Vos découvertes naphtas 2016

[Jeremy Fox]

Plummer (absolument genial) + Gould (fidele à lui-meme) + Susannah York =

Il faut juste que je fasse l'effort de dépiler plein de choses pour accéder au DVD !

Un bon pitch de départ pour Indy 5

[Jack Carter]

Plummer (absolument genial) + Gould (fidele à lui-meme) + Susannah York =

Il faut juste que je fasse l'effort de dépiler plein de choses pour accéder au DVD !

effort qui sera recompensé, je pense que tu apprecieras beaucoup

[Rick Blaine]

Il faut juste que je fasse l'effort de dépiler plein de choses pour accéder au DVD !

Un bon pitch de départ pour Indy 5

Je vais noter ça dans ma to-do-list du week-end !

[Père Jules]

Ah merde...
Je vais corriger ça.

non, je plaisante, pour un titre...., et puis avant 2000 c'est naphta

J'ai corrigé quand même

[Jack Carter]

à voir de la liste à Duke : House et Le Miracle des loups (1924)

et de la liste à PJ :
Les années difficiles (Luigi Zampa, 1948)
The Case Against Brooklyn (Paul Wendkos, 1958)
Les années rugissantes (Luigi Zampa, 1962)
Il maestro di Vigevano (Elio Petri, 1963)
La dame du lac (Luigi Bazzoni & Franco Rossellini, 1965)
Doc Holliday (Frank Perry, 1971)
Le sauveur (Michel Mardore, 1971)
Deux grandes gueules (Sergio Corbucci, 1974)
Lookin' to Get Out (Hal Ashby, 1982)
Star 80 (Bob Fosse, 1983)

[kiemavel]

Génial film noir, un des meilleurs, que je ne me lasse jamais de revoir.
Par contre, j'avoue que cette histoire d'homosexualité ne m'a pas trop sauté aux yeux.

L'homosexualité saute rarement aux yeux dans les films naphta... Donc c'est peut-être une extrapolation de mon esprit contemporain. SPOILER Mais vers la fin, quand les deux gars sont coincés dans la cave, on perçoit une relation très forte entre les deux qui sont déjà comme culs et chemises pendant tout le film. A un moment le blond ose même un geste un peu tendre (extrapolation alerte) en disant "let's get out and never come back" et à la toute fin, il fond en larmes devant la vision de son ami mort et en plus de décider de céder le nom du criminel, il dit un truc du genre "snif... don't leave me". Bref, il souffre beaucoup pour un méchant.

Oui, je ne suis pas du genre à en voir partout - surtout dans le naphta - mais les deux tueurs interprétés par Lee Van Cleef et Earl Holliman sont assez évidemment homosexuels.

[Flol]

Vic Vega, Thaddeus, Demi-Lune, Kevin95, Vic, Ratatouille (l'année est fini, hein )

J'avais complètement zappé.

[AtCloseRange]

L'homosexualité saute rarement aux yeux dans les films naphta... Donc c'est peut-être une extrapolation de mon esprit contemporain. SPOILER Mais vers la fin, quand les deux gars sont coincés dans la cave, on perçoit une relation très forte entre les deux qui sont déjà comme culs et chemises pendant tout le film. A un moment le blond ose même un geste un peu tendre (extrapolation alerte) en disant "let's get out and never come back" et à la toute fin, il fond en larmes devant la vision de son ami mort et en plus de décider de céder le nom du criminel, il dit un truc du genre "snif... don't leave me". Bref, il souffre beaucoup pour un méchant.

Oui, je ne suis pas du genre à en voir partout - surtout dans le naphta - mais les deux tueurs interprétés par Lee Van Cleef et Earl Holliman sont assez évidemment homosexuels.

Mouaif.
Ce qui m'ennuie, c'est le "évidemment".
Quand je pense qu'on était venu m'emmerder parce que je parlais du contexte homosexuel évident de Frontière Chinoise

[Demi-Lune]

Découvertes naphta 2016 dignes d'être mentionnées (en incluant les années 80 parce que sinon, y a pas grand-chose) :

Sans ordre :

La grande ville (Satyajit Ray, 1963)
La complainte du sentier (Satyajit Ray, 1955), L'invaincu (Satyajit Ray, 1956) & Le monde d'Apu (Satyajit Ray, 1959)
Le lâche (Satyajit Ray, 1965)
Pierrot le fou (Jean-Luc Godard, 1965) - Redécouverte
L'empire des sens (Nagisa Ōshima, 1976) - Redécouverte
Mad Max 2, le défi (George Miller, 1981) - Redécouverte
Cría cuervos (Carlos Saura, 1976) - Redécouverte
L'insoutenable légèreté de l'être (Philip Kaufman, 1988)
AKIRA (Katsuhiro Ōtomo, 1988)
Andreï Roublev (Andreï Tarkovski, 1966)
Danton (Andrzej Wajda, 1983)
Punishment Park (Peter Watkins, 1971)
Belladonna des tristesses (Eiichi Yamamoto, 1973)
Section spéciale (Costa-Gavras, 1975)
L'homme qui voulait savoir (George Sluizer, 1988)
Mémoires du sous-développement (Tomás Gutiérrez Alea, 1968)
Autour de minuit (Bertrand Tavernier, 1986)
Brainstorm (Douglas Trumbull, 1983)

Hors-classe : Communion (Philippe Mora, 1989)

Dans un genre moins nanar mais tout aussi weird : Superstar : The Karen Carpenter story (Todd Haynes, 1988)

[Jack Carter]

Satyajit Ray

[kiemavel]

Oui, je ne suis pas du genre à en voir partout - surtout dans le naphta - mais les deux tueurs interprétés par Lee Van Cleef et Earl Holliman sont assez évidemment homosexuels.

Mouaif.
Ce qui m'ennuie, c'est le "évidemment".
Quand je pense qu'on était venu m'emmerder parce que je parlais du contexte homosexuel évident de Frontière Chinoise

Ok, la certitude est en trop mais alors que les soi disants sous entendus homosexuels vus par d'autres (surtout la critique) ne me sautent pas forcément aux yeux, ici cela m'avait vraiment paru évident. Sinon, sur ce film là, moi c'est le cunnilingus que je n'ai pas vu (je ne sais même pas ce que c'est à vrai dire)

Il est très bon ce topic mais je me rend compte que ça fait beaucoup de DVD et B-R à acheter ! En 2017 ----> Ramasser un maximum de Satyajit Ray (j'en ai vu 3 et pas hier. C'était les vhs de la collection "les films de ma vie" avec pour signature sur la jaquette, les propos de Truffaut. J'en ai encore )

On attend la récap mais à priori, Costa Gavras est un des grands vainqueurs de l'année...

[Jack Carter]

On attend la récap mais à priori, Costa Gavras est un des grands vainqueurs de l'année...

oui, sans aucun doute...le coffret aidant...meme topo pour les Duvivier sortis en dvd/Blu en 2016
à vue de nez, parmi les titres les plus cités : quelques Gavras (L'Aveu, Section speciale,...), Duvivier (La Fin du jour...), Belladonna (sortie salles + dvd/Blu), L'Argent de la banque, L'Americain (passés sur cine + classic en 2016)

[Jeremy Fox]

Depuis que ce topic existe, il me semble que chaque année l'un d'entre nous découvre Satyajit Ray avec un enthousiasme communicatif. Ce fut le cas pour moi il y a 4 ou 5 ans où je décidais un peu à contre cœur de me lancer dans la trilogie d'Apu, moi que le cinéaste avait profondément emmerdé durant l'adolescence. Ce fut une révélation !

[Jack Carter]

Depuis que ce topic existe, il me semble que chaque année l'un d'entre nous découvre Satyajit Ray avec un enthousiasme communicatif. Ce fut le cas pour moi il y a 4 ou 5 ans où je décidais un peu à contre cœur de me lancer dans la trilogie d'Apu, moi que le cinéaste avait profondément emmerdé durant l'adolescence. Ce fut une révélation !

Je me souviens d'une année ou j'avais 4 ou 5 Borzage dans mon top 20 annuel, une année ou Vic Vega avait inclus 6 ou 7 Guitry dans son top, et en effet Satyajit Ray qui depuis quelques années est regulierement cité par ceux qui le decouvre

[DukeOfPrunes]

à voir de la liste à Duke : House et Le Miracle des loups (1924)

Du pur bonheur loufoque à la japonaise, très drôle et surréaliste + un grand film d'aventure historique à la Griffith, superbement chorégraphié, avec des séquences mémorables