Père Jules a écrit :Nouveau candidat
Il faut que je le regarde celui là.
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Père Jules a écrit :Nouveau candidat
Je crois que j'avais commencé à le regarder mais faute de sous-titres j'avais du me fatiguer au bout d'un moment..Père Jules a écrit :Nouveau candidat
feb a écrit :Encore un de tes rip ?
J'ai le même sentiment pour la fin qui se veut à la fois une explication et n'explique pas grand chose. Le film fonctionne beaucoup mieux dans le non-dit en tant que tranche de vie. Il y a un côté très naturel dans tout ça: la façon dont les 2 femmes se rencontrent, le développement par petites touches de leur amitié, la vie de coach potato des 3 locataires entre jeux-vidéos, joints et réveil à midi. Quand on voit généralement ce qu'Hollywoodien (et même pas de films dit indés) font avec ce genre de matériau (l'amitié entre des contraires), ça fait plaisir de voir quelque chose qui respire.supfiction a écrit :Et puis maintenant que je l'ai vu, j'imagine que ce qu'on découvre et voit vers la moitié du film n'aide pas à le distribuer partout..
Le film m'a bien plu même si la fin m'a un peu laissé dans l'expectative. Qu'ont réellement en tête les personnages à la toute fin du film. J'ai mon idée mais, dans le doute, j'aurai bien aimé en savoir plus .. De même, je trouve que le réalisateur aurait pu creuser davantage le côté fossé/points communs entre générations.
Je viens de le regarder du coup. C'est effectivement remarquable. Décidément, les noirs adaptés de Goodis sont des réussites. La mise en scène est très intéressante, créant une belle ambiance flirtant avec le fantastique, et le casting est très brillant. Grosse réussite!Père Jules a écrit :Nouveau candidat
Rick Blaine a écrit :Je viens de le regarder du coup. C'est effectivement remarquable. Décidément, les noirs adaptés de Goodis sont des réussites. La mise en scène est très intéressante, créant une belle ambiance flirtant avec le fantastique, et le casting est très brillant. Grosse réussite!Père Jules a écrit :Nouveau candidat
Pas mal hein ?daniel gregg a écrit :
-The secret of convict lake (L'énigme du lac noir) : M.Gordon (1951)- 7.5/10
Connaissais pas cette expression "coach potato". Ces scènes m'ont fait penser à certains passages de Breaking Bad avec Aaron Paul/Jesse Pinkman. Avec une pincée de Requiem for a dream mais en plus léger.AtCloseRange a écrit :J'ai le même sentiment pour la fin qui se veut à la fois une explication et n'explique pas grand chose. Le film fonctionne beaucoup mieux dans le non-dit en tant que tranche de vie. Il y a un côté très naturel dans tout ça: la façon dont les 2 femmes se rencontrent, le développement par petites touches de leur amitié, la vie de coach potato des 3 locataires entre jeux-vidéos, joints et réveil à midi.supfiction a écrit :Et puis maintenant que je l'ai vu, j'imagine que ce qu'on découvre et voit vers la moitié du film n'aide pas à le distribuer partout..
Le film m'a bien plu même si la fin m'a un peu laissé dans l'expectative. Qu'ont réellement en tête les personnages à la toute fin du film. J'ai mon idée mais, dans le doute, j'aurai bien aimé en savoir plus .. De même, je trouve que le réalisateur aurait pu creuser davantage le côté fossé/points communs entre générations.
Dans ce genre là, il y a eu récemment le réussi Welcome to the Rileys avec James Gandolfini et Kristen Stewart.AtCloseRange a écrit :Quand on voit généralement ce qu'Hollywoodien (et même pas de films dit indés) font avec ce genre de matériau (l'amitié entre des contraires), ça fait plaisir de voir quelque chose qui respire.