Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
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Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
Film ultra réputé dans plusieurs bouquins consacrés aux films d'espionnage, qui connait ce film de Sidney J. Furie qui passe ce soir sur le câble, avec notamment le grand Michael Caine ?
Pffffffffft, trop de choses ce soir à la TV (quand on pense qu'en plus y'a Raiders of the Lost Ark sur M6, et que je vais forcément me regarder au moins le prologue... )
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- Mister Ironbutt 2005
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Sortit en Zone 2 hier... le test de DVDRAMA pour l'un des meilleurs films du genre:
http://www.dvdrama.com/fiche.php?3021
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Je ne crée pas de topic DVD...
Dans la rubrique "le commissaire Juve mène l'enquête", je vous signale : la réédition chez Seven7 est en tout point identique à celle de PVB éditions.
Pas de nouveau master à l'horizon.
Seule différence (de taille) : le sous-titrage 16/9e est trois fois plus petit ! Champagne !
Dans la rubrique "le commissaire Juve mène l'enquête", je vous signale : la réédition chez Seven7 est en tout point identique à celle de PVB éditions.
Pas de nouveau master à l'horizon.
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La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Ainsi que d'autres films déjà sorties chez PVB (et pas des moindres) : Prick Up Your Ears de Frears, Une Question de vie ou de mort de Powell et Pressburger et La Grande guerre de Mario Monicelli.Commissaire Juve a écrit :je vous signale : la réédition chez Seven7 est en tout point identique à celle de PVB éditions.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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PVB n'existe plus ; leur catalogue a été entièrement repris par Seven 7Kevin95 a écrit :Ainsi que d'autres films déjà sorties chez PVB (et pas des moindres) : Prick Up Your Ears de Frears, Une Question de vie ou de mort de Powell et Pressburger et La Grande guerre de Mario Monicelli.Commissaire Juve a écrit :je vous signale : la réédition chez Seven7 est en tout point identique à celle de PVB éditions.
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Sur Amazon :Jeremy Fox a écrit :PVB n'existe plus ; leur catalogue a été entièrement repris par Seven 7Kevin95 a écrit : Ainsi que d'autres films déjà sorties chez PVB (et pas des moindres) : Prick Up Your Ears de Frears, Une Question de vie ou de mort de Powell et Pressburger et La Grande guerre de Mario Monicelli.
Au sujet de Une Question De Vie Ou De Mort : Cet article paraîtra le 18 septembre 2007...
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Dernière modification par angel with dirty face le 4 janv. 09, 16:29, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films naphtas de décembre 2008
Ipcress, Danger Immédiat de Sidney J. Furie
Dans une gare de Londres, un prestigieux scientifique se fait enlever sous les yeux de l’agent des services secrets qui le surveillait et que l’on retrouve assassiné sur le quai. Pour le remplacer, Le colonel Ross (Guy Doleman) des services secrets militaires britanniques, décide de redonner sa chance à son agent Harry Palmer (Michael Cain) et de l’affecter au service de contre espionnage du Major Dalby (Nigel Green).
Harry Palmer était jusque là affecté à des planques minables suite à son insubordination. Calme, flegmatique mais très observateur, il parvient rapidement à remonter jusqu’à Erik Ashley Grantby (Frank Gatliff), le chef d’un réseau mafieux, et à lui proposer le rachat du scientifique…"
Une volonté de faire dans l'anti James Bond de tout les instants, entre le background peu glorieux de Palmer, son look austère et sa présentation peu glamour en ouverture préparant son petit déjeuner. Même les caractéristiques qui rendrait un Bond charismatique sont abordé de manière décalée, une baston en pleine rue où il se bat comme le premier voyou venu, sans parler de sa manière de reluquer les femmes comme un gros rustre loin de la séduction animale d'un Bond. Le cadre Londonien grisâtre, les services secrets anglais buraucratique et austère et l'enquête volontairement rasoir permettant au film de se créer son identité propre. Une belle ambiance parano qui nous mène en bateau pratiquement jusqu'à la dernière minute malgré une volonté réaliste qui retombe un peu et date le film lorsque le mystère se dévoile (sur une trame proche "Un crime dans la tête" passe mieux aujourd'hui). De plus Furie expérimente comme un furieux, multipliant les cadrages et plans alambiqués et surprenants, le travail sur l'image destabilisant comme lorsqu'il prend le point de vue de la vision floue de palmer sans lunettes lors de la conférence. Très bon score de Barry qui cède de très brefs moment à des élans Bondien mais qui livre un score easy listening tout en retenue des plus classe. Et Michael Caine est imperial mais est il encore utile de le préciser ? 5/6 Sinon que valent les autres Harry Palmer ?
Dans une gare de Londres, un prestigieux scientifique se fait enlever sous les yeux de l’agent des services secrets qui le surveillait et que l’on retrouve assassiné sur le quai. Pour le remplacer, Le colonel Ross (Guy Doleman) des services secrets militaires britanniques, décide de redonner sa chance à son agent Harry Palmer (Michael Cain) et de l’affecter au service de contre espionnage du Major Dalby (Nigel Green).
Harry Palmer était jusque là affecté à des planques minables suite à son insubordination. Calme, flegmatique mais très observateur, il parvient rapidement à remonter jusqu’à Erik Ashley Grantby (Frank Gatliff), le chef d’un réseau mafieux, et à lui proposer le rachat du scientifique…"
Une volonté de faire dans l'anti James Bond de tout les instants, entre le background peu glorieux de Palmer, son look austère et sa présentation peu glamour en ouverture préparant son petit déjeuner. Même les caractéristiques qui rendrait un Bond charismatique sont abordé de manière décalée, une baston en pleine rue où il se bat comme le premier voyou venu, sans parler de sa manière de reluquer les femmes comme un gros rustre loin de la séduction animale d'un Bond. Le cadre Londonien grisâtre, les services secrets anglais buraucratique et austère et l'enquête volontairement rasoir permettant au film de se créer son identité propre. Une belle ambiance parano qui nous mène en bateau pratiquement jusqu'à la dernière minute malgré une volonté réaliste qui retombe un peu et date le film lorsque le mystère se dévoile (sur une trame proche "Un crime dans la tête" passe mieux aujourd'hui). De plus Furie expérimente comme un furieux, multipliant les cadrages et plans alambiqués et surprenants, le travail sur l'image destabilisant comme lorsqu'il prend le point de vue de la vision floue de palmer sans lunettes lors de la conférence. Très bon score de Barry qui cède de très brefs moment à des élans Bondien mais qui livre un score easy listening tout en retenue des plus classe. Et Michael Caine est imperial mais est il encore utile de le préciser ? 5/6 Sinon que valent les autres Harry Palmer ?
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Re: Notez les films Naphtas- Janvier 2009
IPCRESS, DANGER IMMEDIAT (The Ipcress File) de Sidney J. Furie (1965)
Malgré des antécédents peu glorieux, Harry Palmer est envoyé en mission par son supérieur, le colonel Ross afin d’épauler les services secrets de l’armée britanique. Des savants anglais disparaissent de façon mysérieuse et personne n’a le moindre indice sur les raisons de tels agissements. Sûr de son fait et en toute décontraction; Palmer va mettre la main sur une bande magnétique intitulée Ipcress où d’étranges sons ont été enregistrés...
Premier film de la saga Harry Palmer avec Michael Caine dans le rôle de l'agent secret. Le film a été produit par Harry Saltzman, célèbre producteur des premiers James Bond avec Sean Connery. On sent ici une volonté de faire un film d'espionnage "réaliste", loin de l'exotisme et des gadgets de l'univers de 007. Michael Caine est parfaitement à l'aise dans son rôle et le film se suit avec plaisir, porté par l'excellente musique écrite par John Barry.
Malgré des antécédents peu glorieux, Harry Palmer est envoyé en mission par son supérieur, le colonel Ross afin d’épauler les services secrets de l’armée britanique. Des savants anglais disparaissent de façon mysérieuse et personne n’a le moindre indice sur les raisons de tels agissements. Sûr de son fait et en toute décontraction; Palmer va mettre la main sur une bande magnétique intitulée Ipcress où d’étranges sons ont été enregistrés...
Premier film de la saga Harry Palmer avec Michael Caine dans le rôle de l'agent secret. Le film a été produit par Harry Saltzman, célèbre producteur des premiers James Bond avec Sean Connery. On sent ici une volonté de faire un film d'espionnage "réaliste", loin de l'exotisme et des gadgets de l'univers de 007. Michael Caine est parfaitement à l'aise dans son rôle et le film se suit avec plaisir, porté par l'excellente musique écrite par John Barry.
Dernière modification par johell le 4 janv. 09, 03:34, modifié 1 fois.
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Re: Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
Le deuxième est beaucoup plus conventionnel, et de fait bien moins intéressant.Sinon que valent les autres Harry Palmer ?
Le troisième est un film de Ken Russell, ce qui est un genre en soi:
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Re: Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
Bonjour à tous !
Et bien, ça faisait longtemps que j'étais pas venu faire un tour sur ce forum (pourtant le meilleur en terme de cinéphilie sur le web). Je vois que Lord Henry a toujours ses bons mots, ça fait plaisir. Et l'équipe est toujours aussi passionnée.
En ce qui concerne la série des Harry Palmer, je dois dire que le premier est un solide exercice, bien réalisé (bien avant que Sidney J. Furie ne soit récupéré par la Cannon...), une sorte d'anti-James Bond méticuleux possédant une bonne intrigue... et n'oublions pas la musique de John Barry, élégante et sophistiquée, très jazzy, qui pourtant ne s'éloigne pas tant que ça du style musical développé sur les Bond. Michael Caine y trouve l'un de ses rôles les plus connus (je le préfère cependant en Jack Carter dans Get Carter, en Sherlock Holmes de pacotille dans Elémentaire mon cher Lock Holmes, lui même édité en DVD chez Seven 7, ou bien dans Le limier). Son charisme et sa célèbre voix fortement typée font le reste.
Comme Lord Henry, je trouve le second bien moins intéressant, plus classique, moins original, quoique bien troussé (disponible en DVD chez Paramount pour un prix abordable par ailleurs). Pour le troisième (existant en DVD, mais en dehors de la France...), il faut en souligner le kitch assumé, lorgnant un peu plus sur le style Bondien. En résulte un film trop inégal et légèrement prétentieux.
N'oublions pas que Caine rempila dans la peau de l'agent secret à deux reprises encore : Bullet to Beijing en 1995 (plutôt agréable et bien rythmé) et Midnight in Saint Petersburg en 1996 (assez ennuyeux, trop long...), deux films qui ont parfois des allures de téléfilm (pour ceux qui connaissent le téléfilm Commando express, réalisé en 1992 avec Pierce Brosnan, auront un aperçu de l'ambiance et du style d'acteurs...). Donc, en récapitulant, la saga Harry Palmer compte 5 films au total (3 dans les années 60 et 2 dans les années 90).
Et bien, ça faisait longtemps que j'étais pas venu faire un tour sur ce forum (pourtant le meilleur en terme de cinéphilie sur le web). Je vois que Lord Henry a toujours ses bons mots, ça fait plaisir. Et l'équipe est toujours aussi passionnée.
En ce qui concerne la série des Harry Palmer, je dois dire que le premier est un solide exercice, bien réalisé (bien avant que Sidney J. Furie ne soit récupéré par la Cannon...), une sorte d'anti-James Bond méticuleux possédant une bonne intrigue... et n'oublions pas la musique de John Barry, élégante et sophistiquée, très jazzy, qui pourtant ne s'éloigne pas tant que ça du style musical développé sur les Bond. Michael Caine y trouve l'un de ses rôles les plus connus (je le préfère cependant en Jack Carter dans Get Carter, en Sherlock Holmes de pacotille dans Elémentaire mon cher Lock Holmes, lui même édité en DVD chez Seven 7, ou bien dans Le limier). Son charisme et sa célèbre voix fortement typée font le reste.
Comme Lord Henry, je trouve le second bien moins intéressant, plus classique, moins original, quoique bien troussé (disponible en DVD chez Paramount pour un prix abordable par ailleurs). Pour le troisième (existant en DVD, mais en dehors de la France...), il faut en souligner le kitch assumé, lorgnant un peu plus sur le style Bondien. En résulte un film trop inégal et légèrement prétentieux.
N'oublions pas que Caine rempila dans la peau de l'agent secret à deux reprises encore : Bullet to Beijing en 1995 (plutôt agréable et bien rythmé) et Midnight in Saint Petersburg en 1996 (assez ennuyeux, trop long...), deux films qui ont parfois des allures de téléfilm (pour ceux qui connaissent le téléfilm Commando express, réalisé en 1992 avec Pierce Brosnan, auront un aperçu de l'ambiance et du style d'acteurs...). Donc, en récapitulant, la saga Harry Palmer compte 5 films au total (3 dans les années 60 et 2 dans les années 90).
Dernière modification par Julien Léonard le 7 janv. 09, 10:55, modifié 1 fois.
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Re: Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
Je ne savais pas que Billion Dollar Brain (Ken Russel, 1967) existait en DVD en zone 1, en plus avec les sous titres en français! Bonne nouvelle... Merci pour cette info en particulier et pour l'ensemble du message. Je ne connaissais pas l'existence de Bullet To Beijing (George Mihalka, 1995) et de Midnight In Saint Petersburg (Douglas Jackson, 1996) avant de te lire.Julien Léonard a écrit :Pour le troisième (existant en DVD, mais en dehors de la France...), il faut en souligner le kitch assumé, lorgnant un peu plus sur le style Bondien. En résulte un film trop inégal et légèrement prétentieux.
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Re: Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
Quelle tuile cette histoire de problème d'authoringJeremy Fox a écrit :Le test du Br Elephant
Dire que j'ai revendu mon dvd dans l'attente de cette édition…
Est-ce que l'éditeur à depuis communiqué sur ce souci ?
genre, en promettant un galette de remplacement, comme Warner l'a fait pour le bluray de Get Carter…
(je tiens à préciser que je ne suis pas encore équipé en bluray, cela ne saurait tarder mais comme je projette, l'investissement est conséquent)
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Re: Ipcress, danger imédiat (Sidney J. Furie - 1965)
Additif ajouté à la fin du test de Ipcress, à la suite d'un message de l'éditeur qui souhaitait apporter quelques précisions.