Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
J'entends par "decouverte" ce que tu as le plus apprecié, tu n'etais pas obligé de citer Tricoche et Cacolet si c'est une bouse
Je t'imaginais plus gros consommateurs de films, tu n'as vu que 30 naphtas cette année ?
Je t'imaginais plus gros consommateurs de films, tu n'as vu que 30 naphtas cette année ?
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Oué (mais il y a aussi les films d'aujoud'hui). J'arrive peut-être à la fin d'un long cycle* : 1) j'ai plus de 3.000 films ; 2) je n'ai plus de place pour ranger tout ça ; 3) j'ai de moins en moins d'argent à consacrer à ce loisir ; 4) je suis très occupé à autre chose.Jack Carter a écrit :J'entends par "decouverte" ce que tu as le plus apprecié, tu n'etais pas obligé de citer Tricoche et Cacolet si c'est une bouse
Je t'imaginais plus gros consommateurs de films, tu n'as vu que 30 naphtas cette année ?
* commencé le 23 février 1993, avec l'achat du tout premier LD ntsc.
Je prends le mot "découverte" au sens littéral (il aurait mieux valu titrer "vos coups de coeurs"). De toute façon, pour 29 titres (30 depuis tout à l'heure, j'ai découvert un nouveau film de Hasse Ekman), il y a pas mort d'homme.Jack Carter a écrit :J'entends par "decouverte" ce que tu as le plus apprecié...
EDIT : j'avais oublié...
La Moucharde (Guy Lefranc, 1958)
Ce qui fait 30 films + 1 tout à l'heure.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
- Jack Carter
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Pas de souci Commissaire
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Mes 20 découvertes naphtas les plus notables (que des 8/10 ou plus), sur 231 films vu (naphtas et contemporains). Surement encore un ou deux à venir d'ici le 31 minuit.
Globalement du très gros classiques déjà vu et revu pour beaucoup d'entre vous j'imagine
Très très dur de départager les deux premiers
LA NUIT DU CHASSEUR (The Night of the Hunter, Charles Laughton, 1955)
LA GARÇONNIÈRE (The Apartment, Billy Wilder - 1960)
BARRY LYNDON (Stanley Kubrick, 1975) **
LE CONFORMISTE (Il conformista, Bernardo Bertolucci, 1970) **
LES SEPT SAMOURAÏS (Shichinin no samurai, Akira Kurosawa, 1954)
2001, L'ODYSSEE DE L'ESPACE (2001: A Space Odyssey, Stanley Kubrick, 1968)
ASSAUT (Assault on Precinct 13, John Carpenter, 1976)
JASON ET LES ARGONAUTES (Jason and the Argonauts, Don Chaffey, 1963)
L'ENFANCE D'IVAN (Ivanovo detstvo, Andreï Tarkovski - 1962)
RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE (Close Encounters of the Third Kind, Steven Spielberg - 1977)
DUEL (Steven Spielberg - 1971)
L'INVASION DES PROFANATEURS (The Invasion of the Body Snatchers, Philip Kaufman - 1978)
LES CHASSES DU COMTE ZAROFF (The Most Dangerous Game, Irving Pichel & Ernest B. Schoedsack, 1932) **
LA BANDE DES QUATRE (Breaking Away, Peter Yates, 1979)
L'ENFER DES ZOMBIES (Zombi 2, Lucio Fulci, 1979)
LES ÉMIGRANTS (Utvandrarna, Jan Troell, 1971) - 8/10
VAMPYR (Carl Theodor Dreyer, 1932)
SUSPIRIA (Dario Argento, 1977)
LES FLICS NE DORMENT PAS LA NUIT (The New Centurions, Richard Fleischer, 1972)
LE CONVOI DE LA PEUR (Sorcerer, William Friedkin, 1977)
** : découvert au cinéma
Globalement du très gros classiques déjà vu et revu pour beaucoup d'entre vous j'imagine
Très très dur de départager les deux premiers
LA NUIT DU CHASSEUR (The Night of the Hunter, Charles Laughton, 1955)
LA GARÇONNIÈRE (The Apartment, Billy Wilder - 1960)
BARRY LYNDON (Stanley Kubrick, 1975) **
LE CONFORMISTE (Il conformista, Bernardo Bertolucci, 1970) **
LES SEPT SAMOURAÏS (Shichinin no samurai, Akira Kurosawa, 1954)
2001, L'ODYSSEE DE L'ESPACE (2001: A Space Odyssey, Stanley Kubrick, 1968)
ASSAUT (Assault on Precinct 13, John Carpenter, 1976)
JASON ET LES ARGONAUTES (Jason and the Argonauts, Don Chaffey, 1963)
L'ENFANCE D'IVAN (Ivanovo detstvo, Andreï Tarkovski - 1962)
RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE (Close Encounters of the Third Kind, Steven Spielberg - 1977)
DUEL (Steven Spielberg - 1971)
L'INVASION DES PROFANATEURS (The Invasion of the Body Snatchers, Philip Kaufman - 1978)
LES CHASSES DU COMTE ZAROFF (The Most Dangerous Game, Irving Pichel & Ernest B. Schoedsack, 1932) **
LA BANDE DES QUATRE (Breaking Away, Peter Yates, 1979)
L'ENFER DES ZOMBIES (Zombi 2, Lucio Fulci, 1979)
LES ÉMIGRANTS (Utvandrarna, Jan Troell, 1971) - 8/10
VAMPYR (Carl Theodor Dreyer, 1932)
SUSPIRIA (Dario Argento, 1977)
LES FLICS NE DORMENT PAS LA NUIT (The New Centurions, Richard Fleischer, 1972)
LE CONVOI DE LA PEUR (Sorcerer, William Friedkin, 1977)
** : découvert au cinéma
Dernière modification par Arn le 2 janv. 19, 11:57, modifié 3 fois.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Je vais t'aider : C.C.Baxter & Miss Kubelik en force !Arn a écrit :
LA NUIT DU CHASSEUR (The Night of the Hunter, Charles Laughton, 1955)
LA GARÇONNIÈRE (The Apartment, Billy Wilder - 1960)
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Pas mal de découvertes en tout genre au cours de cette année mais finalement très peu d'élus à l'arrivée
(à 6 ça reste des découvertes plutôt interessantes mais pas assez convaincantes pour être cités)
La grosse claque de l'année en naphta (Qui mérite très largement un point de plus - Ce sera chose faite à la prochaine vision)
• The Offence - 1973 / Sidney Lumet _ 8
Suivi de :
• La Chaîne - 1959 / Stanley Kramer _ 8
• La Colline des hommes perdus - 1965 / Sidney Lumet _ 7,5
• Le Désordre et la nuit - 1958 / Gilles Grangier _ 7,5
• Charade - 1963 / Stanley Donen _ 7
• La Main au collet - 1955 / Alfred Hitchcock _ 7
• L’Oiseau au plumage de cristal - 1970 / Dario Argento _ 7
• Un témoin dans la ville - 1959 / Edouard Molinaro _ 7
• Le Rouge est mis - 1957 / Gilles Grangier _ 7
• Vivre - 1952 / Akira Kurosawa _ 7
• Devine qui vient dîner... - 1967 / Stanley Kramer _ 7
• Saint Jack - 1979 / Peter Bogdanovich _ 7
• La Vengeance aux deux visages - 1961 / Marlon Brando _ 7
• Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l’été - 1974 / Lina Wertmüller _ 7
• Sacco et Vanzetti - 1971 / Giuliano Montaldo _ 7
• The Seven-Ups - 1973 / Philip D'Antoni _ 7
(à 6 ça reste des découvertes plutôt interessantes mais pas assez convaincantes pour être cités)
La grosse claque de l'année en naphta (Qui mérite très largement un point de plus - Ce sera chose faite à la prochaine vision)
• The Offence - 1973 / Sidney Lumet _ 8
Lourd, bestial, violent, dérangeant et un Sean Connery comme jamais vu ailleurs.
Un véritable cauchemar fascinant et effrayant où tout n'est que incertitude et manière d'interpréter de la première à la dernière minute. Une confrontation finale perfide comme dernier clou du cercueil dont on ne pouvait déjà plus s'échapper.
Et que dire de ce simple moment de sortie d'école écrasé par la paranoïa et où tous les repères volent en éclat, parents, professeurs, enfants, flics,... La bête est partout et nul part en chacun.
J'ai trouvé à l'acteur Ian Bannen des airs de Eli Wallach
Suivi de :
• La Chaîne - 1959 / Stanley Kramer _ 8
• La Colline des hommes perdus - 1965 / Sidney Lumet _ 7,5
• Le Désordre et la nuit - 1958 / Gilles Grangier _ 7,5
• Charade - 1963 / Stanley Donen _ 7
• La Main au collet - 1955 / Alfred Hitchcock _ 7
• L’Oiseau au plumage de cristal - 1970 / Dario Argento _ 7
• Un témoin dans la ville - 1959 / Edouard Molinaro _ 7
• Le Rouge est mis - 1957 / Gilles Grangier _ 7
• Vivre - 1952 / Akira Kurosawa _ 7
• Devine qui vient dîner... - 1967 / Stanley Kramer _ 7
• Saint Jack - 1979 / Peter Bogdanovich _ 7
• La Vengeance aux deux visages - 1961 / Marlon Brando _ 7
• Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l’été - 1974 / Lina Wertmüller _ 7
• Sacco et Vanzetti - 1971 / Giuliano Montaldo _ 7
• The Seven-Ups - 1973 / Philip D'Antoni _ 7
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Du coup je l'ai revu hier soir, pour m'aider à les départager (et parce que ma copine voulais aussi le découvrir après tout le bien que j'ai ai dis). Dommage, il était tout aussi bien que lors de sa découverte, si ce n'est mieux. Ce qui ne m'aide pas tropCommissaire Juve a écrit :Je vais t'aider : C.C.Baxter & Miss Kubelik en force !Arn a écrit :
LA NUIT DU CHASSEUR (The Night of the Hunter, Charles Laughton, 1955)
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
"Equus" (Lumet)
"Elle est terrible" (Salce)
"And soon the darkness" (Fuest)
"Slade in flame" (Loncraine)
"Terreur sur la ligne" (Walton)
"L'impossible Monsieur bébé" (Hawks)
"César et Rosalie" (Sautet)
"The music lovers" (Russell)
"L'adorable voisine" (Quine)
"Grand prix" (Frankenheimer)
"Alice sweet Alice" (Sole)
"A bout de course" (Lumet)
"Ruby gentry" (Vidor)
"Les poupées du diable" (Browning)
"Marie poupée" (Séria)
"une poignée de neige" (Zinnemann)
"La colline de l'adieu" ( King)
"Elle est terrible" (Salce)
"And soon the darkness" (Fuest)
"Slade in flame" (Loncraine)
"Terreur sur la ligne" (Walton)
"L'impossible Monsieur bébé" (Hawks)
"César et Rosalie" (Sautet)
"The music lovers" (Russell)
"L'adorable voisine" (Quine)
"Grand prix" (Frankenheimer)
"Alice sweet Alice" (Sole)
"A bout de course" (Lumet)
"Ruby gentry" (Vidor)
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Top 20 mis à jour avec l'entrée de The Emigrants, de Jan Troell.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Après un peu plus que 700 films découverts, je m'y colle avec des titres qui auraient une note égale ou supérieure à 7/10. Et qui sont rangés sans ordre de grandeur.
Comme chaque année, on trouve pas mal de Japonais
L’évasion du Japon (Kiju Yoshida – 1964)
Izu Dancer (heinosuke Gosho – 1933)
Hirate Miki (Kyotaro Namiki - 1950)
Sleepy eyes of death 2 : sword of Adventure (Kenji Misumi - 1964)
Sleepy eyes of death 4 : Sword of Seduction (Kazuo Ikehiro - 1964)
Sleepy eyes of death 12 : castle menagerie (Kazuo Ikehiro - 1969)
A Vengeful Spirit (Yoshihiro Ishikawa - 1968)
les soeurs de gion (Kenji Mizoguchi - 1936)
le lac des femmes (Kiju Yoshida - 1966)
Black sun (Koreyoshi Kurahara - 1964)
Le policier (Tomu Uchida - 1933)
La fille de l'usine de briques / les ouvrières de la brique (Yasuki Chiba - 1940)
Wolf guy (Kazuhiko Yamaguchi - 1975)
mr Thank you (Hiroshi Shimizu - 1936)
Quand une femme monte l'escalier (Mikio Naruse - 1960)
Avec un coup de coeur particulier pour la découverte du cinéaste/réalisateur Mansaku Itami avec L'espion Kakita (1936) et surtout Le jeune homme capricieux (1935)
Ainsi qu'un prix spécial à Nobuhiko Obayashi pour certains de ses courts-mérages de jeunesse tel Dandanko (1959) et Jeudi/Mokuyobi (1960)
Beaucoup de cinéma muet encore cette année :
Le profiteur (Nikolaï Chpikovski - 1929)
Deux Bouldi Deux (Nina Agadzhanova, Lev Kuleshov – 1929)
La bataille (Edouard-Emile Violet et Sessue Hayakawa - 1923)
Il fauno (Febo Mari - 1917)
La guerre et le rêve de Momi (Giovanni Pastrone & Segundo de Chomon - 1917)
La serpente / La serpe (Roberto Roberti - 1920)
La petite Véronique (Robert Land - 1930)
Peau de pêche (Jean Benoît-Lévy, Marie Epstein - 1929)
La femme de nulle part (Louis Delluc -
The dying swan (Evgenie Bauer - 1917)
Le navire des hommes perdus (Maurice Tourneur - 1929)
Dernier amour (Léonce Perret - 1916)
La merveilleuse vie de Jeanne d'Arc ( Marco de Gastyne - 1929)
L'inondation (Louis Delluc)
Finis terrae (Jean Epstein - 1929)
Michel Strogoff (Viatcheslav Tourjansky - 1926)
le plus fort (Alf Sjöberg et Axel Lindblom - 1929)
La cousine bette (Max de Rieux - 1929)
Au pays des ténèbres (Victorin Jasset - 1908)
Zigomar, peau d'anguille (Victorin Jasset - 1913)
Ame d'artiste (Germaine Dulac - 1924)
Erotikon (Gustav Machatý - 1929)
Sinon en vrac :
L'orgue (Stefan her - 1965)
the beauty (Arunas Zebriunas - 1969)
A la française (Robert Parrish - 1963)
The magic face (Frank Tuttle - 1951)
La première charge à la machette (Manuel Octavio Gómez - 1968)
Lucia (Humberto Solás Borrego - 1968)
Miracle à Milan (Vittorio De Sica - 1951)
Fuoco (Gian Vittorio Baldi - 1968)
Les amoureux sont seuls au monde (Henri Decoin - 1948)
Rawhide (Henry Hathaway - 1951)
Lola (Jacques Demy - 1961)
L'immortelle (Alain Robbe-Grillet - 1963)
Far-west / Hell's heroes (William Wyler - 1930)
Le grand avocat (William Wyler - 1933)
La bonne fée (William Wyler - 1935)
Cet homme est dangereux (Jean Sacha - 1953)
The Convict Killer (Chu Yuan - 1980)
Maxime (Henri Verneuil - 1958)
La garce (King Vidor - 1949)
Quand les tambours s'arrêteront (Hugo Fregonese - 1951)
House by the River (Fritz Lang -
Stardust memories (Woody allen - 1980)
Dresser pour tuer (Samuel Fuller - 1982)
Whooping Cough ( Péter Gárdos- 1987)
La dame d'onze heure (Jean Devaivre - 1948)
Un vrai crime d'amour (Luigi Comencini - 1974)
Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais - 1967)
Mains criminelles (Roberto Gavaldón - 1953)
Macadam à deux voies (Monte Hellman - 1973)
Je la connaissais bien (Antonio Pietrangeli - 1966)
No woman knows (Tod Browning - 1921)
Fast Workers (Tod Browning - 1933)
Hue and cry (Charles Crichton - 1947)
On a arrêté Sherlock Holmes (Karl Hartl - 1937)
Maman Kuster s'en va au ciel (Rainer Werner Fassbinder - 1975)
l'incinérateurs de cadavres (Juraj Herz - 1969)
Cinq filles sur le dos (Evald Schorm - 1967)
Beau-père (Bertrand Blier - 1981)
Murder by contract (Irving Lerner - 1958)
Rawhide (Henry Hathaway)
The blue lamp (Basil Dearden - 1950)
The unsuspected (Michael Curtiz -1947)
La mort en ce jardin (Luis Bunuel - 1956)
A deadly Secret (T. F. Mou Tun-Fei - 1980)
L'argent (Robert Bresson - 1983)
Les gouapes (Sergio Corbucci - 1971)
Cible mouvante (Sergio Corbucci - 1967)
Dainah la métisse (Jean Gremillon - 1932)
La prison (Ingmar Bergman - 1948)
Une passion (Ingmar Bergman - 1969)
De la vie des marionnettes (Ingmar Bergman - 1980)
Bianco, Rosse e Verdone ( Carlo Verdone - 1981)
Hotel des Amériques (André Techiné - 1981)
Toutes ses femmes (Ingmar Bergman - 1964)
Tiempo di morir (Arturo Ripstein - 1966)
The master strikes ((Kao Pao-Shu & Lim Won-Sick - 1980)
Les rebelles de Fort Thorn (Robert Wise - 1950)
Boomerang (Elia Kazan - 1947)
The window ( Patrick Lung - 1968)
Tender Mercies (Bruce Beresford - 1983)
Je retourne chez maman (George Cukor - 1952)
Lucky Joe (Michel Deville - 1964)
Ce bon vieux Sam (Leo McCarey - 1948)
The stars look down (Carol Reed - 1940)
Le voleur (Louis Malle - 1967)
Happiness avenue (Katsuyuki Hirano - 1986)
Pursuit (Cheng Kang - 1972)
Return of the demon (Ying Wong - 1987)
Les visiteurs (Elia Kazan - 1972)
Haute pègre (Ernst Lubitsch - 1932)
limonade Joe (Oldrich Lipský - 1964)
L'as de pique (Milos Forman - 1964)
Au feu, les pompiers (Milos Forman - 1967))
Et deux hommages à Toto (qui m'a régalé dans plusieurs Sergio Corbucci) et Charley Chase pour ses géniaux courts-métrages signés Leo McCarey
Comme chaque année, on trouve pas mal de Japonais
L’évasion du Japon (Kiju Yoshida – 1964)
Izu Dancer (heinosuke Gosho – 1933)
Hirate Miki (Kyotaro Namiki - 1950)
Sleepy eyes of death 2 : sword of Adventure (Kenji Misumi - 1964)
Sleepy eyes of death 4 : Sword of Seduction (Kazuo Ikehiro - 1964)
Sleepy eyes of death 12 : castle menagerie (Kazuo Ikehiro - 1969)
A Vengeful Spirit (Yoshihiro Ishikawa - 1968)
les soeurs de gion (Kenji Mizoguchi - 1936)
le lac des femmes (Kiju Yoshida - 1966)
Black sun (Koreyoshi Kurahara - 1964)
Le policier (Tomu Uchida - 1933)
La fille de l'usine de briques / les ouvrières de la brique (Yasuki Chiba - 1940)
Wolf guy (Kazuhiko Yamaguchi - 1975)
mr Thank you (Hiroshi Shimizu - 1936)
Quand une femme monte l'escalier (Mikio Naruse - 1960)
Avec un coup de coeur particulier pour la découverte du cinéaste/réalisateur Mansaku Itami avec L'espion Kakita (1936) et surtout Le jeune homme capricieux (1935)
Ainsi qu'un prix spécial à Nobuhiko Obayashi pour certains de ses courts-mérages de jeunesse tel Dandanko (1959) et Jeudi/Mokuyobi (1960)
Beaucoup de cinéma muet encore cette année :
Le profiteur (Nikolaï Chpikovski - 1929)
Deux Bouldi Deux (Nina Agadzhanova, Lev Kuleshov – 1929)
La bataille (Edouard-Emile Violet et Sessue Hayakawa - 1923)
Il fauno (Febo Mari - 1917)
La guerre et le rêve de Momi (Giovanni Pastrone & Segundo de Chomon - 1917)
La serpente / La serpe (Roberto Roberti - 1920)
La petite Véronique (Robert Land - 1930)
Peau de pêche (Jean Benoît-Lévy, Marie Epstein - 1929)
La femme de nulle part (Louis Delluc -
The dying swan (Evgenie Bauer - 1917)
Le navire des hommes perdus (Maurice Tourneur - 1929)
Dernier amour (Léonce Perret - 1916)
La merveilleuse vie de Jeanne d'Arc ( Marco de Gastyne - 1929)
L'inondation (Louis Delluc)
Finis terrae (Jean Epstein - 1929)
Michel Strogoff (Viatcheslav Tourjansky - 1926)
le plus fort (Alf Sjöberg et Axel Lindblom - 1929)
La cousine bette (Max de Rieux - 1929)
Au pays des ténèbres (Victorin Jasset - 1908)
Zigomar, peau d'anguille (Victorin Jasset - 1913)
Ame d'artiste (Germaine Dulac - 1924)
Erotikon (Gustav Machatý - 1929)
Sinon en vrac :
L'orgue (Stefan her - 1965)
the beauty (Arunas Zebriunas - 1969)
A la française (Robert Parrish - 1963)
The magic face (Frank Tuttle - 1951)
La première charge à la machette (Manuel Octavio Gómez - 1968)
Lucia (Humberto Solás Borrego - 1968)
Miracle à Milan (Vittorio De Sica - 1951)
Fuoco (Gian Vittorio Baldi - 1968)
Les amoureux sont seuls au monde (Henri Decoin - 1948)
Rawhide (Henry Hathaway - 1951)
Lola (Jacques Demy - 1961)
L'immortelle (Alain Robbe-Grillet - 1963)
Far-west / Hell's heroes (William Wyler - 1930)
Le grand avocat (William Wyler - 1933)
La bonne fée (William Wyler - 1935)
Cet homme est dangereux (Jean Sacha - 1953)
The Convict Killer (Chu Yuan - 1980)
Maxime (Henri Verneuil - 1958)
La garce (King Vidor - 1949)
Quand les tambours s'arrêteront (Hugo Fregonese - 1951)
House by the River (Fritz Lang -
Stardust memories (Woody allen - 1980)
Dresser pour tuer (Samuel Fuller - 1982)
Whooping Cough ( Péter Gárdos- 1987)
La dame d'onze heure (Jean Devaivre - 1948)
Un vrai crime d'amour (Luigi Comencini - 1974)
Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais - 1967)
Mains criminelles (Roberto Gavaldón - 1953)
Macadam à deux voies (Monte Hellman - 1973)
Je la connaissais bien (Antonio Pietrangeli - 1966)
No woman knows (Tod Browning - 1921)
Fast Workers (Tod Browning - 1933)
Hue and cry (Charles Crichton - 1947)
On a arrêté Sherlock Holmes (Karl Hartl - 1937)
Maman Kuster s'en va au ciel (Rainer Werner Fassbinder - 1975)
l'incinérateurs de cadavres (Juraj Herz - 1969)
Cinq filles sur le dos (Evald Schorm - 1967)
Beau-père (Bertrand Blier - 1981)
Murder by contract (Irving Lerner - 1958)
Rawhide (Henry Hathaway)
The blue lamp (Basil Dearden - 1950)
The unsuspected (Michael Curtiz -1947)
La mort en ce jardin (Luis Bunuel - 1956)
A deadly Secret (T. F. Mou Tun-Fei - 1980)
L'argent (Robert Bresson - 1983)
Les gouapes (Sergio Corbucci - 1971)
Cible mouvante (Sergio Corbucci - 1967)
Dainah la métisse (Jean Gremillon - 1932)
La prison (Ingmar Bergman - 1948)
Une passion (Ingmar Bergman - 1969)
De la vie des marionnettes (Ingmar Bergman - 1980)
Bianco, Rosse e Verdone ( Carlo Verdone - 1981)
Hotel des Amériques (André Techiné - 1981)
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Tiempo di morir (Arturo Ripstein - 1966)
The master strikes ((Kao Pao-Shu & Lim Won-Sick - 1980)
Les rebelles de Fort Thorn (Robert Wise - 1950)
Boomerang (Elia Kazan - 1947)
The window ( Patrick Lung - 1968)
Tender Mercies (Bruce Beresford - 1983)
Je retourne chez maman (George Cukor - 1952)
Lucky Joe (Michel Deville - 1964)
Ce bon vieux Sam (Leo McCarey - 1948)
The stars look down (Carol Reed - 1940)
Le voleur (Louis Malle - 1967)
Happiness avenue (Katsuyuki Hirano - 1986)
Pursuit (Cheng Kang - 1972)
Return of the demon (Ying Wong - 1987)
Les visiteurs (Elia Kazan - 1972)
Haute pègre (Ernst Lubitsch - 1932)
limonade Joe (Oldrich Lipský - 1964)
L'as de pique (Milos Forman - 1964)
Au feu, les pompiers (Milos Forman - 1967))
Et deux hommages à Toto (qui m'a régalé dans plusieurs Sergio Corbucci) et Charley Chase pour ses géniaux courts-métrages signés Leo McCarey
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Itou.Arn a écrit :Top 20 mis à jour avec l'entrée de The Emigrants, de Jan Troell.
Ce ne sera pas le cas du second volet, à mon goût trop discursif dans son écriture, et encombré d'effets de ressassement dont l'opus premier savait faire l'économie pour fondre la reconstitution rigoureuse dans l'ampleur de la fresque sociohistorique. Somme toute, un diptyque aux options narratives très disparates.
Ajout aussi de Quand une femme monte l'escalier, chronique d'une sobriété exemplaire dont sourd une mélancolie ténue mais singulièrement âpre. Si rétrospectivement je devais octroyer un prix d'interprétation féminine, Hideko Takamine le disputerait probablement à la Jean Seberg de In the French style.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Mon Top Naphtas de 2018
8,5 / 10
Flics ne dorment pas la nuit, les (1972) de Richard Fleischer
Meilleure façon de marcher, la (1976) de Claude Miller
Réveil dans la terreur (1971) de Ted Kotcheff
8 / 10
Exhibition (1975) de Jean-François Davy
Mais aussi...
7,5 / 10
Antoine et Antoinette (1974) de Jacques Becker
Ca s'est passé en plein jour (1958) de Ladislao Vajda
Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (1970) de Elio Petri
Fête à Henriette, la (1952) de Julien Duvivier
Godzilla (1954) de Ishirô Honda
Lacombe, Lucien (1974) de Louis Malle
Masque arraché, le (1952) de David Miller
Mélodie du bonheur, la (1965) de Robert Wise
Partie de campagne (1936) de Jean Renoir
Un taxi pour Tobrouk (1961) de Denys de La Patellière
Prisonnière, la (1968) de Henri-Georges Clouzot
The ninth configuration (1980) de William Peter Blatty
7 /10
Baby Cart II : L'enfant massacre (1972) de Kenji Misumi
Baby Cart IV : L'âme d'un père, le coeur d'un fils (1972) de Buichi Saitô
Exhibition 2 (1976) de Jean-François Davy
Figurant, le (1929) de Edward Sedgwick, Buster Keaton
Inexorable enquête, l' (1952) de Phil Karlson
Lily, aime moi (1975) de Maurice Dugowson
Petit garçon, le (1969) de Nagisa Ôshima
8,5 / 10
Flics ne dorment pas la nuit, les (1972) de Richard Fleischer
Meilleure façon de marcher, la (1976) de Claude Miller
Réveil dans la terreur (1971) de Ted Kotcheff
8 / 10
Exhibition (1975) de Jean-François Davy
Mais aussi...
7,5 / 10
Antoine et Antoinette (1974) de Jacques Becker
Ca s'est passé en plein jour (1958) de Ladislao Vajda
Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (1970) de Elio Petri
Fête à Henriette, la (1952) de Julien Duvivier
Godzilla (1954) de Ishirô Honda
Lacombe, Lucien (1974) de Louis Malle
Masque arraché, le (1952) de David Miller
Mélodie du bonheur, la (1965) de Robert Wise
Partie de campagne (1936) de Jean Renoir
Un taxi pour Tobrouk (1961) de Denys de La Patellière
Prisonnière, la (1968) de Henri-Georges Clouzot
The ninth configuration (1980) de William Peter Blatty
7 /10
Baby Cart II : L'enfant massacre (1972) de Kenji Misumi
Baby Cart IV : L'âme d'un père, le coeur d'un fils (1972) de Buichi Saitô
Exhibition 2 (1976) de Jean-François Davy
Figurant, le (1929) de Edward Sedgwick, Buster Keaton
Inexorable enquête, l' (1952) de Phil Karlson
Lily, aime moi (1975) de Maurice Dugowson
Petit garçon, le (1969) de Nagisa Ôshima
Dernière modification par Harkento le 1 janv. 19, 16:47, modifié 1 fois.
Mon blog ciné : http://sep7iemesens.wordpress.com/ / Mes Tops : http://dvdclassik.com/forum/viewtopic.p ... 7#p2317957
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Content que tu le cites, et ça me permet de rectifier, c'est 1958 (ça m'arrive tres souvent en tapant vite)Harkento a écrit : Ca s'est passé en plein jour (1985) de Ladislao Vajda
Pour ceux qui se demanderait quel est ce film, sachez que The Pledge de Sean Penn en est le remake
Suite à ce film, l'un des scenaristes, Friedrich Dürrenmatt, en fera un roman, La Promesse, ce roman donc adapté par Sean Penn quarante ans plus tard.
Le film est en tout cas excellent, je ne saurais dire lequel je prefere, peut-etre le Penn car Nicholson est absolument genial.
Passé sur Arte debut 2018.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
J'ai rectifié l'erreur, merciJack Carter a écrit :Content que tu le cites, et ça me permet de rectifier, c'est 1958 (ça m'arrive tres souvent en tapant vite)Harkento a écrit : Ca s'est passé en plein jour (1985) de Ladislao Vajda
Pour ceux qui se demanderait quel est ce film, sachez que The Pledge de Sean Penn en est le remake
Suite à ce film, l'un des scenaristes, Friedrich Dürrenmatt, en fera un roman, La Promesse, ce roman donc adapté par Sean Penn quarante ans plus tard.
Le film est en tout cas excellent, je ne saurais dire lequel je prefere, peut-etre le Penn car Nicholson est absolument genial.
Passé sur Arte debut 2018.
J'ignorais complètement que The pledge était le remake de ce film.... en même temps, je ne l'ai pas vu, mais ça me donne envie de le voir en tout cas. Merci pour ces infos.
Et oui, j'ai beaucoup aimé ce film qui j'ai découvert sur arte en début d'année dernière, c'était d'ailleurs l'unique fois (ou peut être 2...) ou j'ai regardé un film à la télé.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Par ordre chronologique de découvertes :
Yellow Sky - William A. Wellman
Lizard in a Woman's Skin - Lucio Fulci
Salesman - Albert & David Maysles
Portrait of Jennie - William Dieterle
Je veux seulement que vous m'aimiez - Rainer Werner Fassbinder
House - Nobuhiko Ôbayashi
Je suis vivant ! - Aldo Lado
The Browning Version - Anthony Asquith
The Hired Hand - Peter Fonda
I Am a Fugitive from a Chain Gang - Mervyn LeRoy
On Dangerous Ground - Nicholas Ray
Le plus beau là-dedans étant certainement le William Dieterle, tandis que le plus dingue est sans aucun doute House de Nobuhiko Ôbayashi, j'ai rarement vu un truc pareil.
Mais globalement, pas assez vu de films naphtas en 2018, il va falloir que je remédie à ça en 2019.
Et c'est bien pour ça que j'ai commencé mon année avec du Richard Fleischer !
Sauf que j'ai vu Kalidor.
Yellow Sky - William A. Wellman
Lizard in a Woman's Skin - Lucio Fulci
Salesman - Albert & David Maysles
Portrait of Jennie - William Dieterle
Je veux seulement que vous m'aimiez - Rainer Werner Fassbinder
House - Nobuhiko Ôbayashi
Je suis vivant ! - Aldo Lado
The Browning Version - Anthony Asquith
The Hired Hand - Peter Fonda
I Am a Fugitive from a Chain Gang - Mervyn LeRoy
On Dangerous Ground - Nicholas Ray
Le plus beau là-dedans étant certainement le William Dieterle, tandis que le plus dingue est sans aucun doute House de Nobuhiko Ôbayashi, j'ai rarement vu un truc pareil.
Mais globalement, pas assez vu de films naphtas en 2018, il va falloir que je remédie à ça en 2019.
Et c'est bien pour ça que j'ai commencé mon année avec du Richard Fleischer !
Sauf que j'ai vu Kalidor.