reuno a écrit : et pire sur ces quelques copies, 13 se trouvent à Paris.
J'suis pas content.
On a la pollution, ça compense.
Sinon, j'aime beaucoup les propositions de cinéma que m'offrent sans cesse ce garçon (et sa compagne).
Mais j'ai également était déçu par Love. Je n'ai pas encore vu Enter the void. Encore un film pour lequel j'attends le "bon moment".
Torrente a écrit :Sinon, j'aime beaucoup les propositions de cinéma que m'offrent sans cesse ce garçon (et sa compagne).
Mais j'ai également était déçu par Love. Je n'ai pas encore vu Enter the void. Encore un film pour lequel j'attends le "bon moment".
Pareil, malgré l'énorme claque depuis ses films autour du boucher névrosé, je suis resté sur ma fin avec Love et je n'ai toujours pas regardé Enter the Void alors qu'il est sur mes étagères depuis longtemps...
Pour ma part je n'ai vu qu'Irréversible, et c'est déjà un de trop.
Dans un énorme élan masochiste je vais peut-être me déplacer pour son dernier, mais il va vraiment falloir que je me motive.
Thaddeus a écrit :Pour ma part je n'ai vu qu'Irréversible, et c'est déjà un de trop.
Dans un énorme élan masochiste je vais peut-être me déplacer pour son dernier, mais il va vraiment falloir que je me motive.
Moi pareil sauf que je n'irai pas. Aucune attirance pour ce cinéma.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Thaddeus a écrit :Pour ma part je n'ai vu qu'Irréversible, et c'est déjà un de trop.
Dans un énorme élan masochiste je vais peut-être me déplacer pour son dernier, mais il va vraiment falloir que je me motive.
Dans un énorme élan masochiste, j'ai vu tous ses films, aucun que j'ai aimé. En revanche, je considère Climax comme son film le plus satisfaisant même si je ne l'ai trouvé pas terrible au final.
Amusé d'apprendre que la fille mutique du boucher de Carne (film fascinant et inoubliable par lequel j'ai découvert Noé), est Blandine Lenoir, réalisatrice du très réussi Aurore, découvert récemment.
Petite anecdote "je raconte ma vie", Carne est le premier film que j'ai emmené voir ma future femme. Comme technique de drague, autant dire que ce n'était pas la bonne et que connaissant désormais ses goûts au bout de plus de 25 ans de vie commune, c'est peut-être désormais le dernier film que je lui aurais proposé de voir avec moi en salles. Dire que Gaspar Noé a failli faire capoter mon histoire d'amour !
Sinon j'avais trouvé Seul contre tous assez jubilatoire à l'époque mais je n'ai aimé aucun de ses films suivants.
Cine-Directors prédit une première semaine à 40.000 entrées (hier ils projetaient 20.000) si ça se vérifie ce n'est pas si mal pour un film de ce type (Love et et le fort coûteux Enter the void ont respectivement fini à 60 et 50.000), peut-être qu'il y a des gens pour croire que c'était un truc à la Sexy Dance...
Gaspar Noé a tout dit dans Seul contre tous.
Le premier film du monsieur est une de mes grandes claques d'étudiant.
Son montage, sa voix off, sa lumière. Son acteur, ses plans fixes, sa noirceur. Tout est maîtrisé.
A l'époque, le bougre, il soignait son écriture.
Depuis Irréversible, ça n'est plus trop le cas. Esthétiquement, rien n'a vraiment bougé depuis 2002.
Il recycle beaucoup trop d'idées de mise en scène avec Benoît Debie, son directeur photo.
J'aurais voulu que ça change, pour Climax. Une nouvelle donne, quoi.
Quand je vois la bande-annonce, ça m'a l'air d'être le même trip visuel. La danse, en plus.
Bien sûr, j'irai le voir. J'espère me tromper. Mais je doute d'être impressionné.
Dernière modification par Mosin-Nagant le 21 sept. 18, 02:09, modifié 1 fois.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?