Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Une seule et unique séance à la Cinémathèque à l'occasion de la rétrospective Sergio Leone (producteur).manuma a écrit :Celui-là, tu l'as dégoté ou ? Cela fait un moment que je veux le voir. Pas rediffusé à la télé depuis son passage aux dossiers de l'écran dans les années 80, plus exactement...Kevin95 a écrit :4. Il giocattolo (Giuliano Montaldo, 1979)
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Et son final-apothéose qui me colle à chaque fois une chair de poule pas possible...G.T.O a écrit :Revu et toujours aussi bon, voire même meilleure, j'ai nommé l'immense :
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Je valideG.T.O a écrit :Film du mois de septembre.
Revu et toujours aussi bon, voire même meilleure, j'ai nommé l'immense :
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La côte de ce World of Suzie Wong s'est subitement envolée en mai 2013 quand le monde entier a découvert que AtCloseRange avait mis plus de 6/10 à un film.(A moins que ce ne soit l'effet Nancy Kwan). Très bon film effectivement.Helena a écrit :Harkento a écrit :
Ca fait un moins six mois qu'il finit à chaque fois dans un top celui là ....
Film magique et culte alors qu'il frôle le totalement nunuche. Comme quoi, entre grande réussite et catastrophe, il n'y a souvent pas grand chose..G.T.O a écrit :Et possible film du mois d'octobre, le très beau :
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et dire que j'ai mis 10/10 à un film le mois dernier et que personne n'a rien vuSupfiction a écrit :La côte de ce World of Suzie Wong s'est subitement envolée en mai 2013 quand le monde entier a découvert que AtCloseRange avait mis plus de 6/10 à un film.(A moins que ce ne soit l'effet Nancy Kwan). Très bon film effectivement.Helena a écrit :
Oui, mais pour un film des années 60 et que tu as déjà vu !AtCloseRange a écrit :et dire que j'ai mis 10/10 à un film le mois dernier et que personne n'a rien vu
parce que le monde entier est concentré sur les notes de Demi-Lune.AtCloseRange a écrit : et dire que j'ai mis 10/10 à un film le mois dernier et que personne n'a rien vu
Jeremy Fox a écrit :* Nous nous sommes tant aimés (C'eravamo tanto amati) : Ettore Scola 1974 : 6/10
, Mon coeur saigne...Ah ouais quand même... Je l'avais pas terminé celui là, à l'époque.AtCloseRange a écrit :Sanglantes Confessions (Grosbard) 7/10
J'ai toujours été assez client du film (et du sujet sur le Dahlia Noir aussi). A la révision, je lui trouve un air de ressemblance avec Cutter's Way qui date de la même époque. Il ne traite pas la même période mais son côté néo-noir dans une Californie dominée par la corruption et l'enquête autour de la mort d'une prostituée les rapproche.7swans a écrit :D'ailleurs,
Ah ouais quand même... Je l'avais pas terminé celui là, à l'époque.AtCloseRange a écrit :Sanglantes Confessions (Grosbard) 7/10
Il s'agit d'une note de déception (par rapport à mon souvenir ému lors de sa découverte) mais pas d'une mauvaise note ceci dit. Disons que je n'ai pas autant adhéré que par le passé à la construction en gros blocs temporels qui m'ont empêché de m'attacher autant que j'aurais voulu aux personnages. Pleins de superbes idées de mise en scène, des comédiens géniaux... mais je suis resté un peu distant face à cette histoire.7swans a écrit :Jeremy Fox a écrit :* Nous nous sommes tant aimés (C'eravamo tanto amati) : Ettore Scola 1974 : 6/10
J'ai eu un peu le même sentiment de déception que toi en voyant le film, qui donne parfois l'impression de survoler son sujet - comme un cours de sciences politiques pour les nuls, avec les grandes idées dominantes de chaque époque brossées à grands traits. Je lui préfère par exemple Une Vie Difficile de Risi, qui raconte aussi l'histoire de l'Italie de l'après-guerre au travers du personnage de Sordi, mais en s'attachant à des faits ou des anecdotes et moins aux grandes idées.Jeremy Fox a écrit :Il s'agit d'une note de déception (par rapport à mon souvenir ému lors de sa découverte) mais pas d'une mauvaise note ceci dit. Disons que je n'ai pas autant adhéré que par le passé à la construction en gros blocs temporels qui m'ont empêché de m'attacher autant que j'aurais voulu aux personnages. Pleins de superbes idées de mise en scène, des comédiens géniaux... mais je suis resté un peu distant face à cette histoire.
Strum a écrit : Je lui préfère par exemple Une Vie Difficile de Risi, qui raconte aussi l'histoire de l'Italie de l'après-guerre au travers du personnage de Sordi, mais en s'attachant à des faits ou des anecdotes et moins aux grandes idées.
