The Servant (Joseph Losey - 1963)
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The Servant (Joseph Losey - 1963)
Le film de Joseph Losey avec Dirk Bogarde passe demain soir.
Pouvez-vous m'en dire plus, j'en ai entendu beaucoup de bien, en particulier concernant la performance des comédiens.
Je l'enregistrerai sans doute.
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- murder on the dance floor
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- David O. Selznick
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Par certains aspects (symbolique sexuelle) il est clair qu'il lorgne du côté de Hitch. Mais il ne faut pas non plus s'attendre à un suspense, c'est avant tout un film à l'ambiance oppressante, merveilleusement écrit et interprêté.Philip Marlowe a écrit :Un grand film selon moi...une sorte de thriller érotique qui m'a de temps en temps fait penser à du Hitchcock...cependant je dois être le seul de cet avis
en fait le mieux est que tu le voies et qu'on en parle après
- Billy Budd
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Pour une fois George Kaplan a bon g... euh pour une fois nous sommes d'accordGeorge Kaplan a écrit :Par certains aspects (symbolique sexuelle) il est clair qu'il lorgne du côté de Hitch. Mais il ne faut pas non plus s'attendre à un suspense, c'est avant tout un film à l'ambiance oppressante, merveilleusement écrit et interprêté.Philip Marlowe a écrit :Un grand film selon moi...une sorte de thriller érotique qui m'a de temps en temps fait penser à du Hitchcock...cependant je dois être le seul de cet avis
en fait le mieux est que tu le voies et qu'on en parle après
Everybody's clever nowadays
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- David O. Selznick
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On me l'a offert en dvd alors que je ne connaissais pas du tout le film et
la surprise n'en a été que plus grande...
Tres bon film d'ambiance a l'homosexualité latente avec une premiere partie qui pose les personnages assez longuement et une deuxieme partie
qui est assez impressionnante a regarder par son atmosphere malsaine...
la surprise n'en a été que plus grande...
Tres bon film d'ambiance a l'homosexualité latente avec une premiere partie qui pose les personnages assez longuement et une deuxieme partie
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- Billy Budd
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Je trouve que vous êtes un peu sévères avec "The Servant". C'est un très grand film "social", qui analyse très bien la cruauté et la complexité des rapports de classe en Angleterre. J'aime la façon dont ce pays, qui a pu être à l'avant-garde sur certains aspects culturels, est montré dans ses clivages éternels. Et puis quels acteurs !
Je préfère peut-être "Monsieur Klein" d'une courte tête mais c'est un film qui n'a pas du tout vieilli et qui garde toute son ambiguité quasi-maladive.
Je préfère peut-être "Monsieur Klein" d'une courte tête mais c'est un film qui n'a pas du tout vieilli et qui garde toute son ambiguité quasi-maladive.
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The Servant est un peu à Losey ce que le Septième Sceau est à Bergman: le film emblématique d'un réalisateur qui ne suffit pourtant pas, et de loin, à résumer l'univers de ce dernier.
Voulant découvrir Losey, j'irais directement à the go-between (le messager), je tomberais à la renverse et je repasserais par la case Servant pour apprécier celui-ci à sa juste valeur.
Voulant découvrir Losey, j'irais directement à the go-between (le messager), je tomberais à la renverse et je repasserais par la case Servant pour apprécier celui-ci à sa juste valeur.
Night of the hunter forever
Caramba, encore raté.
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The Servant
Réalisation stupéfiante de Losey, qui donne une quasi-impression étrange de malaise, ou de menace (cadrages penchés, photo engouffrant les personnages, menaçante, et ces miroirs !) j'ai suradoré jusqu'à un peu près une heure de film. Je trouve qu'il à tendance à un peu se délaisser de cette ambiance de non-dit lourde (ça fait parti du récit en même temps) et qu'il y a quelques moments creux. Reste un deux acteurs principaux très très bon (Dirk Bogarde diablement charismatique) et une fin plutôt noir. Le problème, c'est que les que les moments qui pourrait paraître attendrissant sont annhilé par la noirceur du film (lorsque Bogarde et Fox joue à la balle dans les escaliers par exemple). Assez jusqu'au boutiste, mais immanquable.
Réalisation stupéfiante de Losey, qui donne une quasi-impression étrange de malaise, ou de menace (cadrages penchés, photo engouffrant les personnages, menaçante, et ces miroirs !) j'ai suradoré jusqu'à un peu près une heure de film. Je trouve qu'il à tendance à un peu se délaisser de cette ambiance de non-dit lourde (ça fait parti du récit en même temps) et qu'il y a quelques moments creux. Reste un deux acteurs principaux très très bon (Dirk Bogarde diablement charismatique) et une fin plutôt noir. Le problème, c'est que les que les moments qui pourrait paraître attendrissant sont annhilé par la noirceur du film (lorsque Bogarde et Fox joue à la balle dans les escaliers par exemple). Assez jusqu'au boutiste, mais immanquable.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
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Re: The servant (Joseph Losey, 1963)
L'émission Mauvais genres vient d'évoquer The servant et Accident suite à leur sortie DVD/BR en copie restaurée.
(A écouter à partir de 1h25)
11 ans sans ajout sur ce topic, shocking, isn't it ?...
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The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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Re: The Servant (Joseph Losey - 1963)
Peut-être la meilleure utilisation "éloignée" d'une construction "méphistophélique", The Servant est une oeuvre d'une richesse peu commune, à la mise en scène extraordinaire, intelligente, vivace, créative. Un Dirk Bogarde magistral domine un casting impeccable. Losey parvient à nous enfermer dans un piège machiavélique et subtil, subversif et grinçant.
Chef-d'oeuvre !
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Mother, I miss you