Boromir, je l'ai d'ailleurs fait revivre sous d'autres cieux il n'y a pas très longtemps (sinon, j'ai eu aussi des : Dr Evil, Austin Powers, Derrick, Jacouille, Aragorn, Dempsey Rae...). Mais on s'éloigne du sujet. STOP !Jeremy Fox a écrit :
Ca mériterait un topic avec rajout des pseudos que nous avions sur les forums pré-classik. N'est-ce pas Boromir ?
Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Commissaire Juve a écrit :On s'en tape un peu, mais... savez-vous que j'ai d'abord tenté de m'inscrire sur le forum avec le pseudo "Roy Neary"... hélas, comme vous le savez, c'était déjà pris.
Bien du temps a passé et Juve colle tellement bien à ma personnalité que... pas de regrets (vous imaginez deux secondes un énergumène comme moi dans la peau d'un "Roy Neary" ?).
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Et sur Classik, avec les multi-pseudos. Parce que même moi j'ignore combien j'en ai. On approche peut-être le millier...Jeremy Fox a écrit :
Ca mériterait presque un topic avec rajout des pseudos que nous avions sur les forums pré-classik. N'est-ce pas Boromir ?
Peut-être que Pacaya peut trouver la réponse, et même sans se fatiguer le gars, avec son savoir technique et ses moyens de reconnaissances vocale, palmaire, rétinienne que le FBI lui envie.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Parce qu'il est bon de rire un peu, l'affiche polonaise du film
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Tout de suite ça donne envie
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
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J'allais faire une vanne sur le serial-jaqueteur du StudioCanal, mais je me contenterai de dire que ça doit être une des premières affiches "suédées" !
J'allais faire une vanne sur le serial-jaqueteur du StudioCanal, mais je me contenterai de dire que ça doit être une des premières affiches "suédées" !
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
La Soupe aux choux est sortie en Pologne???AtCloseRange a écrit :Parce qu'il est bon de rire un peu, l'affiche polonaise du film
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Revu hier soir et j'ai toujours autant de réserves sur ce film.
De toute évidence, le film de Spielberg le plus ouvertement dédié à la forme, où le plaisir des sens prime sur l'histoire. Un gigantesque son & lumière passablement envoutant, où Spielberg semble mal à l'aise avec la notion même d'expérience sensorielle, presque gêné à l'idée d'articuler la sphère intime et l'extérieur. Le film se veut symphonique avec la convergence de tous les éléments mais il échoue à rendre intéressant ou captivant chacune des étapes. Le film se contentant trop souvent d'accoler faits mystérieux ( avions de la 2ème GM, bateau...) traités lors de ces grands moments de sidération et crises existentielles que Spielberg ne prend pas la peine de faire résonner de façon complexe. Du coup, les personnages on s'en fout un peu quand ils n'apparaissent pas inutiles à l'histoire. Il est évident que Spielberg a réalisé ce film pour ce final où la musique et la lumière se rencontrent ( la vraie rencontre du film). Belle idée que cette fusion mais dont les personnages demeurent totalement étrangers, comme éloignés, réduits à un rôle de spectateur passif, tout juste bons à ouvrir la bouche comme devant un feu d'artifice. Drames et questions sans réponses envolés, délire complotiste et rupture familiale disparu, seul compte la virtuosité du concert. Dommage.
De toute évidence, le film de Spielberg le plus ouvertement dédié à la forme, où le plaisir des sens prime sur l'histoire. Un gigantesque son & lumière passablement envoutant, où Spielberg semble mal à l'aise avec la notion même d'expérience sensorielle, presque gêné à l'idée d'articuler la sphère intime et l'extérieur. Le film se veut symphonique avec la convergence de tous les éléments mais il échoue à rendre intéressant ou captivant chacune des étapes. Le film se contentant trop souvent d'accoler faits mystérieux ( avions de la 2ème GM, bateau...) traités lors de ces grands moments de sidération et crises existentielles que Spielberg ne prend pas la peine de faire résonner de façon complexe. Du coup, les personnages on s'en fout un peu quand ils n'apparaissent pas inutiles à l'histoire. Il est évident que Spielberg a réalisé ce film pour ce final où la musique et la lumière se rencontrent ( la vraie rencontre du film). Belle idée que cette fusion mais dont les personnages demeurent totalement étrangers, comme éloignés, réduits à un rôle de spectateur passif, tout juste bons à ouvrir la bouche comme devant un feu d'artifice. Drames et questions sans réponses envolés, délire complotiste et rupture familiale disparu, seul compte la virtuosité du concert. Dommage.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Hmm, je suis aussi perplexe sur ton avis que toi sur le film.G.T.O a écrit :Revu hier soir et j'ai toujours autant de réserves sur ce film.
De toute évidence, le film de Spielberg le plus ouvertement dédié à la forme, où le plaisir des sens prime sur l'histoire. Un gigantesque son & lumière passablement envoutant, où Spielberg semble mal à l'aise avec la notion même d'expérience sensorielle, presque gêné à l'idée d'articuler la sphère intime et l'extérieur. Le film se veut symphonique avec la convergence de tous les éléments mais il échoue à rendre intéressant ou captivant chacune des étapes. Le film se contentant trop souvent d'accoler faits mystérieux ( avions de la 2ème GM, bateau...) traités lors de ces grands moments de sidération et crises existentielles que Spielberg ne prend pas la peine de faire résonner de façon complexe. Du coup, les personnages on s'en fout un peu quand ils n'apparaissent pas inutiles à l'histoire. Il est évident que Spielberg a réalisé ce film pour ce final où la musique et la lumière se rencontrent ( la vraie rencontre du film). Belle idée que cette fusion mais dont les personnages demeurent totalement étrangers, comme éloignés, réduits à un rôle de spectateur passif, tout juste bons à ouvrir la bouche comme devant un feu d'artifice. Drames et questions sans réponses envolés, délire complotiste et rupture familiale disparu, seul compte la virtuosité du concert. Dommage.
Notamment, sur les éléments "inutiles" ou sur la passivité des personnages. Plus je revois le film, plus j'y vois un mélange d'émerveillement et de dépression. Plus je le visionne, moins j'oublie le fait que Roy Neary ose "abandonner" son foyer conjugal, embrasse une autre femme, régresse aux yeux même de son aîné à pleurer parce qu'il ne comprend pas le changement physiquement impossible qu'il ressent. Je trouve audacieux, au contraire, que Spielberg arrive, volontairement plus que ce qu'il en est incapable, à ne pas développer le retour aux sources et aux valeurs de l'Amérique que sont la famille et va jusqu'au bout de cette nouvelle quête, une mission vers l'inconnu qui est en réalité un moyen profondément spectaculaire de retourner en arrière, revenir en enfance que la société et les codes s'acharnent à contrer les plus simples exemples (jouer au train électrique, regarder des films d'animation, suivre ce qui nous fait peur et nous intrigue, nous fascine). Si notre héros laisse derrière lui toute sa vie construite (et le spectateur avec lui), c'est pour atteindre une forme d'absolu vraiment remarquable dans le cinéma.
Il est sûr que la communication entre sons et lumières est le clou du spectacle, le moment d'anthologie. Même si tous les points convergent vers ce "concert", il m'apparaît plus clairement que le film atteint son objectif sur le gros plan final de Roy, immaculé de blancheur rayonnante et où la musique de Williams arrive à mêler les thèmes de "When you wish upon a Star" de Pinocchio. Autrement dit, le gros plan d'un adulte qui est arrivé à un objectif à la fois anti-naturel et fantasmatique, à la fois envieux et terrible dans sa "possibilité utopique" par le biais de la puissance du cinéma.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Un Spielberg qu'il faut que j'arrête de revoir avant un bon moment car, contrairement à E.T. et à A.I. qui me touchent de plus en plus, il perd un peu de sa magie au fil des revisions et je ne voudrais pas en arriver à l'effet de saturation du premier Indy. Ceci étant dit, et malgré un final que je trouve désormais un poil longuet avec notamment ces 5 célèbres notes qui me deviennent assez vite pénibles, un spectacle formidablement bien réalisé et un récit formidablement bien conduit.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Photo de la session d'enregistrement de la musique. L'intérêt réside dans l'arrière-plan, avec un Brian De Palma en visite qui tire encore une fois la gueule.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Avec un jeune Patrick Bruel.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
Croisé avec Patrick Sabatier.Jack Carter a écrit :Avec un jeune Patrick Bruel.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
en effetDemi-Lune a écrit :Croisé avec Patrick Sabatier.Jack Carter a écrit :Avec un jeune Patrick Bruel.
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Re: Rencontres du 3ème type (Steven Spielberg - 1977)
C'est la barbe qui donne cette impressionDemi-Lune a écrit :Photo de la session d'enregistrement de la musique. L'intérêt réside dans l'arrière-plan, avec un Brian De Palma en visite qui tire encore une fois la gueule.
Je n'ai pas l'impression qu'il fait la tronche!
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- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
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Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)