Commentaires à propos de votre film du mois

[Flol]

Je confirme les propos de Ricky Blaine sur le format respecté du zone 1. Et son avis fait plaisir à lire. Je suis vraiment accro à ce "petit" Fleischer...

J'aime beaucoup The Last Run moi aussi. Et sa musique est géniale.

[Père Jules]

Premier (et très sérieux) candidat:

[Flavia]

Tu l'as découvert comment ?

[Demi-Lune]

Tu l'as découvert comment ?

Monsieur ripe à tout-va en ce moment.

[Anorya]

Avec un peu de patience il aurait pu attendre la prochaine ressortie du film en salles et donc en DVD, c'est pour la fin de l'année si je me rappelle bien.

[Père Jules]

Avec un peu de patience il aurait pu attendre la prochaine ressortie du film en salles et donc en DVD, c'est pour la fin de l'année si je me rappelle bien.

Ça me donnera l'occasion de le redécouvrir dans de bonnes conditions parce que mon rip n'était pas folichon.

[Kevin95]

Ah j'ai comme oublié de faire mon bilan d'avril...

Et bien couronnement du délirant The Fortune par un Mike Nichols étrangement inspiré et porté par deux cabots en liberté (Jack Nicholson en tête de file et Warren Beatty pour l'épaulé).

Rayon flops, je note un Stephen Frears laborieux (The Van), une comédie ironique sur les yéyés qui tourne en rond (Les Idoles) et enfin un film parait-il culte qui cache une série B feignante voir soporifique (Maniac Cop).

Rayon redécouvertes, on a du Fellini qui me scotche toujours autant de la première à la dernière image (8½), un Godard qui fait la gueule mais dont l'émotion à fleur de peau fait mouche (Vivre sa vie : Film en douze tableaux) ou encore parmi les films les plus entrainants et jouissifs du cinéma français (Les Demoiselles de Rochefort et Peau d'âne).

Pour ce qui est des découvertes, je retiens (outre le film de Nichols) un film difficile d'approche mais au final incroyablement émouvant (Faces), un Jacques Demy à l'heure américain et avec lui le spleen et l’errance des réalisateurs américains de cette génération (Model Shop), un film dossier mené de main de maitre (comme souvent) par Sidney Lumet (Q & A) et enfin un mélo fantastique marqué par la fin d'un certain age d'or du cinéma italien (Fantôme d'amour).

Top 5 Découvertes :

1. The Fortune (Mike Nichols, 1975)



2. Faces (John Cassavetes, 1968)



3. Model Shop (Jacques Demy, 1969)



4. Q & A (Sidney Lumet, 1990)



5. Fantôme d'amour (Dino Risi, 1981)

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Films découverts et revus :

The Tall Men (Raoul Walsh, 1955) : Découverte

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Les Demoiselles de Rochefort (Jacques Demy, 1967) : Révision

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The Van (Stephen Frears, 1996) : Découverte

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Vivre sa vie : Film en douze tableaux (Jean-Luc Godard, 1962) : Révision

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One + One (Jean-Luc Godard, 1968) : Révision

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Portier de nuit (Liliana Cavani, 1974) : Révision

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À nous deux (Claude Lelouch, 1979) : Découverte

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Les Idoles (Marc'o, 1968) : Découverte

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Fantôme d'amour (Dino Risi, 1981) : Découverte

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Model Shop (Jacques Demy, 1969) : Découverte

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Easter Parade (Charles Walters, 1948) : Découverte

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The Fortune (Mike Nichols, 1975) : Découverte

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8½ (Federico Fellini, 1963) : Révision

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Fréquence meurtre (Élisabeth Rappeneau, 1988) : Découverte

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The Way We Were (Sydney Pollack, 1973) : Découverte

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Peau d'âne (Jacques Demy, 1970) : Révision

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Le Jardinier d'Argenteuil (Jean-Paul Le Chanois, 1966) : Découverte

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Maniac Cop (William Lustig, 1988) : Découverte

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Vengeance (Johnnie To, 2009) : Découverte

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Paris - When It Sizzles (Richard Quine, 1964) : Découverte

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Faces (John Cassavetes, 1968) : Découverte

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Q & A (Sidney Lumet, 1990) : Découverte

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Eye of the Needle (Richard Marquand, 1981) : Découverte

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[Federico]

Premier (et très sérieux) candidat:

Spoiler (cliquez pour afficher)

Jamais pu accrocher à ce Wilder-là (en partie par une allergie chronique à ce style de photographie gazeuse 70's)

[Federico]

une comédie ironique sur les yéyés qui tourne en rond (Les Idoles)

Découverte assez récente aussi qui m'avait à la fois amusé mais également déçu car un peu trop bordélique et en roue libre. Dommage car il contient quelques chouettes séquences et parce qu'il y a le duo Kalfon-Ogier... qui deviendra magique et bouleversant l'année suivante dans L'amour fou de Rivette.

[NotBillyTheKid]

Le lac des femmes de Kijû Yoshida prend la tête avec une sérieuse avance ...

Voilà. On appelle ça du cinéma. Une merveille de plus de la part de Yoshida dont j'entame le second coffret. L'influence godardienne persiste. Seulement ici, ce n'est plus "A bout de souffle" que l'on sent derrière, mais "Une femme mariée" (et un peu "Le mépris"). Et, à la fois, on sent qu'il s'est totalement détaché de toute influence pour développer un cinéma totalement personnel, grave et magnifique. Les cadrages sont toujours superbes, mais il y a aussi une maîtrise du montage incroyable. Il enchaîne de longs plans fixes antonioniens avec des jump-cuts audacieux. Des champs/contre-champs sur un même personnage, à 180°... C'est du grand art.

[nobody smith]

un film parait-il culte qui cache une série B feignante voir soporifique (Maniac Cop).[/spoiler]

Mais non, c'est très bien Maniac Cop. C'est un film qui arrive à pas passer pour complètement con avec un pitch qui l'est. C'est très loin d'être fainéant, bien au contraire. Il y a quand même une intrigue qui n'arrête pas de rebondir et l'emballage est modeste mais plein de bonnes idées (je suis toujours épaté par le cascadeur de la scène finale qui devait être un brin cinglé).

[Kevin95]

une comédie ironique sur les yéyés qui tourne en rond (Les Idoles)

Découverte assez récente aussi qui m'avait à la fois amusé mais également déçu car un peu trop bordélique et en roue libre. Dommage car il contient quelques chouettes séquences et parce qu'il y a le duo Kalfon-Ogier... qui deviendra magique et bouleversant l'année suivante dans L'amour fou de Rivette.

Ça m'a amusé environ une demi heure, mais après... ultra pénible. Ça gueule, ça gesticule et ça multiplie les clins d’œils au spectateur mais je suis resté extérieur à tout ce bordel (malgré une ou deux scènes en effet plutot réussites comme le duo "Nouvelle danse" entre Bulle Ogier et Pierre Clémenti ou certaines scènes avec l’inénarrable Jean-Pierre Kalfon).

un film parait-il culte qui cache une série B feignante voir soporifique (Maniac Cop).[/spoiler]

Mais non, c'est très bien Maniac Cop. C'est un film qui arrive à pas passer pour complètement con avec un pitch qui l'est. C'est très loin d'être fainéant, bien au contraire. Il y a quand même une intrigue qui n'arrête pas de rebondir et l'emballage est modeste mais plein de bonnes idées (je suis toujours épaté par le cascadeur de la scène finale qui devait être un brin cinglé).

Qu'eeeeeesss ce que je me suis emm... devant. Pourtant il partait gagnant avec William Lustig à la réal et Larry Cohen au scénario mais les deux foirent complément leur idée de départ (plutôt fascinante je le reconnais) en prenant le chemin du grand guignol (faire de ce personnage en l'état iconique un gros bébé un peu con sur les bords c'est se tirer une balle dans le pied). Même le cabotinage de Bruce Campbell m'a saoulé au bout de 10 minutes.

[hellrick]

Qu'eeeeeesss ce que je me suis emm... devant. Pourtant il partait gagnant avec William Lustig à la réal et Larry Cohen au scénario mais les deux foirent complément leur idée de départ (plutôt fascinante je le reconnais) en prenant le chemin du grand guignol (faire de ce personnage en l'état iconique un gros bébé un peu con sur les bords c'est se tirer une balle dans le pied). Même le cabotinage de Bruce Campbell m'a saoulé au bout de 10 minutes.

J'aime bien aussi Maniac Cop, je pense que je préfère quand même le 2 mais comme il va encore plus loin dans le grand guignol cabotin je doute qu'il puisse te plaire

[Kevin95]

Je vais rester sur le premier degré (même douteux) de Maniac et Vigilante.

[Harkento]

Déjà un premier prétendant avec le fragile et sublime Room in Rome.

Mine de rien, Medem commence à avoir une petite réputation sur ce site ! Si je me souviens bien, cette dernière année, Room in rome à plusieurs fois fini 'film du mois' !