Jean-Pierre Melville (1917-1973)
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Le couple fonctionne pourtant dans Léon Morin, prêtre.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Jamais réussi à le regarder jusqu'au bout tellement il m'a rasé...homerwell a écrit :Le couple fonctionne pourtant dans Léon Morin, prêtre.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
On poursuit justement la semaine Melville avec Un Flic, chroniqué par Julien Leonard.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Bel article qui devrait permettre de revoir un peu à la hausse ce Melville qui le mérite.Jeremy Fox a écrit :On poursuit justement la semaine Melville avec Un Flic, chroniqué par Julien Leonard. Le test du DVD Studio Canal.
La présentation par Blow up est également très bien vue.
Détail amusant : l'interviewer de Melville dans la seconde vidéo n'est autre que le père de Xavier Giannolli, cinéaste (né en... 1972) qui a lui aussi quelques affinités avec Melville (Hermann).
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Rétro MelvilleComme nos lecteurs ont pu le constater, la rédac de DVDClassik profite de la réédition au cinéma ce mercredi de quatre de ses films en copies neuves et de la sortie en Blu-ray de L'Armée des ombres pour consacrer une semaine spéciale au grand Jean-Pierre Melville. Outre les chroniques de ces quatre films bénéficiant d'une actualité, vous pourrez également consulter le dossier consacré au cinéaste ainsi que le top de la rédac. Et l'on retrouvera notre cinéaste jeudi et vendredi pour deux chroniques inédites...
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Poursuite de la semaine Melville avec Bob le Flambeur par Olivier Bitoun. Le test du DVD Studio Canal.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Et enfin, toujours grâce à Olivier Bitoun, on termine la semaine par Leon Morin Prêtre.
Le test du DVD.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Je n'avais pas fait attention : ils sont à chier, ces nouveaux visuels !Jeremy Fox a écrit :Poursuite de la semaine Melville avec Bob le Flambeur par Olivier Bitoun. Le test du DVD Studio Canal.
Et pour Bob le flambeur, c'est le pompon ! Le mec mis en avant sur la jaquette n'est absolument pas "Bob" (Roger Duchesne), c'est Gérard Buhr, qui joue un second rôle de hareng ! Même chose pour Isabel Corey et Daniel Cauchy dont les noms sont écrits en plus gros que celui du héros du film ! C'est pas Jérôme qui parlait de contrat pour la réalisation des affiches, des jaquettes, tout ça ? Depuis quand les seconds rôles sont-ils écrits en plus gros que le premier rôle ?
C'est vraiment du boulot ni fait, ni à faire ! Je suis prêt à parier que le mec qui a pondu ça n'a même pas vu le film ! On croirait du LCJ (vous savez, les mecs qui font des jaquettes avec des photos de personnages coupés au montage !).
Dernière modification par Commissaire Juve le 16 mai 15, 19:36, modifié 1 fois.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Ce sont des DVD de 2012Commissaire Juve a écrit : Je n'avais pas fait attention : ils sont à chier, ces nouveaux visuels !
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
J'entends bien. Mais ce sont les dernières en date. Franchement, la personne qui a bossé sur "Bob le flambeur" s'est vraiment foutue du monde (et je ne dis rien de la personne qui a avalisé).
Quitte à faire n'importe quoi... une suggestion pour la prochaine édition du Corniaud :
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Dernière modification par Commissaire Juve le 17 mai 15, 14:43, modifié 1 fois.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Je souscrit en tous points aux propose de Julien Léonard dans sa chronique de Un Flic.
Et ceux qui jugent la qualité du film à sa séquence du hold-up en hélicoptère n'ont rien compris à l'univers melvillien qui est tout sauf un univers réaliste.
Reproche-t-on les maquettes (ou transparences) bien plus visibles encore de quantité de films de Hitchcock ? Certains sont pourtant des chef d’œuvres...
J'oserais presque affirmer que le coté "maquette" clairement visible de la séquence a été voulu par Melville pour justement souligner (montrer) la mécanique.
La mécanique (ou le mécanique) c'est ce qui reste d'un corps, d'un objet sans âme, sans vie.
Ces hommes sont des pantins que la main du destin déplace mécaniquement et, en ce sens. cette séquence est tout à fait raccord, pour employer un terme cinématographique.
Un Flic a toujours été et restera mon Melville préféré.
Et ceux qui jugent la qualité du film à sa séquence du hold-up en hélicoptère n'ont rien compris à l'univers melvillien qui est tout sauf un univers réaliste.
Reproche-t-on les maquettes (ou transparences) bien plus visibles encore de quantité de films de Hitchcock ? Certains sont pourtant des chef d’œuvres...
J'oserais presque affirmer que le coté "maquette" clairement visible de la séquence a été voulu par Melville pour justement souligner (montrer) la mécanique.
La mécanique (ou le mécanique) c'est ce qui reste d'un corps, d'un objet sans âme, sans vie.
Ces hommes sont des pantins que la main du destin déplace mécaniquement et, en ce sens. cette séquence est tout à fait raccord, pour employer un terme cinématographique.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Melville dans l'émission de France Culture Connaître le cinéma en novembre 1966, au moment de la sortie du Deuxième souffle.
Il raconte entre autre comment il réussit à convaincre un Ventura pas super chaud de prendre le train en marche pour la séquence d'ouverture... en y mettant une bonne dose de perversité qui lui vaudra les foudres (méritées) de l'acteur. Mais aussi comment Jacques Becker retournera une bonne partie du Trou dans les studios de la rue Jenner.
Il raconte entre autre comment il réussit à convaincre un Ventura pas super chaud de prendre le train en marche pour la séquence d'ouverture... en y mettant une bonne dose de perversité qui lui vaudra les foudres (méritées) de l'acteur. Mais aussi comment Jacques Becker retournera une bonne partie du Trou dans les studios de la rue Jenner.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Je l'ai écouté la semaine dernière. Très intéressant, notamment quand il parle de son expérience de cinéphile dans les années 30-40, et qu'il sortait du cinéma à 4h du matin. Une autre époque.Federico a écrit :Melville dans l'émission de France Culture Connaître le cinéma en novembre 1966, au moment de la sortie du Deuxième souffle.
Il raconte entre autre comment il réussit à convaincre un Ventura pas super chaud de prendre le train en marche pour la séquence d'ouverture... en y mettant une bonne dose de perversité qui lui vaudra les foudres (méritées) de l'acteur. Mais aussi comment Jacques Becker retournera une bonne partie du Trou dans les studios de la rue Jenner.
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
J'adore, à propos de Trois chambres à Manhattan : "J'ai deux regrets : de ne pas l'avoir tourné et que Carné l'ait tourné".
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Jean-Pierre Melville (1917-1973)
Et puis ça aurait été sympa de se dire plus tard que de Niro avait débuté chez Melville...Kevin95 a écrit :J'adore, à propos de Trois chambres à Manhattan : "J'ai deux regrets : de ne pas l'avoir tourné et que Carné l'ait tourné".
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