Marilyn Monroe (1926-1962)
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Rediffusion de l'émission de France Culture Le cinéma retrouvé de 1994 :
Autour de «Something's Got to Give» de George Cukor, interrompu par le suicide de Marilyn Monroe.
Autour de «Something's Got to Give» de George Cukor, interrompu par le suicide de Marilyn Monroe.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Avant Jessica Chastain (Blonde) en 2016 et après Michelle Williams (le sympathique My Week With Marilyn) en 2011, c'est Kelli Garner qui vient d’interpréter Marilyn dans une mini-série.
Susan Sarandon (Gladys Mortenson), Emily Watson et Jeffrey Dean Morgan (Joe DiMaggio) sont également de la partie.
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Kelli Garner est très crédible dans le rôle, je trouve. Elle en fait beaucoup, maquillage, voix, manières, coiffures et costumes à l'appui, mais ça passe très bien : on croit voir la vraie Marilyn à ne nombreuses reprises. Ce qui n'était jamais le cas avec Michelle Williams au cinéma (le parti pris de départ était totalement différent). Bref, une prestation de haute volée pour cette habituée du genre (elle jouait Faith Domergue dans le Aviator de Scorsese et portait déjà à merveille les tenues 50's dans la série Pan Am).
La production a mis les moyens pour ce téléfilm et ça se ressent. C'est académique et sans surprise, bien sûr, mais c'est à recommander pour les admirateurs de l'actrice.
La production a mis les moyens pour ce téléfilm et ça se ressent. C'est académique et sans surprise, bien sûr, mais c'est à recommander pour les admirateurs de l'actrice.
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Pour ceux qui ne l'ont pas vu (le film est en bonus dvd du coffret Marilyn), les 35 minutes de son dernier film :
https://www.youtube.com/watch?v=zC8Z4JI ... 2Rd3L_h-Lc
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Elle aurait 90 ans aujourd'hui.
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Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
http://www.telerama.fr/sortir/pourquoi- ... or=EPR-126
Ressortie en salles des Misfits/Désaxés.
Avec le temps, ce film est devenu mon favori avec Marilyn et l'un de mes favoris tout courts.
A ce propos, que pensez-vous de la (mauvaise ?) blague quand Marilyn ferme la porte d'une armoire derriere laquelle il y a des photos d'elle en vrai ? "It's a joke from Gay"..
Ressortie en salles des Misfits/Désaxés.
Avec le temps, ce film est devenu mon favori avec Marilyn et l'un de mes favoris tout courts.
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Pareil et la séquence du petit déjeuner entre Gable et Marilyn trône tout en haut de mon panthéon.Supfiction a écrit :
Ressortie en salles des Misfits/Désaxés.
Avec le temps, ce film est devenu mon favori avec Marilyn et l'un de mes favoris tout courts.
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
D'ailleurs je viens de retrouver ce que j'avais rapidement écrit sur le film voici quelques années en arrière
The Misfits
Roslyn (Marilyn Monroe) vient de divorcer et fête l’évènement dans un bar de Reno où elle est accompagné par Guido (Eli Walach) qu’elle vient de rencontrer. Ils y retrouvent Gay (Clark Gable), cow-boy fatigué et vieillissant qui s’éprend immédiatement de Roslyn. Avec Isabelle (Thelma Ritter), la grande amie de cette dernière et le jeune Perce (Montgomery Clift), un peu déboussolé et qui doit bientôt participer à un rodéo, ils décident d’aller tous passer quelques jours dans un ranch à proximité…
Marilyn Monroe, Montgomery Clift, Clark Gable, Thelma Ritter, Eli Walach dans un même film et tous ayant des rôles à peu près de même importance : quel improbable et étonnant casting qui émerveille pourtant toujours autant ! Film maudit par les décès rapprochés de ses trois stars dans les années qui suivirent ; film dans l’ensemble mal accueilli pour le scénario trop littéraire du dramaturge Arthur Miller ; film aujourd’hui mythique à juste titre ! Portrait d’un groupe de paumés dans un coin d’Amérique peu reluisant, The Misfits est un film situé dans la droite lignée de la thématique ‘hustonienne’ de l’échec.
Ces cinq personnages ne sont arrivés à rien faire d’exceptionnel de leur vie, n’ont pas réussi à réaliser leurs rêves car ils en demandaient peut-être trop et ils seront obligés de s’en contenter jusqu’au bout à moins de trouver un nouveau but à leur existence (la bouleversante séquence finale faisant suite à celle célèbre des Mustangs pourrait-être un formidable hymne à vivre ‘tout simplement’). Un film d’une modernité incroyable (des plans très osés pour l’époque sur ‘la croupe’ de Marilyn à cheval par exemple) et d’une force incomparable grâce au génie de la mise en scène, à la beauté de la partition d’Alex North et au texte d’Arthur Miller.
Huston nous délivre une œuvre oh combien poignante aidé en cela par l’interprétation inoubliable des montres sacrés qu’il avait réussi à réunir. Nous trouvons dans The Misfits, peut-être la séquence la plus sublime de toute la filmographie ‘hustonienne’, celle qu’on dirait improvisée et ‘volée’ du déjeuner que prennent ensemble Clark Gable et Marilyn Monroe, une Marilyn qui n’a jamais été aussi belle et resplendissante qu’ici, au naturel et sans maquillage. Un grand moment de cinéma qu’il faut prendre le temps d’apprivoiser car Huston ne fait pas de cadeau, ni au spectateur (réalisation éloignée de tout classicisme), ni à ses personnages qui au final aurons quand même fini par nous être plus qu’attachants, des personnages avec qui nous aurions bien partagé encore quelques moments de vie.
Avec ensuite La Nuit de l'Iguane et Reflets dans un œil d'or, Huston nous prouve qu'il n'est jamais plus à l'aise qu'avec entre ses mains une galerie de protagonistes aux abois, psychiquement instables et d'une fragilité qui les rend tous poignants voire parfois effrayants par les actes qu'ils pourraient accomplir. Trois chefs-d’œuvre, peut-être les plus beaux de sa filmographie.
The Misfits
Roslyn (Marilyn Monroe) vient de divorcer et fête l’évènement dans un bar de Reno où elle est accompagné par Guido (Eli Walach) qu’elle vient de rencontrer. Ils y retrouvent Gay (Clark Gable), cow-boy fatigué et vieillissant qui s’éprend immédiatement de Roslyn. Avec Isabelle (Thelma Ritter), la grande amie de cette dernière et le jeune Perce (Montgomery Clift), un peu déboussolé et qui doit bientôt participer à un rodéo, ils décident d’aller tous passer quelques jours dans un ranch à proximité…
Marilyn Monroe, Montgomery Clift, Clark Gable, Thelma Ritter, Eli Walach dans un même film et tous ayant des rôles à peu près de même importance : quel improbable et étonnant casting qui émerveille pourtant toujours autant ! Film maudit par les décès rapprochés de ses trois stars dans les années qui suivirent ; film dans l’ensemble mal accueilli pour le scénario trop littéraire du dramaturge Arthur Miller ; film aujourd’hui mythique à juste titre ! Portrait d’un groupe de paumés dans un coin d’Amérique peu reluisant, The Misfits est un film situé dans la droite lignée de la thématique ‘hustonienne’ de l’échec.
Ces cinq personnages ne sont arrivés à rien faire d’exceptionnel de leur vie, n’ont pas réussi à réaliser leurs rêves car ils en demandaient peut-être trop et ils seront obligés de s’en contenter jusqu’au bout à moins de trouver un nouveau but à leur existence (la bouleversante séquence finale faisant suite à celle célèbre des Mustangs pourrait-être un formidable hymne à vivre ‘tout simplement’). Un film d’une modernité incroyable (des plans très osés pour l’époque sur ‘la croupe’ de Marilyn à cheval par exemple) et d’une force incomparable grâce au génie de la mise en scène, à la beauté de la partition d’Alex North et au texte d’Arthur Miller.
Huston nous délivre une œuvre oh combien poignante aidé en cela par l’interprétation inoubliable des montres sacrés qu’il avait réussi à réunir. Nous trouvons dans The Misfits, peut-être la séquence la plus sublime de toute la filmographie ‘hustonienne’, celle qu’on dirait improvisée et ‘volée’ du déjeuner que prennent ensemble Clark Gable et Marilyn Monroe, une Marilyn qui n’a jamais été aussi belle et resplendissante qu’ici, au naturel et sans maquillage. Un grand moment de cinéma qu’il faut prendre le temps d’apprivoiser car Huston ne fait pas de cadeau, ni au spectateur (réalisation éloignée de tout classicisme), ni à ses personnages qui au final aurons quand même fini par nous être plus qu’attachants, des personnages avec qui nous aurions bien partagé encore quelques moments de vie.
Avec ensuite La Nuit de l'Iguane et Reflets dans un œil d'or, Huston nous prouve qu'il n'est jamais plus à l'aise qu'avec entre ses mains une galerie de protagonistes aux abois, psychiquement instables et d'une fragilité qui les rend tous poignants voire parfois effrayants par les actes qu'ils pourraient accomplir. Trois chefs-d’œuvre, peut-être les plus beaux de sa filmographie.
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Un inédit chez nous vient de sortir en blu ray.
Tout petit rôle (d’une prostituée) dans un film à sketch mais c’est toujours bon à prendre. Un temps de présence de l’ordre d’une poignée de minutes à peine mais qui lui doit d’être seule et en gros sur la jaquette (plus fort que Louis de Funes !) au détriment de Widmark, Laughton, Anne Baxter..
Le segment réalisé par Hawks inspira Le grand chef, comédie avec Fernandel et Gino Cervi en kidnappeurs de gamin pris à leur propre piège que j’adorais gamin.
Cinq histoires adaptées de l’oeuvre de O. Henry. Dans « Le Policier et le Motet », Soapy est un clochard à New York qui va tout entreprendre pour se faire emprisonner afin de se mettre à l’abri d’un froid hiver. Dans « L’appel du clairon », Barney, un policier, doit de l’argent à un mauvais garçon, Johnny, et se trouve plus qu’embarrassé pour dénoncer un crime commis par celui-ci. Dans La dernière feuille, la jeune Joanna tombe malade en raison du froid et sa sœur Susan prend soin d’elle. La chute ou non de la dernière feuille d’un arbre à proximité sera un présage pour la guérison de Joanna. Dans « La rançon du chef rouge », Sam et Bill enlèvent un jeune garçon qui se révèlera bien plus malin qu’eux. Enfin, Dans « Le cadeau des rois mages », Della et Jim sont très amoureux l’un de l’autre et n’ont pas sou qui vaille. Néanmoins, pour prouver son inconditionnel amour, chacun est prêt à tous les sacrifices…
Tout petit rôle (d’une prostituée) dans un film à sketch mais c’est toujours bon à prendre. Un temps de présence de l’ordre d’une poignée de minutes à peine mais qui lui doit d’être seule et en gros sur la jaquette (plus fort que Louis de Funes !) au détriment de Widmark, Laughton, Anne Baxter..
Le segment réalisé par Hawks inspira Le grand chef, comédie avec Fernandel et Gino Cervi en kidnappeurs de gamin pris à leur propre piège que j’adorais gamin.
Cinq histoires adaptées de l’oeuvre de O. Henry. Dans « Le Policier et le Motet », Soapy est un clochard à New York qui va tout entreprendre pour se faire emprisonner afin de se mettre à l’abri d’un froid hiver. Dans « L’appel du clairon », Barney, un policier, doit de l’argent à un mauvais garçon, Johnny, et se trouve plus qu’embarrassé pour dénoncer un crime commis par celui-ci. Dans La dernière feuille, la jeune Joanna tombe malade en raison du froid et sa sœur Susan prend soin d’elle. La chute ou non de la dernière feuille d’un arbre à proximité sera un présage pour la guérison de Joanna. Dans « La rançon du chef rouge », Sam et Bill enlèvent un jeune garçon qui se révèlera bien plus malin qu’eux. Enfin, Dans « Le cadeau des rois mages », Della et Jim sont très amoureux l’un de l’autre et n’ont pas sou qui vaille. Néanmoins, pour prouver son inconditionnel amour, chacun est prêt à tous les sacrifices…
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Oh ! Mais alors on est six !Jeremy Fox a écrit : Ces cinq personnages ne sont arrivés à rien faire d’exceptionnel de leur vie, n’ont pas réussi à réaliser leurs rêves car ils en demandaient peut-être trop et ils seront obligés de s’en contenter jusqu’au bout...
Le procédé honteux ! Le bon vieux racolage des familles.Supfiction a écrit :Un inédit chez nous vient de sortir en blu ray.
Tout petit rôle (d’une prostituée) dans un film à sketch mais c’est toujours bon à prendre. Un temps de présence de l’ordre d’une poignée de minutes à peine mais qui lui doit d’être seule et en gros sur la jaquette (plus fort que Louis de Funes !) au détriment de Widmark, Laughton, Anne Baxter..
EDIT : au passage... je viens de me rendre compte que je n'avais que "deux" Monroe dans ma filmothèque (Certains l'aiment chaud et Les Désaxés). Je n'ai jamais été fan de sa beauté à la Rubens (dans ces deux films, en tout cas). Alors qu'objectivement, elle avait un joli visage. C'est peut-être le coté "icône" qui m'a gonflé et qui a agi en repoussoir.
Je viens de me refaire le topic... Cette image m'a fait penser à Tatum O'Neal dans Paper Moon / La Barbe à papa (même si, en comparant, on arriverait pas forcément au même résultat).Major Tom a écrit :
Mais plus intéressant reste Cursum perficio, un site entièrement consacré à Marilyn Monroe qui se veut exhaustif, avec énormément de photos (cliquez sur les dates de sa biographie).
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Je n'ai jamais été fan de sa beauté à la Rubens
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
C'est quoi, ce binz ?
Moi, je parlais surtout de ses genoux, de son ventre et de ses fesses (dans les derniers films, euh...)
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
J'ai découvert Niagara (1953) hier.Commissaire Juve a écrit : ↑7 oct. 17, 11:07
EDIT : au passage... je viens de me rendre compte que je n'avais que "deux" Monroe dans ma filmothèque (Certains l'aiment chaud et Les Désaxés). Je n'ai jamais été fan de sa beauté à la Rubens (dans ces deux films, en tout cas). Alors qu'objectivement, elle avait un joli visage. C'est peut-être le coté "icône" qui m'a gonflé et qui a agi en repoussoir.
J'ai eu l'impression de faire des devoirs de Maths jusqu'au bout.
Je ne reviens pas sur ce qui précède : jolie fille, mais "voyante" !
Le rouge à lèvres écarlate en technicolor (même pour dormir) ; je-vous-demande-de-vous-arrêter !
A tout prendre, j'ai largement préféré Jean Peters à qui on avait fait un look mini-Gene Tierney (mais
avec de plus jolies dents).
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Des « devoirs de maths » en regardant Marilyn ?..
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Re: Marilyn Monroe (1926-1962)
Bah... en regardant "le film" lui-même, en fait.
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