La Mort dans la peau (Paul Greengrass - 2004)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Marcus
- Jamais trop Tarr
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Il n'y a que la petite baston dans l'appart que j'ai trouvé un peu illisible, mais elle ne dure qu'une petite minute... Dans l'ensemble, j'ai apprécié la nervosité de la mise en scène qui correspond parfaitement aux états d'âme de Jason Bourne. Et quelques belles idées comme par exemple la confusion des ombres à contre-jour quand Karl Urban exécute deux types, on croirait voir le profil de Matt Damon.
En général, je ne suis jamais convaincu par ce genre de tics "on bouge la caméra pour faire réaliste". C'était en partie à cause de ça que je ne pouvais pas supporter la série "New York Police Blue" ou la caméra bouge n'importe comment, sans aucune justification émotionnelle.
Mais quand c'est maîtrisé pour donner une certaine tension, comme c'est le cas dans le superbe Bloody Sunday et ce film-ci, alors je suis preneur... Et je pardonne plus facilement quelques petits erreurs comme les flashs épileptiques décrivant les souvenirs morcelés de Bourne.
Et puis les toutes dernières scènes sont magnifiques.
En général, je ne suis jamais convaincu par ce genre de tics "on bouge la caméra pour faire réaliste". C'était en partie à cause de ça que je ne pouvais pas supporter la série "New York Police Blue" ou la caméra bouge n'importe comment, sans aucune justification émotionnelle.
Mais quand c'est maîtrisé pour donner une certaine tension, comme c'est le cas dans le superbe Bloody Sunday et ce film-ci, alors je suis preneur... Et je pardonne plus facilement quelques petits erreurs comme les flashs épileptiques décrivant les souvenirs morcelés de Bourne.
Et puis les toutes dernières scènes sont magnifiques.
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- Ophely, no soucy
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Mouais.Bob Harris a écrit :Il n'y a que la petite baston dans l'appart que j'ai trouvé un peu illisible, mais elle ne dure qu'une petite minute... Dans l'ensemble, j'ai apprécié la nervosité de la mise en scène qui correspond parfaitement aux états d'âme de Jason Bourne. Et quelques belles idées comme par exemple la confusion des ombres à contre-jour quand Karl Urban exécute deux types, on croirait voir le profil de Matt Damon.
En général, je ne suis jamais convaincu par ce genre de tics "on bouge la caméra pour faire réaliste". C'était en partie à cause de ça que je ne pouvais pas supporter la série "New York Police Blue" ou la caméra bouge n'importe comment, sans aucune justification émotionnelle.
Mais quand c'est maîtrisé pour donner une certaine tension, comme c'est le cas dans le superbe Bloody Sunday et ce film-ci, alors je suis preneur... Et je pardonne plus facilement quelques petits erreurs comme les flashs épileptiques décrivant les souvenirs morcelés de Bourne.
Et puis les toutes dernières scènes sont magnifiques.
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- Doublure lumière
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Moi aussi j'ai adoré, je l'ai même trouvé supérieur au premier.
C'est encore plus adulte, la mise en scène ne dessert pas l'action au contraire, elle réalise (au sens propre) en la rendant vive et déroutante...
Sinon j'ai jamais vu une adaptation de roman qui n'avais strictement rien à voir avec le roman original ! Le seul point commun c'est l'usurpation de l'identité de Jason Bourne...
Enfin bon le bouquin est basé sur une partie de la vie de Jason qu'ils avaient abandonné pour l'adaptation du premier et était de toute façon beaucoup trop long et complexe pour être adapté en deux ou trois heures...
C'est encore plus adulte, la mise en scène ne dessert pas l'action au contraire, elle réalise (au sens propre) en la rendant vive et déroutante...
Sinon j'ai jamais vu une adaptation de roman qui n'avais strictement rien à voir avec le roman original ! Le seul point commun c'est l'usurpation de l'identité de Jason Bourne...
Enfin bon le bouquin est basé sur une partie de la vie de Jason qu'ils avaient abandonné pour l'adaptation du premier et était de toute façon beaucoup trop long et complexe pour être adapté en deux ou trois heures...
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- pleureuse
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La mort dans la peau : C'est vu et c'est décevant.
Cette put... de caméra qui saute dans tous les sens, qui tremblotte sans arrête jusqu'à vous filer la gerbe... C'est bien simple, on ne comprend rien (car on ne voit rien en fait ) aux scènes d'actions qui parsème le film. C'est vraiment insupportable. Reste un personnage toujours aussi intéressant à suivre et un scénario agréable sur certains aspects car bien loin des formats et autres standards habituels du genre.
Mais bon, Doug lyman aurait du rester à la réalisation plutôt que de se cantonner le rôle de producteur. Ca aurait évité un tel gloubiboulga d'images franchement très dur à digérer.
3/6
Cette put... de caméra qui saute dans tous les sens, qui tremblotte sans arrête jusqu'à vous filer la gerbe... C'est bien simple, on ne comprend rien (car on ne voit rien en fait ) aux scènes d'actions qui parsème le film. C'est vraiment insupportable. Reste un personnage toujours aussi intéressant à suivre et un scénario agréable sur certains aspects car bien loin des formats et autres standards habituels du genre.
Mais bon, Doug lyman aurait du rester à la réalisation plutôt que de se cantonner le rôle de producteur. Ca aurait évité un tel gloubiboulga d'images franchement très dur à digérer.
3/6
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- Idiot du vintage
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Supremacy tente de revisiter, dans un style totalement opposé, les morceaux de bravoures qui parsèment le premier film (combat, scène d'évasion, poursuite en voiture...). Mais à la place de la précision et l'intelligence de la mise en scène de Identity, on a droit à une posture stylistique néo-documentaire assez agaçante : la caméra ne suit plus le regard de Bourne pour décripter son environnement, mais flotte systématiquement dans le dos du personnage, cadrant et dé-cadrant n'importe quoi. Les scènes dans le bureau de la CIA sont assez emblématiques, rappelant assez le style 24 : à chaque cut (environ toutes les secondes) la caméra commence par cadrer un pieds de table ou un bout de clavier d'ordinateur, pour revenir à 200 à l'heure sur un protagoniste.
Rappellons nous la séquence de la ferme dans le premier opus, au moment où Bourne prends conscience qu'un tueur les attends à l'extérieur de la maison. Bourne trouve des cartouches dans un tiroir et cherche le fusil . La caméra balaye la pièce pour cadrer des jouets d'enfants. La caméra s'adapte au mode de pensée du personnage, et on comprends que le fusil doit être caché en hauteur pour échapper aux petits. Bourne trouve alors le fusil au dessus de la commode.
C'est cette intelligence de la caméra qui manque à Supremacy, plus préoccupé à retranscrire stylistiquement une impression d'urgence, un soit-disant "dépouillement" ou une "sécheresse" de l'action.
Pourtant les ressorts scénaristiques me paraissent assez faciles, et la psychologie des personnages très sommaires (voir le bad guy alter-ego tueur russe tout droit tiré du cahier des charges du plus mauvais James Bond). Encore une fois, il faut comparer la rigueur avec laquelle est filmée l'évasion de l'ambassade dans Identity et la facilité avec laquelle Bourne s'évapore de la douane italienne dans Supremacy.
De même, on peut trouver agaçante cette simili-complicité entre Bourne et la chef de service de la CIA (personnage assez comparable à M dans les Bond), qui nous donne droit à une séquence finale assez ridicule.
De manière générale, on peut regretter que le projet du premier film, l'histoire d'une personnalité vierge qui se découvre peu à peu héros d'un film d'espionnage, face place à un film d'action standard, sans aucune dimension psychologique. Le regard du personnage féminin fait aussi cruellement défaut.
Rappellons nous la séquence de la ferme dans le premier opus, au moment où Bourne prends conscience qu'un tueur les attends à l'extérieur de la maison. Bourne trouve des cartouches dans un tiroir et cherche le fusil . La caméra balaye la pièce pour cadrer des jouets d'enfants. La caméra s'adapte au mode de pensée du personnage, et on comprends que le fusil doit être caché en hauteur pour échapper aux petits. Bourne trouve alors le fusil au dessus de la commode.
C'est cette intelligence de la caméra qui manque à Supremacy, plus préoccupé à retranscrire stylistiquement une impression d'urgence, un soit-disant "dépouillement" ou une "sécheresse" de l'action.
Pourtant les ressorts scénaristiques me paraissent assez faciles, et la psychologie des personnages très sommaires (voir le bad guy alter-ego tueur russe tout droit tiré du cahier des charges du plus mauvais James Bond). Encore une fois, il faut comparer la rigueur avec laquelle est filmée l'évasion de l'ambassade dans Identity et la facilité avec laquelle Bourne s'évapore de la douane italienne dans Supremacy.
De même, on peut trouver agaçante cette simili-complicité entre Bourne et la chef de service de la CIA (personnage assez comparable à M dans les Bond), qui nous donne droit à une séquence finale assez ridicule.
De manière générale, on peut regretter que le projet du premier film, l'histoire d'une personnalité vierge qui se découvre peu à peu héros d'un film d'espionnage, face place à un film d'action standard, sans aucune dimension psychologique. Le regard du personnage féminin fait aussi cruellement défaut.
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- Hypoglycémique
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J'en reviens à l'instant.
Déjà, c'était probablement la dernière fois que je foutais les pieds dans un cinéma un dimanche après-midi. Les retraités ne pourraient pas se regarder un Derrick bien au chaud chez eux, au lieu d'emmerder le monde en parlant fort ?
Sinon, j'avais beaucoup aimé La Mémoire Dans La Peau, que j'avais découvert en DVD. C'était une excellente surprise, à l'époque.
Par contre, je suis d'accord avec ceux d'entre vous qui se plaignent de la lisibilité des scènes d'action de cette suite. Cette mode qui consiste à remuer la caméra dans tous les sens, pour donner plus de dynamisme et surtout rajouter de la confusion là où il ne devrait pas y en avoir (Bourne était un tueur professionnel), est vraiment pénible. Ca semble être un substitut au talent de réalisateurs qui ne semblent pas capables de mettre en scène une scène d'action.
Et c'est bien dommage, car si le scénario en lui même n'a rien d'extraordinaire, on retrouve tout à fait les éléments ayant fait du premier film un succès. D'autant que cette suite s'assimile sans problème : ceux qui n'ont pas vu le 1er peuvent voir la suite sans décrocher, les autres ne ressentiront pas de redites.
Ceci dit, je tenterai de visionner ce film quand il sortira en DVD. Parfois, les scènes d'action illisibles au cinéma passent mieux sur un écran télé.
Déjà, c'était probablement la dernière fois que je foutais les pieds dans un cinéma un dimanche après-midi. Les retraités ne pourraient pas se regarder un Derrick bien au chaud chez eux, au lieu d'emmerder le monde en parlant fort ?
Sinon, j'avais beaucoup aimé La Mémoire Dans La Peau, que j'avais découvert en DVD. C'était une excellente surprise, à l'époque.
Par contre, je suis d'accord avec ceux d'entre vous qui se plaignent de la lisibilité des scènes d'action de cette suite. Cette mode qui consiste à remuer la caméra dans tous les sens, pour donner plus de dynamisme et surtout rajouter de la confusion là où il ne devrait pas y en avoir (Bourne était un tueur professionnel), est vraiment pénible. Ca semble être un substitut au talent de réalisateurs qui ne semblent pas capables de mettre en scène une scène d'action.
Et c'est bien dommage, car si le scénario en lui même n'a rien d'extraordinaire, on retrouve tout à fait les éléments ayant fait du premier film un succès. D'autant que cette suite s'assimile sans problème : ceux qui n'ont pas vu le 1er peuvent voir la suite sans décrocher, les autres ne ressentiront pas de redites.
Ceci dit, je tenterai de visionner ce film quand il sortira en DVD. Parfois, les scènes d'action illisibles au cinéma passent mieux sur un écran télé.
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Oh putain, il faut que je me fasse une seance ciné avec NimrodNimrod a écrit :J'en reviens à l'instant.
Déjà, c'était probablement la dernière fois que je foutais les pieds dans un cinéma un dimanche après-midi. Les retraités ne pourraient pas se regarder un Derrick bien au chaud chez eux, au lieu d'emmerder le monde en parlant fort ?
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- Hypoglycémique
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Le truc, c'est qu'on n'ose jamais trop gueuler contre les vieux : pour peux qu'ils fassent un infarctus en plein cinéma, et ils te foutent en l'air le reste du film.fatalitas a écrit :Oh putain, il faut que je me fasse une seance ciné avec NimrodNimrod a écrit :J'en reviens à l'instant.
Déjà, c'était probablement la dernière fois que je foutais les pieds dans un cinéma un dimanche après-midi. Les retraités ne pourraient pas se regarder un Derrick bien au chaud chez eux, au lieu d'emmerder le monde en parlant fort ?
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- David O. Selznick
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J'aime vraiment le concept de ce film. Un personnage qui n'est que réflexes préprogrammés, qui ne vit que pour survivre (Paillardy not inside), qui a toujours un temps d'avance sur ses adversaires. Refusant la moinde expressivité, Matt Damon est une sorte de machine à agir, jamais de moment de réflexion, ni même le temps de dormir.
En respectant ce principe, ce film assure déjà un excellent divertissement. Je me suis laissé emporté par ces enchaînements d'actions, même s'il est vrai que les ressorts de l'intrigue sont bien pauvres. [SPOILERS Ainsi, le fait que la CIA se contente du premier indice venu — suspect même pour le spectateur — pour se focaliser sur Bourne, ou que Daniel Zorn, qui doute justement de cet élément, choisisse le traître Brian Cox pour exposer son impression... SPOILERS] Dans les scènes dramatiques (Bourne face à la jeune Russe), Damon peine quand même à se montrer émouvant. ça ne cadre plus trop avec ce qui a précédé.
Concernant la mise en scène, je n'approuve vraiment pas ce parti-pris de la caméra systématiquement à l'épaule, de ces tremblements incessants et de ce montage à la mitraillette. Cependant, il m'a semble au fil du film qu'on n'est pas là devant un choix bidon. Greengrass a sans doute voulu donner un équivalent visuel à l'état sans cesse vigilant de Bourne, multipliant donc les éclairs de plans, des visions éparses de ce qui l'entoure, que le spectateur a du mal à saisir. Au fond, j'ai fini par ressentir que derrière tout ça, il y avait une vraie cohérence, un vrai choix de mise en scène. La baston dans l'appartement s'efforce par exemple d'accentuer le son pour rendre compte de la violence de l'affrontement, plutôt que de suivre les gestes. C'est vraiment flagrant : on entend les coups portés, les meubles cassés, les souffles des combattants. La poursuite en bagnole dans les rues de Moscou est d'une violence assez rare et m'est même apparue assez avant-gardiste (ce qui sous-entend un certain effort de la part du spectateur, que nous ne sommes pas tous, il est vrai, prèt à faire ; mais je devais être particulièrement bien luné ce jour-là). Ici encore, Greengrass préfère rendre compte de l'énergie plutôt que l'espace. Son montage est quasiment d'ordre musical, il fonctionne par leitmotiv : visage crispé de Damon, rappel de sa blessure, coups de frein et d'accélérateur, levier de vitesse, etc. Au final, je trouve que ça donne quelque chose d'assez inédit, et de vraiment spectaculaire (les plans larges qui montrent les bagnoles valdinguer restent impressionnants, un petit côté cascades à l'ancienne). J'ai peut-être halluciné, mais je trouve qu'on n'est ici assez loin de ce qu'a fait, par exemple, Twohy avec les corps-à-corps de Riddick.
Bande originale de John Powell absolument remarquable.
En respectant ce principe, ce film assure déjà un excellent divertissement. Je me suis laissé emporté par ces enchaînements d'actions, même s'il est vrai que les ressorts de l'intrigue sont bien pauvres. [SPOILERS Ainsi, le fait que la CIA se contente du premier indice venu — suspect même pour le spectateur — pour se focaliser sur Bourne, ou que Daniel Zorn, qui doute justement de cet élément, choisisse le traître Brian Cox pour exposer son impression... SPOILERS] Dans les scènes dramatiques (Bourne face à la jeune Russe), Damon peine quand même à se montrer émouvant. ça ne cadre plus trop avec ce qui a précédé.
Concernant la mise en scène, je n'approuve vraiment pas ce parti-pris de la caméra systématiquement à l'épaule, de ces tremblements incessants et de ce montage à la mitraillette. Cependant, il m'a semble au fil du film qu'on n'est pas là devant un choix bidon. Greengrass a sans doute voulu donner un équivalent visuel à l'état sans cesse vigilant de Bourne, multipliant donc les éclairs de plans, des visions éparses de ce qui l'entoure, que le spectateur a du mal à saisir. Au fond, j'ai fini par ressentir que derrière tout ça, il y avait une vraie cohérence, un vrai choix de mise en scène. La baston dans l'appartement s'efforce par exemple d'accentuer le son pour rendre compte de la violence de l'affrontement, plutôt que de suivre les gestes. C'est vraiment flagrant : on entend les coups portés, les meubles cassés, les souffles des combattants. La poursuite en bagnole dans les rues de Moscou est d'une violence assez rare et m'est même apparue assez avant-gardiste (ce qui sous-entend un certain effort de la part du spectateur, que nous ne sommes pas tous, il est vrai, prèt à faire ; mais je devais être particulièrement bien luné ce jour-là). Ici encore, Greengrass préfère rendre compte de l'énergie plutôt que l'espace. Son montage est quasiment d'ordre musical, il fonctionne par leitmotiv : visage crispé de Damon, rappel de sa blessure, coups de frein et d'accélérateur, levier de vitesse, etc. Au final, je trouve que ça donne quelque chose d'assez inédit, et de vraiment spectaculaire (les plans larges qui montrent les bagnoles valdinguer restent impressionnants, un petit côté cascades à l'ancienne). J'ai peut-être halluciné, mais je trouve qu'on n'est ici assez loin de ce qu'a fait, par exemple, Twohy avec les corps-à-corps de Riddick.
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« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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