Deuxième film que je vois du cinéaste et je suis vraiment admiratif devant sa mise en scène. D'une puissance poétique rare, ses plans séquences pénètrent mes sens et mon esprit m'hypnotisant ainsi jusqu'à la dernière image, et proposant au passage une expérience cinématographique aussi éblouissante que rarissime. L'histoire est quant à elle vraiment prenante, offrant des instants de grâce absolument saisissants :
La danse des planètes humaines, la découverte de la plus grosse baleine du monde sur une musique lyrique à souhait et profondément bouleversante, le petit vieux nu dans une baignoire qui stoppe la violence de tout un groupe d'extrémistes qui s'invitent dans un hôpital, etc ...
Il va me falloir le temps de le digérer celui là !
Jack Carter a écrit :N'y allons pas par quatre chemin, c'est une veritable pepite meconnue de notre hexagone qui remporte le titre : A la fois chronique adolescente ouvriere et provinciale à la Pialat et brulot social post-68, avec une fin qui laisse hagard et sans voix, La Coupe à 10 francs de Philippe Condroyer (3 films seulement, dont un Tintin et un pas si mal Homme à abattre avec Trintignant).
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Jack Carter a écrit :N'y allons pas par quatre chemin, c'est une veritable pepite meconnue de notre hexagone qui remporte le titre : A la fois chronique adolescente ouvriere et provinciale à la Pialat et brulot social post-68, avec une fin qui laisse hagard et sans voix, La Coupe à 10 francs de Philippe Condroyer (3 films seulement, dont un Tintin et un pas si mal Homme à abattre avec Trintignant).
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