Du très grand Argento ! L'un de mes préférés !Kevin95 a écrit :3. 4 mosche di velluto grigio (Dario Argento, 1971)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
A et B n'ont rien à voir avec une valeur qualitative mais budgétaireBaronLundi a écrit :
Un western dont le héros n'est pas le personnage principal ET se trouve du mauvais côté du canon me paraît déjà suffisamment fûté pour passer illico en catégorie A.
J'ai eu beau découvrir ce film le mois dernier en étant au courant de tout ça, je ne l'ai pas trouvé plus intelligent pour autant Mais promis, vous ne me verrez plus accoler de très mauvaises notes à un western italien : vu que tout le monde me dit que si ce classique du genre ne passe pas avec moi ce n'est pas la peine de continuer, je vous fais confiance et en prend acte.Formidable réflexion sur le pouvoir, la loi et le système de classe (mais oui !).
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
c'est vrai, même en toute orthodoxie le sens classique vise plutôt la distribution que la production, non ?Jeremy Fox a écrit :BaronLundi a écrit :
A et B n'ont rien à voir avec une valeur qualitative mais budgétaire
Mais je pinaille, mea culpa, je me rends compte que j'ai en effet bien malgré moi intégré le glissement sémantique qui fait de l'expression un jugement qualitatif.
Plus important : tu n'aimes *aucun* film de Leone (westerne ou pas) ?
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je peux d'autant mieux l'avouer que ces deux "trilogies" furent mes films préférés pendant une bonne dizaine d'années, disons de 15 à 25 ans (j'ai même été voir Leone himself à la cinémathèque). Aujourd'hui, excepté Le bon la brute et le truand et Il était une fois en Amérique, ils ont effectivement beaucoup de mal à ne pas m'agacer ; je les ai également trop vus ; ça doit entrer en ligne de compte. Et même pour ces deux derniers, ma passion s'est gravement émoussée.BaronLundi a écrit :
Plus important : tu n'aimes *aucun* film de Leone (westerne ou pas) ?
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Bon en premier lieu, désolé pour l'emploi du titre original italien mais c'est une nouvelle manie chez moi et pour le cas du film de Sollima le titre français est juste... pas possible (officieusement c'est aussi pour faire le malin).Supfiction a écrit :J'ai du faire une recherche sur google pour savoir que La resa dei conti était en fait ColoradoKevin95 a écrit :Un mois de novembre pas énorme en quantité de films découverts mais dans lequel deux films principalement se sont fait remarquer. En premier lieu (et film du mois) le western de Sergio Sollima, La Resa dei conti. Formidable réflexion sur le pouvoir, la loi et le système de classe (mais oui !). La resa dei conti
Je n'ai rien vu de tout cela je dois dire (même si je vois de quoi tu parles à travers la quête erroné du chasseur de primes)..
Juste un divertissement de série B qui fait beaucoup penser aux Leone/Eastwood, à la différence que Van Cleef commet lui souvent des erreurs et le paye cher, là où Eastwood est toujours le plus futé et celui qui berne les autres.
Ensuite, si je veux bien concevoir que le western transalpin laisse indifférent, impossible pour moi de voir dans ce film un "simple" divertissement. Formellement, la mise en scène de Sergio Sollima est ample, précise et évite les pièges dans lesquels d'autres à la même époque sont tombé (zoom, effets de style vieillots etc...). Il n'y a qu'à voir la séquence absolument superbe où Cuchillo se fait traquer dans les herbes hautes (le décor à une place significative puisque le sentiment d'étouffement que provoque La Resa dei conti vient justement de la manière dont Sollima passe des intérieurs bourgeois ultra pesants au désert le plus aride).
Quand au fond, les sujets brassés sont loin d’être anodins. Lee Van Cleef tout droit sortit d'un western de Leone, rejoue la même partition que dans Et pour quelques dollars de plus à une différence près (et de taille) : sa quête ne concerne plus une vengeance personnelle mais des intérêts politiques pour lesquels il est lui aussi impliqué. Cela change tout des intentions du personnage et de l’empathie qu'il peut provoquer chez le spectateur. L’ambiguïté est constante car même chez le brave Cuchillo, rien est clair et finalement s'il est innocent pour l'affaire au cœur du film, la scène de la baignade avec la jeune fille laisse entendre que le personnage n'est pas non plus blanc bleu. Je persiste à penser que La Resa dei conti n'est pas en matière de western (voir de film tout court) du tout venant et que les thèmes brassés par celui-ci sont réellement pertinents.
Après je me répète sans doutes, mais si la simple évocation du western italien fait grincer des dents, il est presque normal que le film de Sollima passe au dessus de la tête (me concernant j'ai la chance d'aimer aussi bien le western classique américain que ceux même les plus "bis" du cinéma italien). À mes yeux, La Resa dei conti est une œuvre magistrale.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Why not. J'avoue enrager contre moi même du fait d'avoir rater la rétro Raymond Depardon à la Cinémathèque (je me suis déplacé pour Fait divers un jour avant la fin de ladite rétro). Je place le coffret DVD autours du réalisateur dans ma whishlist car je suis ultra curieux de découvrir d'autres de ses films (même si les derniers sur le monde paysan me font disons... moins envie). En premier lieu 1974, une partie de campagne et Urgences (ainsi que revoir 10e chambre - Instants d'audience, qui m'avait bien marqué à l'époque de sa sortie salles).BaronLundi a écrit :Next: Délits flagrants ?
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois de novembre relativement varié pour moi.
En tête je placerais un trio de films par le génial Johnnie To: Election I + II et le magistral Drug War.
Si je reste à Hong-Kong, je citerais aussi l'ultra noir et désespéré Long Arm of the Law de Johnny Mak. Le film a vieilli sur plusieurs aspects, mais ça reste d'un nihilisme absolument foudroyant.
Je citerais ensuite le radical Few of Us de Sharunas Bartas. Un film quasi-muet, dégraissé au possible de toutes conventions, qui suit une femme rejoignant un hameau décrépi perdu au fin fond d'on ne sait où. Quelque part entre du Bela Tarr et du Tarkovski autiste et pessimiste.
Deux autres découvertes qui m'auront enthousiasmé sans pour autant se révéler inoubliables. Le puissant The Entity de Sidney J. Furie et son histoire glaciale de viol ectoplasmique et le dernier film de Paul Greengrass, Captain Phillips, une aventure en deux temps relativement éprouvante et superbement réalisée.
Grand moment de cinéma aussi avec In Dreams de Neil Jordan. Il pèche un peu par l'excès, mais cela lui donne une consistance et une folie qui restent finalement cohérents. Immense partition de Goldenthal et travail esthétique grisant.
Je reste dans le fantastique avec un classique du genre que je ne connaissais pas encore: The Uninvited, de Lewis Allen (1944), où le travail d'éclairage amène le film à un niveau qu'il n'aurait pu atteindre sur la base de son seul script.
Et enfin, je termine avec un documentaire engagé: Tous au Larzac de Christian Rouaud, qui reconstitue les 10 années de lutte acharnée, de 1971 à 1981, de cette bande d'agriculteurs du Larzac qui ne voulaient pas quitter leurs terres. Un film très touchant et qui m'a fait découvrir un magnifique exemple de désobéissance civique et de lutte non-violente.
En tête je placerais un trio de films par le génial Johnnie To: Election I + II et le magistral Drug War.
Si je reste à Hong-Kong, je citerais aussi l'ultra noir et désespéré Long Arm of the Law de Johnny Mak. Le film a vieilli sur plusieurs aspects, mais ça reste d'un nihilisme absolument foudroyant.
Je citerais ensuite le radical Few of Us de Sharunas Bartas. Un film quasi-muet, dégraissé au possible de toutes conventions, qui suit une femme rejoignant un hameau décrépi perdu au fin fond d'on ne sait où. Quelque part entre du Bela Tarr et du Tarkovski autiste et pessimiste.
Deux autres découvertes qui m'auront enthousiasmé sans pour autant se révéler inoubliables. Le puissant The Entity de Sidney J. Furie et son histoire glaciale de viol ectoplasmique et le dernier film de Paul Greengrass, Captain Phillips, une aventure en deux temps relativement éprouvante et superbement réalisée.
Grand moment de cinéma aussi avec In Dreams de Neil Jordan. Il pèche un peu par l'excès, mais cela lui donne une consistance et une folie qui restent finalement cohérents. Immense partition de Goldenthal et travail esthétique grisant.
Je reste dans le fantastique avec un classique du genre que je ne connaissais pas encore: The Uninvited, de Lewis Allen (1944), où le travail d'éclairage amène le film à un niveau qu'il n'aurait pu atteindre sur la base de son seul script.
Et enfin, je termine avec un documentaire engagé: Tous au Larzac de Christian Rouaud, qui reconstitue les 10 années de lutte acharnée, de 1971 à 1981, de cette bande d'agriculteurs du Larzac qui ne voulaient pas quitter leurs terres. Un film très touchant et qui m'a fait découvrir un magnifique exemple de désobéissance civique et de lutte non-violente.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Découvert cette année aussi celui-là, visuellement très impressionnant dans les atmosphères gothiques, la mise en scène et la photo oppressante c'est vraiment dommage que le traitement léger et un peu trop humoristique viennent gacher ça car il y avait vraiment matière à faire dresser les cheveux sur la tête avec un ton plus sérieux. Si tu n'as jamais vu il faut vraiment tenter le trio de film gothique de John Brahm à la Fox à la même période c'est excellentissime.Colqhoun a écrit : Je reste dans le fantastique avec un classique du genre que je ne connaissais pas encore: The Uninvited, de Lewis Allen (1944), où le travail d'éclairage amène le film à un niveau qu'il n'aurait pu atteindre sur la base de son seul script.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je note.Profondo Rosso a écrit :Si tu n'as jamais vu il faut vraiment tenter le trio de film gothique de John Brahm à la Fox à la même période c'est excellentissime.
Merci pour le conseil.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'en parlais là (et de la jolie capture en prime !) sur le topic John Brahm http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 8&start=15
Et tu trouves les trois films dans ce beau coffret pas trop cher, vraiment trois pépites surtout The Lodger et Hangover Square !
http://www.amazon.co.uk/Horror-Classics ... john+brahm
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
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" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
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Mes films du mois :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
En tous cas tu sais défendre ce film avec conviction. Personnellement je n'ai pas dit que je n'aimais pas mais il est vrai que j'ai tendance à ne pas prendre très aux sérieux les westerns italiens (Il était une fois dans l'Ouest mis à part) au scénarios souvent ultra-simplistes. Mais celui-ci est clairement au-dessus de la mêlée.Kevin95 a écrit :Bon en premier lieu, désolé pour l'emploi du titre original italien mais c'est une nouvelle manie chez moi et pour le cas du film de Sollima le titre français est juste... pas possible (officieusement c'est aussi pour faire le malin).Supfiction a écrit :
J'ai du faire une recherche sur google pour savoir que La resa dei conti était en fait Colorado
Je n'ai rien vu de tout cela je dois dire (même si je vois de quoi tu parles à travers la quête erroné du chasseur de primes)..
Juste un divertissement de série B qui fait beaucoup penser aux Leone/Eastwood, à la différence que Van Cleef commet lui souvent des erreurs et le paye cher, là où Eastwood est toujours le plus futé et celui qui berne les autres.
Ensuite, si je veux bien concevoir que le western transalpin laisse indifférent, impossible pour moi de voir dans ce film un "simple" divertissement. Formellement, la mise en scène de Sergio Sollima est ample, précise et évite les pièges dans lesquels d'autres à la même époque sont tombé (zoom, effets de style vieillots etc...). Il n'y a qu'à voir la séquence absolument superbe où Cuchillo se fait traquer dans les herbes hautes (le décor à une place significative puisque le sentiment d'étouffement que provoque La Resa dei conti vient justement de la manière dont Sollima passe des intérieurs bourgeois ultra pesants au désert le plus aride).
Quand au fond, les sujets brassés sont loin d’être anodins. Lee Van Cleef tout droit sortit d'un western de Leone, rejoue la même partition que dans Et pour quelques dollars de plus à une différence près (et de taille) : sa quête ne concerne plus une vengeance personnelle mais des intérêts politiques pour lesquels il est lui aussi impliqué. Cela change tout des intentions du personnage et de l’empathie qu'il peut provoquer chez le spectateur. L’ambiguïté est constante car même chez le brave Cuchillo, rien est clair et finalement s'il est innocent pour l'affaire au cœur du film, la scène de la baignade avec la jeune fille laisse entendre que le personnage n'est pas non plus blanc bleu. Je persiste à penser que La Resa dei conti n'est pas en matière de western (voir de film tout court) du tout venant et que les thèmes brassés par celui-ci sont réellement pertinents.
Après je me répète sans doutes, mais si la simple évocation du western italien fait grincer des dents, il est presque normal que le film de Sollima passe au dessus de la tête (me concernant j'ai la chance d'aimer aussi bien le western classique américain que ceux même les plus "bis" du cinéma italien). À mes yeux, La Resa dei conti est une œuvre magistrale.
Concernant le titre, effectivement c'est mieux si possible de mettre le titre français au moins entre parenthèses pour que tout le monde comprenne. Mais je dois avouer qu'il m'arrive aussi, mea culpa, de faire comme toi pour certains titres que je n'aime pas (La vie est belle/It's a wonderfull life, Rendez-vous/Shop around the corner,..) et puis bizarrement, et de plus en plus, quand j'ai oublié le titre d'un film, le titre original me revient plus facilement..
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
39 films vus en novembre, dont voici le top 5 :
1.
Inside Llewyn Davis - Coen Bros
2.
Le jour se lève - Marcel Carné
3.
Prince Avalanche - David Gordon Green
4.
Dans la maison - François Ozon
5.
Snowpiercer - Bong Joon-ho
3 films sur 5 découverts en salles. Donc ne comptez pas sur moi pour dire du mal de 2013.
1.
Inside Llewyn Davis - Coen Bros
2.
Le jour se lève - Marcel Carné
3.
Prince Avalanche - David Gordon Green
4.
Dans la maison - François Ozon
5.
Snowpiercer - Bong Joon-ho
3 films sur 5 découverts en salles. Donc ne comptez pas sur moi pour dire du mal de 2013.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois de Novembre relativement calme (seulement 27 films) dont profite Raymond Bernard avec une oeuvre forte du début du parlant dans laquelle excellent Gaby Morlay et Charles Vanel, Faubourg Montmartre (1931).
Le suit de très près un petit polar, sec et nerveux à l'atmosphère mélancolique, idéalement mis en scène et interprété par Allen Baron, Blast of silence (1961). Un grand merci aux copains (Père Jules, Rick Blaine, Jack Carter et Major Tom, un vrai plébiscite) pour la découverte !
Le reste ici :
Le suit de très près un petit polar, sec et nerveux à l'atmosphère mélancolique, idéalement mis en scène et interprété par Allen Baron, Blast of silence (1961). Un grand merci aux copains (Père Jules, Rick Blaine, Jack Carter et Major Tom, un vrai plébiscite) pour la découverte !
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Merci Rick Blaine pour cette découverte! Il reste en tête, ce film. L'étonnant prologue précédant cet excellent film de gangster, la sortie de tunnel de métro et le son de l'accouchement du protagoniste avec la voix off, est vraiment brillant. Par ailleurs cette fameuse voix off grave et rauque est celle de l'imposant Lionel Stander (l'affreux et encombrant gangster dans Cul-de-sac de Polanski).daniel gregg a écrit :Le suit de très près un petit polar, sec et nerveux à l'atmosphère mélancolique, idéalement mis en scène et interprété par Allen Baron, Blast of silence (1961). Un grand merci aux copains (Père Jules, Rick Blaine, Jack Carter et Major Tom, un vrai plébiscite) pour la découverte !