Commentaires à propos de votre film du mois

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Rockatansky »

Un des meilleurs films d'horreur vu récemment avec Pas un bruit de Mike Flannaghan et une fascinante série docu sur netflix Wild Wild Country sont les deux coups de coeur du mois.
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Avril 2018

Films découverts

Wild Wild Country - Chapman Way & Maclain Way - 8/10
Hush - Mike Flannagan - 7.5/10
Le grand jeu - Aaron Sorkin - 6/10
Lost City of Z - James Gray - 6/10
Battleship Island - Ryoo Seung-wan - 6/10
Pentagon Papers - Steven Spielberg - 6/10
Les évadés de Maze - Stephen Burke - 6/10
San Babila : un crime inutile - Carlo Lizzani - 5.5/10
Rabid Dogs - Mario Bava - 5/10
Le crime de l'Orient-Express - Kenneth Brannagh - 5/10
Suburbicon - George Clooney - 5/10
Rendel - Jesse Haaja - 4.5/10
Zarafa - Remi Bezançon - 4/10
The Passenger - Jaume Collet-Serra - 3.5/10
Le Labyrinthe : Le Remède mortel - Wes Ball - 3/10

Films revus

Zodiac - David Fincher - 7/10
L'enfer des zombies - Lucio Fulci - 4/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
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hellrick
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par hellrick »

En attendant d'avoir vu Avengers et Solo...un excellent western !!!

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AntonChigurh
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par AntonChigurh »

33 films au total ce mois-ci dont 23 découvertes et pas des moindres...
Avril a donné lieu à mon meilleur mois de passionné de cinéma avec la découverte de pas mal de films cultes 8) .
Le grand vainqueur est :
Antarctica de Koreyoshi Kurahara
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Suivi de très près par :
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La Nuit du Chasseur-Charles Laughton
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Sorcerer-William Friedkin
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Fargo-Coen brothers
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Manhunter-Michael Mann
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It Follows-David Robert Mitchell
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El Clan-Pablo Trapero
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L'Exorciste-William Friedkin
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Victoria-Sebastian Schipper
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Sea of Love-Harold Becker
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Terminator 2-James Cameron
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Mad Max : Fury Road-George Miller
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Et pour conclure avec un peu de douceur : Coco de Lee Unkrich et Adrian Molina
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Du côté des séries/séries documentaires je retiens également l'hallucinante Wild Wild Country dont Rockatansky en avait dit le plus grand bien il y a quelques semaines :wink:
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Le récap' complet du mois :
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Films découverts :
Antarctica- Koreyoshi Kurahara 10/10
La Nuit du Chasseur-Charles Laughton : 10/10
Coco-Lee Unkrich & Adrian Molina : 9/10
Manhunter-Michael Mann : 9/10
Sea of Love-Harold Becker : 8/10
Thelma-Joachim Trier : 8/10
Stand by Me-Rob Reiner : 8/10
Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin-John Carpenter : 8/10
El Clan-Pablo Trapero : 8/10
Terminator-James Cameron : 8/10
Terminator 2-James Cameron : 9/10
L'Exorciste-William Friedkin : 9/10
Mort ou vif-Sam Raimi : 7,5/10
Walk the Line-James Mangold : 7,5/10
Dans la vallée d'Elah-Paul Haggis : 7/10
Aram, Aram-Christopher Chambers : 6,5/10
The Guest-Adam Wingard : 6,5/10
Better Watch Out-Chris Peckover : 6/10
Small Town Crime-The Nelms Brothers : 6/10
The Villainess-Byung-gil Jung : 5/10
Annihilation-Alex Garland : 5/10
The Signal-William Eubank : 5/10
The Reef-Andrew Traucki : 5/10

Films redécouverts :
Fargo-The Coen Brothers : 10/10
Sorcerer-William Friedkin : 10/10
Mad Max : Fury Road-George Miller : 10/10
It Follows-David Robert Mitchell : 8/10
Into the Wild-Sean Penn : 8/10
Victoria-Sebastian Schipper : 8/10
Qu'un seul tienne et les autres suivront- Léa Fehner : 7/10
Unstoppable-Tony Scott : 7/10
Paul-Greg Mottola : 7/10
Wall Street 2-Oliver Stone : 6/10

Séries en cours :
Master of None saison 2 terminée, vraiment bonne mais avec des hauts et des bas, certains épisodes placent la barre très haut quand d'autres sont ennuyeux...
American Horror Story : Roanoke saison 6, visionnage terminé : 3/10, c'était franchement très difficile d'aller au bout, rien à sauver ou presque.
Wild Wild Country : série documentaire Netflix, visionnage terminé, histoire hallucinante, vivement recommandée.
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Harkento
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Harkento »

Un mois d'avril assez pauvre en visionnage (27 films vus) et pas de gros choc cinématographique non plus, c'est donc la seconde vision d'un classique de Fritz Lang qui remporte la palme de film du mois. Et je me suis fait une petite rétrospective Jackie Chan (comme tout les 4 5 ans environ) et c'est incroyable comme ses films vieillissent bien (on a jamais fait mieux depuis en terme "d'action pure" je trouve), à part quelques moments de comédie à base de gros quiproquos qui, eux, ne fonctionnent plus du tout (comme dans le tout premier Police Story... Par contre, Maggie Cheung est toujours aussi magique :) )

1. Règlement de comptes (Fritz Lang) - Revu
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2. Un taxi pour Tobrouk (Denys de La Patellière) - Vu dans des conditions de fatigue, ce qui m'a en partie gâché la séance... à revoir très vite car j'ai bien aimé ce que j'ai vu
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3. Battleship Island (Seung-wan Ryoo)
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4. Combats de maître 2 (Liu Chia-Liang) - Revu
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5. Police Story III : Supercop (Stanley Tong) - Revu
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6. Police Story II (Jackie Chan) - Revu
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Max Schreck
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Max Schreck »

Ce mois d'avril, une poignée de découvertes vraiment intéressantes, des films souvent agréablement déstabilisant à défaut d'être pleinement convaincants. Mais je note tout de même l'effort.


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1. Harmonium (Kôji Fukada), un film étonnant d'originalité et d'imprévisibilité, aussi fascinant que profondément dérangeant dans son irrésolution et sa façon de déjouer les codes


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2. Dans la forêt (Marchand), captivant et incroyablement flippant, dommage que la fin manque de force et fasse sortir du film sur une note moins intense


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3. Girl asleep (Myers), par le soin des cadrages, la sophistication de la direction artistique, la loufoquerie légère, Myers semble marcher sur les traces de Wes Anderson, et ça m'a plutôt plu parce que j'ai trouvé ça sincère et pas plagiaire. Dommage que ça s'égare un peu dans un symbolisme trop appuyé.




Films découverts
A perfect day (Fernando León de Aranoa), efficace même si un peu superficiel au vu de son sujet
Corniche Kennedy (Cabrera), réussi dans ses intentions comme dans son exécution, même si pas toujours convaincant quand s'invitent les ingrédients du polar
Las Brujas de Zugarramurdi (De La Iglesia), prometteur... les 10 premières minutes. Le reste est ahurissant de pénibilité, perdu dans ses effets et le vide de son scénar. Dommage parce qu'il y avait de quoi élaborer un vrai propos
Tunnel (Kim Seong-hoon), un concept bien tenu et bien développé mais des personnages manquant vraiment d'épaisseur
Peter's friends (Branagh), des personnages vraiment trop caricaturaux et une intrigue cousue de fil blanc, mais j'ai aimé me laisser porter par l'ambiance, les interprètes et l'inspiration de la mise en scène
Lions and lambs (Redford), un film tout petit mais finalement étonnant, exprimant un discours citoyen sans doute nécessaire


Films revus (Hors compétition)
Out of Africa (Pollack), un beau film, tout simplement
Mujeres al borde de un ataque de nervios (Almodovar), démonstration épatante d'un vrai savoir-faire d'artiste (écriture, réal, direction artistique)
Confidence (Foley), amusant et parfaitement anecdotique


Séries TV
Stranger things (S.2), quasiment un remake de la 1re saison, sans vraiment d'idées neuves. Restent le charme des jeunes comédiens et un emballage soigné
Baron noir (S.2), une qualité de fabrication et une ambition toujours aussi impressionnantes, et plutôt payantes, même si le côté stratégie politique (passionnant) se développe un peu au détriment des personnages, de leur intimité, de la cohérence de leur parcours.
La Casa de Papel (S.1), en cours...


Mes films des années précédentes
Spoiler (cliquez pour afficher)
- 2005 -
mai = Locataires (Kim)
juin = Le roi singe (Lau)
juillet = Femmes au bord de la crise de nerf (Almodovar)
aout = Mr & Mrs Smith (Liman)
septembre = Hatari! (Hawks)
octobre = The End of Evangelion (Anno)
novembre = A History of violence (Cronenberg)
decembre = Rocky (Avildsen)

- 2006 -
janvier = Catch-22 (Nichols)
février = Casablanca (Curtiz)
mars = Vous ne l'emporterez pas avec vous (Capra)
avril = It's always fair weather (Donen, Kelly)
mai = Les Salauds dorment en paix (Kurosawa)
juin = La bombe (Watkins)
juillet = Les Complices de la dernière chance (Fleischer)
octobre = Victor/Victoria (Edwards)
novembre =Reds (Beatty)
décembre = La fille de Ryan (Lean)

- 2007 -
janvier = The fountain (Aronofski)
février = Voyage à deux (Donen)
mars = La môme (Dahan)
avril = Bird (Eastwood)
mai = Sur la route de Madison (Eastwood)
juin = Boulevard de la mort (Tarantino)
juillet = Persepolis (Satrapi+Parronaud)
août = Scaramouche (Sidney)
septembre = The Stunt man (Rush)
octobre = El Topo (Jodorowsky)
novembre = Good Will Hunting (Van Sant)
décembre = Sept jours en mai (Frankenheimer)

- 2008 -
janvier = Tess (Polanski)
février = Silkwood (Nichols)
mars = The Darjeeling limited (Anderson)
avril = M*A*S*H (Altman)
mai = Un conte de Noël (Desplechin)
juin = Vincent, François, Paul...et les autres (Sautet)
juillet = Jacquot de Nantes (Varda)
août = Le Jugement des flèches (Fuller)
septembre = Mo' better blues (Lee)
octobre = La 25e heure (Verneuil)
novembre = Two lovers (Gray)
décembre = L'Orphelinat (Bayona)

- 2009 -
janvier = Sans retour (Hill)
février = The Curious case of Benjamin Button (Fincher)
mars = Touchez pas au grisbi (Becker)
avril = Pour le pire et pour le meilleur (Brooks)
mai = Casque d'or (Becker)
juin = Le Trou (Becker)
juillet = À bout de course (Lumet)
août = Cria cuervos (Saura)
septembre = De force avec d'autres (Reggiani)
octobre = Tarzan (Lima+Buck)
novembre = Duck soup (McCarey)
décembre = Esclave de l'amour (Mikhalkov)

- 2010 -
janvier = Up (Docter+Peterson)
février = Agora (Amenabar)
mars = Fantastic Mr. Fox (Anderson)
mai = The Ghost writer (Polanski)
juin = Still walking (Kore-Eda)
juillet = Dans ses yeux (Campanella)
août = Filles perdues, cheveux gras (Duty)
septembre = The Eiger sanction (Eastwood)
novembre = The Social network (Fincher)
décembre = Ghostbusters (Reitman)

- 2011 -
janvier = La Princesse de Montpensier (Tavernier)
février = Le 7e jour (Saura)
mars = Black swan (Aronosky)
avril = Le Viager (Tchernia)
mai = The Tree of life (Malick)
juillet = Summer wars (Hosoda)
août = Melancholia (von Trier)
septembre = Rango (Verbinski)
octobre = Sans témoins (Mikhalkov)
novembre = La Princesse et la grenouille (Clements+Musker)
décembre = Toy Story 3 (Unkrich)

- 2012 -
janvier = Into the wild (Penn)
février = The Molly maguires (Ritt)
avril = Nacido y criado (Trapero)

- 2014 -
octobre = Mommy (Dolan)
novembre = De rouille et d'os (Audiard)
décembre = Ça commence aujourd'hui (Tavernier)

- 2015 –
janvier = Morse (Aldredson)
février = La Guerre est déclarée (Donzelli)
mai = Distric 9 (Blomkamp)
juin = Super 8 (Abrams)
juillet = Laurence anyways (Dolan)
août = Star trek : into darkness (Abrams)
septembre = Le Vent se lève (Miyazaki)
octobre = Before midnight (Linklater)
novembre = Les Amours imaginaires (Dolan)
décembre = Boyhood (Linklater)

- 2016 -
janvier = Les Drôles de poissons-chats (Sainte-Luce)
février = The Revenant (Iñarittu)
mars = Vice-versa (Docter+Del Carmen)
avril = Rue de la violence (Martino)
mai = Martha Marcy May Marlene (Durkin)
juin = La Vie d'Adèle (Kechiche)
juillet = La Tortue rouge (Dudok de Wit)
septembre = The Constant gardener (Meirelles)
octobre = Toutes nos envies (Lioret)
décembre = Enemy (Villeneuve)

- 2017 -
janvier = Jersey boys (Eastwood)
février = Incendies (Villeneuve)
mars = Shin Godzilla (Anno+Higuchi)
avril = La Sociologue et l'ourson (Théry+Chaillou)
mai = Les Chemins de la liberté (Weir)
juin = Room (Abrahamson)
juillet = Gallipoli (Weir)
août = Landru (Chabrol)
septembre = Radio flyer (Donner)
octobre = Voyages avec ma tante (Cukor)
novembre = Blue collar (Schrader)
décembre = Les Cinq légendes (Ramsay)

- 2018 -
janvier = The Outsiders - the complete novel (Coppola)
février = K19 - the widowmaker (Bigelow)
mars = Stardust memories (Allen)
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
Mes extrospections...
Mon Top 100...
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Kevin95
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Message par Kevin95 »

Pour le mois d'avril...

5 découvertes :

THE BLACK PANTHER - Ian Merrick (1977)

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WALL-E - Andrew Stanton (2008)

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SUDDEN FEAR - David Miller (1952)

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CASTLE KEEP - Sydney Pollack (1969)

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LE BRAVE GUERILLERO - Gustavo Dahl (1968)

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La totale...
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Avril 2018

Films vus et revus

LA FEMME INFIDÈLE - Claude Chabrol (1969) : 9/10
DUO POUR CANNIBALES - Susan Sontag (1969) : 4/10
LE LIT DE LA VIERGE - Philippe Garrel (1969) : 7/10
A WOMAN OF PARIS - Charles Chaplin (1923) : 8/10
SECONDS - John Frankenheimer (1966) : 10/10
A TOUCH OF LARCENY - Guy Hamilton (1960) : 7/10
AMER - Hélène Cattet & Bruno Forzani (2009) : 4/10
LOOPHOLE - Harold D. Schuster (1954) : 5/10
LE DIABOLIQUE DOCTEUR MABUSE - Fritz Lang (1960) : 8/10
MES MEILLEURS COPAINS - Jean-Marie Poiré (1989) : 7/10
FEMMINE INFERNALI - Edoardo Mulargia (1980) : 6/10
INDIO 2 - LA RIVOLTA - Antonio Margheriti (1991) : 7/10
LES NUITS DE LA PLEINE LUNE - Éric Rohmer (1984) : 4/10
THE BLACK PANTHER - Ian Merrick (1977) : 9/10
MUMBO JUMBO - Jean-Luc Magneron (1965) : 7/10
PROFUMO DI DONNA - Dino Risi (1974) : 9/10
ELLE COURT, ELLE COURT LA BANLIEUE - Gérard Pirès (1973) : 8/10
SUMMER SCHOOL - Carl Reiner (1987) : 7/10
SLEEPY HOLLOW - Tim Burton (1999) : 7/10
THE GREAT SMOKEY ROADBLOCK - John Leone (1977) : 6/10
THE TRIP - Roger Corman (1967) : 8/10
CAPRICCI - Carmelo Bene (1969) : 3/10
CLOAK AND DAGGER - Fritz Lang (1946) : 8/10
BATTLE LOS ANGELES - Jonathan Liebesman (2011) : 4/10
THE ENDLESS SUMMER - Bruce Brown (1966) : 5/10
BRASIL ANO 2000 - Walter Lima Jr. (1969) : 5/10
LE BRAVE GUERILLERO - Gustavo Dahl (1968) : 8/10
KNOCK ON WOOD - Melvin Frank & Norman Panama (1954) : 7/10
STREET SOLDIERS - Lee Harry (1991) : 7/10
BLACK DEATH - Christopher Smith (2010) : 7/10
THE ULTIMATE WARRIOR - Robert Clouse (1975) : 8/10
WARRIOR OF THE LOST WORLD - David Worth (1983) : 8/10
MOTHER ! - Darren Aronofsky (2017) : 7/10
CROCODILE DUNDEE - Peter Faiman (1986) : 7/10
BAD JIM - Clyde Ware (1990) : 3/10
ACCIÓN MUTANTE - Álex de la Iglesia (1993) : 7/10
APRIL FOOL'S DAY - Fred Walton (1986) : 6/10
LES INFIDÈLES - Emmanuelle Bercot, Fred Cavayé, Alexandre Courtès, Jean Dujardin, Michel Hazanavicius, Jan Kounen (dégagé du montage ciné), Éric Lartigau & Gilles Lellouche (2012) : 6/10
THE BEDFORD INCIDENT - James B. Harris (1965) : 9/10
CHINESE HERCULES - Ta Huang (1973) : 6/10
THE ODESSA FILE - Ronald Neame (1974) : 7/10
JESUS OF NAZARETH - Franco Zeffirelli (1977) : 6/10
SUDDEN FEAR - David Miller (1952) : 8/10
PARANOIAC - Freddie Francis (1963) : 8/10
QUELQU'UN DERRIÈRE LA PORTE - Nicolas Gessner (1971) : 9/10
BANANAS - Woody Allen (1971) : 8/10
CASTLE KEEP - Sydney Pollack (1969) : 8/10
THIS ISLAND EARTH - Joseph M. Newman (1955) : 7/10
RIENS DU TOUT - Cédric Klapisch (1992) : 8/10
TOUS LES AUTRES S'APPELLENT ALI - Rainer Werner Fassbinder (1974) : 9/10
PRENEZ GARDE À LA SAINTE PUTAIN - Rainer Werner Fassbinder (1971) : 7/10
THE BLACK CAT - Edgar G. Ulmer (1934) : 8/10
RAID DINGUE - Dany Boon (2016) : 2/10
QUAND LA VILLE S'ÉVEILLE - Pierre Grasset (1975) : 7/10
HÄXAN - LA SORCELLERIE À TRAVERS LES AGES - Benjamin Christensen (1922) : 8/10
THE WIZ - Sidney Lumet (1978) : 6/10
RUE BARBARE - Gilles Béhat (1984) : 8/10
MICKEY ONE - Arthur Penn (1965) : 7/10
LOLA - Rainer Werner Fassbinder (1981) : 8/10
QUERELLE - Rainer Werner Fassbinder (1982) : 9/10
JOINT SECURITY AREA - Chan-wook Park (2000) : 8/10
WALL-E - Andrew Stanton (2008) : 8/10
THAT'S MY BOY - Sean Anders (2012) : 7/10
ORGASMO NERO - Joe D'Amato (1980) : 7/10
LE BRACONNIER DE DIEU - Jean-Pierre Darras (1983) : 5/10
THE AUTOPSY OF JANE DOE - André Øvredal (2016) : 5/10
LES CRACKS - Alex Joffé (1968) : 6/10

Bonus

ROLAND BARTHES, 1915-1980 : LE THÉÂTRE DU LANGAGE - Thierry Thomas (2013) : 8/10
GAUMONT, EN EFFEUILLANT LA MARGUERITE - Vincent Perrot (2015) : 2/10
JEANNE MOREAU, L'AFFRANCHIE - Virginie Linhart (2018) : 7/10
SEX, LIES AND TABLOIDS ! - Jean-Baptiste Péretié (2016) : 8/10
KING-SIZE CANARY - Tex Avery (1947) : 9/10
À BRAS RACCOURCIS - Stéphane Derdérian (2000) : 5/10
VICE PRINCIPALS - Saison 01 (2016) : 9/10
HISTOIRES DE CINÉMA - LA PASSION DU FAIT DIVERS - Florence Platarets (2013) : 8/10
SHOW ME YOUR SOUL : LES ANNÉES SOUL TRAIN - Pascal Forneri (2013) : 9/10
CINÉASTES DES ANNÉES 80 : BARRY LEVINSON : L'INTIMISTE - Jean-Pierre Lavoignat (2015) : 8/10
CINÉMA DE NOTRE TEMPS - MAMOULIAN LOST AND FOUND - André S. Labarthe (2016) : 8/10
CINÉASTES DES ANNÉES 80 - ALAN PARKER : LE FRANC-TIREUR - Jean-Pierre Lavoignat (2015) : 8/10
ROBERT MITCHUM, LE MAUVAIS GARÇON D'HOLLYWOOD - Stéphane Benhamou (2017) : 8/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Supfiction
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Message par Supfiction »

Films du mois | Supfiction

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Du Cameron Crowe réalisé par un autre. A partir de faits réels, les auteurs brodent ici une histoire de road trip et de réconciliation père-fils certes convenue mais baignée d’une douce nostalgie et portée par le charme d’un trio d’acteurs formidable (Ed Harris, no comment, Jason Sudeikis en heros crowien forcément meurtri et l’irresistible infirmière Elizabeth Olson).

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Derrière son apparence de comédie-thriller, une oeuvre tellement plus forte que la plupart des films traitant de la menace fachiste. Du grand art.
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Thaddeus
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Message par Thaddeus »

Film du mois d'avril


1. Séduite et Abandonnée (Pietro Germi, 1964)


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2. Un Carnet de Bal (Julien Duvivier, 1937)


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3. Convoi de Femmes (William A. Wellman, 1951)


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Mes découvertes en détail :
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Le rôdeur (Joseph Losey, 1951)
Le film est bâti sur une intrigue très ramassée qui ramène au schéma tripartite cher à Cain et resserre encore l’action autour du couple, la femme restant cependant étrangère à la machination crapuleuse que l’homme exécute seul. Il traite d’un flic plus tordu que marron, un être moralement indécis, resté en marge du rêve américain, qui suscite à la fois le rejet et la magnanimité. Une mise en scène épurée y fait briller d’un éclat tranchant une atmosphère glauque et y organise une composition horizontale qui souligne l’architecture étirée, le déroulement des autoroutes, le désert environnant la ville fantôme. Ainsi le thème de l’échappée découle-t-il logiquement de cette esthétique, les personnages passant rapidement d’un état à l’autre, pris au piège d’une illusion de réussite et de conformisme. 4/6

Le héros (Satyajit Ray, 1966)
Dans un train qui l’amène à Delhi pour y être honoré, un acteur vedette du cinéma bengali se confie à une journaliste et exorcise les épisodes culpabilisants de son passé. Sujet hollywoodien : la vérité cachée d’une idole du spectacle. Mais Ray le définit comme une réflexion sur les différents niveaux de l’exploitation dans une société capitaliste, bien que chacun ait ses propres raisons d’agir. Structuré avec fluidité autour d’une poignée de personnages secondaires remarquablement dessinés et creusés, le film cultive la nonchalance attrayante de son héros pour mieux travailler au dédoublement de la temporalité, donner à ressentir l’amalgame entre évocation du passé et représentation du rêve, et saisir les moments décisifs d’une existence où l’occasion se dérobe, s’évanouit dans le chimérique de la fiction. 5/6

Un carnet de bal (Julien Duvivier, 1937)
Que sont mes soupirants devenus ? Telle est la question que se pose une jeune veuve pressentant la lente calcification de son existence. L’occasion pour le cinéaste d’aligner les rencontres mémorables, servi par des acteurs cinq étoiles : Françoise Rosay en mère folle de douleur, Harry Baur en prêtre désabusé, Louis Jouvet jouvetisant avec génie, jusqu’à Pierre Blanchar en médecin avorteur à l’œil mort, survivant avec sa mégère fielleuse au milieu d’une décharge – scène hallucinante que les cadrages obliques font glisser vers l’expressionnisme célinien. Et si les épisodes souriants avec Raimu et Fernandel allègent l’âpreté du périple, c’est un véritable champ de ruines que traverse l’héroïne, le cimetière des illusions de sa jeunesse. Quand le raffinement de la forme rime avec la mélancolie sans retour du propos. 5/6

Week-end à Zuydcoote (Henri Verneuil, 1964)
Vue de près et circonscrite à la seule poche de Dunkerque, en ce mois de juin 1940, la drôle de guerre n’est plus qu’un mélange d’absurdités, de bonnes sœurs qui se rasent dans les églises en ruines, de corps qui brûlent dans l’eau, de cadavres ramenés péniblement à la nage, de réflexes de défense qui deviennent héroïques s’ils font s’abattre un avion ennemi. Pour les hommes plongés dans cet enfer, la communication s’avère chaque jour plus difficile, la croyant peine à se justifier face à l’athée, et il ne reste au protagoniste qu’à se rendre au dernier rendez-vous d’un impossible amour où l’attend la mort. De telles images, nées de la rencontre de l’inspiration et des moyens matériels, adjoignent à la tradition française une forme de lyrisme sec que l’on croyait réservé aux cinémas hollywoodien et soviétique. 4/6

Bugsy malone (Alan Parker, 1976)
Boîte de nuit déserte où l’on improvise une danse à claquettes, murs de briques des impasses à embuscades, rues aux pavés luisant sous les éclairages contrastés, pièces striées par l’ombre portée des stores, scènes pour chorus girls à culotte courte et ring pour faunes de combinards… Images archétypales entre toutes, peuplées de bambins dont les doyens n’ont pas quinze ans. Pastichant sans dérision ni sarcasme la mythologie naïve des mélodrames saccadés où le romantisme urbain glorifiait l’esprit d’entreprise de l’homme de la rue au rythme des mitraillettes de James Cagney et des foxtrots d’Harry Warren, le cinéaste équilibre illusion nostalgique et déconstruction amusée, cultive un humour malicieux traduit à merveille par le brio du montage et les chansons de Paul Williams. On sourit du début à la fin. 4/6

L’île aux chiens (Wes Anderson, 2018)
Toujours le même, obsessionnellement attaché au détail fétichiste, au décalage ludique, et toujours plus aventureux, résolu à faire reculer les limites d’un style à nul autre comparable : tel s’affirme à nouveau le cinéma d’Anderson. Si la surcharge décorative en est un facteur caractéristique, cette deuxième incursion dans l’animation atteint une forme d’épure qui frise l’abstraction tout en accentuant la matérialité de la technique employée. Elle consiste à confronter la netteté des formes et des lignes au règne proliférant de la saleté, de la pollution, de la putréfaction, la plénitude d’un art de la profusion, saturé jusqu’au vertige d’inventions poétiques, à la noirceur d’une dystopie hantée par l’horreur concentrationnaire, et contre laquelle la colère des enfants et la dignité des chiens restent l’ultime rempart. 5/6

Ghost in the shell (Mamoru Oshii, 1995)
Dans un monde cyberpunk (si proche du notre désormais) littéralement veiné de réseaux informatiques, régi par la vitesse, la simultanéité, la dissémination, l’hypothèse d’un être né de l’océan d’informations et défini par son ghost touche à des considérations d’ordre politique et métaphysique. Quelle est la part restante d’humanité dans des organismes largement modifiés par la technologie ? L’intelligence artificielle peut-elle dominer celui qui l’a créée ? À qui appartient-il de contrôler une telle entité ? Questions formulées au fil d’une enquête sinueuse dont les enjeux abscons épousent les interrogations existentielles de l’héroïne, et dont l’authentique poésie, l’inspiration visionnaire, le travail sur le découpage, le temps, le décor et la lumière, confinant à l’hypnose, sont ceux d’un véritable styliste. 5/6

Séduite et abandonnée (Pietro Germi, 1964)
L’innocente petite souris a un visage de Marie-Madeleine. Les chats qui la croquent, la jugent, s’arrogent le droit de lui faire payer le péché qu’un des leurs a commis, sont dessinés eux par Bosch et Tex Avery : cousin ou parrain, parents ou voisins, amis et ennemis pour qui le pucelage est une affaire d’honneur. En son nom tout est permis, le mensonge, le chantage, la délation, la tentative d’assassinat. De cette tragédie vécue par toutes les jeunes filles qui savent qu’en chaque famille existent quelques "humeurs de draps", le réalisateur tire une farce dévastatrice, effrénée, grinçante et outrancière jusqu’au cauchemar, atomisant l’hypocrisie obscène d’une société sicilienne asphyxiée par ses traditions, confondant l’œil de la caméra avec celui que ses facétieux ancêtres calligraphiaient au fond de leurs vases de nuit. 5/6
Top 10 Année 1964

Convoi de femmes (William A. Wellman, 1951)
À partir d’une belle idée scénaristique, Wellman emprunte à l’histoire de l’Ouest l’un de ses aspects les moins connus, jamais exploité auparavant par le western. Si le périple et ses embûches atteignent à la dimension de l’épopée, le drame naît du jeu des forces internes au sein d’un groupe portant en lui-même son destin, et où deux volontés pèsent mutuellement l’une sur l’autre, dans la grande tradition du récit initiatique. Parce qu’au temps des pionniers le danger résidait bien dans l’hostilité de la terre, du soleil, de la soif, de l’effort physique, cette âpre odyssée aux personnages remarquablement caractérisés, ce chant de courage, d’abnégation et d’opiniâtreté fertile en émotion (le décompte des mortes, la naissance en plein désert) et en euphorie (le bal final), s’impose assurément comme un modèle. 5/6

Les flics ne dorment pas la nuit (Richard Fleischer, 1972)
La principale valeur du film, qui participe de la vague sécuritaire de l’époque, est d’anticiper quelques traits modernes qui domineront ensuite des productions plus célèbres : choix de lieux réels, féconds en drames urbains et en crimes, présentation variée et honnête de ceux qui les habitent, refus du pittoresque et du sordide. Et si l’absence d’argument politique entraîne une démonstration sous forme d’apologie un peu binaire, susceptible d’indisposer les esprits portés à la contestation, la passion exclusive des flics pour leur métier, clairement désignée comme une pulsion de mort, ne va pas sans une certaine ambigüité, tout comme le parallèle entre Rome et l’Amérique sans mélancolie crépusculaire : la tâche des "nouveaux centurions" fouillant les poubelles de L.A. s’avère aussi vaine que celle des Danaïdes. 4/6

Le crime de l’Orient-express (Sidney Lumet, 1974)
Pour cette luxueuse adaptation du classique d’Agatha Christie, le cinéaste dispose du plus impressionnant parterre de stars de sa carrière et recompose discrètement le schéma de Douze Hommes en Colère en jouant à fond le jeu du whodunit, de l’histoire manquante, encodée et matérialisée sous forme d’indices. En substituant les suspects aux jurés, en organisant un huis-clos ferroviaire où s’opère une parodie de justice par laquelle il ne s’agit plus d’innocenter mais de condamner, il confronte chaque personnage à la relativité de ses propres jugements. Exécuté avec un métier éprouvé, le film est comme un petit théâtre pervers de la vérité, de la manipulation et du mensonge, qui cultive à ses meilleurs moments un sentiment d’incertitude sur la légitimité des règles et des actes régissant la communauté. 4/6

Stalag 17 (Billy Wilder, 1953)
En ce début des années cinquante frappées par le maccarthysme, Wilder vient donner un bon coup de botte au genre florissant du film de guerre et, prenant La Grande Illusion comme modèle, le détourne pour mieux faire mordre la poussière à l’héroïsme, à la loyauté et à la bravoure. La baraque de son camp de prisonniers fonctionne comme le précipité d’une humanité suspicieuse, prompte aux condamnations arbitraires, qui voit un magouilleur individualiste, cupide et cynique poussé à démasquer l’espion caché parmi ses camarades non par solidarité ou patriotisme, mais pour sauver sa peau. Si les glissements de la comédie au drame ou au suspense sont parfois un peu poussifs, l’acidité de la fable, ponctuée de motifs typiquement wilderiens, dénote indéniablement la personnalité de son auteur. 4/6



Et aussi :

The rider (Chloé Zhao, 2017) - 4/6
L'emploi (Ermanno Olmi, 1961) - 4/6
Le danseur du dessus (Mark Sandrich, 1935) - 4/6
La route sauvage (Andrew Haigh, 2017) - 5/6
Mes provinciales (Jean-Paul Civeyrac, 2018) - 4/6
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Films des mois précédents :
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Mars 2018Mektoub my love : canto uno (Abdellatif Kechiche, 2017)
Février 2018Phantom thread (Paul Thomas Anderson, 2017)
Janvier 2018Pentagon papers (Steven Spielberg, 2017)
Décembre 2017Lettre de Sibérie (Chris Marker, 1958)
Novembre 2017L’argent de la vieille (Luigi Comencini, 1972)
Octobre 2017Une vie difficile (Dino Risi, 1961)
Septembre 2017Casanova, un adolescent à Venise (Luigi Comencini, 1969)
Août 2017La bonne année (Claude Lelouch, 1973)
Juillet 2017 - La fille à la valise (Valerio Zurlini, 1961)
Juin 2017Désirs humains (Fritz Lang, 1954)
Mai 2017Les cloches de Sainte-Marie (Leo McCarey, 1945)
Avril 2017Maria’s lovers (Andreï Kontchalovski, 1984)
Mars 2017À la recherche de Mr Goodbar (Richard Brooks, 1977)
Février 2017Raphaël ou le débauché (Michel Deville, 1971)
Janvier 2017La la land (Damien Chazelle, 2016)
Décembre 2016Alice (Jan Švankmajer, 1987)
Novembre 2016 - Dernières nouvelles du cosmos (Julie Bertuccelli, 2016)
Octobre 2016 - Showgirls (Paul Verhoeven, 1995)
Septembre 2016 - Aquarius (Kleber Mendonça Filho, 2016)
Août 2016 - Le flambeur (Karel Reisz, 1974)
Juillet 2016 - A touch of zen (King Hu, 1971)
Juin 2016 - The witch (Robert Eggers, 2015)
Mai 2016 - Elle (Paul Verhoeven, 2016)
Avril 2016 - La pyramide humaine (Jean Rouch, 1961)
Mars 2016 - The assassin (Hou Hsiao-hsien, 2015)
Février 2016Le démon des femmes (Robert Aldrich, 1968)
Janvier 2016La Commune (Paris 1871) (Peter Watkins, 2000)
Décembre 2015Mia madre (Nanni Moretti, 2015)
Novembre 2015Avril ou le monde truqué (Franck Ekinci & Christian Desmares, 2015)
Octobre 2015Voyage à deux (Stanley Donen, 1967)
Septembre 2015Une histoire simple (Claude Sautet, 1978)
Août 2015La Marseillaise (Jean Renoir, 1938)
Juillet 2015Lumière silencieuse (Carlos Reygadas, 2007)
Juin 2015Vice-versa (Pete Docter & Ronaldo Del Carmen, 2015) Top 100
Mai 2015Deep end (Jerzy Skolimowski, 1970)
Avril 2015Blue collar (Paul Schrader, 1978)
Mars 2015Pandora (Albert Lewin, 1951)
Février 2015La femme modèle (Vincente Minnelli, 1957)
Janvier 2015Aventures en Birmanie (Raoul Walsh, 1945)
Décembre 2014Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Elio Petri, 1970)
Novembre 2014Lifeboat (Alfred Hitchcock, 1944)
Octobre 2014Zardoz (Sean Connery, 1974)
Septembre 2014Un, deux, trois (Billy Wilder, 1961)
Août 2014Le prix d’un homme (Lindsay Anderson, 1963)
Juillet 2014Le soleil brille pour tout le monde (John Ford, 1953)
Juin 2014Bird people (Pascale Ferran, 2014)
Mai 2014Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville, 1961) Top 100
Avril 2014L’homme d’Aran (Robert Flaherty, 1934)
Mars 2014Terre en transe (Glauber Rocha, 1967)
Février 2014Minnie et Moskowitz (John Cassavetes, 1971)
Janvier 201412 years a slave (Steve McQueen, 2013)
Décembre 2013La jalousie (Philippe Garrel, 2013)
Novembre 2013Elle et lui (Leo McCarey, 1957)
Octobre 2013L’arbre aux sabots (Ermanno Olmi, 1978)
Septembre 2013Blue Jasmine (Woody Allen, 2013)
Août 2013La randonnée (Nicolas Roeg, 1971)
Juillet 2013Le monde d’Apu (Satyajit Ray, 1959)
Juin 2013Choses secrètes (Jean-Claude Brisseau, 2002)
Mai 2013Mud (Jeff Nichols, 2012)
Avril 2013Les espions (Fritz Lang, 1928)
Mars 2013Chronique d’un été (Jean Rouch & Edgar Morin, 1961)
Février 2013 – Le salon de musique (Satyajit Ray, 1958)
Janvier 2013L’heure suprême (Frank Borzage, 1927) Top 100
Décembre 2012 – Tabou (Miguel Gomes, 2012)
Novembre 2012 – Mark Dixon, détective (Otto Preminger, 1950)
Octobre 2012 – Point limite (Sidney Lumet, 1964)
Septembre 2012 – Scènes de la vie conjugale (Ingmar Bergman, 1973)
Août 2012 – Barberousse (Akira Kurosawa, 1965) Top 100
Juillet 2012 – Que le spectacle commence ! (Bob Fosse, 1979)
Juin 2012 – Pique-nique à Hanging Rock (Peter Weir, 1975)
Mai 2012 – Moonrise kingdom (Wes Anderson, 2012)
Avril 2012 – Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks, 1939) Top 100
Mars 2012 – L'intendant Sansho (Kenji Mizoguchi, 1954)
Février 2012 – L'ombre d'un doute (Alfred Hitchcock, 1943)
Janvier 2012 – Brève rencontre (David Lean, 1945)
Décembre 2011 – Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais, 1968)
Novembre 2011 – L'homme à la caméra (Dziga Vertov, 1929) Top 100 & L'incompris (Luigi Comencini, 1967) Top 100
Octobre 2011 – Georgia (Arthur Penn, 1981)
Septembre 2011 – Voyage à Tokyo (Yasujiro Ozu, 1953)
Août 2011 – Super 8 (J.J. Abrams, 2011)
Juillet 2011 – L'ami de mon amie (Éric Rohmer, 1987)
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Message par Anorya »

Films du mois d'avril
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Le silence de la mer - J.P.Melville

et

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Les visiteurs du soir - Marcel Carné
Une bonne trentaine de films vus et pas mal de surprises mémorables mais difficile de départager ces deux là. L'humilité, l'humanité touchante du film de Melville construit avec trois bouts de ficelles (des chutes de pellicule essentiellement et un tournage chaotique sur plusieurs mois) et en face du ring, la poésie et la magie de Carné et Prévert (avec son lot d'émerveillement dont la scène d'arrêt du temps comme un vieux vinyle qu'on ralenti qui m'a assez bluffé). Là c'est match nul, je ne peux pas. Donc deux films du mois et c'est mérité.

Autres mentions mémorables :

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Histoire d'une prostituée - Seijun Suzuki


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VIY - Konstantin Ershov + Georgiy Kropachyov


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La ligne de démarcation - Claude Chabrol
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Flol
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Message par Flol »

Rockatansky a écrit :Un des meilleurs films d'horreur vu récemment avec Pas un bruit de Mike Flannaghan
Tu te compliques pour rien : c'est "Flanagan".
bruce randylan
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Message par bruce randylan »

Pas de gros coup de cœurs ou de révélations ce mois-ci. Cela dit, les meilleurs œuvres découvertes furent des révisions avec le transcendant Légende de la montagne de Kung Hu et la série déjantée et d'une inventivité étourdissante Kare Kano (même si le dernier tiers subit une grosse baisse de qualité à cause de la mise sur le banc de touche d'Hideaki Anno)
Quelques films remarquables, notamment dans le cycle "Quinzaine des réalisateurs 1969" à la Cinémathèque, mais non dénués de défauts ou de limites dans leur genre d’exercice de style audacieux : La première charge à la machette, Fuoco et Lucia.

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Film du mois d'Avril
: Miracle à Milan (Vittorio De Sica - 1951)

Prix de la mise en scène
: La première charge à la machette (Manuel Octavio Gómez - 1968)

Prix d’interprétation : Beau-père (Bertrand Blier - 1981)

Prix du scénario (et des dialogues) : Les amoureux sont seuls au monde (Henri Decoin - 1948)

Prix spécial du Jury : Fuoco (Gian Vittorio Baldi - 1968)

En détail
Spoiler (cliquez pour afficher)
8) :D
La légende de la montagne (King Hu - 1978) REVU

8)
Les amoureux sont seuls au monde (Henri Decoin - 1948)
Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003) REVU
Fuoco (Gian Vittorio Baldi - 1968)
Dernier amour (Léonce Perret - 1916)
Kare Kano, entre elle et lui (Hideaki Anno - 1998) REVU
Miracle à Milan (Vittorio De Sica - 1951)

:D
La première charge à la machette (Manuel Octavio Gómez - 1968)
Lucia (Humberto Solás Borrego - 1968)
Urgences (Raymond Depardon - 1987)
The dying swan (Evgenie Bauer - 1917)
Le navire des hommes perdus (Maurice Tourneur - 1929)
Murder by contract (Irving Lerner - 1958)
L'île aux chiens (Wes Anderson - 2018)
Made in Hong-Kong (Fruit Chan - 1997)
Cinq filles sur le dos (Evald Schorm - 1967)
Beau-père (Bertrand Blier - 1981)
Sleepy Eyes of Death 9 : A Trail of Traps (Kazuo Ikehiro - 1967)
The jayhawkers (Melvin Frank - 1959)


entre :) et :D
Sanrizuka - la construction de la tour Iwayama (Shinsuke Ogawa - 1972)
Contes de chrysanthèmes tardifs (Kenji Mizoguchi - 1939)
Le Justicier de la Sierra (Lesley Selander - 1948)
Le fil blanc de la cascade (Kenji Mizoguchi - 1933)
La dame d'onze heures (Jean Devaivre - 1948)
Minne l'ingénue libertine (Jacqueline Audry - 1950)
Liberté à Brême (Rainer Werner Fassbinder - 1972)
L'homme du jour (Julien Duvivier - 1936)
Lucky diamond (Yuen Cheung Yan - 1985)
L'ange de la vengeance (Abel Ferrara - 1981)
Le train mongol (Ilya Trauberg - 1929)
A Girl's folly (Maurice Tourneur - 1917)
Le piège d'amour (William Wyler - 1929)
La tourmente (William Wyler - 1930)


:)
La victoire des femmes (Kenji Mizoguchi - 1946)
Doctor Vampire (Jamie Luk - 1990)
The boy who came back (Seijun Suzuki - 1958)
Aventure dans le Grand Nord (William Wellman - 1953)
Un oiseau rare (Richard Pottier - 1935)
L'élégie de Naniwa (Kenji Mizoguchi - 1936)
Prunella (Maurice Tourneur - 1918)
Cat Vs rat (Liu Chia-Liang - 1982)
Untel père et fils (Julien Duvivier - 1940)
Paris 1900 (Nicole Védrès - 1947)
On achète pas le silence (William Wyler - 1970)
Marie (Márta Mészáros - 1968)
Ex-lady (Robert Florey - 1933)

:|
Sanrizuka : le village de Heta (Shinsuke Ogawa - 1973)
Sleepy Eyes of Death 8 : Sword of Villainy (Kenji Misumi - 1966)
Name of the game - LA 2017 (Steven Spielberg - 1970)
Cara a cara (Júlio Bressane - 1967)
L'histoire du village de Magino - le col (Shinsuke Ogawa - 1977)
Faut s'faire la malle (Sidney Poitier - 1980)
Kedma (Amos Gitai - 2002)
Psychokinesis (Sang-ho Yeon - 2018)

:(
Yang Tze, la terreur de Bruce Lee (Huang Ta - 1973)
Mario Delorme (Henry Krauss - 1918)
Rio das mortes (Rainer Werner Fassbinder - 1970)


:cry:
Le soleil couchant (Naomi Kawase - 1998)
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Message par Flol »

Premier prétendant du mois, avec ce mindfuck total qu'est House de Nobuhiko Ôbayashi : pas un plan, pas une séquence sans une idée de mise en scène complètement tarée. Totalement imprévisible, nawak et donc forcément jouissif.
C'est obligé que Raimi ait vu ce film avant de s'atteler aux 2 Evil Dead.

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bruce randylan
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Message par bruce randylan »

Flol a écrit :Premier prétendant du mois, avec ce mindfuck total qu'est House de Nobuhiko Ôbayashi : pas un plan, pas une séquence sans une idée de mise en scène complètement tarée. Totalement imprévisible, nawak et donc forcément jouissif.
C'est obligé que Raimi ait vu ce film avant de s'atteler aux 2 Evil Dead.

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:D
T'es bon pour te prendre le coffret des Sasori chez Arrow maintenant!
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Message par Flol »

bruce randylan a écrit :T'es bon pour te prendre le coffret des Sasori chez Arrow maintenant!
Keskeussé ?
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Message par bruce randylan »

C'est Sasori alias la femme scorpion alias Female Prisoner Scorpion



C'est moins frappadingue et barré que House mais c'est du cinéma d'exploitation en mode formalisme pop et fulgurances esthétiques.
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