). Tu reçois un truc, tu le vérifies avant d'en faire presser 2 000 exemplaires, ça t'évite de passer à côté de ce genre de problèmes.Après, y a peut-être personne chez Potemkine qui apprécie ce film (je ne leur jette pas la pierre
) mais malgré tout, ça me semble quand même être la logique la plus élémentaire que de vérifier ce qu'on reçoit avant de le transmettre à un autre prestataire, non ?Après, à toi, une fois que tu as repéré le souci, d'incriminer le ou les fautifs directement et donc de leur remonter les bretelles en te défoulant à la flamme bien moyenâgeuse mais au moins, tu as évité le pire et t'as pas besoin d'attendre que tes clients te préviennent que ton produit a un défaut visible comme le pif au milieu de la trogne de Depardieu.
Mais de toute façon, tout ça, c'est la tambouille de l'éditeur. Le client s'en tape le coquillard de savoir la faute à qui; ce qu'il voit c'est qu'il a encore dépensé 25 balles pour un truc mal torché, et il a raison.
