Tyrone Power (1914-1958)
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
The Luck of the Irish (1948) - H. Koster
Un américain fait une rencontre inattendue avec un leprechaun. Celui-ci voyant que l'homme n'en veut pas à son pot d'or lui donne une pièce porte bonheur et interfère dans sa vie, en tant que majordome.
Décidement Henry Koster adore les histoires où le surnaturel entre en jeu, on se souvient de The Bishop Wife avec la venue de cet ange gardien ou naturellement Harvey avec son Pooka ! Ici il s'attaque à la tradition irlandaise avec son fameux lutin, le leprechaun. L'histoire n'est pas forcément palpitante, la comédie est sympathique mais curieusement Tyrone Power semble un peu "ailleurs" dans son personnage "double, sympathique dès qu'il pense à l'Irlande et peu quand il est cet Américain. Toutes les parties filmées en Irlande ont été teintées en vert et ce sont sans doute les parties les plus réussies, car les plus originales. Ann Baxter est une charmante irlandaise, mais il lui manque sans doute la fougue d'une Maureen O Hara, Jayne Meadows est particulièrement antipathique en riche fiancée. Cecil Kellaway est par contre assez irresistible en leprechaun à la démarche arquée et sautillante. Koster semble d'ailleurs plus à l'aise dès que ce personnage entre en scène. Lee J Cobb prête sa "gueule" au magnat de l'édition. La scène du mariage est toutefois assez irresistible. Le film est agréable, mais sans plus.
Un américain fait une rencontre inattendue avec un leprechaun. Celui-ci voyant que l'homme n'en veut pas à son pot d'or lui donne une pièce porte bonheur et interfère dans sa vie, en tant que majordome.
Décidement Henry Koster adore les histoires où le surnaturel entre en jeu, on se souvient de The Bishop Wife avec la venue de cet ange gardien ou naturellement Harvey avec son Pooka ! Ici il s'attaque à la tradition irlandaise avec son fameux lutin, le leprechaun. L'histoire n'est pas forcément palpitante, la comédie est sympathique mais curieusement Tyrone Power semble un peu "ailleurs" dans son personnage "double, sympathique dès qu'il pense à l'Irlande et peu quand il est cet Américain. Toutes les parties filmées en Irlande ont été teintées en vert et ce sont sans doute les parties les plus réussies, car les plus originales. Ann Baxter est une charmante irlandaise, mais il lui manque sans doute la fougue d'une Maureen O Hara, Jayne Meadows est particulièrement antipathique en riche fiancée. Cecil Kellaway est par contre assez irresistible en leprechaun à la démarche arquée et sautillante. Koster semble d'ailleurs plus à l'aise dès que ce personnage entre en scène. Lee J Cobb prête sa "gueule" au magnat de l'édition. La scène du mariage est toutefois assez irresistible. Le film est agréable, mais sans plus.
Dernière modification par Cathy le 3 mars 13, 13:44, modifié 2 fois.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
I'll never forget you ou The House in the Square (1951) - Roy Ward Baker
Un brillant savant spécialisé dans l'atome se retrouve propulsé au XVIIIème siècle à Londres chez les anciens propriétaires de la maison qu'il habite et dont il connaît toute la vie.
Je dois avouer que je ne connaissais absolument pas le réalisateur Roy Baker et ce film fut donc une totale découverte. L'histoire est assez bizarre, ce savant atomiste qui se retrouve propulsé au XVIIIème et qui se comporte comme s'il ne savait pas qu'il ne faut pas évoquer le futur dans le passé (ceci étant tout cela est expliqué dans l'épilogue du film assez surprenant d'ailleurs). La reconstitution de Londres est absolument admirable, et évoque dans de nombreuses scènes les tableaux des grands peintres par ailleurs évoqués Gainsborough, Reynolds, Le souci du détail, du décor est évident. Comme dans The Luck of the Irish, nous sommes dans un film qui utilise plusieurs techniquesde photographies, Noir et blanc pour les parties contemporaines, couleur pour les parties historiques, Ici par contre ce n'est pas un technicolor flamboyant qui est proposé, mais une palette plus sourde contribuant à l'évocation du XVIIIème siècle. Tyrone Power est tout à fait à l'aise dans ce double rôle, à ses côtés Ann Blyth est lumineuse en jeune anglaise. Michael Rennie ne fait quasiment que de la figuration, même s'il est crédité comme troisième vedette. Le film n'est aucunement un chef d'oeuvre, mais reste un agréable divertissement, esthétiquement travaillé dans la reconstitution, mais fort convenu d'un autre côté.
Un brillant savant spécialisé dans l'atome se retrouve propulsé au XVIIIème siècle à Londres chez les anciens propriétaires de la maison qu'il habite et dont il connaît toute la vie.
Je dois avouer que je ne connaissais absolument pas le réalisateur Roy Baker et ce film fut donc une totale découverte. L'histoire est assez bizarre, ce savant atomiste qui se retrouve propulsé au XVIIIème et qui se comporte comme s'il ne savait pas qu'il ne faut pas évoquer le futur dans le passé (ceci étant tout cela est expliqué dans l'épilogue du film assez surprenant d'ailleurs). La reconstitution de Londres est absolument admirable, et évoque dans de nombreuses scènes les tableaux des grands peintres par ailleurs évoqués Gainsborough, Reynolds, Le souci du détail, du décor est évident. Comme dans The Luck of the Irish, nous sommes dans un film qui utilise plusieurs techniquesde photographies, Noir et blanc pour les parties contemporaines, couleur pour les parties historiques, Ici par contre ce n'est pas un technicolor flamboyant qui est proposé, mais une palette plus sourde contribuant à l'évocation du XVIIIème siècle. Tyrone Power est tout à fait à l'aise dans ce double rôle, à ses côtés Ann Blyth est lumineuse en jeune anglaise. Michael Rennie ne fait quasiment que de la figuration, même s'il est crédité comme troisième vedette. Le film n'est aucunement un chef d'oeuvre, mais reste un agréable divertissement, esthétiquement travaillé dans la reconstitution, mais fort convenu d'un autre côté.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Tu seras un homme mon fils de George Sidney (1956)
Récemment édité par Fox Tu seras un homme mon fils est un véritable mélo que Hollywood produisait en série dans les années 50.
Biopic sur la vie du pianiste Eddy Duchin George Sidney, réalisateur talentueux*, peine à donner du souffle à ce film qui se révèle long et ennuyeux. Ce n'est point la faute à Tyrone Power qui joue à merveille cet homme au destin tragique.
A ses côtés la belle Kim Novak illumine de sa beauté les 50 premières minutes du film
* Scaramouche, Les Trois mousquetaires, Sohw Boat
Récemment édité par Fox Tu seras un homme mon fils est un véritable mélo que Hollywood produisait en série dans les années 50.
Biopic sur la vie du pianiste Eddy Duchin George Sidney, réalisateur talentueux*, peine à donner du souffle à ce film qui se révèle long et ennuyeux. Ce n'est point la faute à Tyrone Power qui joue à merveille cet homme au destin tragique.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Le Chevalier de la vengeance de John Crowell (1942)
Se situant dans sa période des années avant-guerre, Tyrone Power de par son physique avantageux et son dynamisme mène ce film d'aventure avec entrain et fougue !
Il est vrai que le comédien est particulièrement bien entouré, jugez plutôt Georges Sanders, jamais aussi bon qu'en incarnant un être machiavélique, John Carradine, Elsa Lanchester et surtout la très belle Gene Tierney en indigène. D'ailleurs on comprend qu'après toutes ses péripéties, il ne songe qu'à la retrouver sur son île.
Se situant dans sa période des années avant-guerre, Tyrone Power de par son physique avantageux et son dynamisme mène ce film d'aventure avec entrain et fougue !
Il est vrai que le comédien est particulièrement bien entouré, jugez plutôt Georges Sanders, jamais aussi bon qu'en incarnant un être machiavélique, John Carradine, Elsa Lanchester et surtout la très belle Gene Tierney en indigène. D'ailleurs on comprend qu'après toutes ses péripéties, il ne songe qu'à la retrouver sur son île.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Le Charlatan de Edmond Goulding (1948)
Ce film est un ovni dans la carrière de l'acteur...
Le Charlatan est une histoire basée sur l'art de la manipulation, du spiritisme offrant à Tyrone Power l'occasion d'incarner un personnage très loin
des rôles atypiques, qui ont marqué sa carrière.
Séducteur, roublard, cynique et manipulateur, Tyrone Power nous captive, nous séduit, et ce jusqu'au mot fin.
La mise en scène de Goulding retranscrit admirablement l'univers du cirque, l'atmosphère qui s'y dégage nous plonge parfois dans le cinéma de Browning (Freaks)
Un film méconnu rarement diffusé dans les cycles Tyrone Power mais qui mérite d'être découvert.
Ce film est un ovni dans la carrière de l'acteur...
Le Charlatan est une histoire basée sur l'art de la manipulation, du spiritisme offrant à Tyrone Power l'occasion d'incarner un personnage très loin
des rôles atypiques, qui ont marqué sa carrière.
Séducteur, roublard, cynique et manipulateur, Tyrone Power nous captive, nous séduit, et ce jusqu'au mot fin.
La mise en scène de Goulding retranscrit admirablement l'univers du cirque, l'atmosphère qui s'y dégage nous plonge parfois dans le cinéma de Browning (Freaks)
Un film méconnu rarement diffusé dans les cycles Tyrone Power mais qui mérite d'être découvert.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
SON OF FURY - LE CHEVALIER DE LA VENGEANCE (1942) de John Cromwell
C'est un film qui a les faiblesses de ses qualités, si j'ose dire. En le découvrant il y a quelques jours je me suis dit que c'était là un très bon exemple de cette qualité hollywoodienne de l'époque, de ce temps des studios qui malgré des contraintes connues produisaient quand même de sacrés films. SON OF FURY est un grand spectacle clinquant, enlevé, porté par un rythme très soutenu, sans temps mort, avec un scénario et une distribution qui ne peuvent que plaire aux spectateurs. Le film déborde de ce souffle romanesque, ce vent d'aventures comme Hollywood en produisait souvent à l'époque. On sent nettement les ambitions d'un Zanuck pour égaler par ses efforts les concurrents MGM ou Warner qui ont brillé par le passé avec des titres comme L'AIGLE DES MERS. C'est du grand spectacle très agréable à suivre qui utilise une imagerie presque mythologique et un héros charismatique, un mélange d'Histoire, de rêve, de romance.
Mais ce n'est peut-être finalement que cela. S'il éblouit les yeux, le film peine peut-être à convaincre totalement. La fin, par exemple, avec la trahison de la fille de Sanders, parait ainsi un peu trop opportuniste, un peu trop scénaristique. SON OF FURY s'applique en fait à reprendre les codes du genre de manière très efficace mais il y manque selon moi un petit quelque chose en plus qui aurait pu l'amener au-delà de la tradition.
Et si Cromwell ne vaut pas Curtiz, le résultat est malgré tout fort plaisant.
C'est un film qui a les faiblesses de ses qualités, si j'ose dire. En le découvrant il y a quelques jours je me suis dit que c'était là un très bon exemple de cette qualité hollywoodienne de l'époque, de ce temps des studios qui malgré des contraintes connues produisaient quand même de sacrés films. SON OF FURY est un grand spectacle clinquant, enlevé, porté par un rythme très soutenu, sans temps mort, avec un scénario et une distribution qui ne peuvent que plaire aux spectateurs. Le film déborde de ce souffle romanesque, ce vent d'aventures comme Hollywood en produisait souvent à l'époque. On sent nettement les ambitions d'un Zanuck pour égaler par ses efforts les concurrents MGM ou Warner qui ont brillé par le passé avec des titres comme L'AIGLE DES MERS. C'est du grand spectacle très agréable à suivre qui utilise une imagerie presque mythologique et un héros charismatique, un mélange d'Histoire, de rêve, de romance.
Mais ce n'est peut-être finalement que cela. S'il éblouit les yeux, le film peine peut-être à convaincre totalement. La fin, par exemple, avec la trahison de la fille de Sanders, parait ainsi un peu trop opportuniste, un peu trop scénaristique. SON OF FURY s'applique en fait à reprendre les codes du genre de manière très efficace mais il y manque selon moi un petit quelque chose en plus qui aurait pu l'amener au-delà de la tradition.
Et si Cromwell ne vaut pas Curtiz, le résultat est malgré tout fort plaisant.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Day-time Wife (Diner d'affaires) - Gregory Ratoff - 1939
Jalouse de la relation privilégiée qu'entretient son mari Ken Norton (Tyrone Power) avec sa jolie secrétaire, son épouse Jane (Linda Darnell) décide de postuler pour un poste d'assistante. Elle ne choisit pas n'importe quel employeur puisqu'il s'agit de Barney Dexter (Warren William), architecte connu pour ses nombreuses conquêtes féminines.
Comédie très sympathique, très enlevée, à regarder sans modération.
Jalouse de la relation privilégiée qu'entretient son mari Ken Norton (Tyrone Power) avec sa jolie secrétaire, son épouse Jane (Linda Darnell) décide de postuler pour un poste d'assistante. Elle ne choisit pas n'importe quel employeur puisqu'il s'agit de Barney Dexter (Warren William), architecte connu pour ses nombreuses conquêtes féminines.
C'est une comédie légère, amusante qui raconte les mésaventures d'un jeune couple après deux années de mariage, couple interprété avec beaucoup de charme et de maturité par Linda Darnell (elle a 15 ans lors du tournage), et Tyrone Power charmeur avec un sourire irrésistible.
On passe un bon moment malgré une durée assez courte (72') : comédie pétillante qui ne se prend pas au sérieux, ainsi que tous les acteurs qui donnent l'impression de bien s'amuser. Tyrone Power et Linda Darnell ont tourné 4 films ensemble, ils deviendront un des couples les plus charmants du cinéma hollywoodien.
On passe un bon moment malgré une durée assez courte (72') : comédie pétillante qui ne se prend pas au sérieux, ainsi que tous les acteurs qui donnent l'impression de bien s'amuser. Tyrone Power et Linda Darnell ont tourné 4 films ensemble, ils deviendront un des couples les plus charmants du cinéma hollywoodien.
Comédie très sympathique, très enlevée, à regarder sans modération.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
I'll never forget you - Roy Ward Baker - 1951
Un scientifique américain découvre dans sa maison londonienne des papiers indiquant l'existence d'un compatriote homonyme venu en Angleterre en 1784. Un soir lors d'une tempête, il est frappé par un éclair et projeté au XVIIIeme siècle.
Ce film est original par la présence du noir et blanc pour les scènes se déroulant pendant les années 1950, et un magnifique Technicolor pour le retour dans le passé. L'histoire de cet ingénieur nucléaire interprété par Tyrone Power est surprenante, fasciné par le XVIIIème siécle, il est persuadé d'avoir déjà vécu à cette époque de par la présence d'un portrait de son ancêtre qui lui ressemble trait pour trait. Tyrone Power est parfait dans le rôle de cet homme qui ne vit que pour son travail, et qui se révèle être un personnage romantique assez troublant dans la façon dont il passe de ses certitudes à une attitude un peu déraisonnée. Son personnage, dont le jumeau du passé est censé épouser la jolie Kate Pettigrew, tombe amoureux de la soeur cadette interprétée par Ann Blyth, gracieuse et lumineuse dans ce rôle d'héroine romantique sortie du passé et qui séduit le scientifique dont elle accepte sans sourciller qu'il puisse venir effectivement du futur. Le traitement du film et l'originalité de l'histoire basée sur le thème du voyage dans le temps font que le film se regarde avec beaucoup de plaisir. De plus le couple formé par Tyrone Power et la très jolie Ann Blyth apporte une touche romantique bien agréable et transforme le film en une très jolie histoire d'amour.
Ce film est original par la présence du noir et blanc pour les scènes se déroulant pendant les années 1950, et un magnifique Technicolor pour le retour dans le passé. L'histoire de cet ingénieur nucléaire interprété par Tyrone Power est surprenante, fasciné par le XVIIIème siécle, il est persuadé d'avoir déjà vécu à cette époque de par la présence d'un portrait de son ancêtre qui lui ressemble trait pour trait. Tyrone Power est parfait dans le rôle de cet homme qui ne vit que pour son travail, et qui se révèle être un personnage romantique assez troublant dans la façon dont il passe de ses certitudes à une attitude un peu déraisonnée. Son personnage, dont le jumeau du passé est censé épouser la jolie Kate Pettigrew, tombe amoureux de la soeur cadette interprétée par Ann Blyth, gracieuse et lumineuse dans ce rôle d'héroine romantique sortie du passé et qui séduit le scientifique dont elle accepte sans sourciller qu'il puisse venir effectivement du futur. Le traitement du film et l'originalité de l'histoire basée sur le thème du voyage dans le temps font que le film se regarde avec beaucoup de plaisir. De plus le couple formé par Tyrone Power et la très jolie Ann Blyth apporte une touche romantique bien agréable et transforme le film en une très jolie histoire d'amour.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
The Luck of the Irish - Henry Koster - 1948
Un journaliste américain fait une rencontre inattendue avec un leprechaum, lors d'un séjour en Irlande. Lorsqu'il rentre aux Etats-Unis, il le reconnaît sous les traits de son majordome qui va l'aider à réussir sa vie.
Un journaliste américain fait une rencontre inattendue avec un leprechaum, lors d'un séjour en Irlande. Lorsqu'il rentre aux Etats-Unis, il le reconnaît sous les traits de son majordome qui va l'aider à réussir sa vie.
Encore une histoire qui traite du surnaturel, et ce n'est pas étonnant, le réalisateur Henry Koster ayant déjà abordé ce thème dans The Bishop Wife (où Cary Grant apparaissait sous les traits d'un ange gardien). Il nous entraine, cette fois-ci, en Irlande où le héros (Tyrone Power) va rencontrer, tout droit sorti des légendes irlandaises, un leprechaum (lutin), et une charmante jeune femme dont il va tomber amoureux. Le film, qui repose sur le charmant couple formé par Tyrone Power et Anne Baxter, offre également des passages comiques grâce au personnage de lutin, interprété par un irrésistible Cecil Kellaway dont la démarche arquée fait mouche. Le côté antipathique de la fiancée (Jeane Meadows) nous fait encore plus apprécier l'histoire d'amour entre les deux acteurs principaux, et on se laisse porter avec plaisir par cette gentille petite comédie sans prétention.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Quelqu'un pourrait me confirmer la présence ou non de stf sur cette édition double ?
Merci.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Tout le coffret Matinee Idol est sous-titré en français !
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Mais attention, je crois qu'il est zone 1Cathy a écrit :Tout le coffret Matinee Idol est sous-titré en français !
Il me semble ne pas l'avoir acheté à l'époque pour cette raison^^
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Tommy Udo a écrit :Mais attention, je crois qu'il est zone 1Cathy a écrit :Tout le coffret Matinee Idol est sous-titré en français !
Il me semble ne pas l'avoir acheté à l'époque pour cette raison^^
Oui, c'est du zone 1
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Oui le coffret, je sais, c'était juste pour avoir la certitude que cette édition était bien avec stf.Cathy a écrit :Tout le coffret Matinee Idol est sous-titré en français !
Merci, j'hésite encore entre cette édition et le coffret qui contient quand même 10 films.
En fait c'est surtout par Johnny Apollo que je suis intéressé, les autres films valent ils la peine ?
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Johnny Appolo est un bon film noir, Ames rebelles un bon mélodrame sur fond de guerre, I never forget you un très joli film fantaisiste, la plupart des autres films sont des séries B de la Fox, qui ont l'avantage d'être vraiment des raretés et de compter sur pas mal de stars féminines (Tierney, Darnell, Young) qu'on aime bien. Donc oui je dirais que ça vaut la peine.
Par contre j'ai une question, j'en profite là, même si ça n'est pas tout à fait l'endroit : autant je comprends très bien qu'on hésite à prendre le cable, pour des raisons financières ou à multiplier les achats de DVDs surtout quand ils ne sont pas sous-titrés, pour une question de place et d'argent encore, autant je suis étonné que tout le monde n'ait pas ici un lecteur dézonné. C'est quand même hyper pratique. Peut-être que ça n'est pas très légal ?
Par contre j'ai une question, j'en profite là, même si ça n'est pas tout à fait l'endroit : autant je comprends très bien qu'on hésite à prendre le cable, pour des raisons financières ou à multiplier les achats de DVDs surtout quand ils ne sont pas sous-titrés, pour une question de place et d'argent encore, autant je suis étonné que tout le monde n'ait pas ici un lecteur dézonné. C'est quand même hyper pratique. Peut-être que ça n'est pas très légal ?
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