Gary Cooper (1901-1961)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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james
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Gary Cooper (1901-1961)

Message par james »

c'est en 1924 que l'ami gary cooper mettra pour la première fois les pieds dans un studio de cinéma,il commenceras dans de la figuration.C'est debut il l'ai feras au cotée d'acteur comme "tom mix" de l'actrice "florence vidor" et surtout du chien vedette "rin-tin-tin".Une certaine lassitude se faisant ressentir chez gary cooper a force de servir de bouche trous dans des production ou il n'avait que deux replique a dire que son propre père le juge "cooper" decida de faire intervenir ses relations et en la personne de "marilyn mills" qui etait productrice et actrice de series "b de faire joué joué son rejeton,premier vraie film"tricks"film qui serviras de tremplin a gary cooper puisque des roles plus ambitieux allez bientot arrivez.En 1926 cooper seras l'acteur numero 2 d'un western aux coté de "ronald coleman" et de vilma banky dans"barbara,fille du desert" la critique ignora cooper,mais le film ne passa pas inapercu.Gary cooper etait d'un serieux irreprochable,une vie apaisé sans scandale et pour cela que le tout hollywood allais aimez cet acteur hors-norme,les anneés 20 furent pour lui un debut a une grande carrière malgré des films un peu leger,les anneés 30 seront pour lui l'occasion de montré toutes la force d'un talent non dissimulé ,je considère gary cooper comme etant un "symbole"pour le cinéma americain,capable de joué tant dans le "western" que "la comedie" que le film"d'aventure" il seras a l'aise dans tous ses roles il fut un" bill hicock" un "marco polo"un "militaire" un "marin" un" sherrif" etc...... malgré tout ses roles de composition gary cooper reste^pour la majoriteé des afficionados "un homme du far-west" genre le plus representatif et famillier de l'epoque je tiens a le rappelez,la plupart de ces interpretations dans des western etait pour la plupart tous critiqué de facon objective,mais sa plus belle reussite d'acteur dans le genre qui nous interresse et de l'avis de connaisseur reste" friendly persuasion"1956 d'ou l'acteur se reconnaissait une etrange ressemblance avec son personnage.
Ces western furent tout aussi de très bonne facture "le grand bill" un coté enfantin mais qui a de la repartis,"le cavalier du desert" sublime western avec en plus une distribution etincellante,"les tunique ecarlate "sympathique western de frontière mais qui reste un ton en dessous,le moins bien de gary cooper a mon sens,"dallas ,ville frontière" western très conventionnel servit surtout par une très belle photographie et de belle couleur"warner" "les aventure du cpt wyatt" remake glorieux "d'objectif burma" du meme realisateur western nous montrant "les indiens seminole" qui furent que rarement exploité au cinéma,"le train sifflera trois " western assez ennuiyeux,je ne m'etendrais pas plus,"la mission du cdt lex" western populaire de grand public du spectacle ,"le jardin du diable,vera cruz,l'homme de l'ouest autant de western dont nous somme très admiratif d'ou des emotion se degage pour notre plus grand plaisir,considerais comme etant un acteur n'ayant jamais fait de geste faux gary cooper doit etre placer au panthéon du cinéma et notement du "western".so long mister cooper :D
voici sa filmo western:
:arrow: the thundering herd...1925
:arrow: wild horse....1925
:arrow: the lucky horseback...1925
:arrow: the vanishing american...1926
:arrow: tricks...1926
:arrow: the enchanted hills...1926
:arrow: the wining of barbara worth(barbara fille du desert)...1927
:arrow: arizona bound...1927
:arrow: nevada....1927
:arrow: the last outlaw...1927
:arrow: wolf song(le chant du loup)...1929
:arrow: the virginian...1929
:arrow: the texan...1930
:arrow: figthing caravans...1931
:arrow: the plaisman(une aventure de buffalo bill)...1936
:arrow: the cow-boy and the lady(madame et son cow-boy)...1937
:arrow: the westerner(le cavalier du desert)....1940
:arrow: north west mounted police(les tuniques ecarlate)...1940
:arrow: along came jones(le grand bill)...1945
:arrow: unconquered(les conquerants d'un nouveau monde)...1947
:arrow: dallas(dallas,ville frontière)...1950
:arrow: distants drums(les aventures du cpt wyatt)...1951
:arrow: high noon(le train sifflera trois fois)...1952
:arrow: springfield rifles(la mission du cdt lex)...1952
:arrow: garden of evil(le jardin du diable)...1954
:arrow: vera cruz...1954
:arrow: friendly persuasions(la loi du seigneur)...1956
:arrow: man of the west(l'homme de l'ouest)...1958
:arrow: the hanging tree(la colline des potences)...1959
:arrow: alias jesse james(ne tirez pas sur le bandit)....1959
:arrow: they came to cordura(ceux de cordura)....1959
:arrow: the real west.............pour la tv americaine1961

vala,james :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Jeremy Fox
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Re: gary cooper"le cow-boy"

Message par Jeremy Fox »

Un acteur que j'aime beaucoup et qui peut être très drôle quand il le veut : la vision la semaine dernière du sympathique Along came Jones me l'a confirmé (Les lubitsch, Borzage et Capra également d'ailleurs).

Un acteur de grande classe, élégant et charismatique. Il a tourné dans le plus beau film de Cecil B De Mille : The plainsman dans lequel il formait un couple inoubliable avec Jean Arthur. J'adore aussi son personnage dans Vera Cruz où il rivalise de talent avec Burt Lancaster.

Hors western, je retiendrais avant tout son inoubliable personnage d'architecte dans le chef d'oeuvre de Vidor : Le rebelle (The fountainhead)
james
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Message par james »

Le rebelle (The fountainhead quel interprétation aussi de "raymond massey"mais il est vraie gary cooper avait tout pour lui cela se degagé tout naturelement,j'ai l'impression de l'avoir toujours connus... :D
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
james
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Message par james »

The plainsman dans lequel il formait un couple inoubliable avec jean arthur et buffalo bill "james ellison" inoubliable :D
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Geoffrey Firmin
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Message par Geoffrey Firmin »

Je n'aime pas beaucoup la loi du seigneur de Wyler, truc dégoulinant de bons sentiments. :?
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Beule
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Message par Beule »

Pour moi il est, peut-être plus encore que Jimmy Stewart, le comédien qui représente le plus sûrement le meilleur de la tradition hollywoodienne de l'âge d'or. Capable de personnifier l'homme fort dans les westerns , comme l'homme de la rue dans les comédies de Capra ou McCarey en manifestant chaque fois la même probité. J'ai pour le "caractère" une tendresse (et une fascination) infinie, qui tient sans doute pour beaucoup à l'ingénuité un peu timide qu'il a toujours su conserver même avec l'âge et le mythe que recouvrait déjà sa stature, et qui participe pour beaucoup à son charisme inégalable.

Sa filmographie, de Coeurs brûlésà L'homme de l'ouest , soit trois décennies complètes au sommet, me laisse sans voix :P : Sternberg, Borzage, Lubitsch, Capra, Hawks, Mc Carey, De Mille, Wilder, Preminger, Walsh, Wellman, Hathaway, Vidor, Lang, Mamoulian, Hathaway, Aldrich... A part peut-être -encore- Jimmy Stewart, je n'en vois guère capable de rivaliser, même si toutes ces collaborations n'ont pas accouché de chefs-d'oeuvre, évidemment.

Pour moi, The King, c'est Coop 8)
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james
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Message par james »

Geoffrey Firmin a écrit :Je n'aime pas beaucoup la loi du seigneur de Wyler, truc dégoulinant de bons sentiments. :?
j'aime bien ce western,mais je le trouve un peu trop longué... :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

Beule a écrit :A part peut-être -encore- Jimmy Stewart, je n'en vois guère capable de rivaliser, même si toutes ces collaborations n'ont pas accouché de chefs-d'oeuvre, évidemment.
Kirk Douglas peut-être, voire sûrement. :D

Sinon, un film important pour Gary Cooper et qui l'a aidé a lancé sa carrière est Wings de William Wellman (1929). Un excellent film et je crois le premier Oscar.
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Ann Harding
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Re: gary cooper"le cow-boy"

Message par Ann Harding »

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The Devil and the Deep (1932, Marion Gering) avec Tallulah Bankhead, Cary Grant, Gary Cooper et Charles Laughton

Afrique du Nord, Le commandant Sturm (C. Laughton) est d'une jalousie maladive avec son épouse Diana (T. Bankhead). Il la suspecte d'être la maîtresse d'un de ses officiers, le lieutenant Jaeckel (C. Grant). Excédée, Diana part seule dans les rues où elle rencontre un inconnu (C. Gooper)...

Cette production Paramount a été conçue pour le couple star Cooper/Bankhead. Mais, on y trouve aussi Charles Laughton, qui tournait alors son deuxième film à Hollywood et un jeune débutant nommé Cary Grant dans un petit rôle. Ce film se révèle être une concoction particulièrement hilarante. Le scénario est une succession de clichés avec des dialogues assez ineptes. Et les personnages sont également stéréotypés. Néanmoins, j'ai pris un plaisir coupable à la vision de ce 'chef d'oeuvre' assez camp. Charles Laughton, quasiment en roue libre, nous livre son cabotinage le plus savoureux en commandant torturé par la jalousie qui vire à la démence. Tallulah a un visage mi-Garbo mi-Crawford en femme fatale. Elle n'a pas le beau visage régulier de Garbo, mais elle a indéniablement une personnalité, même dans ce rôle stéréotypé d'épouse torturée. Vêtue de robes fourreaux signées Travis Banton, elle est très bien éclairée par Charles Lang qui lui donne tout le glamour requis. Face à elle, on retrouve un Cary Grant au visage encore poupin dans un rôle assez court. Puis, évidemment, il y a Gary Cooper, qui apparaît d'abord en civil. Elle le suit dans l'oasis d'un désert étoilé où ils passent la nuit ensemble (nous sommes dans la période pre-code). Après ces préambules, le mélo se transforme en catastrophe sous-marine. Et c'est là que le film atteint des sommets dans le délire ! Cooper est le subalterne de Laughton et ce dernier veut se venger en faisant couler le submersible, tuant ainsi son épouse, son amant et tout l'équipage. Nous voici soudain dans un film catastrophe avec Tallulah en robe du soir (en lamé) et hauts talons qui doit sortir du sous-marin en nageant avec les marins. Nous avons droit aussi au délire de Laughton qui se suicide par noyade dans sa cabine. La réception du film en 1932 fut assez fraîche. Et ce n'est pas étonnant ! Vu au second degré, on peut admirer la photo de Charles Lang et la qualité des décors dans cette production Paramount fort amusante.
Disponible dans le coffret TCM Vault 'Cary Grant The Early Years'. Aucun ST.
EddieBartlett
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Re: Gary Cooper (1901-1961)

Message par EddieBartlett »

Nous voici soudain dans un film catastrophe avec Tallulah en robe du soir (en lamé) et hauts talons qui doit sortir du sous-marin en nageant avec les marins.
:lol:
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Federico
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Re: Gary Cooper (1901-1961)

Message par Federico »

Il fut l'acteur-fétiche du jeune Bertrand Tavernier (comme de nombreux gamins de sa génération). Le cinéaste a souvent raconté que c'est l'espoir de pouvoir un jour rencontrer "Coop"' qui l'a décidé à se lancer dans le métier, même si cela ne se réalisa jamais.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
Tancrède
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Re:

Message par Tancrède »

Beule a écrit :Pour moi il est, peut-être plus encore que Jimmy Stewart, le comédien qui représente le plus sûrement le meilleur de la tradition hollywoodienne de l'âge d'or. Capable de personnifier l'homme fort dans les westerns , comme l'homme de la rue dans les comédies de Capra ou McCarey en manifestant chaque fois la même probité. J'ai pour le "caractère" une tendresse (et une fascination) infinie, qui tient sans doute pour beaucoup à l'ingénuité un peu timide qu'il a toujours su conserver même avec l'âge et le mythe que recouvrait déjà sa stature, et qui participe pour beaucoup à son charisme inégalable.

Sa filmographie, de Coeurs brûlésà L'homme de l'ouest , soit trois décennies complètes au sommet, me laisse sans voix :P : Sternberg, Borzage, Lubitsch, Capra, Hawks, Mc Carey, De Mille, Wilder, Preminger, Walsh, Wellman, Hathaway, Vidor, Lang, Mamoulian, Hathaway, Aldrich... A part peut-être -encore- Jimmy Stewart, je n'en vois guère capable de rivaliser, même si toutes ces collaborations n'ont pas accouché de chefs-d'oeuvre, évidemment.

Pour moi, The King, c'est Coop 8)
pas mieux que cet éloge parfait.
Prenez en de la graine.
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Watkinssien
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Re: Gary Cooper (1901-1961)

Message par Watkinssien »

Allez hop pareil... :)
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Re: Gary Cooper (1901-1961)

Message par Ann Harding »

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Doomsday (Rien que l'amour, 1928) de Rowland V. Lee avec Florence Vidor, Gary Cooper et Lawrence Grant

Angleterre. Mary Viner (F. Vidor) vit avec son vieux père et s'épuise toute la journée aux tâches ménagères. Le hobereau Percival Tream (L. Grant) lui propose de l'épouser pour échapper à cette vie de labeur. Mais, elle est amoureuse du fermier Arnold Furze (G. Cooper)...

En 1928, Gary Cooper n'est pas encore une star. C'est Florence Vidor, qui fut la première épouse de King Vidor, qui tient le haut de l'affiche. Il est là pour lui servir de partenaire et de faire valoir. Le scénario de ce film tiré d'un roman de Warwick Deeping offre une image de la société particulièrement machiste. Florence Vidor ne semble vouer qu'à laver, frotter, décrasser ou faire la cuisine. Il est fort amusant de voir la belle Florence, vêtue de jolies robes légères, jouer à la parfaite femme au foyer telle qu'on l'imaginait au XIXème siècle alors qu'elle-même était une femme émancipée des années 20. Certes, de nombreuses femmes de fermiers devaient trimer comme le fait Florence Vidor. Mais, ce qui est frappant, c'est le message terriblement ringard que véhicule le film. Une femme ne peut être destinée qu'à être une bonne épouse, soumise à son époux. Florence choisit d'abord le luxe sans l'amour auprès de Lawrence Grant, qui n'inspire pas la moindre sympathie. Croulant sous les bijoux et les toilettes, elle s'ennuie ferme. Son époux ne la considère que comme un objet qu'il est fier d'exhiber en public. Quand elle retourne vers son fermier désargenté après cette expérience malheureuse, elle se soumet et accepte toutes les humiliations pour le reconquérir. Si l'intrigue me fait grincer des dents, le film est cependant bien réalisé par Rowland V. Lee. Il y a une très jolie scène où Florence Vidor et Gary Cooper flirtent et s'embrassent sur une meule de paille. Florence Vidor était une excellente actrice -alors déjà divorcée de King Vidor, et c'est toujours un plaisir de la voir à l'écran. Quant à Cooper, il ressemble à un grand echalat avec un visage d'enfant, presque féminin. Son jeu reste assez sommaire. C'est grâce à son pouvoir de séduction qu'il s'impose à l'écran. Il faudra encore plusieurs années avant qu'il devienne un véritable acteur. Rowland V. Lee a réalisé de meilleurs films que celui-ci. Je le classerais parmi les productions de série de la Paramount.
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Cathy
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Re: Gary Cooper (1901-1961)

Message par Cathy »

La Lame nue, the naked edge (1961) - Michael Anderson

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Un homme est accusé d'avoir tué un homme et volé de l'argent, pourtant quelques années plus tard tous les soupçons se tournent vers celui qui fut son principal accusateur.

Voici un bon petit thriller qu'Hitchcock n'aurait pas renié, jouant sur l'ambiguité des faux coupables, des faux innocents, sur cette tension permanente dans une sorte de huis clos entre une épouse et son mari. Le film commence lors du procès qui va voir l'inculpation d'un homme alcoolique que tout accuse et notamment un collaborateur qui comme par hasard va réussir peu après dans ses affaires. Cinq ans plus tard, suite à une lettre anonyme, l'épouse va se mettre à douter de l'innocence de son mari et celui à force de vouloir démontrer son innocence va finir par renforcer son potentiel évident de coupable. Comment ne pas évoquer Soupçons en voyant ce film et notamment la grande scène au bord de l'océan, le clin d'oeil est évident, la voiture quasiment identique et la scène fort semblable. La lame nue est donc fort traditionnel dans son argument, dans sa construction, mais le film s'avère plus que prenant, il s'avère être le dernier film de Gary Cooper qui jouera pour une fois un rôle de type peu sympathique, assassin potentiel, et il y a Deborah Kerr dans le rôle de cette épouse que le doute assaille et qui n'arrive plus à se raisonner comme si quelque part, elle avait toujours su. Il y a cette ambiance typique de ce style de films avec les librairies glauques, les rues sombres, les mensonges, les vérités. Bref ce film mérite plus que ce DVD qui ne comporte qu'une version française d'origine au moins et un film non anamorphique. Le regret est d'autant plus grand que la copie s'avère très belle. Un thriller efficace avec une fin un peu grandiloquente, mais un film qui démontre l'immense talent de Gary Cooper qui aura tout joué dans sa carrière avec un égal bonheur !
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