux et promesses révolutionnaires. Paysage désolé et mouvant, traversé par des possédés. Avec un Depardieu monstrueux.

[AtCloseRange]

ça c'est de l'affiche!
Excellent choix.

[AntonChigurh]

Danton. Vision fébrile sur l'après-révolution dont l'embrasement général rappelle la folie des Diables de Ken Russell. Conçu comme un duel idéologique et humain, Danton résonne comme la fin précipitée des idéaux et promesses révolutionnaires. Paysage désolé et mouvant, traversé par des possédés. Avec un Depardieu monstrueux.

ça c'est de l'affiche!
Excellent choix.

C'est clair !.
Ajout direct à ma watchlist .

[Demi-Lune]

Danton.

Chef-d’œuvre.
Rien que d'y repenser, la fin du film me fait dresser les poils.
Tu fais plaisir, G.T.O.

[Watkinssien]

"Regardez bien ma tête, elle est belle!"

Un excellent Wajda, en effet!

[Rick Blaine]

Oui, un film remarquable.

[Flol]

Il me semble qu'il passe en ce moment sur le câble, va falloir que je checke ça.

Danton. Vision fébrile sur l'après-révolution dont l'embrasement général rappelle la folie des Diables de Ken Russell.

Tiens d'ailleurs, en parlant de celui-là : quelqu'un sait s'il est visible dans de bonnes conditions quelque part et dans une version la plus complète possible ?
Il y a un dvd UK dispo à un prix abordable, mais il me semblerait que ce soit la version cut.
https://www.amazon.co.uk/gp/product/B00 ... S9XZ&psc=1