Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Merci pour les précisions
Je n'ai vu que cinq films de Fassbinder mais j'ai à chaque fois (plutôt) bien aimés. Je craignais que celui-ci soit trop bizarre/violent mais donc j'essaierai si j'ai l'occasion.
Quand au film de Cruze, tu fais bien de citer ces trois autres westerns que j'aime bien justement !
Je n'ai vu que cinq films de Fassbinder mais j'ai à chaque fois (plutôt) bien aimés. Je craignais que celui-ci soit trop bizarre/violent mais donc j'essaierai si j'ai l'occasion.
Quand au film de Cruze, tu fais bien de citer ces trois autres westerns que j'aime bien justement !
- cinephage
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
C'est vrai que Fassbinder a beaucoup expérimenté, et réalisé des films assez étranges, réussis pour les uns (Roulette chinoise), ratés pour d'autres (Le voyage à Niklashausen), je comprends que ça rebute, mais ici c'est une forme très fluide, pas expérimentale ni avant-gardiste.Sybille a écrit :Merci pour les précisions
Je n'ai vu que cinq films de Fassbinder mais j'ai à chaque fois (plutôt) bien aimés. Je craignais que celui-ci soit trop bizarre/violent mais donc j'essaierai si j'ai l'occasion.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Oui. D'autant plus que l'entrelacement du passé et du présent se déploie insidieusement. Il me semble qu'au départ, la structure narrative répond aux conventions plus prosaïques de l'enchâssement des deux strates temporelles, laissant le spectateur errer au gré des ramifications de l'un ou l'autre récit - du panneau moderne en particulier - en quête de points de repère, de passerelles susceptibles de connecter ces deux contenus si disparates. Je suis bien incapable de situer la séquence où le lacis temporel infuse à l'écran pour la première fois - la séquence du match de rugby . Mais il me semble aussi - je ne tiens rien pour acquis de cette expérience filmique - qu'à mesure que les recherches de l'étudiante Eko s'éloignent de la simple compilation factuelle pour s'élargir à une forme de recréation fantasmée, le dispositif créatif et visuel s'enrichit d'une troisième strate, où le passé ne se contente plus d'imprégner, de contaminer le présent, Elle semble se situer dans un entre-deux désincarné, tout aussi fantasmatique, sorte de projection mentale écho des théories de l'anarchiste individualiste Sakae Osugi. Je ne crois pas m'être jamais confronté à expérience de transmutation factuelle si radicale, ni chez Lynch, ni chez Resnais , pas même dans l'adaptation pinterienne de de The French lieutenant's woman. Et en tout cas ces tentatives ultérieures n'auront jamais généré chez moi pareille béatitude plastique et sensorielle. Les quelques plans dans cette "dimension" tierce (intérieurs et extérieurs du journal féministe, plans de corridors travaillant une profondeur de champ géométrique presque insondable) sont d''une beauté picturale et figurative inouïe .Sybille a écrit : et puis sur le moment j'ai été marquée par cette vision qui entrelace passé et présent, qui m'a semblé passionnante, aussi bien historiquement que même cinématographiquement.
Je vais me plonger dans les suppléments du DVD la semaine prochaine dans l'espoir d'y trouver des pistes susceptibles de combler les nombreuses lacunes dans mon appréhension de l'œuvre. Mais en l'état ce visionnage ne cesse de me hanter depuis hier. Je me trouve fort dépourvu pour mettre une note mais l'expérience va m'imprégner durablement. Fascinant.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Merci pour ce commentaire détaillé. J'ai vu le film en début d'année donc ne me rappelle plus précisément du déroulé exacte du film, mais j'ai été saisie par cette espèce de "fondu temporel" - il faut dire que je suis pas mal sensible à ce genre de chose.
Et tu me rappelles que je n'ai pas regardé les bonus du dvd Carlotta, j'y jetterai un oeil un de ces jours !
Je songe rarement à Yoshida comme un de mes "cinéastes préférés" et pourtant pratiquement tous les films que j'ai vus de lui sont vraiment intéressants (je mets juste un bémol sur l'horrible "Evasion du Japon" mais peut-être que je l'apprécierai mieux une seconde fois ?)
Et tu me rappelles que je n'ai pas regardé les bonus du dvd Carlotta, j'y jetterai un oeil un de ces jours !
Je songe rarement à Yoshida comme un de mes "cinéastes préférés" et pourtant pratiquement tous les films que j'ai vus de lui sont vraiment intéressants (je mets juste un bémol sur l'horrible "Evasion du Japon" mais peut-être que je l'apprécierai mieux une seconde fois ?)
- Beule
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Pour ma part, c'était mon baptême Yoshida . Il me semble que mon revendeur local favori a aussi régulièrement en stock Purgatoire Erotica / Coup d'état et Aveux, théories, actrices. Je vais sans doute poursuivre mon exploration par ceux-là. Des conseils ?Sybille a écrit : Je songe rarement à Yoshida comme un de mes "cinéastes préférés" et pourtant pratiquement tous les films que j'ai vus de lui sont vraiment intéressants (je mets juste un bémol sur l'horrible "Evasion du Japon" mais peut-être que je l'apprécierai mieux une seconde fois ?)
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Pour le premier volet du diptyque, je mettrais quand même un petit bémol.cinephage a écrit :Ces films sont très visuels, les gens parlent assez peu, et ce qu'ils disent est le plus souvent compréhensible de par le contexte. Je ne recommande pas toujours les STA, mais ici, l'effort me parait beaucoup plus tolérable que sur d'autres films où les dialogues ont plus de poids.Jack Carter a écrit : je sais pas, vu le 1er au ciné, le second, il y a des stf qui trainent sur le web...
Bref, je pense qu'on n'a pas besoin d'être un anglophone pointu pour suivre et apprécier le film, de bonnes bases suffisent largement.
Somme toute, le film est ponctuellement assez disert. Et en ces occasions, les sta sont très vite rafraichis ! C'est le cas lors des confrontations théologiques entre le Doyen et l'Oncle Danjel, par exemple. C'est assurément tolérable avec un niveau d'anglais moyen, mais tout de même assez (voire très) exigeant en terme de concentration.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Je n'ai justement pas vu ceux-là.Beule a écrit :Pour ma part, c'était mon baptême Yoshida . Il me semble que mon revendeur local favori a aussi régulièrement en stock Purgatoire Erotica / Coup d'état et Aveux, théories, actrices. Je vais sans doute poursuivre mon exploration par ceux-là. Des conseils ?
Ceux que j'ai préférés (mais il faudra que je revois tout) sont "Passion ardente", "La fin d'une douce nuit" et "Amours dans la neige". Avec "Eros + Massacre" en premier donc.
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Merci. Je noteSybille a écrit : Ceux que j'ai préférés (mais il faudra que je revois tout) sont "Passion ardente", "La fin d'une douce nuit" et "Amours dans la neige".
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
A l'exception de Masaki Kobayashi et Abel Gance, je n'ai pas fait de grandes découvertes niveau cinéaste pour cette année. ça a été surtout une année pour consolider mon admiration envers des réalisateurs que je connaissais.
Harakiri – Masaki Kobayashi
Sorcerer – William Friedkin
Nous avons gagné ce soir – Robert Wise
La Roue – Abel Gance
West Side Story – Robert Wise et Jerome Robbins
Sérénade à Trois – Ernst Lubitsch
La Tour des Ambitieux – Robert Wise
La Marque – Val Guest
Les Mendiants de la Vie – William Wellman
Detour – Edgar G. Ulmer
Une Aventure de Buffalo Bill – Cecil B. DeMille
J’accuse (1938) – Abel Gance
La Huitième Femme de Barbe-bleue – Ernst Lubitsch
My Fair Lady – George Cukor
Marqué par la Haine – Robert Wise
Harakiri – Masaki Kobayashi
Sorcerer – William Friedkin
Nous avons gagné ce soir – Robert Wise
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La Marque – Val Guest
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
up !
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
C'est très serré en tête, entre un chef d'oeuvre de plus signé Fleischer, Mandingo, et l'immense surprise signée Val Guest, Section d'assaut sur le Sittang. Je mettrais surement le premier film de l'année d'une courte tête, mais les deux méritent d'être mis à l'honneur.
Et une liste plus complète, riche en Bergman :
Mandingo, de Richard Fleischer (1975)
Section d'assaut sur le Sittang (Yesterday's enemy), de Val Guest (1959)
L'heure du loup (Vargtimmen), de Ingmar Bergman (1968)
La victime (Victim), de Basil Dearden (1961)
Cris et chuchotements (Viskningar och rop), de Ingmar Bergman (1972)
La Grande attaque du train d'or (The great train robbery), de Michael Crichton (1979)
Le visage (Ansiktet), de Ingmar Bergman (1958)
Le fantôme de la liberté, de Luis Buñuel (1974)
Les fraises sauvages (Smultronstället), de Ingmar Bergman (1957)
Les collines de la terreur (Chato's land), de Michael Winner (1972)
La maison du maltais, de Pierre Chenal (1938)
Retraite mortelle (Pulp), de Mike Hodges (1972)
La femme du boulanger, de Marcel Pagnol (1938)
L'oeil du diable (Djävulens öga), de Ingmar Bergman (1960)
Les Chaussons rouges (The red shoes), de Michael Powell & Emeric Pressburger (1948)
Saint Jack, de Peter Bogdanovich (1979)
La source (Jungfrukällan), de Ingmar Bergman (1960)
The intruder, de Roger Corman (1962)
Le prisonnier d'Alcatraz (Birdman of ALcatraz), de John Frankenheimer (1962)
L'ange exterminateur (El Ángel exterminador), de Luis Buñuel (1962)
Symphonie pour un massacre, de Jacques Deray (1963)
La vie privée de Sherlock Holmes (The private life of Sherlock Holmes), de Billy Wilder (1969)
La chasse (La caza), de Carlos Saura (1965)
Persona, de Ingmar Bergman (1966)
Et une liste plus complète, riche en Bergman :
Mandingo, de Richard Fleischer (1975)
Section d'assaut sur le Sittang (Yesterday's enemy), de Val Guest (1959)
L'heure du loup (Vargtimmen), de Ingmar Bergman (1968)
La victime (Victim), de Basil Dearden (1961)
Cris et chuchotements (Viskningar och rop), de Ingmar Bergman (1972)
La Grande attaque du train d'or (The great train robbery), de Michael Crichton (1979)
Le visage (Ansiktet), de Ingmar Bergman (1958)
Le fantôme de la liberté, de Luis Buñuel (1974)
Les fraises sauvages (Smultronstället), de Ingmar Bergman (1957)
Les collines de la terreur (Chato's land), de Michael Winner (1972)
La maison du maltais, de Pierre Chenal (1938)
Retraite mortelle (Pulp), de Mike Hodges (1972)
La femme du boulanger, de Marcel Pagnol (1938)
L'oeil du diable (Djävulens öga), de Ingmar Bergman (1960)
Les Chaussons rouges (The red shoes), de Michael Powell & Emeric Pressburger (1948)
Saint Jack, de Peter Bogdanovich (1979)
La source (Jungfrukällan), de Ingmar Bergman (1960)
The intruder, de Roger Corman (1962)
Le prisonnier d'Alcatraz (Birdman of ALcatraz), de John Frankenheimer (1962)
L'ange exterminateur (El Ángel exterminador), de Luis Buñuel (1962)
Symphonie pour un massacre, de Jacques Deray (1963)
La vie privée de Sherlock Holmes (The private life of Sherlock Holmes), de Billy Wilder (1969)
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Belle année
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Je m'y mets dès le 1er janvier 2019, merci bien.Jack Carter a écrit :up !
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Une derniere (?) entrée naphta pour cette année
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Re: Vos decouvertes naphtas de l'année 2018
Tiens, pourquoi pas ?
(je mets ce que j'ai découvert, aujourd'hui, à l'heure H... s'il faut uniquement citer ce qu'on a aimé, désolé, j'ai encore tout faux... j'ajoute que -- sauf oubli -- je n'ai pas regardé "un" film à la télé cette année...)
EDIT :
Un petit top 5 :
Nous les gosses (Louis Daquin, 1941)
Les Tueurs de San Francisco (Ralph Nelson, 1965)
Une femme dans la tourmente (Naruse, 1964)
Les Louves (Luis Saslavsky, 1957) - totalement gâché par un DVD merdique
La 1000ème fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)
Tous les films "naphta" découverts cette année (32 en tout [édité le 31]) :
Cette vieille canaille (Litvak, 1933)
Le Crime de Monsieur Lange (Renoir, 1936) - peut-être une redécouverte
Tricoche et Cacolet (Pierre Colombier, 1938) - une sombre bouse
La Belle étoile (Jacques de Baroncelli, 1938)
Sans lendemain (Max Ophuls, 1939)
Nous les gosses (Louis Daquin, 1941)
L'invité du mardi (Jacques Deval, 1950)
La Passante (Henri Calef, 1951)
Le Rideau rouge (André Barsacq, 1952)
Obsession (Jean Delannoy, 1954)
Ce soir, les jupons volent (Dimitri Kirsanoff, 1956)
Les Louves (Luis Saslavsky, 1957)
Ma femme, mon gosse et moi (Marc Allégret, 1957)
Le Septième ciel (Raymond Bernard, 1958)
Le Désert de Pigalle (Léo Joannon, 1958)
La Moucharde (Guy Lefranc, 1958)
La 1000ème fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)
Les Loups dans la bergerie (Hervé Brombergé, 1960)
La Menace (Gérard Oury, 1961)
Symphonie pour un massacre (Jacques Deray, 1963)
Les parias de la gloire (Henry Decoin, 1964) - une belle bouse
Rännstensungar (Ragnar Frisk, 1944)
En fluga gör ingen sommar (Hasse Ekman, 1947)
Var sin väg (Hasse Ekman, 1948)
Vi tre debutera (Hasse Ekman, 1953)
Picnic (Joshua Logan, 1956)
Sommarnöje sökes (Hasse Ekman, 1957)
Fröken Chic (Hasse Ekman, 1959)
Quand une femme monte l'escalier (Naruse, 1960)
Une femme dans la tourmente (Naruse, 1964)
Les Tueurs de San Francisco (Ralph Nelson, 1965) - certainement une redécouverte
Les Quatre Malfrats (Peter Yates, 1972)
(je mets ce que j'ai découvert, aujourd'hui, à l'heure H... s'il faut uniquement citer ce qu'on a aimé, désolé, j'ai encore tout faux... j'ajoute que -- sauf oubli -- je n'ai pas regardé "un" film à la télé cette année...)
EDIT :
Oui... donc, je me suis encore trompé.Quels ont été vos coups de coeur de l'année ?
Euh... alors là ! Je ne vois pas.N'oubliez pas de préciser quel est votre film de l'année.
Un petit top 5 :
Nous les gosses (Louis Daquin, 1941)
Les Tueurs de San Francisco (Ralph Nelson, 1965)
Une femme dans la tourmente (Naruse, 1964)
Les Louves (Luis Saslavsky, 1957) - totalement gâché par un DVD merdique
La 1000ème fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)
Tous les films "naphta" découverts cette année (32 en tout [édité le 31]) :
Cette vieille canaille (Litvak, 1933)
Le Crime de Monsieur Lange (Renoir, 1936) - peut-être une redécouverte
Tricoche et Cacolet (Pierre Colombier, 1938) - une sombre bouse
La Belle étoile (Jacques de Baroncelli, 1938)
Sans lendemain (Max Ophuls, 1939)
Nous les gosses (Louis Daquin, 1941)
L'invité du mardi (Jacques Deval, 1950)
La Passante (Henri Calef, 1951)
Le Rideau rouge (André Barsacq, 1952)
Obsession (Jean Delannoy, 1954)
Ce soir, les jupons volent (Dimitri Kirsanoff, 1956)
Les Louves (Luis Saslavsky, 1957)
Ma femme, mon gosse et moi (Marc Allégret, 1957)
Le Septième ciel (Raymond Bernard, 1958)
Le Désert de Pigalle (Léo Joannon, 1958)
La Moucharde (Guy Lefranc, 1958)
La 1000ème fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)
Les Loups dans la bergerie (Hervé Brombergé, 1960)
La Menace (Gérard Oury, 1961)
Symphonie pour un massacre (Jacques Deray, 1963)
Les parias de la gloire (Henry Decoin, 1964) - une belle bouse
Rännstensungar (Ragnar Frisk, 1944)
En fluga gör ingen sommar (Hasse Ekman, 1947)
Var sin väg (Hasse Ekman, 1948)
Vi tre debutera (Hasse Ekman, 1953)
Picnic (Joshua Logan, 1956)
Sommarnöje sökes (Hasse Ekman, 1957)
Fröken Chic (Hasse Ekman, 1959)
Quand une femme monte l'escalier (Naruse, 1960)
Une femme dans la tourmente (Naruse, 1964)
Les Tueurs de San Francisco (Ralph Nelson, 1965) - certainement une redécouverte
Les Quatre Malfrats (Peter Yates, 1972)
Dernière modification par Commissaire Juve le 31 déc. 18, 12:23, modifié 4 fois.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...