Dana Andrews (1909-1992)
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Dana Andrews (1909-1992)
acteur assez plaisant,une forte ressemblance avec "mark stevens" une carte de visite très impressionnante puisque tour a tour:chanteur,acteur de la troupe du"pasadenas playhouse" et dès 1936.Cet acteur tourneras de bon films jusqu'en 1970,il tourneras avec les plus grands;otto preminger,william wellman,fritz lang,howard hawks,etc.... et d'autres de moindre qualités mais qui nous donnèrent de bons films surtout des westerns.Il est considerez comme un acteur qui fit la grandeur du cinéma americain et cela est vraie car très reputé dans son pays,et dans le monde entier assez inexpressif soit mais qui savait tirez son epingle du jeu dans un film,dana andrews resteras avant tout un acteur populaire dans le coeur de tous,voici sa filmo western:
the lucky cisco kid...1940...bruce humberstone
kit carson...1940...western rare...bernard b.seitz
the westerner(le cavalier du desert)...1940...genial...william wyler
belle star(la reine des rebelles)....1941...genial...irving cummings
the ox-bow incident(l'etrange incident)...1943....genial..william wellman
canyon passage(le passage du canyon)...1946....genial...jacques tourneur
three hours to kill(3 heures pour tuer)...1954...terrible..alfred werker
smoke signal(le fleuve de la dernière chance)...1955...pas mal..jery hooper
strange lady in the town(l'etrangère dans la ville)...1955...bien..mervin leroy
commanche...1956....pas mal...george sherman
town tamer(quand la poudre parle)...1965...bien...lesley selander
johnny reno(toute la ville est coupable)...1966...bien...r.g springsteen
take a hard ride...1975...western de production europeen tourné aaux iles canarie.anthony m.dawson(alias antonio margheretti)
vala,james
the lucky cisco kid...1940...bruce humberstone
kit carson...1940...western rare...bernard b.seitz
the westerner(le cavalier du desert)...1940...genial...william wyler
belle star(la reine des rebelles)....1941...genial...irving cummings
the ox-bow incident(l'etrange incident)...1943....genial..william wellman
canyon passage(le passage du canyon)...1946....genial...jacques tourneur
three hours to kill(3 heures pour tuer)...1954...terrible..alfred werker
smoke signal(le fleuve de la dernière chance)...1955...pas mal..jery hooper
strange lady in the town(l'etrangère dans la ville)...1955...bien..mervin leroy
commanche...1956....pas mal...george sherman
town tamer(quand la poudre parle)...1965...bien...lesley selander
johnny reno(toute la ville est coupable)...1966...bien...r.g springsteen
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je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Re: dana andrews
Tu t'y mets aussi toi? Là on ne va pas être copainjames a écrit :assez inexpressif soit
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Re: dana andrews
Il est considerez comme un acteur qui fit la grandeur du cinéma americain,voila aussi ce que je dis cher amis beuleBeule a écrit :Tu t'y mets aussi toi? Là on ne va pas être copainjames a écrit :assez inexpressif soit
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ben essaye alors de le voire dans"three hours to kill " d'alfred verker ou dans "smoke signal "de jerry hooper en scout de l'armeé j'ai adoré,j'adhère a de tels ambiance surtout pour le premier cité,valaLord Henry a écrit :Je dois dire que j'ai quelque difficulté à l'imaginer dans un western.
Pour moi, il reste avant tout l'un des acteurs de prédilection d'Otto Preminger; notamment dans le formidable "Mark Dixon Détective" où il était irréprochable.
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et pourtant comme je le dis dans le resumé il commenca par cela au debut de sa carrière,mais j'admet moi aussi car nous avons cette : habitudes de le voire flamboyant en militaire,cow-boy,aventurier,etc..................Holden a écrit :Bon, moi j'adore Dana Andrews (et pas que chez Tourneur), mais il y a une chose à laquelle je ne me fais pas : il a joué dans des comédies musicales et franchement je ne peux pas l'imaginer chantant et/ou dansant.
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Dana Andrews poussant la chansonnette, cette image aurait tendance à me donner des cauchemars, un peu comme d'imaginer Robert Mitchum en tutu rose. Mais bon, qui aurait imaginé Dick Powell dans des films noirs en le voyant dans Golddiggers of 1933 par exemple…et pourtant comme je le dis dans le resumé il commenca par cela au debut de sa carrière
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Une pointure en se qui me concerne, le couple qu'il formait avec Gene Tierney est légendaire et pas seulement pour Laura, puisqu'ils ont joué ensemble dans la reine des rebelles, Mark Dixon et le méconnu "the iron curtain" de William Wellman.
A noter que le western Strange lady in town est réalisé par Mervyn Leroy, dont c'est a ma connaissance le seul western, une curiosité donc.
Message perso:James, pourrais tu mettre le nom des réalisateurs à coté des films que tu cites.
A noter que le western Strange lady in town est réalisé par Mervyn Leroy, dont c'est a ma connaissance le seul western, une curiosité donc.
Message perso:James, pourrais tu mettre le nom des réalisateurs à coté des films que tu cites.
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Le Fleuve de la Dernière Chance (Smoke Signal, 1955) de Jerry Hopper
UNIVERSAL
Avec Dana Andrews, Piper Laurie, Rex Reason, William Talman, Milbur Stone, Robert J. Wilke, Gordon Jones
Scénario : George F. Slavin & George W. George
Musique : Joseph Gersenshon
Photographie : Clifford Stine (Technicolor 1.85)
Un film produit par Howard Christie pour la Universal
Sortie USA : Mars 1955
Après nous avoir ravi avec Je suis un aventurier (The Far Country) d’Anthony Mann, la compagnie Universal nous délivre cette fois, avec Smoke Signal, non plus un chef-d’œuvre du genre mais néanmoins une série B comme elle en avait le secret : efficace, bien construite, sans temps morts et formidablement divertissante malgré un scénario dans l’ensemble sans grandes surprises. Comme déjà La Rivière sans retour et comme nous le fait pressentir le titre français, le deuxième western de Jerry Hopper (après Pony Express avec Charlton Heston qui avait d’ailleurs dans un premier temps été pressenti pour le rôle de Halliday tenu ici par Dana Andrews) nous fait parcourir les États-Unis à bord de frêles embarcations, ici sur la rivière du Colorado serpentant entre les falaises majestueuses du grand Canyon. Cette fois ce sont des soldats qui, acculés au sein d’un fortin sur le point de tomber aux mains des Indiens beaucoup plus nombreux, n’ont qu’une solution pour essayer de s’en tirer (même s’ils estiment leur chance de réussite à une sur cent), s’enfuir par le fleuve qui se trouve à proximité : "the Grand Canyon of the Colorado, known as one of the most dangerous rivers in the world" nous prévient-on dès la fin du générique pour bien nous mettre dans l’ambiance de ce ‘western d’aventure’. Autant dire que le pitch de départ est assez original ou tout du moins plutôt nouveau pour un western. Et, sans vouloir aucunement faire de la provocation, le scénario des duettistes George F. Slavin et George W. George (déjà auteur entre autres d’un honnête The Nevadan de Gordon Douglas) s’avère de mon point de vue bien plus captivant que celui du film d’Otto Preminger.
Milieu du 19ème siècle. Alors qu’un petit de détachement de cavalerie rentre de patrouille, il trouve en arrivant à son fort de rattachement, la garnison presque entièrement décimée par les Indiens de la tribu des Utes. Le Capitaine Harper (William Talman) apprend que les Utes ont attaqué le fort pour libérer Bertt Halliday (Dana Andrews), un officier de cavalerie qui devait passer en cour martiale pour avoir déserté et trahi l’armée en rejoignant le camp indien quelques mois auparavant. Halliday a beau dire qu’au moment de sa capture, il avait quitté le camp Ute pour aller trouver un médiateur Apache qui aurait pu mettre un terme aux récents conflits entre Indiens et blancs, personne ne veut croire à son histoire. N’étant encore pas arrivés à leurs fins, les indiens continuent d’assiéger le fort. Le Capitaine envoie un courrier à cheval pour réclamer des renforts mais le cavalier est abattu. Halliday conseille alors aux quelques survivants de descendre la rivière Colorado en canoë bien qu’elle soit jugée extrêmement dangereuse. Harper refuse dans un premier temps, sa fierté lui interdisant de trouver bonne une idée émise par un prisonnier. Mais suite à une nouvelle attaque, il se rend vite compte que c’est la seule solution qu’il leur reste pour échapper au massacre. Prennent alors place à bord des canots la petite troupe commandée par Harper, un trappeur (Douglas Spencer) ainsi que les quelques rescapés de la garnison dont Laura (Piper Laurie), la fille du commandant du fort tué peu avant ainsi que son prétendant, l’arrogant Lieutenant Wayne Ford (Rex Reason). Les guerriers Ute décident néanmoins de les suivre du sommet du canyon...
Le voyage entrepris en fond de canyon va évidemment s’avérer dangereux et mouvementé mais autant à cause de la présence des indiens qui ne sont jamais très éloignés que des tensions qui vont régner au sein du petit groupe d’autant qu’il est composé par des hommes et une femme ayant perdus des proches lors des combats qui les ont opposés aux indiens et d’un prisonnier accusé d’être responsable du déclenchement de ces hostilités ayant causées autant de pertes. Malgré de très nombreuses séquences assez bavardes, les scénaristes réussissent à maintenir l’intérêt tout du long justement grâce en partie à ces tensions et à la description des relations qui unissent les personnages par ailleurs très fortement caractérisés sans que ça n’empêche leurs comportements d’évoluer durant ce qui ressemble un peu à un itinéraire initiatique pour chacun d’entre eux. Jalousies, animosités, rancunes, autoritarisme, etc., tous ces défauts vont ressortir de plus belle face aux dangers mais au final, le but étant avant tout de survivre, tout le monde va apprendre à mieux se connaître et à changer ses opinions et à-prioris vis-à-vis des autres (enfin, des survivants, car le voyage ne se fera pas sans quelques pertes). Un bon scénario que nous ont concocté les auteurs du film, sans grands motifs d’étonnements ni de jubilation mais assez solide pour nous tenir en haleine tout du long. Nous avons même droit à une romance pas désagréable entre la jolie Piper Laurie (que nous étions plus habitué à voir dans des décors de mille et une nuits qu’au sein de paysages du far-West mais que les costumes de l’Ouest vont à ravir) et le taciturne Dana Andrews, à travers laquelle sont abordés les thèmes du racisme et de l’intolérance. En effet, Laura apprend durant le périple qu’Halliday était marié à une squaw et que, s’il a déserté et a pris les armes contre ses anciens camarades, c’était à cause de l’intransigeance et du sadisme de son commandant (le père de Laura donc) à l'encontre des indiens dont il ne se privait pas de torturer voire même de tuer. D'où la révolte qui découla de ces mauvais traitements qui a mené à la facheuse situation dans laquelle ils se retrouvent tous désormais embringués.
Mais attention, qui dit film bien et copieusement dialogué ne dit pas nécessairement film privé d’action ; en l’occurrence, Smoke Signal, qui s’apparente pas mal à un film d’aventure, n’en est pas avare. Certains séquences sont mêmes assez spectaculaires d’autant qu’elles étaient inattendues, notamment celle qui voit la chute nocturne du haut de la falaise d’un des protagonistes. Sinon, Jerry Hopper (qui tournera ensuite bien plus pour la petite lucarne que pour le cinéma), au sein d’une mise en scène dans l’ensemble assez impersonnelle même si efficace, nous distille quelques plans vraiment superbes comme ce plan d’ensemble en plongée, sorte de vue subjective depuis le haut du fort, qui nous montre les cavaliers avancer au milieu d’une mer de cadavres. Même si les transparences lors de la descente des rapides ne sont guère convaincantes (pas plus que ne l’étaient celles de Rivière sans retour), elle sont relativement peu nombreuses et le film nous offre par ailleurs de superbes vues du canyon du Colorado superbement photographié par Clifford Stine au sein d’un magnifique Technicolor.
Au travail d’écriture correct, à la très belle photographie et à la réalisation honorable, viennent s’ajouter une bonne partition aux accents parfois ‘rozsiens’ supervisée par Joseph Gersenshon ainsi qu’une très bonne interprétation d’ensemble. Sans faire spécialement d’étincelles, les comédiens font tous leur travail très consciencieusement avec une mention spéciale à William Talman dans la peau du commandant forte tête. Ceux qui n’apprécient pas particulièrement le jeu très discret de Dana Andrews ne gouteront guère plus son interprétation ici ; on ne peut une de fois de plus pas dire qu’il cherche à voler la vedette à quiconque. Certains parleront probablement de fadeur ; j’évoquerais plutôt une forme de sobriété même si effectivement, on aimerait parfois qu’il affirme un peu plus sa personnalité. Pour une fois le trappeur n’est pas là pour ajouter une touche de pittoresque, Douglas Spencer qui ouvre d’ailleurs le film, ne cabotinant jamais et Piper Laurie, même si son personnage semble avoir été placé là surtout pour qu’il y ait une présence féminine, ne fait jamais potiche. Pas grand chose à dire de plus sur cette série B qui, sans rien révolutionner, sans jamais atteindre des sommets, s'avère cependant être un western sacrément plaisant.
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- Doublure lumière
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De Dana Andrews, Tavernier et Coursodon ont dit : "Un visage qui paraît impassible, voire inexpressif et qui n'est qu'un bouclier permettant de se protéger contre les revers de la fortune. En fait, le visage de Dana Andrews exprime un sentiment mais ne lui fait pas un sort".
Il ne faut pas oublier Fallen Angel de Preminger avec la superbe Linda Darnell. Et d'autres encore…
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