Le Secret derrière la porte (Fritz Lang - 1947)
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- Mister Ironbutt 2005
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Le Secret derrière la porte (Fritz Lang - 1947)
Petite déception qaund mème, mais de Lang on en attend toujours beaucoups...
Alors brièvement.
Les +
***Joan Bennett est vraiment exellente dans le rôle principale, et elle permet de donner à la narration en voix off un charme, une douceur et un mystère certain.Une narration qui est assez originale de par sa présence très importante et son traitement plus proche des pensées que du récit ou du journal intime: le spectateur est littéralement berçé et hypnotisé par elle.
***La mise en scène de Lang exelle de par sa beauté et sa suggestion. On a l'impression que le réalisateur a été attiré par le film en grande partie pour filmer cette fameuse série de portes et de chambres qui donnent lieu à toute une série de dédales expressionistes absolument magnifiques
***Le rapport aux femmes du personnage principal et le mystère qui l'entoure n'est pas sans rappeler Fritz Lang lui mème, dont on peut le soupçonner d'avoir tué sa première femme. Troublant.
Les -
***Comme pour "Spellbound" le caractère psychanalytique du film emprunte de très gros sabots, et gare au dégonflement final qui est assez spectaculaire. De mème, à 20 minute de la fin, on a droit à un coup de bluff dans la construction dramatique qui non seulement se laisse aisément deviner, mais se révèle assez peu utile (sinon histoire de changer de narrateur pour éclaircir le spectateur un peu avant la fin. très superficiel);
***La musique de Rosza est assez lourde, je n'y ai pas accroché, comme sur "Spellebound.
*** je trouve Michael Redgrave très mou, jamais convaincant. Les seconds rôles ne sont pas exellents non plus.
Verdict: 4/6
Alors brièvement.
Les +
***Joan Bennett est vraiment exellente dans le rôle principale, et elle permet de donner à la narration en voix off un charme, une douceur et un mystère certain.Une narration qui est assez originale de par sa présence très importante et son traitement plus proche des pensées que du récit ou du journal intime: le spectateur est littéralement berçé et hypnotisé par elle.
***La mise en scène de Lang exelle de par sa beauté et sa suggestion. On a l'impression que le réalisateur a été attiré par le film en grande partie pour filmer cette fameuse série de portes et de chambres qui donnent lieu à toute une série de dédales expressionistes absolument magnifiques
***Le rapport aux femmes du personnage principal et le mystère qui l'entoure n'est pas sans rappeler Fritz Lang lui mème, dont on peut le soupçonner d'avoir tué sa première femme. Troublant.
Les -
***Comme pour "Spellbound" le caractère psychanalytique du film emprunte de très gros sabots, et gare au dégonflement final qui est assez spectaculaire. De mème, à 20 minute de la fin, on a droit à un coup de bluff dans la construction dramatique qui non seulement se laisse aisément deviner, mais se révèle assez peu utile (sinon histoire de changer de narrateur pour éclaircir le spectateur un peu avant la fin. très superficiel);
***La musique de Rosza est assez lourde, je n'y ai pas accroché, comme sur "Spellebound.
*** je trouve Michael Redgrave très mou, jamais convaincant. Les seconds rôles ne sont pas exellents non plus.
Verdict: 4/6
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Re: Le secret dérrière la porte.
elle est non seulement excelente mais ausi belle, troublante..ahMac Lean a écrit : ***Joan Bennett est vraiment exellente dans le rôle principale
Je trouve d'ailleur ce F lang bien superieur a "Rebecca" de sir Alfred dont les themes sont commun
Re: Le secret dérrière la porte.
Pas moi !Judex a écrit :Je trouve d'ailleur ce F lang bien superieur a "Rebecca" de sir Alfred dont les themes sont commun
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Re: Le secret dérrière la porte.
he ben tant pisRoy Neary a écrit :Pas moi !Judex a écrit :Je trouve d'ailleur ce F lang bien superieur a "Rebecca" de sir Alfred dont les themes sont commun
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Le secret derrière la porte (Lang inside)
Je viens de me dégoter Le secret derrière la porte de Fritz lang édité chez Wild Side (pour 14 € en okkaze). J'ai été séduit par le compte rendu.
Quelqu'un qui l'a vu ???
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A ce point ? Je comprends qu'il puisse décevoir :l'intrigue est sans doute un peu cousue de fil blanc, mais l'atmosphère est vraiment très prenante. Et puis ça vaut le détour de voir Lang s'approprier une thématique a priori plus hitchcockienne, non ? Moi, j'ai quand même été sous le charme...Margo a écrit :Un des Lang que j'apprécie le moins...
I would prefer not to
Spoiler pour DaveSolal a écrit :A ce point ? Je comprends qu'il puisse décevoir :l'intrigue est sans doute un peu cousue de fil blanc, mais l'atmosphère est vraiment très prenante. Et puis ça vaut le détour de voir Lang s'approprier une thématique a priori plus hitchcockienne, non ? Moi, j'ai quand même été sous le charme...Margo a écrit :Un des Lang que j'apprécie le moins...
J'ai vraiment beaucoup de mal avec les films à fin "psycho-psychanalytiques" (je schématise), même parmi les plus grands chef d'oeuvre comme Psycho ou Soudain l'été dernier
Dernier exemple en date hier avec Identity
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J'y vois à la fois l'un des sommets formels de Lang (rarement les fondements d'une mise en scène se seront révélés à moi par ce que je sais d'un cinéaste), et un sommet du cinéma de fascination.
Je ne me suis toujours pas remis de l'originalité de sa structure narrative: l'intelligence du recours à la voix off notamment et plus particulièrement la césure introduite dans le point de vue exprimé à l'écran, digne selon moi du tour de force narratif du Hitchcock de Vertigo.
Magistral thème de Rosza qui est pour beaucoup dans l'inexorable envoûtement que suscite la vision.
L'un de mes trois Lang favoris. J'admets que la catharsis puisse être assez risible mais ce dénouement ne gâche en rien l'immersion pour ce qui me concerne.
Je ne me suis toujours pas remis de l'originalité de sa structure narrative: l'intelligence du recours à la voix off notamment et plus particulièrement la césure introduite dans le point de vue exprimé à l'écran, digne selon moi du tour de force narratif du Hitchcock de Vertigo.
Magistral thème de Rosza qui est pour beaucoup dans l'inexorable envoûtement que suscite la vision.
L'un de mes trois Lang favoris. J'admets que la catharsis puisse être assez risible mais ce dénouement ne gâche en rien l'immersion pour ce qui me concerne.
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Deux films "psycho-psychanalytiques" que j'apprécie particulièrement contrairement à ce Lang à la virtuosité visuelle indéniable qui après avoir démarré sur les chapeaux de roue tombe dans le lourd et le démonstratif. 6/10Margo a écrit : Spoiler pour Dave
J'ai vraiment beaucoup de mal avec les films à fin "psycho-psychanalytiques" (je schématise), même parmi les plus grands chef d'oeuvre comme Psycho ou Soudain l'été dernier
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Les thuriféraires de la période allemande de Lang ne seront sans doute pas détrompés par ce Secret derrière la porte, qui de par sa totale liberté de conception (à l'instar de la Cinquième victime) laissait espérer une oeuvre d'une autre envergure. Mon souvenir est cependant déjà lointain et je conserve surtout en mémoire, outre ma déception, un homme mécontent de voir deux chandeliers supportant des bougies de taille différente.
La découverte de la période américaine de Lang avait en définitive été une réelle surprise pour moi, déçu comme ici alors que je ne croyais pas l'être et enchanté là où je ne m'y attendais pas du tout comme dans la Femme au portrait.
La découverte de la période américaine de Lang avait en définitive été une réelle surprise pour moi, déçu comme ici alors que je ne croyais pas l'être et enchanté là où je ne m'y attendais pas du tout comme dans la Femme au portrait.
Night of the hunter forever
Caramba, encore raté.