J'allais demander où s'arrêtent les trucages de synthèse et où commence la prise du pouvoir de l'imagerie numérique.
Terminator 2, pour moi, lançait les hostilités.
La 1ere utilisation dans un film c'est Westworld, bien que je crois y'a eu aussi quelques trucs dans Logan's Run (faudrait verifier...).
Y'a eu toute une progression de la fin des 70's jusqu'au debut des 90's ou des trucs se faisaient remarquer a intervalles reguliers (Tron, Starfighter, Willow,Abyss...)
T2 a vraiment fait voir l'interet des CGI mais ca a ete Jurassic Park le boom, le vrai declencheur qui a fait changer l'industrie des sfx.
Voir comment Phil Tippett a vecu la prod du Spielberg...
Et Douglas Trumbull pour 2001 n'a t-il pas utilisé des effets spéciaux fabriqués par ordi, synthétiques, notamment et surtout pour la séquence du trip?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
harry a écrit :T2 a vraiment fait voir l'interet des CGI mais ca a ete Jurassic Park le boom, le vrai declencheur qui a fait changer l'industrie des sfx.
Voir comment Phil Tippett a vecu la prod du Spielberg...
C'est d'ailleurs la partie centrale du documentaire Le complexe de Frankenstein, qui revient longuement sur le schisme opéré durant la production du film, et la dépression dans laquelle Tippett a sombré.
Alexandre Angel a écrit :Et Douglas Trumbull pour 2001 n'a t-il pas utilisé des effets spéciaux fabriqués par ordi, synthétiques, notamment et surtout pour la séquence du trip?
Non,c'etait que des effets optiques et/ou photochimiques. Le "trip" c'etait du "slit scan".
Les animations "informatiques" sur ecran c'etait de l'animation traditionnelle
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
odelay a écrit :On a quand même échappé au clébard dans un costume d'alien. On voit d'ailleurs des essais dans le coffret anthology et c'est à mourir de rire Heureusement, ils s'en sont rendus compte!
Sauf qu'on ne juge pas un film sur ce qu'il aurait pu être, mais ce qu'il est. Et Alien3, à peut-être deux plans de CGI près à l'incrustation visible, c'est un festival d'effets mécaniques et optiques absolument dingues. Les 99% du film n'ont pas pris une ride.