Cinetudes a écrit :
Eh Vic, si je compare ça à Leone c'est parce que Francis Moury avait tenté de nous convaincre dans un post que Sergio Corbucci était un bien meilleur réalisateur que Leone et ensuite parce que tout au long des suppléments du film les intervenants font référence à Leone et à son boulot sur pour une poignée de dollars que Corbucci revendique avoir voulu copier.
Oki, je ne savais pas. Intéressant.
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
Je me referai bien un ptit Django moi ! Quelle édition DVD privilégier ?
Merci d'avance !
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
Cosmo Vitelli a écrit :Je me referai bien un ptit Django moi ! Quelle édition DVD privilégier ?
Merci d'avance !
le collector zone 2 wild side est très bien et les bonus sont très interessant par contre faut te coltiner l'affreux Qatre de l'apocalypse de Fulci avec sauf si tu privilégie l'édition simple.
Profondo Rosso a écrit :par contre faut te coltiner l'affreux Qatre de l'apocalypse de Fulci avec sauf si tu privilégie l'édition simple.
Merci. Cela étant, j'ai vu des Fulci plus affreux
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
Avec les westerns de Sergio Leone, le Django de Corbucci reste sans aucun doute le chef d'oeuvre d'un genre finalement assez moribond. Exception faite des films de Sergio Leone et deux films de Corbucci (Django et Le Grand Silence) qui reste les fleurons du genre, le reste de la production oscille entre le sympathique (Keoma, El Chuncho) et le médiocre. Quoique l'on pourrait encore sortir du lot le film de Tonino Valerii, Mon nom est personne. Django est l'un des très rares grands westerns italiens.
Frank Bannister a écrit :Avec les westerns de Sergio Leone, le Django de Corbucci reste sans aucun doute le chef d'oeuvre d'un genre finalement assez moribond. Exception faite des films de Sergio Leone et deux films de Corbucci (Django et Le Grand Silence) qui reste les fleurons du genre, le reste de la production oscille entre le sympathique (Keoma, El Chuncho) et le médiocre. Quoique l'on pourrait encore sortir du lot le film de Tonino Valerii, Mon nom est personne. Django est l'un des très rares grands westerns italiens.
C'est un peu réducteur.
J'ai également un excellent souvenir de Colorado, de Sergio Sollima. N'ayant plus de magnétoscope qui fonctionne correctement, j'aimerais d'ailleurs beaucoup qu'il sorte en DVD un jour.
Bon et bien finalement je tenterais encore au cinéma de minuit le El Chuncho de Damiani qui m'intrigue mais je crois sinon que je vais définitivement tirer un trait sur le western italien ; pas la peine de perdre du temps avec un style cinématographique qui ne me parle absolument pas voire même qui m'agace au plus haut point.
Jeremy Fox a écrit :Bon et bien finalement je tenterais encore au cinéma de minuit le El Chuncho de Damiani qui m'intrigue
Film très politique dans la veine dite "zappata", c'est loin d'être ma préférée... mais El Chuncho n'est pas mal...celà dit je doute qu'il te plaise sauf si justement tu es intéressé par ce côté politique
Jeremy Fox a écrit :Bon et bien finalement je tenterais encore au cinéma de minuit le El Chuncho de Damiani qui m'intrigue mais je crois sinon que je vais définitivement tirer un trait sur le western italien ; pas la peine de perdre du temps avec un style cinématographique qui ne me parle absolument pas voire même qui m'agace au plus haut point.
Moi j'ai définitivement laissé tomber après Keoma et sa chanson insupportable (et donc matraquée toutes les cinq minutes) Le seul western italien qui m'ait plu est Pas de pitié pour les salopards sans doute parce qu'il s'agit davantage d'un pastiche que d'un véritable western spaghetti.
Jeremy Fox a écrit :Bon et bien finalement je tenterais encore au cinéma de minuit le El Chuncho de Damiani qui m'intrigue mais je crois sinon que je vais définitivement tirer un trait sur le western italien ; pas la peine de perdre du temps avec un style cinématographique qui ne me parle absolument pas voire même qui m'agace au plus haut point.
Il me semble que ça vaut le coup d'œil. Keoma, dans mon vague souvenir , avait des qualités esthétiques. Mon rapport avec les westerns européens est ambigu : si je les apprécie, c'est plus en tant que films de genre européens qu'en tant que westerns. Mais ça, c'est la faute à mes camarades de lycée qui ne juraient que par Il était une fois dans l'Ouest : "Ça, c'est du western!" qu'ils disaient.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
