Tyrone Power (1914-1958)
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Je pense que dans bon nombre de cas, je sais que pour Frances c'est le cas, il s'agit de lecteurs BR acheté en Europe, qui sont eux impossible à dézonner.
Il existe des façons (pas toujours) de contourner le problème en ne dézonnant que le lecteur dvd de ces lecteurs BR, mais c'est une opération aléatoire techniquement.
La meilleure solution à ce jour étant encore, pour ceux qui ont un abonnement aux chaînes du satellite, de prendre la freebox revolution qui possède un lecteur BR très facile à dézonner. (Fin du HS )
Et merci pour la réponse concernant le coffret Power.
Il existe des façons (pas toujours) de contourner le problème en ne dézonnant que le lecteur dvd de ces lecteurs BR, mais c'est une opération aléatoire techniquement.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Ah ne ne parlais que de lecteurs DVDs en fait, je n'étais pas au stade du BR !
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- Cathy
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Beaucoup des films qui sont critiqués au-dessus proviennent de ce coffret. Ce sont des petites séries B, mais bon avec Joan Fontaine, Linda Darnell, Loretta Young, Gene Tierney, etc. plus Tyrone Power. Je pense que ça vaut le coup quand on aime le vieux cinéma naphtaliné !daniel gregg a écrit :Oui le coffret, je sais, c'était juste pour avoir la certitude que cette édition était bien avec stf.Cathy a écrit :Tout le coffret Matinee Idol est sous-titré en français !
Merci, j'hésite encore entre cette édition et le coffret qui contient quand même 10 films.
En fait c'est surtout par Johnny Apollo que je suis intéressé, les autres films valent ils la peine ?
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Critique de La dernière flèche, du DVD Sidonis et du Br Twilight Time
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Pour revenir sur ce que je disais dans le fil des films du mois, dans "That Wonderful Urge"
La fameuse scène qui m'a fait tilter:
Le personnage de Tyrone Power s'introduit à l'improviste dans la maison du personnage joué par Gene Tierney. Celui-ci l'attend sur le lit en feuilletant un livre qui ne laisse que peu de doutes sur ces intentions:
Joli pied de nez au Code Hays non? Bon, il faut dire que les différentes commissions étaient peut-être plus occupés à débusquer les communistes...
J'ai pas souvenir, là maintenant, de références visuelles aussi osées dans un film de cette époque.. C'est peut-être off topic, mais est-ce que vous voyez des précédents en la matière?
La fameuse scène qui m'a fait tilter:
Le personnage de Tyrone Power s'introduit à l'improviste dans la maison du personnage joué par Gene Tierney. Celui-ci l'attend sur le lit en feuilletant un livre qui ne laisse que peu de doutes sur ces intentions:
Joli pied de nez au Code Hays non? Bon, il faut dire que les différentes commissions étaient peut-être plus occupés à débusquer les communistes...
J'ai pas souvenir, là maintenant, de références visuelles aussi osées dans un film de cette époque.. C'est peut-être off topic, mais est-ce que vous voyez des précédents en la matière?
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Bien vu!
Tyrone Power/Gene Tierney, une affiche de rêve dans une comédie gentiment (et très discrètement) grivoise.
Au jeu du chat et de la souris, c'est Gene qui gagne forcement.
Toujours dans That Wonderful Urge :
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Ma mère était une grande fan de Tyrone Power, et j'ai donc été exposé à cet acteur sinon dès mon plus jeune âge, du moins dès que ses films ont commencé d'être disponibles en vidéo (car il fallait et il faut encore se lever de bonne heure pour voir le Tyrone à la télévision...) D'abord assez indifférent j'ai fini par apprécier davantage le comédien à mesure que je le connaissais mieux, et je me rappelle avoir été un peu désarçonné de le voir qualifié par Coursodon & Tavernier de "Errol Flynn du pauvre". Encore aujourd'hui et même si Tavernier est depuis revenu sur sa condamnation, je ne comprends pas bien cette formule car les deux acteurs n'ont au final pas grand-chose à voir, aussi bien au niveau de leurs personnalités que de leurs filmographies. La vision récente de deux de ses collaborations avec Henry King, "Capitaine de Castille" et "Untamed" (pitié pour le titre français débile) m'a confirmé dans cette opinion. Même quand il joue Zorro, Power est beaucoup plus sombre, beaucoup moins sautillant et bravache que Flynn. Il tient davantage du héros romantique (au sens que ce terme avait au XIXème siècle) beau ténébreux au sourire rare qui donne toujours l'impression d'avoir enterré toute sa famille la veille. Assez curieusement pourtant, il était très à l'aise dans la comédie et on peut regretter qu'il n'en ait pas tourné davantage. Son problème c'est que contrairement à Flynn il était un acteur "sérieux", "classically trained" comme disent les Anglais, qui s'est retrouvé prisonnier d'un style de films et de rôles qui n'était pas le sien. C'est paradoxalement à la fin de sa vie qu'il a commencé à pouvoir aborder le genre de rôle qui lui convenait le mieux (il est extraordinaire dans "Pour que vivent les autres" et "Témoin à charge" où sa réserve sert parfaitement des rôles ambigus) En revanche la postérité a été beaucoup plus clémente pour Errol Flynn, dont les films sont plus réputés et plus facilement visibles.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
« Errol Flynn du pauvre » formule lapidaire et facile tout ça parce que le premier a eu son heure de gloire avec des films de cape et d’épée dans les années 30 et que le second a un peu pris le relais dans les années 40. Et avant eux Douglas Fairbanks. Qui sait, Flynn a probablement lui été traité de sous-Fairbanks à ses débuts..
Mais effectivement rien à voir dans leur jeu. Tyrone prend les choses très au sérieux alors qu’Errol semble toujours un peu détaché, en décalage.
Mais effectivement rien à voir dans leur jeu. Tyrone prend les choses très au sérieux alors qu’Errol semble toujours un peu détaché, en décalage.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
On a eu aussi dans les années 50 l ' acteur Amedeo Nazzari cité comme l ' Errol Flynn italien...( je vous parle d'un temps....musique )Supfiction a écrit :« Errol Flynn du pauvre » formule lapidaire et facile tout ça parce que le premier a eu son heure de gloire avec des films de cape et d’épée dans les années 30 et que le second a un peu pris le relais dans les années 40. Et avant eux Douglas Fairbanks. Qui sait, Flynn a probablement lui été traité de sous-Fairbanks à ses débuts..
Mais effectivement rien à voir dans leur jeu. Tyrone prend les choses très au sérieux alors qu’Errol semble toujours un peu détaché, en décalage.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Le signe de Zorro (Rouben Mamoulian - 1940)
Bon film d'aventure rythmé, Tyrone Power est bondissant comme il le faut (manque la cape quand même) j'aurai cru à des scènes d'action plus dynamique (en passant d'un décor à l'autre par exemple), mais l'ensemble de la mythologie de Zorro est là. La première apparition de Zorro est parfaite dans son intrusion dans ce village qui ne demande qu'à se réveiller, qu'à se relever. Ca fait plaisir de voir un personnage qui malheureusement me semble disparaître de la fiction. Il faut dire que la dernière apparition de Zorro (le deuxième Banderas il me semble) avait fait fort dans la médiocrité (et donc son accueil) pour calmer toutes tentatives de maintenir son existence dans la fiction.
Bon film d'aventure rythmé, Tyrone Power est bondissant comme il le faut (manque la cape quand même) j'aurai cru à des scènes d'action plus dynamique (en passant d'un décor à l'autre par exemple), mais l'ensemble de la mythologie de Zorro est là. La première apparition de Zorro est parfaite dans son intrusion dans ce village qui ne demande qu'à se réveiller, qu'à se relever. Ca fait plaisir de voir un personnage qui malheureusement me semble disparaître de la fiction. Il faut dire que la dernière apparition de Zorro (le deuxième Banderas il me semble) avait fait fort dans la médiocrité (et donc son accueil) pour calmer toutes tentatives de maintenir son existence dans la fiction.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Oui, dans le genre « bondissant », Douglas Fairbanks était plus fort et Banderas lui est carrément passé au stade en apesanteur .. Heureusement qu’ils ont arrêté (pour le moment), sinon la cap lui aurait permis de voler.Roilo Pintu a écrit :Le signe de Zorro (Rouben Mamoulian - 1940)
Bon film d'aventure rythmé, Tyrone Power est bondissant comme il le faut (manque la cape quand même) j'aurai cru à des scènes d'action plus dynamique (en passant d'un décor à l'autre par exemple), mais l'ensemble de la mythologie de Zorro est là. La première apparition de Zorro est parfaite dans son intrusion dans ce village qui ne demande qu'à se réveiller, qu'à se relever. Ca fait plaisir de voir un personnage qui malheureusement me semble disparaître de la fiction. Il faut dire que la dernière apparition de Zorro (le deuxième Banderas il me semble) avait fait fort dans la médiocrité (et donc son accueil) pour calmer toutes tentatives de maintenir son existence dans la fiction.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Tyrone Power est mort lors de son duel avec George Sanders sur le tournage de Salomon et la reine de Saba.
Y a pire comme façon de mourir.
A ma connaissance les deux acteurs ont joué ensemble trois fois. Dans Love Is News, Le chevalier de la veangeance et dans ce Salomon tourné aux trois quarts par Power.
Y a pire comme façon de mourir.
A ma connaissance les deux acteurs ont joué ensemble trois fois. Dans Love Is News, Le chevalier de la veangeance et dans ce Salomon tourné aux trois quarts par Power.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Et aussi dans les excellents Le Pacte et Le Cygne noir tous deux de Henry King.Supfiction a écrit : ↑3 janv. 21, 10:27 A ma connaissance les deux acteurs ont joué ensemble trois fois. Dans Love Is News, Le chevalier de la veangeance et dans ce Salomon tourné aux trois quarts par Power.
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Re: Tyrone Power (1914-1958)
Bien vu!
Je crois avoir vu ce Lloyds of London mais je n’en suis pas sûr. Il est passé au CDM il y a quelques années.
Je crois avoir vu ce Lloyds of London mais je n’en suis pas sûr. Il est passé au CDM il y a quelques années.
Private Joker a écrit : ↑29 nov. 05, 15:51+ 1 !k-chan a écrit :Vu le Henry King de ce soir : Le Pacte/Lloyd's of london.
J'ai bien aimé.
Je viens de découvrir Lloyd's of London. C'est, en effet, un très beau film. J'espère que la suite du cycle sera de la même trempe.
Une superbe interprétation de Tyrone Power.
Jeremy Fox a écrit : ↑30 nov. 05, 22:53Découvert ce soir et je rajoute ma voix à la votre pour dire tout le bien que je pense de ce film bénéficiant surtout d'un remarquable scénario de Walter Ferris, habile mélange d'Histoire (avec un grand H) et de petites histoires, le tout parfaitement agencé. La manière de décrire les sociétés d'assurance de l'époque n'est jamais laborieuse mais au contraire tout à fait passionnante. Quant à la justesse de la description de l'amitié entre Blake et Nelson et de l'amour qui unit Tyrone Power et Madeleine Carol, elle porte la marque du sensible Henry King. Excellent début de cycle.Link Jones a écrit :
... et, disons le, la copie était d'une bonne qualité, eu égard aux 69 ans de ce beau film, avec de jolis contrastes en N&B. Merci Mr. Brion