La Dame de Shanghai (Orson Welles - 1947)
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La Dame de Shanghai (Orson Welles - 1947)
Mélange de polar, de film à suspens, de mélodrame et film de procès sur la fin, voilà une oeuvre très intéressante, même si c'est très complexe. J'ai pensé à L'inconnu du Nord-Express de Hitchcock, avec cette histoire de chantage, la mécanique est ici aussi bien huilée. Le photo en noir et blanc possède un contraste éclatant ( bonne copie malgré quelques tâches), en fait ce sont plus les incrustations qui trahissent l'âge du film ( 1946) mais ça ne m'en a pas fait sortir. Reste aussi de bons comédiens, dont Welles imposant par son jeu et son charisme, et puis bien sûr Rita Hayworth, d'une beauté incroyable et qui est ici éclairée dans toute la sensualité. La fin aussi est très bien fichue avec ce fameux jeu des miroirs. Pas le plus grand Welles, mais un bel exercice de style.
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Film très envoutant (avec une actrice toute aussi envoutante), parmi le peu de films de Welles que j'ai vu c'est celui que j'aime le plus.
Par contre tout le monde dit que c'est un film très compliqué et moi je ne vois pas en quoi, j'ai du rater un truc là parceque moi à ce que j'ai compris le dénoument est clairement expliqué à la fin
Par contre tout le monde dit que c'est un film très compliqué et moi je ne vois pas en quoi, j'ai du rater un truc là parceque moi à ce que j'ai compris le dénoument est clairement expliqué à la fin
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Etrange, séduisant et profondément perturbant. J'adore ce film de Welles, une de ses œuvres les plus inconfortables. Seul petit bémol: je trouve que le personnage de Michael O'Hara est un peu étroit pour la stature de Welles. Du coup, son interprétation est un peu engoncée. Mais les visions du cinéaste l'emportent sur la petite forme du comédien
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Mes premières impressions n'étaient pas très bonnes, mais chaque nouvelle vision me l'a fait apprécier davantage.Jeremy Fox a écrit :+1Sergius Karamzin a écrit :Un revisionnage s'impose pour moi, mais dans longtemps : j'avais détesté ce film. Quel ennui !
A ce point ? Il y a une raison précise ou est-ce seulement instinctif ?Dave Garver a écrit :post it : pas oublier de mettre ma haine de Welles de côté pour ma critique CitizenAlex Blackwell a écrit :Très intéressant, sans plus. Un film de Welles quoi.
Je tiens Welles pour un génie, au sens blackwellien du terme. C'est même le seul cinéaste que je qualifierais de la sorte - mais je ne l'adule pas pour autant. Après Kubrick, un topic welles ?
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Non, non, c'est pas à ce point, c'est une private joke avec Alex.Solal a écrit :A ce point ? Il y a une raison précise ou est-ce seulement instinctif ?Dave Garver a écrit :
post it : pas oublier de mettre ma haine de Welles de côté pour ma critique Citizen
Je tiens Welles pour un génie, au sens blackwellien du terme. C'est même le seul cinéaste que je qualifierais de la sorte - mais je ne l'adule pas pour autant. Après Kubrick, un topic welles ?
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Non, en fait le problème c'est que Welles c'est lourd alors que Laughton c'est léger. Un comble quand tu connais leurs silhouettes respectives...Solal a écrit :A ce point ? Il y a une raison précise ou est-ce seulement instinctif ?Dave Garver a écrit : post it : pas oublier de mettre ma haine de Welles de côté pour ma critique Citizen
Je tiens Welles pour un génie, au sens blackwellien du terme. C'est même le seul cinéaste que je qualifierais de la sorte - mais je ne l'adule pas pour autant. Après Kubrick, un topic welles ?